C'est le 09 Décembre 2000, soit peu de temps avant leur départ définitif du Phare-Ouest pour créer Néo-Phare, que les phare-ouestiens furent invités par les futurs sortant, à une "réunion informelle"... qui devait pourtant, nous disait-on dès notre arrivée : "conditionner la suite".
L'informel devant ainsi devenir tout à fait... formel, informé. Premier brouillage des cerveaux, pour une première préparation des esprits.
Nous eûmes personnellement l'intuition que cette réunion nous fournirait des informations sur les procédés indécelables à l'audition, employés par le mentor du dit-groupe, pour conduire justement à une certaine finalité. C'est pourquoi nous fîmes le choix de noter le maximum des propos qui allaient y être tenus.
Ce témoignage est important car il constitue un exemple unique de la façon dont les membres de Néo-Phare se comportent vis-à-vis des opposants à leur groupe, ce type de réunion n'ayant jamais été enregistré, et les réunions qui se tenaient en Néo-Phare, ne comportaient que des membres dociles.
Disons tout de suite que nous n'oserions inventer quoi que ce soit quant à son contenu, dans la mesure où ce jour nous étions environ une douzaine de personnes, qui pourraient nous contredire aujourd'hui, même si la mémoire leur manquerait sans doute après tant d'années. Il est cependant possible qu'un enregistrement existe, car nous savons que les gens de Néo-Phare enregistraient beaucoup de choses.
Nous proposons d'abord la lecture des propos à l'état brut, de ce pur tissu de slogans.
Les propos des membres du futur Néo-Phare seront précédées de l'abréviation "NP". "PO" désignera ceux des 5 Phare-Ouestiens.
Notre analyse présentée à la suite des propos, sera encadrée par des crochets [ ].
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PROPOS BRUTS :
NP : « Mettre les choses au clair ce jour ». « C'est ici, autour de cette table, qu'il faut s'exprimer », « Ce qui conditionnera la suite », « l'avenir ».
NP : « Il faut aller au bout des choses, même si ça fait un peu mal »
NP : « S'oublier pour bâtir en commun ».
NP : « Ne plus réfléchir pour soi ».
NP : « Ce que je crois est plus important que ce que je suis ».
NP : « Se faire mal »
NP : « Croire en un certain état d'esprit pour le Phare-Ouest.
NP : « Le « coeur à coeur » est une perte de temps. »
NP : « On peut se tromper d'objet. Faire des choses à l'extérieur. C'est un prétexte. Il ne faut pas oublier que notre objectif commun est la fraternité ».
NP : « Qu'est-ce que devra être le Phare-Ouest demain ? »
NP : « La transparence, au-delà des différences, de la sensibilité »
PO : « Le Phare-Ouest est bâti sur les sept ouvrages d'André Bouguénec, la fraternité/tolérance. Il faut faire des choses selon les objectifs du Phare, selon ses connaissances, en faire profiter les autres. Faire progresser les autres. Etre témoin, divulguer. Comment intégrer les nouveaux venus ? Les personnes qui écoutent ?
NP : « Quel est l'objectif qui transcende les autres objectifs ? Le plus pressé. »
NP : « L'échéance est 2001. Je ressens un objectif personnel et commun.
PO : « Peu importe l'échéance ».
NP (agressif) : « Il faut se donner les moyens ! »
NP : « Pas facile à vivre. Avoir des attitudes d'effort pour « dire » des choses ». « Aller au-delà de ce qu'on ressent pour le but commun. Pas fait avec plaisir. »
NP : « Avec cet objectif commun, on est sûr de l'intention ».
NP : « Il faut suivre la logique de Dieu, ce qui permet d'anticiper sur les erreurs de forme, car on se dit : je ne m'agrippe pas sur les erreurs de forme. »
NP : « Jésus prend ses disciples pour des moins que rien – Car il savait où il allait »
NP : « Objectif commun », « objectif », « projet commun », etc. etc.
NP (agressif) : « Dire si l'on n'est pas d'accord, et ne pas noter ! »
NP : « Quelqu'un qui dit : 2012 au lieu de 2001 n'est pas d'accord avec moi, donc il n'est pas “dans l'Esprit“. Ça veut dire “je ne suis pas acteur“. C'est un problème, un manque de foi ».
NP : « S'inscrire dans l'urgence. Aller vite. Vite se transformer. Prendre une décision efficace. »
NP : « Ceux qui ne croient pas en 2001 seront balayés par eux-mêmes »
PO : Ici nous intervenons, critiquant la "vérité" de la supériorité numérique exclusive.
NP : « Peu importe le nombre, quand on a la sincérité ».
NP : « On est affecté des critiques des autres, parce qu'on n'a pas confiance en soi. Il faut avoir la simplicité pour dire ce qui ne va pas, la spontanéité »
NP : « Si on se dit : “c'est l'autre qui est méchant“, c'est notre égo ».
NP : « Le privilège des groupes, c'est le partage. On progresse vite. »
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On nous dit qu'il faut "dire les choses", "même si ça fait mal", puis "être acteur". Traduisons ce programme en sens inverse : il faut être un agitateur, pour créer un débat de parole, et appeler la conclusion, "qui fait mal".
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NP : « mettre les choses au clair ce jour ». « C'est ici, autour de cette table, qu'il faut s'exprimer », « ce qui conditionnera la suite », « l'avenir ».
