"Ceux qui ont l'esprit de discernement savent combien il y a de différence entre deux mots semblables, selon les lieux et les circonstances qui les accompagnent. Croira−t−on, en vérité, que deux personnes qui ont lu et appris par coeur le même livre le sachent également, si l'un le comprend en sorte qu'il en sache tous les principes, la force des conséquences, les réponses aux objections qu'on y peut faire, et toute l'économie de l'ouvrage ; au lieu qu'en l'autre ce soient des paroles mortes, et des semences qui, quoique pareilles à celles qui ont produit des arbres si fertiles, sont demeurées sèches et infructueuses dans l'esprit stérile qui les a reçues en vain ?" L'art de persuader, Pascal
Décodage du texte d'Arnaud Mussy, placé en introduction de l'Ultime Grand Secret, d'André Bouguénec
Le texte dans L'Ultime Grand secret
Table des matières :
- Opinions de lecteurs ........................................................9
[...]
Un Lecteur :
En cette fin de siècle où tout semble avoir été dit, au point de nous persuader que rien ne peut modifier le cours des événements, ce mystérieux auteur nous propose son 7ème et dernier ouvrage, et livre en-Fin sa véritable identité avant de partir.
A l'image des nombreux lecteurs enthousiastes qui lui écrivent quotidiennement, vous comprendrez, alors, l'ampleur de ses révélations dé-VOILEES aujourd'hui en vue du proche a-VENIR.
Amis lecteurs, interrogeons-nous !
Ne reconnaît-on pas l'arbre à ses Fruits ?
Alors… Qui peut révéler "L'ULTIME GRAND SECRET" avec autant de CLARTE, de COHERENCE et de MAITRISE, si ce n'est Celui… ?
… Je n'en dis pas plus, car à cet instant il vous est DONNE l'occasion d'entrer dans ses livres, et de vérifier par ce pré-CIEUX conseil : "faites la preuve de tout" !
Et là, lecteurs de tous bords, vous constaterez qu'en cette période cruciale de choix, André BOUGUENEC nous pose un SACRE dilemme !
L'explication d'Arnaud Mussy
"Oui, alors j'ai eu le plaisir de lire le Grand Secret dès mon retour de vacances. Donc je l'avais lu préalablement avant de le saisir par ordinateur, pour mieux comprendre le fond parce qu'après on a une lecture un peu biaisée. Effectivement, j'ai trouvé que ce Grand secret résidait beaucoup plus dans l'enchainement d'idées maitresses de l'enseignement d'André..
Si ce n'est une aparté par rapport à la parole qu'André donnera tout à l'heure, et c'est justement un éclaircissement, un grand secret qui est plus précisément un éclaircissement, heu, limpide, sur ce qu'est le Verbe au début de St Jean, qui parait de prime abord.
Donc il y a évidemment 3 ou 4 paramètres centraux de l'enseignement d'André qui appuient, qui tournent autour de ce grand secret. Vous verrez que c'est extrêmement intéressant et limpide.
Source
Notre analyse
Le rejet du "mystère", pour l'élection de la "maitrise"
Version courte
Comment ? En commençant par briser l'autorité de la parole et des écrits passés, tirés d'un travail sur le temps, s'opposant alors à l'injonction de vitesse, amenée par ce "point", verrouillant ce "temps", pour dire : il faut se décider dans l'urgence.
La crise créée devant amener à requérir à une décision, alors que mécaniquement, nous manquons d'information. Alors on va faire appel au plus informé, par l'é-lection (ami E-lecteur...) : "amis lecteurs, interrogeons-nous", "ne reconnait-on pas l'arbre à ses fruits"... L'argument même du candidat à l'élection... Puis vient le devoir du vote ("l'amour") pour "celui qui..." pourra "en dire plus".
C'est-à-dire légiférer, prendre le pouvoir, par son "dire" de CLARTE, de COHERENCE et de MAITRISE.
Ce qui lui permet de légiférer (en dire plus, en termes de largeur et de hauteur), avant le procès.
Alors on peut "élire" le nouveau texte de la "majorité", et en conséquence directe et géométrique : rejeter d'autres livres, minoritaires ("sans ampleur") en "rentrant" dedans.
Le dilemme final résumant ce système purement politique de "choix" (vote) à donner en éliminant André Bouguénec, afin d'appartenir à la soiété dite "majoritaire" : celle qui a de "l'ampleur" en termes de temps, c'est-à-dire un avenir.
