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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Arnaud Mussy écrit "Opinions de lecteurs"... pour "rentrer dans les livres" - Xeon

Date : 1996-07-24

"Par expérience ancienne, j'ai insisté sur ma discrétion, mais peu à peu à mesure de mes exhortations à cette humanité complètement désemparée, de mes insistances sur les esprits leurrés ou confondus, le Verbe n'a pu s'empêcher de s'imposer avec une autorité qui en rappelle une autre. J'ai parsemé des allusions et des recoupements numériques et nominatifs qui incitent à deviner ce qu'il faut.." Avertissement, L'Ultime Grand Secret, André Bouguénec

 

"Ceux qui ont l'esprit de discernement savent combien il y a de différence entre deux mots semblables, selon les lieux et les circonstances qui les accompagnent. Croira−t−on, en vérité, que deux personnes qui ont lu et appris par coeur le même livre le sachent également, si l'un le comprend en sorte qu'il en sache tous les principes, la force des conséquences, les réponses aux objections qu'on y peut faire, et toute l'économie de l'ouvrage ; au lieu qu'en l'autre ce soient des paroles mortes, et des semences qui, quoique pareilles à celles qui ont produit des arbres si fertiles, sont demeurées sèches et infructueuses dans l'esprit stérile qui les a reçues en vain ?" L'art de persuader, Pascal

 

  

Décodage de l'insert "Un lecteur" d'Arnaud Mussy, placé en introduction de l'Ultime Grand Secret, d'André Bouguénec

 

 

Le texte dans L'Ultime Grand secret

 

Table des matières de L'Ultime grand Secret :

[...]

- Opinions de lecteurs ........................................................9

[...]

 

 

Un Lecteur :

En cette fin de siècle où tout semble avoir été dit, au point de nous persuader que rien ne peut modifier le cours des événements, ce mystérieux auteur nous propose son 7ème et dernier ouvrage, et livre en-Fin sa véritable identité avant de partir.

A l'image des nombreux lecteurs enthousiastes qui lui écrivent quotidiennement, vous comprendrez, alors, l'ampleur de ses révélations dé-VOILEES aujourd'hui en vue du proche a-VENIR.

Amis lecteurs, interrogeons-nous !
Ne reconnaît-on pas l'arbre à ses Fruits ?

Alors… Qui peut révéler "L'ULTIME GRAND SECRET" avec autant de CLARTE, de COHERENCE et de MAITRISE, si ce n'est Celui… ?

… Je n'en dis pas plus, car à cet instant il vous est DONNE l'occasion d'entrer dans ses livres, et de vérifier par ce pré-CIEUX conseil : "faites la preuve de tout" !

Et là, lecteurs de tous bords, vous constaterez qu'en cette période cruciale de choix, André BOUGUENEC nous pose un SACRE dilemme !

 

 

L'explication d'Arnaud Mussy

Arnaud Mussy présente aux Phare-ouestiens, la genèse de son texte.

"Oui, alors j'ai eu le plaisir de lire le Grand Secret dès mon retour de vacances. Donc je l'avais lu préalablement avant de le saisir par ordinateur, pour mieux comprendre le fond parce qu'après on a une lecture un peu biaisée. Effectivement, j'ai trouvé que ce Grand secret résidait beaucoup plus dans l'enchainement d'idées maitresses de l'enseignement d'André.. 

Si ce n'est une aparté par rapport à la parole qu'André donnera tout à l'heure, et c'est justement un éclaircissement, un grand secret qui est plus précisément un éclaircissement, heu, limpide, sur ce qu'est le Verbe au début de St Jean, qui parait de prime abord.

Donc il y a évidemment 3 ou 4 paramètres centraux de l'enseignement d'André qui appuient, qui tournent autour de ce grand secret. Vous verrez que c'est extrêmement intéressant et limpide.

