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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Un "esprit tordu et tortu", redéfinit le "non-temps" - Xeon

"Ce beau titre qu’ils avaient acquis, en s’appelant « sophistes », c’est-à-dire spécialistes de sagesse, est vite devenu et est resté jusqu’en notre temps synonyme d’homme retors". Jacqueline de Romilly, Les Grands Sophistes dans l’Athènes de Périclès

 

"Par expérience ancienne, j'ai insisté sur ma discrétion, mais peu à peu à mesure de mes exhortations à cette humanité complètement désemparée, de mes insistances sur les esprits leurrés ou confondus, le Verbe n'a pu s'empêcher de s'imposer avec une autorité qui en rappelle une autre. J'ai parsemé des allusions et des recoupements numériques et nominatifs qui incitent à deviner ce qu'il faut.." Avertissement, L'Ultime Grand Secret, André Bouguénec

 

 

 

A propos de non-temps et d'esprits tordus, 

Petite histoire d'une désinformation par le "non-temps"

Une formule largement usitée par Arnaud Mussy, est l'expression "non-temps", pouvant tout désigner et son contraire. Mais une fois que sa traduction concrète et fondamentale a été trouvée, elle apparait clairement partout.

 

Quelques exemples confirmeront son intérêt pour ce thème.

Tel ce propos localisant le non-temps dans l'astral, là où les êtres "sont dans leurs chimères" et où le rêve permet de faire, curieusement "la loi". A quoi André répondra qu'il y a, en astral ET du temps, mais surtout des temps différents, donc automatiquement : plus ou moins long, ET des lois.

Le Courrier de 2006 y fait encore référence, comme d'un lieu dont on peut "venir" ou "revenir". Nous ferons quelques renvois à ce texte.

Cf : scan de la première page du courrier

 

Enfin dans Satornet, on trouvera une formule désignant la même chose : "C'est donc ici l'ultime étape : te voici seul face à toi-même. C'est un instant magique empli d'Eternité !". 

 

C'est le sens déformé de ce "non temps" comme étant "sans temps", alors qu'il désigne en réalité "tous les temps", qu'André dénoncera comme typique d'une "torsion" effectuée par un esprit (issue d'un esprit tordu et tortu), lors de la réunion du 03 Mars 1995, par le propos suivant :

 

 

Propos d'André Bouguénec

Source

"Méditez et concluez vous-même, un archiviste s'impose, et pas n'importe lequel, pour redonner l'essentiel de la mémoire perdue. Secret ? Mystère ? Peut-être. Toujours est-il, avec un peu de bonne patience, et de la bonne volonté, qu'il n'est rien de caché, de secret, qui ne puisse un jour être découvert, percé à jour, comme on dit.

Quand les choses anciennes se heurtent, naturellement aux choses nouvelles, et vice et versa, un tampon de transition se forme alors de lui-même à la mesure même des forces qui s'affrontent. Et croyez-moi, en ce moment, elles sont de taille.

Ne cherchez pas de contradiction dans ces lignes. Il n'y en a pas. Prenez le temps nécessaire pour étudier ce qui vous est révélé.

 

Le sas est comme une toute petite portion infinie de l'éternité.

Bah, comme il est des esprits tordus et tortus, qui font semblant de ne pas comprendre, je vais moi aussi faire semblant. Semblant de croire qu'ils ne comprennent pas et m'expliquer un peu. Par ailleurs cela ne fera tort à personne.

C'est dans le choc du fini et de l'infini, du temporel et de l'éternel, de l'involution et de l'évolution, de l'avant et de l'après, de l'alpha et de l'oméga, que se forme le présent créateur et purificateur pour que naisse quelque chose de nouveau.

Prenez n'importe quel objet, ou n'importe quel être - j'insiste sur le "n'importe quel", il est à la fois fini et infini. Ce que vous saisirez ou voudrez faire saisir de lui sera défini par le mot fini ou infini, d'après la place qu'il occupe à vos yeux et à votre coeur dans le temporel ou dans l'éternel. 

Dans l'éternel, l'éternité, les choses et les êtres sont à la fois finis dans l'espace et infinis dans le temps. Dans le temporel, les êtres et les choses sont à la fois infinis dans l'espace et finis dans l'éternel. Comprenez bien cela, et n'allez pas penser que dans l'éternel ou dans l'éternité il n'y a pas de temps. Vous feriez une grosse erreur qui fausserait votre jugement et vous empêcherait de comprendre. L'éternel ou éternité contient tous les temps, comme l'Ophnar contient toutes les dimensions, comme Dieux contient tous les dieux (vous savez que ce Dieux-là c'est la Matrice Mère Suprême).

Paradoxe n'est pas contresens et l'éternité qui comprend, contient et est tous les temps est aussi obligatoirement un non-temps par le fait même. L'éternité est, contient et comprend tous les espaces, mais c'est aussi un espace nul. C'est l'Aïn soph hébraïque, le sommet des Séphiroth, le rien.

Ainsi, maintenant que vous avez assimilé cela, (point d'interrogation), vous comprenez pourquoi dans le sas qui va se faire sans anéantissement par une volonté extérieure à la présente vôtre, mais cette volonté n'exclue pas la vôtre, ni votre participation, collaboration active, bien au contraire. Voilà, je me suis quelque peu répété mais je pense qu'il le fallait.