La part minoritaire, quant à elle, va "partir".
Version longue
Quand le temps est arrêté, on n'a plus les moyens de réfléchir, de comprendre. Alors on laisse le choix à "l'arbre dont on reconnait les fruits"... "celui qui peut en dire plus".
"Fruits" qu'il faut cueillir, ce dernier mot étant la racine étymologique de "lire" et "élire".
Ce "choix" c'est une préférence pour une "lecture", une é-lection, une "lecture" préférée, donc aussi : le rejet d'une autre.
Or que vaut une "décision" sans réflexion ? C'est celle d'une opinion. N'ayant pas "le temps" de comprendre, on choisit (on "élit") le plus informé de tous, celui qui "maitrise". Et comme "nul ne peut choisir deux maitres", il faudra bien en laisser un de côté.
Pour cela il faudra à Arnaud Mussy créer une imagerie mathématiquement démontrée, c'est-à-dire dans le vide, permettant à notre cerveau de s'y retrouver en termes de majorité et de minorité sociale.
Les mathématiques et le choix opéré par elles, impliquant d'être rationnels, c'est-à-dire de "décider", de "trancher", donc de supprimer la part minoritaire de l'image.
Cette image est d'ailleurs nommée : "A l'image de nombreux lecteurs". La majorité est déjà créée. Quand à la minorité, elle est dans le "départ" d'André Bouguénec, créant de facto l'image de son rapetissement, de son statut : "sans ampleur".
"A l'image des nombreux lecteurs enthousiastes qui lui écrivent quotidiennement, vous comprendrez, alors, l'ampleur de ses révélations dé-VOILEES aujourd'hui en vue du proche a-VENIR."
Cette rationalité (langage de la force, du pouvoir, permettant de créer du nouveau depuis sa propre TETE = Chef, donc de conclure, de décider), cette rationalité dis-je, opposée au "mystérieux" d'André Bouguénec, c'est le "pouvoir d'en dire plus", d'amener du nouveau (travail de la raison), de révolutionner en rejetant l'ancien (les "fruits" rejetés à l'issue du "choix", d'un vote, tout simplement).
La rationalité c'est la langue de la force, du contrôle de toutes choses - et de l'homme qui veut s'y soumettre - par les chiffres : "maitriser", pour "en dire plus", c'est-à-dire légiférer, être le maitre de la "parole" ("en dire") rationnelle ("plus"), maitre de la quantité, des dimensions "maitrisées" verticales et horizontales (en croix), puisque nous sommes à une époque "cruciale", imposant le silence à ceux ("on") qui suivent André Bouguénec "mystérieux" (contraire du rationnel).
Ces derniers ne comprenant pas ce nouveau code, qui les fait taire, précisément parce qu'il croise avec une habileté diabolique, leurs propres concepts avec des termes mathématiques qui les dégrade, les mets en miorité. Leur langage se retournant alors contre eux-mêmes et permettant à Arnaud Mussy d'être le maitre du débat. Il est donc bien, preuve à l'appui ("faites la preuve de tout", nous dit-il, et pour cause), celui qui peut "en dire plus".
D'où, une fois "choisi" il pourra, par son langage de la force, imposer de "rentrer dans les livres"... minoritaires. Nous verrons comment cette "action" fut comprise, puis menée par une "mécanique" parfaitement perceptible.
Parenthèse : Evidemment, il ne s'agit pas de prôner un irrationalisme bêlant et tout aussi dangereux. Le problème venant de l'appel constant à la référence mécanique, qui peu à peu, va induire la mécanisation de l'être tout entier, de son âme. Toujours en raison de telle ou telle "urgence", "exception", "moment crucial", etc. amenant à devoir laisser la main à "celui qui sait", arguant d'une prétendue "crise", "époque cruciale", "exceptionnelle", ici : "événements"... pour toujours plus faire descendre ses victimes dans la matière et les mettre sous son pouvoir.
A la fin, il ne reste que des robots mécanisés, croyant toujours "agir" au nom du "spirituel", uniquement parce qu'ils en répètent les "mots".
"Ampleur" comme forme calculable, mais en sens inverse de ce que les "lecteurs enthousiastes" croient entendre, instillant le doute en ses "fous" (sens originel du mot "enthousiaste") quant à leur proche A-venir", alors même qu'André Bouguénec doit "partir".