  

Source

 

 

 

Notre analyse

 

Le rejet du "mystère", pour l'élection de la "maitrise"

 

Version courte

Comment ? En commençant par réduire toute parole à un brouhaha d'opinions ("en cette fin de siècle où tout semble avoir été dit, au point de nous persuader que"... ), enfermées dans un temps duquel elles ne peuvent sortir : pas d'évolution possible de leur opinion. Or se taire, c'est oublier, c'est perdre le souvenir des réalités. "Au point de" "persuader" : il y a perte d'objectivité, tout n'est que persuasion, donc manipulation par les mots. "Persuader" de quoi ? Que nous ne pouvons plus évoluer : "rien ne peut changer le cours des événements". Parce qu'ils tournent en rond, se répètent. 

Cette situation découlant d'une vision intégralement matérialiste de la pensée, ne pouvant pas sortir d'un monde fini, et donc : finie elle-même. 

Alors qu'Arnaud Mussy s'adresse à des "lecteurs" spiritualistes.

Tout ceci décrivant une crise, que nous devrions percevoir comme fatale. Crise résolue par des témoins de leur époque, "cruciale", pour survivre. Ces témoignages devenan la "preuve" de tout, par le recours (témoignage du) chiffre, qui peut "en dire plus" : la vitesse.

Dès lors que l'infini lui est fermé, la seule voie de salut en cas de crise et de perte de mémoire ("en cette fin de siècle... plus rien ne peut être dit), en cas de conflit d'opinion, est de faire appel aux témoignages pour faire "preuve" ("faites la preuve de tout"), en utilisant le calcul, permettant de se tirer d'affaire dans ce monde "fini", en lequel les livres d'André Bouguénec, "msytérieux", ne servent à rien. 

D'où l'injonction : "rentrer dans les livres", pour calculer et être le plus fort ("persuader") dans les débats d'opinion, pour pouvoir "survivre". 

Calculer certes, mais en conservant les mots des spiritualistes, des "mystérieux", afin de pouvoir les dominner à leur insu.

 

Ce qui suppose d'admettre le langage qui permettra ce type de "preuve", celui des mathématiques, traduit en images simples pour mieux la faire passer : la géométrie. 

D'où la première géométrisation de cette parole/pensée, pour en faire un "point" de persuasion : "rien ne peut modifier le cours des événements".

Il s'agit alors de briser l'autorité de la parole et des écrits passés, héréditaires, qualifiés de "mystérieux", soit : lents à comprendre, pas clairs, et faisant perdre du temps, empêchant d'évoluer, "à l'image des lecteurs qui lui écrivent quotidiennement" : participent de cette répétition. 

Ceci s'opposant à l'injonction de vitesse comme moyen de "lecture" des choses, caractère des "enthousiastes", qui suivent celui qui dans le même temps ponctué, "peut" (pouvoir) "en dire plus" (calcul).

Le dilemme est alors celui-ci : 
- suivre le "mystère" et être rejeté de la société future
- suivre le maitre du calcul et "en dire moins". : se taire devant lui.

Cette situation étant appuyée par une autre, exceptionnelle : celle de cette "fin de siècle", appelant à faire appel à des mesures qui le seront tout autant : pour pouvoir "en dire plus", maitriser l'opinion, être un chef politique, un "décideur".

Les "enthousiastes" sont ceux qui participent de ce pouvoir d'en "dire plus", car eux, ne perdent pas de temps avec les "mystères", et renouvellent sans cesse leurs actes de pouvoir, obtenus par le maintien du mot "amour", comme dans "ami lecteur". 

L'expression creuse "amis lecteurs", permettra à Arnaud Mussy d'inciter à "rentrer dans les livres", comme un virus rentre dans le cerveau des "lecteurs" naïfs, entendant le sens donné par "l'amical" Arnaud Mussy. Mais pour en rejeter le sens, puisque tout n'est qu'opinion. On pourra alors en tirer ce qu'on voudra.

"Qui peut en dire plus", en permanence, grâce à ce stratagème, et ainsi assurer son pouvoir sans limite sur les "lecteurs" n'ayant que des opinions, parce que ne travaillant pas.