 

Alors j'ai mis une note : un sas, ça veut dire "de soie", d'abord. En latin c'est seta, qui veut dire "poil rude", un tamis de crin ou de soie, pour éliminer tout ce qui n'est pas susceptible de traverser la mesure de la trame (TRAME, MATER). Partie entre deux portes étanches, les pressions étant différentes. C'est un passage. Celui qui ne fut pas sage ne passe pas."

03 Mars 1995 

 

 

"Ne cherchez pas de contradiction dans ces lignes. Il n'y en a pas. Prenez le temps nécessaire pour étudier ce qui vous est révélé."

La demande est parfaitement claire, comme appel à l'analyse et à l'étude longue, patiente, et non à l'intuition (l'outil des fainéants, attendant que leur cerveau produise la bonne image), faisant émerger une idée d'une éventuelle contradiction cachée ("ne cherchez pas") dans l'énoncé. Autrement dit, n'attendez pas un "eurêka" surprise, issu d'une procédure d'induction subreptice, masquée et naissant passivement dans votre "oeuf". C'est l'analyse et le travail personnels qui seront les seuls garants de la découverte du "secret" visé, logique, dès qu'on a compris le sens de son propos.

Tant pis pour les fainéants, attendant la vérité leur sortir des images mises en débat (grandeur ou petitesse par exemple), c'est-à-dire des mécanismes de leur cerveau. 

Ce procédé d'induction mécanique naissant ("chose nouvelle") d'un débat contradictoire ("quand les choses anciennes se heurtent..."), en prenant l'image du "sas" ("un tampon de transition"), dont l'issue serait une réponse issue des seules "tailles" du temps donné à trouver la solution au débat :

"Quand les choses anciennes se heurtent, naturellement aux choses nouvelles, et vice et versa, un tampon de transition se forme alors de lui-même à la mesure même des forces qui s'affrontent. Et croyez-moi, en ce moment, elles sont de taille."

Ces tailles seront entre autres celles du "temps" : temps long (patience, étude, recherches...) contre temps court : vitesse. 

Ces deux termes pouvant se conjuguer dans un terme à sens contradictoire possible (donc sujet à débat si on sait le manoeuvrer pour cela) : "non temps".

 

 

 

Le "non temps" 

C'est la dimension temporelle du "sas" : un lieu où un tri doit s'opérer, un "passage" de test : celui de la vitesse à répondre en tous débats (finis-infinis, etc.), mais dont le système de victoire repose sur la maitrise du débat sous forme de procès, jouant sur la peur de l'accusation, pour remporter la victoire. 

On utilise pour cela les mots portant les plus hautes valeurs. Face à elles, et la majorité (la "taille") qui les porte forcément (qui n'a pas une idée de "l'amour"), l'individu isolé est écrasé et sur de se taire. 

A l'issue de ce tri, les "restants" sont considérés comme "choisis", par un "arbitre", le "non temps", c'est-à-dire la vitesse enregistrée, comme critère de réussite, de "vérité" accouchée à l'issue du débat.

Cette vitesse ne résultant que d'une préparation à répondre, quand tous les mots-valeurs de l'ennemi à abattre permettent de le faire taire, quel que soit le sujet évoqué.

Pour cela il faut contrôler son système de noms, enfermés dans un tableau appelé "non temps".

 

Le non temps "c'est tous les temps". Si donc il est compris comme temps étendu, il prend le sens d'éternité. Mais s'il est compris comme "pas de temps", alors il devient le temps minimal donné pour décider, trancher de "qui est choisi" et "qui ne l'est pas".

Or temps minimal signifie forcément "sans temps" de parole. Et quand André nous dit que son "Testament" (l'arbitre ici est celui qui "teste" le Phare-ouest, par Arnaud Mussy), que son TESTament, dis-je, c'est tout ce qu'il a dit et écrit de tous temps, cela signifie que ce "testament" est le contraire de ce "non temps" de la vitesse, vanté par un Arnaud Mussy qui en "revient", pour nous dire de "vite" "basculer" dans le "non temps", et qui concluait son premier courrier par "La France ne peut plus attendre". 

Ce "non temps" signifiant "tous les temps" permet de comprendre la demande d'André Bouguénec : "il faut un archiviste", pour forcément, récupérer, traiter et connaitre les paroles et dits de tous les temps d'André Bouguénec.

Qui donc ne peut être le champion de la vitesse, Arnaud Mussy.

CQFD

 

Nous reparlerons de cet "archiviste" en toute fin de ce travail.

 

Le temps "sans temps" est le temps de la vitesse, du contrôle de tous les débats : "C'est dans le choc du fini et de l'infini, du temporel et de l'éternel, de l'involution et de l'évolution, de l'avant et de l'après, de l'alpha et de l'oméga, que se forme le présent créateur et purificateur pour que naisse quelque chose de nouveau."

C'est-à-dire autant de sujets mettant les individus en contradiction et permettant de créer des groupes, de les "tester".