Ces "lecteurs" devront faire le choix de la perte de leur "enthousiasme", se sentir isolés. Les dépressifs laissant alors place aux forts en gueule, répétant les mots de "celui qui peut en dire plus"... "peut" étant une forme conjuguée du verbe "pouvoir"...
D'autant plus que pédagogiquement cette "amitié" tirera parti de questions : "ami lecteur, interrogeons-nous", forçant le cerveau à effectuer ce calcul. Jusqu'à ce qu'un des auditeurs trouve la solution, la fasse germer en lui, puis l'exprime ouvertement, amenant les autres à y penser, etc. Les "fruits" de l'arbre se développant en conséquence.
"Fruits" qui deviendront "preuve" ("faites la preuve de tout"), verrouillant cette parole nouvelle (la raison calculante et concluante sur du "nouveau"), imagée dans les cerveaux programmés, finissant par "choisir".
Une probabilité devenant "vérité, n'étant effectivement rien d'autre qu'une opinion.
Ce phénomène imaginatif est inéluctable, car chiffré et greffé sur notre langage, interdisant à notre cerveau de réagir, et en conséquence, empêchant toute réfutation, d'où : "on ne peut plus rien dire", et les seuls "événements" qui nous font taire", ce sont les images rationalisées, issues de ce texte.
Raison révolutionnaire qui "concluera" en disant : ne perdons plus notre temps avec André Bouguénec", et (de colère)... "rentrons dans ses livres".
Par ce petit texte présentant un faux débat ("et là, lecteurs de tout bord"), pour un choix libre (un "dilemme"), Arnaud Mussy définit ainsi deux temps : un temps de la parole ancienne, qui ne comprend rien, et un temps de la parole nouvelle, qui va survivre parce qu'elle entend plus ou moins ce code, en accepte la maitrise par Arnaud Mussy, et en tire son "salut" au regard du "groupe".
Le "dilemme" posé par André Bouguénec, c'est le dilemme de son rejet alors que nous le suivions, pour suivre Arnaud Mussy, maitre d'une loi qui nous défait de notre propre volonté, de nos propres choix, devient le maitre de la parole, "JE" qui peut toujours "en dire plus".
Ainsi est résolu le problème du pouvoir, savoir : "comment une minorité peut contrôler une majorité... par la peur de la disparition, du rejet".
Tout en conservant le nom "André Bouguénec". Nom conservé, mais ayant changé de sens, quand il sert le pouvoir, via ce tour de passe-passe géométrique, cette magie, consistant à se servir des mots mêmes de l'ennemi qu'on veut abattre.
"Opinion de lecteur" rationaliste
"Un lecteur" est classé par André Bouguénec dans un chapitre appelé "Opinions de lecteurs". Ce qui pourrait paraitre paradoxal, puisque la LECTure devrait susciter la mobilisation de l'inteLECT, et non la création d'une opinion, d'autant plus curieuse, qu'elle laisserait place à l'arrivée, à l'opinion... d'un seul de ces prétendus "nombreux" lecteurs "de tout bord".
"Un lecteur" doit donc sortir du lot, mais ce lecteur ce sera n'importe lequel. Seulement le plus fort de tous, le plus rapide à parler quand "on" ne peut plus rien dire. "UN lecteur" au singulier : "celui qui", issu d'un calcul, choisi pour sa capacité à "en dire plus".
L'opinion est le fruit de la rapidité de la pensée s'imaginant savante, alors qu'elle n'est mue que par ses préférences et émotions produites par la certitude d'appartenir à une classe majoritaire : "on"...
"Peut", nous l'avons dit, étant tiré du verbe "pouvoir", parler, pour "dire plus", c'est conclure, c'est décider en ayant toujours le dernier mot, sous couvert de la magie de la preuve par le chiffre, que personne ne peut vaincre.
Pour cela bien entendu il faut obtenir le plébiscite de l'opinion, "ce" lecteur est seul au départ (d'où le titre de l'article), caché derrière les "événements" impersonnels, mais peu à peu s'adjoindront à lui le nombre de ceux qui, forcément, étant "plus" nombreux por grossir le camp des "forts", pourront en dire "plus" en répétant mécaniquement les slogans de ce même pouvoir.
Les "enthousiastes" contre les calculants
Un "cours" c'est aussi une course, et plus le temps avance, plus ces événements montrent la valeur de cette "parole" du "mystère" : elle ne peut ou ne sait décider, trancher. Alors que la raison, elle, le peut.