C'est en effet le travail, l'étude, qui sont ici mis en accusation, puisque ce sont les moyens de dépasser le temps fini d'un monde de crise.

 

Il faut donc utiliser les mots de ces gens, pour pouvoir les tenir depuis l'intérieur de leur cerveau, en commençant par évincer André Bouguénec, mais au nom d'André Bouguénec, en captant son héritage, en le déformant, mais en conservant sa "signature", en le conservant comme "signe", puisque tout n'est qu'opinion, et qu'alors tout témoignage sur son être réel, peut être mis à caution.

Les "lents" subiront le procès d'intention de ne pas parler le langage permettant d'en "dire plus". Pour cela ils seront écartés en suivant André Bouguénec, "avant de partir". 

D'où son traitement judiciaire, toujours passé en termes équivoques, sinon par la géométrie. D'où ce "texte" (un document-testament) qu'il laisse "avant de partir ("enfin" !), en lequel il "livre" (sens judiciaire), sa véritable identité (autrement dit avant il avait menti sur lui-même). Une identité "sans ampleur", laissant à un nouveau "maitre", les clefs de la maison ("qui".. "si ce n'est"... "celui qui maitrise",...). Le mot héritier, dans le Littré, est renseigné comme issu du provençal herus, maitre, et vient du radical sanscrit har, prendre. Alors là, on "reconnait l'arbre à ses fruits".

Ce que nous pouvons com-prendre, en regardant ("à l'image"), ses "nombreux" lecteurs, répétant stérilement ("écrivent quotidiennement") une demande vaine : Sans action. Quand les autres se renouvellent parce que le mot "amitié", permet d'ouvrir toutes les portes... du "ciel", tombé à Terre.

 

Arnaud Mussy se présente alors comme le philanthrope, l'humaniste : Il est "ami" de "l'homme" : "ami lecteur". Un lecteur, c'est quelqu'un qui fait un choix, une sélection. D'où le mot "é-lire". 

L'opinion de lecteur, c'est un choix fondé sur une préférence se donnant comme "science", alors qu'elle n'est que soumise à une préférence personnelle : se sentir appartenir à un groupe, à une force, au nombre majoritaire. Définition même de l'opinion.

Ce nombre étant visible par des images tout de suite imprimées en notre esprit, nivelant, comme nous l'avons dit, la langue pour qu'elle soit "visible" par tous.

Comme celle d'un "point" mettant en minorité tous les parlants "en cette fin de siècle", s'opposant à une "ampleur", de "celui qui (seul) "peut en dire plus". D'où le jugement rapide et stupide tiré de ce texte : Opinions de lecteurs, renversant (dans le langage géométrique) le langage réellement majoritaire, pour rendre (dans ce même langage géométrique) majoritaire, celui qui en réalité, était seul.

"amis lecteurs, interrogeons-nous", "ne reconnait-on pas l'arbre à ses fruits"... L'argument même du candidat à l'élection... appelant à le "juger" après un "test" (témoignage), passant un critère : celui de la puissance, de la "clarté", etc. de celui qui "peut révéler" son secret à ceux qui vons le suivre). "Peut, de "pouvoir", parler, pour "dire plus", c'est conclure, c'est décider en ayant toujours le dernier mot "dans le proche avenir".

 

 

 

L'enthousiasme

Arnaud Mussy s'empare de notre langage, pour le retourner contre nous. 

Si nous acceptons l'argument de "l'époque cruciale", comme nous l'avons vu, nous devenons les "enthousiastes", car une jouissance est alors associée à ce nouveau pouvoir : parler une langue pour mieux imposer son opinion personnelle.

Mais la logique inverse s'impose immédiatement : qui n'accepte pas ces "exceptions" à "l'amour", décliné en "'amitié", perdrons leur "enthousiasme", car ils devront alors contester les mots de "celui qui peut en dire plus". Lequel parle pourtant avec les mots... d'André Bouguénec. 

On pourra alors les accuser de "trahir"... non pas Arnaud Mussy, mais... "André Bouguénec". 