Pour obtenir ce jeu de forces, le truc est de lancer des terreurs, d'imposer des pressions, par le truchement d'un discours pouvant être entendus selon deux sens contradictoires en même temps, mais décidable sur des questions de "taille", c'est-à-dire de quantité. "Taille" signifiant dimension, mais aussi coupure, retrait.

Lequel des deux camps a raison ? Pour le savoir, il faut demander un arbitrage, et qui sera le meilleur arbitre, celui qui, en toute innocence, aura lancé le débat, permis de "soulever la question" cruciale, celle du "futur" après André Bouguénec.

Donc son "testament", décrit selon un problème de taille, de majorité et de minorité, c'est-à-dire de force.

C'est tout le problème du pouvoir et sa solution, à savoir : comment une minorité peut contrôler une majorité.

Celui qui contrôle ces deux dimensions de cette "mesure", ou le fait croire ("n'allez pas croire que dans le non temps il n'y a pas de temps"), devient alors le maitre des deux auditoires possibles, attentifs à ces "mots" : l'auditoire spiritualiste et l'auditoire matérialiste. 

La force c'est quoi ? C'est de tordre les choses, de créer un "non temps" sans temps, tout simplement parce qu'il peut tordre le temps de la vie, le réduire ou l'allonger, par le jeu de son langage abstrait et totalement mathématisé, lui permettant de répondre à tous les sujets en un... temps record, quel que soit le dit-sujet.

Les réponses sont toutes prêtes car le "non temps" n'est que le nom du mot "système" et de l'anti-vie par excellence. Dans un système tout ce cohère et toutes les réponses sont déjà prêtes, à l'avance. Alors on peut être le plus fort.

Alors en cas de "débat" sur ces sujets, le maitre du "système" devient mécaniquement "l'arbitre" du débat. C'est-à-dire son "juge", celui qui décide, et in fine le chef des deux camps, par son langage, "empêchant de juger". 

Il détient le pouvoir.

 

Il suffit alors de parler les deux langages en même temps pour créer cette illusion : le fini et l'infini, le mécanique et le spirituel, pour trancher sur la solution mécanique, en toute innocence, c'est-à-dire la solution qui "tranchera", qui "taillera" dans le spirituel, pour paraitre "simple", et alors mathématiquement majoritaire. 

Le sophiste, maitre du "non temps" aura ainsi toujours le dernier mot.

 

 

Les faiblesses du cerveau

"Comprendre" et "prendre le temps pour comprendre", c'est faire travailler son esprit, son intellect, et ne pas se contenter des images qui émergeront de toute façon dans le cerveau.

En effet toute fonction de taille, de poids, de mesure chiffrée finira par émerger comme "intuition" dans notre cerveau et donc s'imposer comme "force" de "nouveauté" à qui ne veut pas faire fonctionner son cerveau ET son esprit (qui lui tend à aller vers le métaphysique et le divin).

A terme c'est forcément le langage du matériel et ceux qui le parlent qui sera la "clé", et cette clé aura retourné "retourné" tous les mots pour "ouvrir les portes du ciel", c'est-à-dire : en sortir, ne plus croire en la survie du corps métaphysique, mais au contraire aux lois de la force de la matière, qui forcément, deviennent celle de la mort du corps physique, ultime point final pour ces gens.

L'esprit au contraire est ce qui permet de faire des choix entre les deux. Car il est bien clair que la dimension matérielle doit être comprise dans notre programme spiritualiste, mais elle ne doit pas en être le tout.

Or le cerveau tendra naturellement à en faire le tout, car il détient toutes ces formes, depuis son enfance, et donc le réflexe de les "mesurer" rationnellement, dans le "fini". 

Si donc on ne cherche pas, c'est lui, c'est ce monde qui sera victorieux. Et donc le monde des chiffres, des lois de la "simplicité" géométrique, des "tailles".

 

Evidemment, en amont de cet usage de notre esprit, il y a le choix du coeur pour la vérité complète, la lumière. 

"Prenez n'importe quel objet, ou n'importe quel être - j'insiste sur le "n'importe quel", il est à la fois fini et infini. Ce que vous saisirez ou voudrez faire saisir de lui sera défini par le mot fini ou infini, d'après la place qu'il occupe à vos yeux et à votre coeur dans le temporel ou dans l'éternel. "

C'est d'ailleurs parce que la "vue" est complètement détruite que cette "erreur grossière" peut passer. Sans quoi elle serait vue, puisque grosse. C'est donc l'erreur issue d'une perte de lumière.

 

 

La fin du non temps, du "sas", c'est mort ou survie.

L'ultime point "temporel" de ce "non temps", de ce sas c'est la mort ou la survie. Tranchée par cet arbitre, forcément, pour que ce "sas" a double sens lui aussi, devienne un lieu de tri matériel, dont le "fin" mot sera donné par la force qui contraint systématiquement l'infini à se cadrer dans le fini, comme "mot". C'est donc que ce mot, et tout ce qui concerne l'infini sera perdant dans l'histoire. 

Cette contrainte étant exercée par une imposition du langage de la mécanique, pour traiter de l'infini. C'est donc que le maitre final, c'est le mécanique.