"Dire (plus)" c'est parler. Parole de la force, face à l'écrit sans "ampleur". Le mot "enthousiaste" va pour cela se retourner contre ceux-là même qui croyaient y voir un mot "ami".
Car s'ils "écrivent", c'est qu'ils sont eux aussi "sans ampleur", des "images". Ce n'est pas par hasard si ce sont aussi les fous , les "délirants" en grec ancien (pas forcément pris en mauvaise part à cette époque), ceux en qui le langage des dieux s'incarnait...
Mieux, en Grèce antique, l'enthousiasme était manifesté durant certains... "mystères", ce qui renvoie à la prétendue qualité d'André Bouguénec, qui elle aussi prend alors un sens inverse et contradictoire, pour nous faire entendre insidieusement mais non moins réellement une accusation de sa parole.
Les "enthousiastes" sont ceux qui ne sont pas "sérieux", rationnels (le langage admis par tous, simple, puissant, etc.), délirant avec des mots qu'eux seuls comprennent, individuellement, dans leur.. égoïsme".
Autrement dit, les "enthousiastes" seront précisément les fruits à rejeter, les "lecteurs" non rationalistes, qui ne "rentrent pas dans les livres".
Pour comprendre comment une simple lecture peut vous dégouter de vous-mêmes, il faut comprendre le procédé linguistique de cette opération d'inversion des mots, quand les "lecteurs" spiritualistes "enthousiastes", arrivent à penser finalement : "je suis dans le mal", car je ne suis pas (du verbe "suivre") l'opinion générale (celle qui "vote" pour "celui qui")... Il est alors normal, comme individu isolé, qu'on me rejette, et par suite... que je me rejette moi-même du "futur", que mon "enthousiasme" finisse par me dégouter de moi-même, et qu'en conséquence, je le perde... (librement !!?), pour... partir (suivez mon regard).
Cette déprime concerne donc l'intelligence. Le "LECTeur" étant défini comme utilisant son intelLECT : celui qui "écrit au quotidien".
"Rentrer dans les livres", ayant alors le sens de destruction, d'une élimination pure et simple, pour se tirer de ce mauvais pas et se soulager de sa colère (impliquant rejet et tri)... pour votre "futur".
Les fidèles réels, eux, ne comprenant pas pourquoi et comment, peu à peu, leurs "écrits" sont remplacés par une "parole" nouvelle, appelant toujours plus de choix matérialistes, jusqu'à ce que la messe soit dite pour le spiritualisme, caricaturé en "folie" stérile, par le "groupe" des forts, prenant la parole avec brutalité pour tuer la langue des poètes, de ceux qui prennent le temps, n'ont pas peur du "temps".
Tout ceci étant soumis à la pression d'un temps décrit comme temps de transition, un "point" "crucial", expliquant aussi le "dilemme" final. En effet si le temps est resserré, de deux choses l'une : où vous admettez le nouveau temps tout de suite en abandonnant votre "enthousiasme" passé, c'est-à-dire vos recherches "stériles" puisqu'irrationnelles ("mystérieuses"), où vous choisissez de rester un réfractaire, et vous serez rejeté socialement..
Le débat d'opinions trouvant sa solution, en rejetant le "mystère" : incarné par celui qui "livre (terme judiciaire) en-Fin (à l'issue d'une dialectique) sa véritable identité (comme si "l'accusé" avait menti) avant de partir" (rejeté).
Tandis que : "JE" (c'est-à-dire Arnaud Mussy) "n'en dit pas plus"... pour le moment !
Quoi qu'on y fasse, le cerveau ne peut se défaire de ses propres mots, et se trouve alors en situation de sidération.
D'où c'est un "ami", qui va vous induire à "rentrer dans les livres", pour : les détruire.
"Rentrer dans les livres". C'est-à-dire dans une matière, pondérable, concrète, issue d'une pure théorie masquant ce but même : d'abord détruire le passé, puis le remplacer.
"Rentrer dans les livres"...
La solution "salutaire" pour le "futur" sera de "rentrer dans les livres", comme quand on parle du traitement à opérer pour se dégager d'une lourdeur (répétition stérile, folle : "écrire quotidiennement")... la renverser.
"Rentrer dans les livres" devenant la solution à la "crise", permettant alors un tri, une coupure d'avec le travail du temps, du concept et de l'attente.