Le fait de se sentir sale, d'être seul, fera pression sur les "non enthousiastes", les isolera. Soit ils partiront d'eux-mêmes, pour faire place nette à Arnaud Mussy, soit ils plieront à sa demande. 

D'où le dilemme final : 

- les réfractaires souffrent de leurs doutes sur eux-mêmes et s'en vont ou changent
- les soumis se taisent, face à "celui qui peut en dire plus". Ils sont sauvés, mais admettent d'avoir moins de "droit à la parole". En échange, ils apprennent quand même la méthode.

 

Ces "lecteurs" devront faire le choix de la perte de leur "enthousiasme", se sentir isolés, minoritaires, rejetés, non pas pour des fautes réelles, mais pour des fautes de "noms", des fautes au regard du langage : ne pas calculer, ne pas "rentrer dans les livres" pour en rejeter le "mystère" menant, lui, à la mort sociale.

Ceci en conservant le nom "André Bouguénec". Nom conservé et utilisé pour séduire les fidèles, mais changeant de sens quand il s'applique au pouvoir, via un tour de passe-passe permanent, permettant de se servir des mots mêmes de l'ennemi à abattre, tout en l'empêchant de les utiliser pour lui-même. A tous les coups il perd.

S'il se sert de son langage héréditaire, naturel, pour se défendre de sa "fidélité", on luib opposera ce procès d'intention le mettant en minorité. On dira : tu parles d'amour, mais dans ton cas, c'est dans un sens égoïste. Il est géométriquement minoritaire, en éloignement, dans le "mystère", "avant de partir" (éloignement géométrique = diminution = en dire "moins")

A l'inverse, le pouvoir réutilisera quand il le voudra, les mêmes termes, mais en invoquant cette fois l'exception ("en cette fin de siècle... au point de"... "période cruciale") pour se renforcer, cautionner son "amitié", devenant alors majoritaire dans l'assemblée : "en dire plus". 

Cette in-formation amène la faute contre l'esprit, de celui qui "sait" (car tout est prouvé par la géométrie discrètement placée dans tous ces propos), mais n'agit pas : le cerveau ne peut s'empêcher de faire ce calcul, même infimement, de sorte que ce sens donné au propos, se développera tranquillement dans les esprits, n'étant jamais réfuté, car alors on s'opposerait à "André Bouguénec". 

La révolution est assurée, et les peureux finirons par "rentrer dans (ses) livres".

C'est cette faute ("impardonnable") qui fera pression et amènera fatalement la victoire du pouvoir ("dans un proche avenir"), qui pourra trancher quand les mots auront été acceptés, dans le sens qu'il voudra, et sur lequel la victime se sera engagée "librement".  

C'est ainsi que peu à peu, nous craignons nos propres mots, pour laisser Arnaud Mussy se les approprier, dans SA définition à lui, retournant leur sens initial, quand "rentrer dans les livres" ne siginifiera plus que : les détruire.

 

Quand le champ est libre, que tous les fidèles du Verbe infini, auront été écartés, la nouvelle "religion" matérialiste se fera plus claire, et finira par évincer purement et simplement André Bouguénec, réel cette fois, pour le remplacer par un simple humanisme (ami des lecteurs = ami des électeurs), et on pourra recommencer le même jeu au nom de ce "mot".

 

 

"Rentrer dans les livres"...

La solution "salutaire" pour le "futur" sera de "rentrer dans les livres", comme quand on parle du traitement à opérer pour se dégager d'une lourdeur (répétition stérile, folle : "écrire quotidiennement")... la renverser, mais de l'intérieur, comme nous l'avons dit.

"Rentrer dans les livres" devenant la solution à la "crise", permettant alors un tri, une coupure d'avec le travail du temps, de l'attente

Rejetons celui qui nous a fait "perdre notre temps", ainsi que ses acolytes ("écrivains", appelés "écrits-vains" dans un autre propos d'Arnaud Mussy :... "et oserai-je dire "écrits-vains," s'il n'est pas lu avec le coeur !!". Ce dernier terme désignant l'art de caresser l'homme par sa surenchère permanente : "en dire plus" en termes d'humanisme.