Si ce non temps est sans temps, alors la mort ou la survie sont décrétés sur le critère de la langue du pouvoir. Cette langue est la langue des mathématiques, des "tailles".

 

C'est le temps qui permet de "survivre" (le "non mort"), le lieu de l'élection, et "s'il n'y a pas de temps dans le non temps", c'est que cette survie peut être décrétée immédiatement, en laissant en vie, à l'issue de ce débat, ceux qui parlent la même langue que cet "arbitre", qui alors trouve un poids supplémentaire à son "argumentation". 

C'est donc le groupe, le nombre, la taille de ceux qui parlent le langage de la simplicité, qui se "comprend" en peu de temps, qui devient maitre de la situation, et de toute situation, puisqu'ils ont compris eux aussi qu'il faut pour gagner dans les débats, en être arbitre, être capable de maitriser tous les "temps" (fini et infini) de la langue.

Le passé sera le temps de la mort, de ce qui ne veut pas se faire "nouveauté", donc prendre son temps. Le futur sera le temps de ceux qui survivent.

Autrement dit les spiritualistes seront peu à peu évincés, pour laisser place aux matérialiste, qui à mesure qu'ils grandiront en nombre, adopteront la pensée de leur mentor : le juge suprême.

 

 

 

La "crise" pour épurer

Ce "non temps" devra être présenté comme une nécessité. De sorte à mieux faire admettre qu'un "juge" de notre langage, doit être nommé.

Qui dit "crise" dit "manque d'information". On ne peut pas se référer au passé. C'est donc celui qui parle les deux langues (celle du passé maintenant dénigré, obsolète - D'où "un archiviste s'impose") et celle du "futur", permettant la survie. 

On sait qui posait des questions sur le "temps" au Phare-ouest, et lançait des problématiques d'urgence liées à la crise. Dans des énoncés purement logiques, sans liens avec des réalités tangibles, et usant d'une grammaire du fini. 

Un choc, c'est une crise, du grec krei, signifiant crible, tamis, un creux temporel avant création de quelque chose de nouveau. Ce terme donna aussi "secret" : ce qui est mis à part.

Le mot "choix" est aussi significatif de jugement, de sélection. Ce "choc" qui nous "empêche de juger", nous dit André Bouguénec, empêche de faire des choix lucides. 

L'arbitre parlant ces deux langues, il sera forcément choisi pour trancher sur ce qui est à faire pour "sortir de la crise", c'est-à-dire du sas, en retranchant l'inutile (forcément associé au passé).

Il suffit alors de ramener les problèmes de l'Apocalypse à des problèmes matériels (guerres, débats permanents, y compris internes au Phare-ouest), pour se présenter comme celui qui fait sortir du conflit, avant même qu'on ait le temps de réfléchir à ses causes réelles.

Qui n'étaient que celles que le "juge" avait lui-même mis en place, par son double langage et la pression d'une décision à prendre, créant des débats incessants, et donc appelant à nommer un "juge" arbitre.

Evidemment il ne peut le faire en son nom. Il se servira donc de tout un tas de "causes" abstraites : amour, humanité, paix sociale..., qu'il maitrisera... ceci pour nous faire peur, ne pas oser le contredire, et "nous empêcher de juger".

 

C'est ainsi que sera détruit le cerveau logique de ses auditeurs :

- Par la destruction du principe de contradiction : deux sens contraires dans un même discours
- Par la destruction de la logique de causalité : perte du repère psychologique et scientifique du rapport cause-effet, en créant ce "point", impliquant l'impossibilité de se relier à un "avant et un après".

Ceci étant seulement possible par l'usage permanent, systématique et méthodique de termes strictement abstraits, comme le mot "non temps". Le fait qu'ils ne soient pas référés à une expérience immédiate, directe, permettant d'en faire pratiquement ce qu'on veut, dès lors qu'il est manipulé par des mains habiles.

 

"Non temps" vendu par un "esprit tordu tortu", qui en a retourné le sens (de l'infini vers le fini) dans le secret de son coeur, en cherchant à paraitre comme le meilleur conducteur en ce passage "critique", afin de nous faire adhérer à une religion totalement matérialiste (finie) dirigée par un mot abstrait, clé d'une pure théorie retournant tout notre langage pour ouvrir une "porte", mais en le conservant comme nom pour pouvoir en permanence demander, cette fois dans le concret, ce qu'il voudra. 

 

 

La dialectique du procédé : "faire semblant de ne pas comprendre"

"Quand on pose une question, c'est pour obtenir quelque chose de nouveau". Cassette G54 A, André Bouguénec

Chercher à comprendre pour créer un changement, c'est chercher à comprendre pour créer une nouveauté, elle-même issue d'une décision après un choix, un débat "purificateur.

Faire semblant de ne pas comprendre, c'est poser des questions. A la suite de quoi on a toutes les chances de paraitre informé. Et dès lors de devenir le décideur idéal en cas de crise.

Il faut alors chercher où se trouve l'information dans la réponse, elle-même guidée par la question, qui place systématiquement des éléments finis dans ses énoncés, de sorte à ce que les auditeurs eux-mêmes, en tirent des déductions finies. 

Exemple : "même s'il n'y a pas de temps en astral, quelles sont les limites du passage d'une âme en astral ?". 