Concevoir c'est réfléchir avant de "choisir", pressé par une urgence imaginaire. C'est comprendre avant... de voter et d'élire le futur législateur, qui pourra alors et à volonté : "en dire plus"... après... pour détruire le passé... qui l'a élu au nom d'André Bouguénec et de son "amitié" !
Rejetons celui qui nous a fait "perdre notre temps", ainsi que ses acolytes ("écrivains", appelés "écrits-vains" dans un autre propos d'Arnaud Mussy :... "et oserai-je dire "écrits-vains," s'il n'est pas lu avec le coeur !!". Ce dernier terme désignant l'art de détruire les personnalités avec... courage "même si ça fait un peu mal"). Le prétendu et "amical" courage du coeur est tellement proche de la cruauté, qu'une définition du mot "courage", demandé par Arnaud Mussy au Phare-ouest est: "Manifestation d'une fermeté excessive, d'une force cruelle, capable de blesser".
Voici comment quelques phare-ouestiens ont finis par "comprendre" (par pure induction/programmation) le sens de cette "amicale" équivoque : "rentrer dans les livres". Ce qui demandait du courage, puisqu'il ne fallait alors que détruire.
- Fabrice B. renia tout intérêt pour la lecture, au nom d'une "inspiration", d'une "intuition" supérieure, pour détruire le fonctionnement de notre Café Métaphysique. Après cela, ce fut le commencement de la fin pour notre projet. Ce même personnage devint vite un proche d'Arnaud Mussy dans Néo-Phare.
- Après le décès d'André Bouguénec, divers phare-ouestiens proposant des "planches", commencèrent à mutiler les textes d'André Bouguénec, sabrés, découpés, dénaturés au possible, résumés ou schématisés, appauvris à mort, mis en équations, comme on l'aurait fait pour présenter des idées au sein d'une entreprise à projet matérialiste.
- Pascal M., résuma Couple et alchimie en 2 pages, ce qui lui fut reproché par André. Toujours le même, ne parle aujourd'hui (2025) des archives et de leurs documents, que pour en tirer des chiffres, des classements, des nombres de pages, des prix d'impression... mais jamais pour en tirer du contenu. Récemment enfin : Pascal M., détruisant ma reliure du sator
- Albert C. réduisant les archives et bibliothèque d'André, à des "reliques".
- Rentrer dans les livres fut aussi mis en application par la destruction pure et simple de toute la bibliothèque d'André Bouguénec, méthodiquement et au nom de la "fraternité" - logique !, déchirée, divisée, puis dispersée aux quatre vents, et finalement détruite, vendue, ou oubliée, et même noyée ! Destruction initiée à l'instigation des proches d'Arnaud Mussy.
- Mais les ouvrages ne sont pas les seules archives visées, puisque les enseignements oraux ont eux aussi eu droit à leur traitement, telles les cassettes de réunion enregistrées sur fond de jeu vidéo de guerre. Ces cassettes ayant forcément été numérisées après l'arrivée d'Arnaud Mussy, puisque les enregistrements courent jusqu'à 1997. Une autre façon de "rentrer", non pas ici dans les livres, mais bien dans les propos d'André Bouguénec, par des "sons" (une certaine musique, un certain code !) de force et de destruction.
Tel fut le sens décodé de cette Opinions de lecteurs.
Evidemment, tous ces cas de violence contre le texte ici présentés, sont des états intermédiaires avant le rejet définitif et rapide - du moins après l'arrivée d'Arnaud Mussy, assumé de tous, mais furent et sont la preuve d'un cheminement bien concret, qui aboutira à la révolte pure et dure contre la recherche, contre l'intellect, contre André Bouguénec, qui nous a "fait perdre du temps", avec son spiritualisme stérile, "mystérieux", dont on ne voit pas les "fruits" immédiats, c'est-à-dire matériellement mesurables, dans leur "ampleur".
Ce qu'André Bouguénec répond à cette "opinion de lecteur"
André Bouguénec n'est pas, et n'a jamais été dupe, comme nous le montrerons dans quelque temps. Mais il nous a laissé libre de choisir. Car en dehors de la compréhension certes complexe, de ce trucage habile, les coeurs vrais, étaient à même de voir ce qui se passait, uniquement en se servant de leur yeux. Autrement dit leur bon sens.