 

Voici comment quelques phare-ouestiens ont finis par "comprendre" (par pure induction/programmation) et mettre en pratique, concrètement, le sens de cette "amicale" théorie, transmise par l'art de l'équivoque : "rentrer dans les livres", pour y infuser le virus d'une amitié de nom, permettant tous les entrismes. Pour salir et détruire, y compris la bibliothèque d'André Bouguénec, qu'il avait léguée comme un héritage : Cassette H28, face B, 2'45 (22 Novembre 1995) : "Vous savez, toute ma bibliothèque, elle est pour vous."

- Fabrice B. renia tout intérêt pour la lecture, au nom d'une "inspiration", d'une "intuition" supérieure, pour détruire le fonctionnement de notre Café Métaphysique. Après cela, ce fut le commencement de la fin pour notre projet. Ce même personnage devint vite un proche d'Arnaud Mussy dans Néo-Phare.

- Après le décès d'André Bouguénec, divers phare-ouestiens proposant des "planches", commencèrent à mutiler les textes d'André Bouguénec, sabrés, découpés, dénaturés au possible, résumés ou schématisés, appauvris à mort, mis en équations, comme on l'aurait fait pour présenter des idées au sein d'une entreprise, pour des desseins matérialistes.

- Pascal M., résuma Couple et alchimie en 2 pages, ce qui lui fut reproché par André Bouguénec. Toujours le même, ne parle aujourd'hui (2025) des archives et de leurs documents, que pour en tirer des chiffres, des classements, des nombres de pages, des prix d'impression, des temps de lecture en somme... mais jamais pour en tirer du contenu. Récemment ce même Pascal M., détruisant ma reliure du sator (livre Testament d'André Bouguénec), mais cherchant à "prouver" par son travail rapide, qu'il en maitrise les mots, dans l'ordre de la vitesse. Ce même Pascal M., pris d'étranges problèmes de mémoire (ou faisant semblant de l'être ?), calculant sur les livres car plus de mémoire du sens

- Albert C. qualifiant les archives et bibliothèque d'André, de "reliques".

- Rentrer dans les livres fut aussi mis en application par la destruction pure et simple de toute la bibliothèque d'André Bouguénec, méthodiquement et au nom de la "fraternité" - logique humaniste !, déchirée, divisée, puis dispersée aux quatre vents, et finalement détruite, vendue, ou oubliée, et même noyée ! Destruction initiée tardivement, par des proches d'Arnaud Mussy.

- Une autre mise en oeuvre de cette "enthousiaste" entreprise, fut celle d'Astrid L. relatée en cet article.

- Mais les ouvrages ne sont pas les seules archives visées, puisque les enseignements oraux ont eux aussi eu droit à leur traitement, telles les cassettes de réunion enregistrées sur fond de jeu vidéo de guerre. Ces cassettes ayant forcément été numérisées après l'arrivée d'Arnaud Mussy, puisque les enregistrements courent jusqu'à 1997. Une autre façon de "rentrer", non pas ici dans les livres, mais bien dans les propos d'André Bouguénec, par des "sons" (une certaine musique, un certain code !) de force et de destruction.

 

Arnaud Mussy avait expliqué, dans une réunion, que Lucifer tordait le texte de la Bible, de 2mm. et qu'au fond cela ne se voyait pas. Mais comment aurait-il pu procéder, sinon qu'en s'infiltrant, qu'en rentrant dans les livres des chrétiens (leur cerveau) ? Pour détruire leur "Testament".

 

Tel est le sens décodé de cette théorie appelée : Opinions de lecteurs.