Le message envoyé par la question à présupposé, devenant : face au changement de pouvoir, ne passeront pas ceux qui prennent leur temps.

Le non temps défini comme "arrêt du temps", se retourne alors contre ceux qui croyaient qu'il signifiait "éternité", grâce à la force géométrique de la notion de limite.

 

 

Langage et décision :

Un mot n'est jamais donné seul. Il est inscrit dans une logique et requière une grammaire. Ici, le contexte de l'expression est le débat
L'enjeu est alors de faire vaincre toutes les causes possibles, au nom de cet intérêt supérieur

Il faut aussi une grammaire pour ce "non temps" et mener ce débat.

On emploie donc un terme évoquant l'infini, mais greffé sur une structure grammaticale décrivant strictement un univers fini.

Un ancien sens du mot "retourner" est "débattre".

Le sujet étant un débat, son type même est le procès.

Le "choc" entre passé-futur, etc. est un choc de mots, de "raisons", dont la plus forte sera "décisive".

Dans son Opinions de lecteurs, Arnaud Mussy crée tout d'abord un point de non retour après avoir fait taire ("au point que"... "on ne peut plus rien dire"), dans le contexte d'une "époque cruciale". 

La raison du plus fort, dans le Courrier de 2006, c'est "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA" (la parole), en majuscules et dans un cube, s'opposant aux "contorsions du temps", seulement "évoquées" par un "André Bouguénec" "accompli un 16 décembre", qui ne fait que "venir" du "non temps", signifiant : il n'a pas la force, l'énergie nécessaire, pour effectuer le voyage révolutionnaire au complet. Il ne maitrise pas "tous les temps" comme noms.


Le moyen d'avoir toujours raison sur une majorité est ainsi acquis par la minorité de ceux qui maitrisent la technique du retournement de tout propos en son sens inverse, pour peu à peu le faire naitre dans les cerveaux, et faire alors naitre celui qui domine la raison, l'image la plus "forte" en capacité d'influer tout discours de cette assemblée.

Le pouvoir ayant alors trouvé la solution à son problème : comment une minorité peut-elle gouverner une majorité ? En lui subtilisant ces mots, puis en l'empêchant de s'en servir, en lui coupant la parole avec son langage même.

Exemple : "je reviens du non temps", c'est dire à la fois que le non temps est fini et infini, ce qui permet d'induire l'idée d'une géométrie matérielle, finie et définitive du "non temps" qui devient alors peu à peu autre chose, une forme forcément limitée par une autre, dès lors qu'on peut en "revenir", et commence à faire germer des idées de matérialisation de notre enseignement, de façon induite.

Cette contradiction même au sein d'un même énoncé se nomme "équivoque", et détruit la logique naturelle du cerveau, qui fonctionne selon le principe qu'un mot ne peut désigner deux choses contraires en même temps. Ceci pour notre confusion et ainsi empêcher toute réfutation directe et immédiate, et ainsi retourner tous les termes spiritualistes, portant à l'éternel, en matérialistes, sans que nous ne voyons jamais la logique de ce processus.

Le "non temps" fini, c'est le retournement de notre logique naturelle, sa destruction même et le principe de cette destruction.

 

Pour mettre ces idées dans la tête, il faut dire une chose et son contraire, en même temps, tout en rendant minoritaire la partie qu'on veut supprimer, et à l'inverse, majoritaire donc, la partie à conserver. Le cerveau fera le reste. 

C'est ainsi que le passé sera toujours traité par la minorité, mais aussi l'infini (devenant fini et réduit, sale, dégoutant, à écarter), l'éternel (dégradé en temporel et salit, rendu dégoutant, à écarter), l'évolution longue (commué en "égoïsme" et sali, dégoutant, à écarter), l'avant et de l'après (idem), l'alpha et l'oméga (idem), pour "que se forme le présent créateur et purificateur pour que naisse quelque chose de nouveau." 

Et une évolution nouvelle, c'est, au sens strict et parfaitement logique : une R'évolution.

 

Notons que la solution pour confondre Arnaud Mussy, nous fut donnée par bribes par André Bouguénec, impliquant cependant de prendre un risque, en cassant le "ron ron" de ce beau discours si puissant : 

Ceci en deux temps : 

- Affirmer "Si on prend ce que tu dis, on pourrait cependant entendre... le contraire de ce qui est dit en première évidence".

- Dès lors poser la question : "pourquoi cette contradiction ?"

Soit il gardera le silence, soit il répondra : cela n'a aucun sens ("vous êtes paranoïaques ! - je ne parle que d'amour")

Mais alors il faudra reprendre l'opération (par exemple en suivant le fil logique de ses propres réponses, et alors évoquer le sens du mot "amour") pour que le nombre de mise en évidence du double discours possible, finisse par devenir une démonstration.

Attendre la réponse.

 

 

Le "dégout" des retardataires

D'où l'appel au "sas", image de ce qui attend les "retardataires", ceux qui veulent "comprendre", cherchent la lumière.

Ils seront rejetés à l'issue de ce "sas" à mesures chiffrées, devant répondre rapidement à toute question, puisque mécanique, "simple".