Quoique notre enseigneur ne nous laissait pas non plus sans aide. Tout au long de cette présence maléfique, il nous soufflait comment utilsier nos sens.
Juste après la réception du premier courrier d'Arnaud Mussy, daté du 03 mai 1994, concluant par le slogan : "La France ne peut plus attendre", autrement dit elle a "perdu son temps", André Bouguénec nous disait en substance, dès le 31 mai suivant, entre autre, puisque toute la réunion ou presque traitait du temps et de ses fruits : "si vous êtes pressés pour faire quelque chose, vous deviendrez des cafardeux". C'est-à-dire des déprimés (pas enthousiastes !). Et personne ne vit le rapport entre ce propos insistant d'André Bouguénec, et la conclusion du courrier d'Arnaud Mussy, laissant, déjà, quelques phare-ouestiens songeurs, ayant des idées d'évolution "utile".
Plus tard, dans L'Ultime grand secret, puisque notre texte traite de l'insert d'Arnaud Mussy en cet ouvrage, pointons du doigt ce qu'André Bouguénec y "écrit" dans son "Avertissement", terme venant du latin advertere (« tourner, diriger quelque chose vers »). "Avertissement" ayant aussi pris le sens de "mise en garde", mais aussi "annoncer pour l'avenir". Le retournement d'un retournement, c'est une remise à l'endroit.
"La fin de ces Temps, annoncée, où la confusion, partout, se manifeste, devait recevoir les germes fructueux d'une formidable résurrection, et le dévoilement d'une définitive évolution totalement éclairée. C'était chose promise jadis. Heureux ceux qui, déjà, sont entrés dans une Vie qu'ils ignoraient et qui les fait naître dans une immortalité sereine et lumineuse.
Ne cherchez pas l'auteur, selon votre attention il est Présent en ces lectures, et vous ne serez plus seuls ni désemparés".
André Bouguénec
"Définitive évolution" est très clair et parfaitement opposé à cet "arrêt du temps" de la "parole", présenté à notre cerveau... "confus", ou dit autrement sidéré par ce programme digne d'une fin des temps, puisque répondant exactement à la définition du "Mystère d'iniquité", destiné à "tromper les élus eux-mêmes". Or, comment tromperait-on des "élus", sinon qu'en les faisant chuter par le vecteur de leur propre langage ?
On voit d'entrée de jeu, que le vocabulaire de l'opinion de lecteurs est repris : "présence" "lecture", "entrer" "ne pas chercher l'auteur" (car pas "parti")...
Etre désemparé c'est être coupé (dés-em-parer), retranché, en perdant ses moyens. Ce qui renvoie à l'action de sidération opérée par l'usage du double langage inverse, permettant de supprimer les gêneurs, par leurs propres mots et ceux de l'amitié, de les réduire tout simplement au silence.
"Entrer dans une vie", se mettant encore en opposition avec : "entrer dans les livres", dont le sens est mort, car la vie est infinie et globale, alors que les livres sont d'abord choisis, et donc aussi : à rejeter.
Cette "évolution définitive", qui "devait" venir mais comme "germe", nous laissant libres, puisque c'est une évolution par la "vie", irrationnelle, forcément, mais s'incarnant en nous par le langage évolutif en cette vie même, s'incarnant en chaque homme, contrairement au langage codé d'Arnaud Mussy, faisant taire ceux qu'il veut abattre, séparer.
Car "le Verbe, c'est la vie" St Jean. Par lui "l'évolution" n'est pas verrouillée sur un point-crise-événement. Ne rendant donc pas "définitive" l'évolution, mais tout au contraire, permettant, par cet engagement, de rendre définitif, la non-évolution de ceux qui seront désormais toujours soumis à "celui qui peut en dire plus". Cette promesse interdisant formellement tout "arrêt de la parole" sur un "instant" présent, un point de non-retour.
La conclusion de l'ouvrage cité est encore en rapport avec cet avertissement : "Mes amis, mes enfants, maintenant je vous dis "au revoir". Oh, pas ici sur cette planète, mais dans un Ailleurs que vous aurez mérité.
Cependant, je reste Présent en vous par mon Verbe "publié" et dans votre cœur. Là, où vous ferez naître l'Amour, la Bonté et Ma Lumière, Je serai avec vous, car Ma Tendresse vous est acquise."
Nous ne commenterons pas cette dernière citation, qui devrait d'elle-même faire sentir la vérité d'une affirmation de "présence" pour un futur "voir".