Evidemment, tous ces cas de violence contre le texte d'André Bouguénec, sont des états intermédiaires avant le rejet définitif et rapide - du moins après l'arrivée d'Arnaud Mussy, assumé de tous ou presque, mais furent et sont la preuve d'un cheminement bien concret, qui aboutira à la révolte pure et simple contre la recherche, contre l'intellect, contre André Bouguénec, qui a "fait perdre du temps", avec son spiritualisme stérile, "mystérieux", dont on ne voit pas les "fruits" immédiats mais renouvelables (comme les "fruits" de l'arbre, cueillis par les "enthousiastes"), c'est-à-dire matériellement mesurables, dans leur "ampleur". 

 

 

Dans son Courrier envoyé en 2006 aux membres du Phare-ouest, Arnaud Mussy placera ce petit dessin présentant un moteur à destruction d'ouvrages, pour finaliser ... sa naissance, par un "testament" nouveau :

 "La vie des symboles" précédant...le progrès vers la mort-réduction-éloignement de la vue, par l'action des symboles et des signes, auxquels se réduit, selon Arnaud Mussy, tout langage, comme nous l'avons présenté en introduction, de sorte que la seule forme possible d'une science soit la géométrie, l'abstraction. Cette science le faisant naitre, en "rentrant dans les livres".

 

 

Ce qu'André Bouguénec répond à cette "opinion de lecteur"

André Bouguénec n'est pas, et n'a jamais été dupe, comme nous le montrerons dans quelque temps. Mais il nous a laissé libre de choisir. 

Ceux qui lui faisaient confiance, purent, depuis leur coeur, en dehors de la compréhension certes complexe, de ce trucage habile, les coeurs vrais disons-nous, étaient à même de voir ce qui se passait, uniquement en se servant de leur yeux. Autrement dit leur bon sens. C'est seulement ensuite, donc à cette seule condition, qu'ils auraient pu "entendre" les prévenances d'André Bouguénec.

Notre enseigneur ne nous laissait pas sans aide. Tout au long de cette présence maléfique, il nous soufflait comment utiliser nos sens et notre intelligence.

 

Juste après la réception du premier courrier d'Arnaud Mussy, daté du 03 mai 1994, concluant par le slogan : "La France ne peut plus attendre", autrement dit elle a "perdu son temps", André Bouguénec nous disait en substance, dès le 31 mai suivant, entre autre, puisque toute la réunion ou presque traitait du temps qui allait nous "cerner", et des fruits de cette recherche de vitesse, propre aux anges (des "inspirés" par la géométrie) : "si vous êtes pressés pour faire quelque chose, vous deviendrez des cafardeux". C'est-à-dire des déprimés (pas enthousiastes !). Et personne ne vit le rapport entre ce propos insistant d'André Bouguénec, et la conclusion du courrier d'Arnaud Mussy, laissant, déjà quelques phare-ouestiens songeurs, admiratifs des propos tirés de cette "publicité" (métier consistant à rentrer dans le cerveau des gens pour en faire de bons consommateurs nivelés... choisissant "librement" leur produit, au nom souvent des valeurs les plus hautes).

Arnaud Mussy, qui se présenta justement comme "publicitaire" au Phare-ouest, et qui dira, ou plutôt "insistera", dixit le journaliste, durant son Entretien au Télégramme : "Je me réclame à 100% d'André Bouguénec".

 

Plus tard, dans L'Ultime grand secret, puisque notre texte traite de l'insert d'Arnaud Mussy en cet ouvrage, pointons du doigt ce qu'André Bouguénec y "écrit" dans son "Avertissement", terme venant du latin advertere (« tourner, diriger quelque chose vers »). "Avertissement" ayant aussi pris le sens de "mise en garde", mais aussi "annoncer pour l'avenir". Le retournement d'un retournement, c'est une remise à l'endroit.

"La fin de ces Temps, annoncée, où la confusion, partout, se manifeste, devait recevoir les germes fructueux d'une formidable résurrection, et le dévoilement d'une définitive évolution totalement éclairée. C'était chose promise jadis. Heureux ceux qui, déjà, sont entrés dans une Vie qu'ils ignoraient et qui les fait naître dans une immortalité sereine et lumineuse.

Ne cherchez pas l'auteur, selon votre attention il est Présent en ces lectures, et vous ne serez plus seuls ni désemparés".