S'ils ne "participent" pas de cette nouvelle religion matérialiste, décrite avec les mêmes termes que l'ancien spiritualisme, mais définis différemment. Ce petit détail étant évidemment caché, pour que le projet puisse avancer sans être contredit, sans débat. 

Si en effet, ce sens du "non temps" comme besoin de vitesse, avait été déclaré immédiatement, nul doute qu'il ne serait jamais passé. Mais en procédant par ce jeu d'équivoque, le nombre d'adeptes à pu augmenter progressivement, pour "épurer" (= décider) ceux qui petit à petit devinrent minoritaires : les tenants d'un spiritualisme requérant étude, temps long, analyse, mobilisation de l'intelligence... et non la pensée par de faciles images déterminées et chiffrées.

André précise alors justement qu'il n'est nul secret qui ne puisse être découvert : tout peut donc être "compris", quitte à devoir prendre du temps pour ce faire.

Celui "qui ne passe pas", c'est le "fou" (celui qui "n'est pas sage"), qui est "jugé" par ce "tamis", ce "sas" nouveau.

"Sas" qui sera le passage, la transition pour un changement de mentalité... mais selon notre coeur, nos gouts ou dégouts.

L'issue du "sas" disions-nous, devient la mort... sociale : le fait de passer pour un fou, pour ne pas être... efficace, égoïste, dégoutant le groupe et nous dégoutant nous-même, puisque l'on est alors amené à se dire : "si tout le monde le pense, c'est que..."

Conclusion, le "sas" de ce "non temps", c'est le guichet qui permet de terroriser les plus intelligents, par le biais de leurs propres repères (se re-TOURNANT contre eux-mêmes), et de faire passer les plus stupides, en cette "nouvelle" société inventée - une religion matérialiste, par un esprit TORdu et TORtu, qui reTOURne les choses, pour des "élites".

D'où le mot "tamis" usité à la fin, pour décrire le choix que cette "crise" inventée de toute pièce par des "esprits tordus", nous oblige à "trancher" et ainsi nous "séparer", pour pouvoir "passer", "survivre", "participer" et "avoir un futur".

Le "sas" n'est-il pas une sorte de "porte du ciel" ? Mais ce sera pour la fermer, et non pour l'ouvrir, pour dire à terme : nous n'avons pas besoin de spiritualité, puisqu'il suffit de calculer pour nous en "sortir", pour nous "libérer". Créons alors une religion matérialiste et "libérons-nous" des anciennes "croyances" qui ne nous plaisaient pas.

Ce re-TOUR-nement, ne sera, comme son nom l'indique, qu'une révolution (signifiant "retour") : celle du Phare-ouest.

 

Pour rentrer dans ce "NEO-Phare", dirigé par Arnaud Mussy.

 

Tel est le "secret" d'Arnaud Mussy, à découvrir : cacher des formes, des chiffres permettant de soumettre notre cerveau à établir malgré lui des mesures et des tailles, ceci dans tous ces propos pour forcer ce même cerveau de ses auditeurs, à "conclure" à sa place, et entériner ses propres souhaits, sans débat ! Immédiatement.

 

  

André Bouguénec demande de "prendre le temps"

Quand André Bouguénec dit qu'un "archiviste s'impose", exhortation introduisant son propos, il sollicite un individu capable de travailler sur le temps long ("prenez le temps qu'il faut"), pour un travail qui permettra de prouver, de départager, de signaler, et finalement, d'arbitrer.

C'est alors toute l'analyse, "pour comprendre", que vous venez de lire, qui devient la suite logique (temporelle !) de cette demande. Analyse qui sera lue dans le futur,

 

Des archives ne sont-elles pas destinées à être vues, en tous temps ?

 

Pourquoi André Bouguénec nous demande-t-il de "prendre notre temps" pour "comprendre"... sinon pour exhorter à la nécessité d'accepter un temps long de travail et d'étude, seule apte à comprendre ce système diabolique de mise en suspens de notre cerveau logique naturel.

 

André enseigna maintes fois la nécessité de "prendre son temps".

Prendre son temps :
- "Son [au Christ] grand signe est AREPO, car il s'insinue en rampant, à travers toutes les choses, les mots, les idées, les croyances. Il n'est la Rectitude que pour le coeur. Pour la vérité, il est la SPIRE, et il a tout son temps...!" Courrier à Jean Feugey
- pour étudier les symboles, ce qui sera pourtant le propre de ceux qui travailleront intellectuellement par "gout", dans le futur : "La notion de temps changera radicalement sur celle trépidante du XXème siècle. Toutes les appréciations de la Vie, faites de rencontres, de découvertes, d'enrichissement intellectuel, etc... se goûteront plus intimement et plus intensément en "prenant son temps". Charte de l'ECHRUN
- pour l'avènement d'un potentiel de qualité, car la Mère, "voulant de la qualité, a mis du temps (source)
- pour comprendre les équivoques porteuses de confusion (ici même).
- Et enfin en ce propos de réunion

Dans l'esprit d'André, la Charte de l'Echrun, c'est le programme politique du futur, du Verseau.

Aussi, cette demande de "prendre son temps", permet d'effectuer un test : qui ne peut pas le faire ne cherchera pas, n'analysera pas ce propos, et ne trouvera jamais la solution. Le tri se fait alors de lui-même, entre  :
- les matérialistes, ceux qui laissent leur cerveau "deviner", et qui rejoindront un jour ou l'autre Arnaud Mussy
- les tièdes et attentistes, qui ne se prononcent pas, mais louvoient entre les deux discours, tout en cherchant à se trouver une place
- et ceux qui cherchent, veulent comprendre le propos tordu d'Arnaud Mussy. Ceux-là seront rejetés par les deux camps du dessus. Les premiers par gout du pouvoir, et les seconds par peur de suivre un être aussi "dégoutant".

Inversement ceux qui voudront "comprendre" seront ceux qui répondront à la demande répétée d'André. Avec "un peu de patience" "Prenez le temps pour étudier ce qui vous est révélé".

Ce qui amène de mettre entre parenthèse ce qui n'est d'abord pas compris, mais sans perte de confiance, et par là sans oubli. A ne pas "choisir" sans avoir bien conçu.

Prendre son temps étant : participer de l'éternel, ce qui fait rentrer dans la classe de ceux qui sont "finis dans l'espace et infinis dans le temps" : les travailleurs, associant gouts intellectuels et applications pratiques, mais aussi évidemment la fidélité.

Qu'y a-t-il de plus "fini dans l'espace", que l'âme ?

 

Entre parenthèse, le nom grec pour "temps long", fut l'ennemi juré d'Arnaud Mussy au Phare-ouest.

Ce que le nom même : "NEO-Phare" créé en 2001, laisse comprendre comme signe de censure, de détournement du sens des deux mots : NEO et PHARE-OUEST : un "nouveau Phare-ouest"...

 

Ce NEO-Phare venant d'ailleurs après la création, en 2000, d'une collégiale, cette fois phare-ouestienne, que nous n'avons pas plus reconnu, ce que nous avons affirmé par un écrit.

Celle-ci avait pour "objectif général", et venant en conclusion de ses fonctions : 
- Rôle d'arbitrage et de conseil
- Rôle décisionnel, dont la liste se termine par : exclusion.

Collégiale qu'Arnaud Mussy a affirmé haut et fort durant son procès en 2002, avoir "faite".

 

Mais remontons encore le temps pour atterrir (c'est le cas de le dire), sur ce courrier de témoignage d'Arnaud Mussy, daté du 24 janvier 1995, annonçant à André Bouguénec son statut de "Fils et témoin". Ce courrier commençant par donner le statut des uns et des autres :  ""T'AIME-OINT d'un être comm'UN", puis incluant la formule :"dont je suis à présent autant le fils que l'humble témoin".

Le mot "témoin" signifiant originellement et législativement "arbitre"... Forcément à jamais, car "présent" puisqu'au nom de toute "vertu" abstraite comme "l'amour", le pouvoir peut +être détenu indéfiniment. Ou la majorité est dans le témoignage détenue par "l'amour" (et son porteur invisible, forcément, que personne n'oserait réfuter !), mis en balance devant un autre personnage, présenté selon une mesure de minorité devant l'arbitre mesurant les tailles, puisque réduit au "comme-un".

Encore un autre pour la route, avec ce Courrier antérieur, daté du 31 aout 1994, où Arnaud Mussy écrit une "lettre collégiale" à quelques uns, dont l'entête à allure de papier de justice crève les yeux, et annonçant dès le premier paragraphe le statut de cette "lettre collégiale" écrite "à l'attention de", comme étant le fait d'une "décision". Nous ne l'analyserons pas ici, mais on y trouve des jugements partout.

 

Le tout est de savoir conserver le secret de la méthode et de la produire en permanence, partout, en tout discours, en tout écrit, et même dans les gestes, le storytelling du quotidien, pour qu'à la fin le cerveau "pressé" par toute une série d'engagements silencieux de notre part, le cerveau dis-je, "choisisse" (!!!) de rejeter le réel, vu, pour lui substituer les inventions d'une TETE, comme "probabilité" d'abord, devenant avec le temps, "preuve" de "vérité".

 

 

 

Archiviste

"Un archiviste s'impose, et pas n'importe lequel". C'est-à-dire qui soit nommé selon des capacités et valeurs réelles, et non au hasard, par pure solution formelle, mathématique, pure "grâce" obtenue par une maitrise du langage.

N'importe lequel signifiant : de façon arbitraire. 

Pour des archives qui serviront alors d'arbitrage dans ces débats. Notamment ce qu'à dit André en préventions, sur cet "esprit tordu et tortu".

 

On se doute qu'il sera opposé au discours du temps court, qui tranche tout de suite sur des critères de "taille".

Les archives, c'est d'abord un métier, un travail. Elles sont le moyen de la fidélité de la mémoire, pour le plus grand nombre. L'archiviste ne travaille pas, ou pas seulement pour lui... Ou plutôt il travaille pour lui, pour les autres.

"Pas n'importe lequel", signifie : pas "élu" sur la base d'un raisonnement quantitatif, éliminant la qualité réelle, méritant cette tâche, parce qu'ayant travaillé dans la matière et les lois de l'incarnation. Cela s'appelle le mérite.