André Bouguénec

 

"Définitive évolution" est très clair et parfaitement opposé à cet encerclement d'un "arrêt du temps" de la "parole", présenté à notre cerveau ainsi matérialisé à son insu, mais "confus" puisque ce détournement se fait avec les mots d'une certaine "clarté", ou dit autrement sidéré par ce programme digne d'une fin des temps, puisque répondant exactement à la définition du "Mystère d'iniquité", destiné à "tromper les élus eux-mêmes". Or, comment tromperait-on des "élus", sinon qu'en rentrant dans leur propre langage

 

On voit d'entrée de jeu, que le vocabulaire de l'opinion de lecteurs est repris : "présence" "lecture", "entrer" "ne pas chercher l'auteur" (car pas "parti")... 

Etre désemparé c'est être coupé (dés-em-parer), retranché, en perdant ses moyens. Ce qui renvoie à l'action de sidération opérée par l'usage du double langage inverse, permettant de supprimer les gêneurs, par leurs propres mots et ceux de l'amitié, de les réduire tout simplement au silence. 

 

"Entrer dans une vie", se mettant encore en opposition avec : "entrer dans les livres", dont le sens est mort, car la vie est infinie et globale, alors que les livres sont d'abord choisis, et donc aussi : peuvent être exclus selon la même logique.

 

Cette "évolution définitive", qui "devait" venir mais comme "germe", nous laissant libres, puisque c'est une évolution par la "vie", irrationnelle, forcément, mais s'incarnant en nous par le langage évolutif en cette vie même, s'incarnant en chaque homme, contrairement au langage codé d'Arnaud Mussy, faisant taire ceux qu'il veut abattre, séparer, pour créer des agités "enthousiastes" de la destruction et du pouvoir sur les autres.

Car "le Verbe, c'est la vie" St Jean et c'est l'infini. Par lui "l'évolution" n'est pas verrouillée sur un point-crise-événement. Ne rendant donc pas "définitivement" fermée notre évolution. Cette promesse interdisant formellement tout "arrêt de la parole" sur un "instant" présent, un point de non-retour.

 

La conclusion de l'ouvrage cité est encore en rapport avec cet avertissement : "Mes amis, mes enfants, maintenant je vous dis "au revoir". Oh, pas ici sur cette planète, mais dans un Ailleurs que vous aurez mérité.
Cependant, je reste Présent en vous par mon Verbe "publié" et dans votre cœur. Là, où vous ferez naître l'Amour, la Bonté et Ma Lumière, Je serai avec vous, car Ma Tendresse vous est acquise." 

Nous ne commenterons pas cette dernière citation, qui devrait d'elle-même faire sentir la vérité d'une affirmation de "présence" pour un futur "voir". C'est cela le Testament d'André Bouguénec : pas de fin, cet état restant "mérité", donc prouvé par un travail dans le temps, pour dépasser les temps, créer une valeur réelle, pérenne, par un pouvoir sur soi.

Mais c'est précisément le mérite qui est approuvé par la Mère Suprême, nous dit André, ce jour où il nous disait aussi : "toute ma bibliothèque elle est pour vous". Donnant à son propos un ton testamentaire évident. "Elle a attendu longtemps, elle veut de la qualité". Donc du mérite, y compris celui des "contorsionnés", puisque l'exemple même de la conversion possible est donnée par celui d'un malade qu'il faudrait aider à guérir, dans ce but même.

Faut-il faire l'analyse du mérite, pour comprendre qu'il faille lui opposer la vitesse du résultat ?

La vitesse, c'est "d'en dire plus" quand le temps du jugement est proche, pour "sauver" les hommes par le règne de la quantité. C'est en dire plus dans le même temps que les autres font silence : "en cette fin de siècle ou tout semble avoir été dit"... pour laisser place à la parole du rhéteur, maitre sur ce seul temps, indépassable et prouvé géométriquement : "au point de"... "nous persuader".

La qualité c'est de dire ce qu'il faut dans le temps qu'il faut pour le faire.