La qualité se crée avec le temps, puisque seul le temps permet de différencier les êtres, de les qualifier, de "choisir".

 

Le travail de l'archiviste est de collationner ce qui vient du temps, des temps pluriels de l'incarnation du Verbe, à travers les grands auteurs, philosophes, penseurs, érudits, observateurs... Ce qui selon les propres dires d'André Bouguénec sera le critère du passage.

« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette 'Diaspora' 'tra-issante' ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement.

Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : 'l'Intelligence-Royale-de Dieu', contre laquelle l'homme doit 'lutter', 'l'emporter' (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette 'Agartha' invisible, enfouie dans les profondeurs de la 'Terre', c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec

 

 

Les 144 000 sont ceux qui ont forcément la plus grande mémoire, puisqu'ils sont les premiers hommes (ils ont voyagé dans tous les espaces et les temps). C'est pourquoi ailleurs André en fait logiquement des archivistes.

"LE NOM DE TOUT (=144) s’est incarné (Verbum incarnatus est) lors de “l’implantation” des 144000 sur la Planète “Bleue”. Ils ont pris possession de la Terre et du Verbe en une Première langue que les Génies Semeurs extraterrestres leur ont apprise. Instruments inconscients du Verbe, les premiers humains et leurs descendances, devinrent à leur insu... les Archives célestes, ils étaient la famille Noé du Futur !" Entretien avec l'homme, André Bouguénec

Nouel = Noeud liant les temps anciens et futurs.

Noël c'est aussi le retour de la lumière. 

"C'est ainsi que "de Temps en Temps" d'un Temps à l'autre, l'homme se nourrit de ses Saisons et aussi de l'Envoyé du Temps, de Celui qui le domine, Dominus : le Seigneur du Temps : l'Alpha-Oméga ! La fin des Temps fait le noeud de tous, elle les croise. Ce Noeud cyclique, c'est le Nouel, le Noël qui noue la fin des ténèbres au lever de la Lumière" André Bouguénec, De temps en temps, in Entretien avec l'homme

 

 

Conclusion

Pour conclure avec une preuve de cette inversion-révolution : André Bouguénec écrivit qu'il vient du temps.

Donc pas du "non-temps", comme Arnaud Mussy l'écrira plus tard, dans son Courrier envoyé au Phare-Ouest en 2006.

Parce que "venir" du non temps c'est, par une spatialisation se formant immédiatement dans les cerveaux passifs, c'est s'en éloigner et par-là se réduire, disparaitre en "taille".

Papier libre, placé en première page du manuscrit d'André Bouguénec, Le Carré Sator

 

 

Ajoutons encore, pour le plaisir, cette petite anecdote de réunion, qui répond de façon nette à la "venue" géométrique d'Arnaud Mussy :

 

André avait un auditeur, dont il parle.

Arnaud Mussy demande si cette personne a eu des réactions.

André répond :

"Il écoutait. Ah si, il a demandé :
- D'où vous venez ?
- De moi."

 

 

 

Un texte d'André Bouguénec, parlant de coeur et de secret

Le secret de l'Initiation

Il y a des secrets, si secrets, que tout le monde les connaît... sans savoir que ce sont des secrets »

Le Secret ?! c'est le secret de Polichinelle-Et puis quoi ! "La Maison de Vie" pauvres compliqués, c'est La Terre, dans laquelle il faut faire entrer notre coeur.

« Cherchez et vous trouverez ! » Un secret ne se trouve pas, ce qui est pour l'homme, Dieu le donne.

Je vous ai écrit longuement, chers faux initiés ! Oui je vous ai "secrété" (mot que vous avez repris) des évidences, si évidentes qu'elles aveuglent votre vision trop imbue de vaines Glorioles.

« Le Secret de Dieu »    - 135
« Le Secret de l'Ange    = 135

c'est Moi qui les ai, et je ne les donne pas à ceux qui se croient "initiés", mais à mes "Petits", simple de coeur et ouvert d'esprit. Seul je peux SECRETER = 93 - parce que "LA SOURCE" = 94.

L'Initiation est partout et par Tout, dans la Nature et dans le Verbe.  Il n'y a pas de "secret" qui ne se découvre, puisqu'ils sont de faux secrets et conçus pour être trouvés, ET COMPRIS. Oui connaître un ou des secrets, est d'abord un égoïste et forcément un sectaire.

SECRET = SECTER

Mais il est un fait que la Connaissance ne peut s'élaborer que sur évolution de l'intelligence, que sur leçons progressives, et pas à n'importe qui. « Ne jetez pas les perles aux chiens ! »

Le premier et le dernier Secret de l'Homme, c'est son coeur. S'il ne l'ouvre pas, il peut chercher partout, sans cesse il se leurrera, il regardera mais ne Verra pas, il touchera mais ne pénétrera pas...

"Le Secret de l'Homme" = 162
    87    9    66
    c'est 1 Coeur (62)

Les VRAIS Secrets divins ne se découvrent pas, jamais, ils sont donnés à bon escient. Il y a des Mystères inviolables, ils sont "secrêtés" à quelques uns, aptes à les comprendre et à les Respecter.

A. B.