[Puisque c'est ici et maintenant ("ce jour") qu'il faut s'exprimer, c'est que la date de prise de parole doit "compter", pour établir une expression, celle d'un "tour" de table, amenant déjà une restriction et un facteur de pression, sur notre pensée.
Cette "expression", ce n'est qu'une pression. Celle de devoir décider, en décrétant une réduction des possibilités sur un temps et un espace ponctualisés et définitifs.
Toute mesure quantitative s'exprimant dans une certaine unité. Ici, ce sont les dates. La parole est alignée sur la fonction temporelle qu'on pourra en tirer, pour ceux qui à partir de ce point, auront un avenir, et les autres.
Ponctualiser la parole sur un point, permet de quantifier toute réalité humaine, alors que nous sommes censés parler spiritualité. En réalité nous ne traitons que de problèmes parfaitement matériels, sans même nous en rendre compte.
La "convivialité" est le leurre "amical" de cette "table ronde", permettant de nous faire baisser la garde.
Tout l'art de la manipulation étant de relier, de croiser le vertical (la valeur spiritualiste), avec la valeur horizontale : la géométrie, les mathématiques de la matière.
Notre cerveau entre dans la confusion et nous invite à baisser les barrières, alors même que nous sommes arrêtés par l'effet de surprise : la réunion informelle devenant tout à coup : capitale ("c'est ici que..."). Puisque "mettre les choses au clair ce jour", etc., va "conditionner" une "suite". Aura donc des "conséquences" géométriques inévitables avoir un futur, ou pas.
La peur est l'épée de Damoclès, permanente, du pouvoir, puisque ce "point" est maintenant forcément, déployé partout. Personne ne nous le dit. C'est notre cerveau qui fait le travail pour Arnaud Mussy et ses "acteurs" : ceux qui agitent et agissent vite, car ayant accepté eux-mêmes de se soumettre à cette pression, ce pouvoir demandant de décider, mais qui décidera finalement à la place des autres, car lui seul aura toujours la solution aux problèmes qu'il a eut le soin de poser au préalable.
Bref, nous sommes aussi pris par surprise, et toute surprise prépare le chemin d'une nouveauté.]
NP : « Il faut aller au bout des choses, même si ça fait un peu mal »
[Aller au "bout des choses", c'est parler pour de bon un langage qui veut s'imposer à nous, c'est aller au bout de la "raison" qui domine tous les propos "exprimés" ce jour, toutes les opinions.
La "raison" sera l'argument le plus tranchant et le plus fort, qui coupera la parole de tout le monde, après que les prémisses de l'argument final, aient été admises de tous, par le truchement des mots de notre langue naturelle.
Aller au bout des choses c'est mener le tranchant des mathématiques cernant l'homme, jusqu'au bout. Ce que seules les mathématiques savent faire, car ses concepts peuvent englober tout et tout le monde, dès que l'homme a été chiffré comme une matière.
Son "expression" "autour d'une table" en un temps et un espace finis, tombent justement dans cette définition. Le temps lui-même ayant été spatialisé par l'horloge, qui tourne.
Les mathématiques appliquées à notre parole, nous qui sommes croyants en l'infini et l'éternité, ne pouvant que "faire mal", en réduisant tout notre subtil, pour nous forcer à nous brancher sur un modèle parfaitement matérialiste, alors même que nous pensons être en terrain de "langage" commun, ami.
Or, ceci fut fait dès notre arrivée, par le décret d'un rapport entre le "jour", la "table" et la "parole", dont le "point" devient le point de départ d'une axiomatique nouvelle ("qui conditionnera le futur"), ce qu'on peut appeler une "table"... rase, annulant toute notre histoire, notre passé concret, ce que nous avons vu de nos yeux, ce qui faisait de nous un être dans une lignée réelle, une continuité.
Désormais l'échange n'est plus qu'une diatribe d'expressions, de mots, de ce que nous entendons.
La géométrie, ses images, arrive alors, pour dessiner un "point" final logique, à présent posé, hors réel : un "bout" des choses. Cette "intention" est dessinée dans notre tête, géométriquement... pour nous obliger, justement, à créer notre propre géométrie intermédiaire, quoi que nous pensions, même si elle manque de clarté.
Le raisonnement final, mathématique, apportant la conclusion de cette image floue dans notre tête, ne pourra être apporté que par celui qui en connaissait les prémisses claires.
Ce qui permettra aux mots d'être les moteurs même de notre propre compréhension géométrisée des "choses", et de nous faire rentrer, déjà, dans la preuve mathématique de la conclusion. Par celui qui tranche et décide à la fin, qui va "au bout des choses".
L'axiome fait rentrer toute parole dans ce système. Et la parole, c'est tout l'homme, tout son sentiment.
Ce jugement, sera énoncé ainsi : "ceux qui ne croient pas en 2001 seront balayés par eux-mêmes". L'urgence et l'accélération pour se faire chiffre soi-même, sera la conclusion d'un jugement posant la nécessité mathématique d'avoir peur de la mort, et de demander protection au pouvoir, à condition de s'égaliser sous la coupe du maitre des vitesses : "le privilège des groupes, c'est la vitesse, on avance vite".]
NP : « S'oublier pour bâtir en commun ».
[Le mot "pour" signifie "au nom de". "S'oublier" au nom de l'amour, est la première étape d'une mise en condition. L'amour deviendra plus tard une "raison" pour se retrancher soi-même. Préparant la "raison" supérieure finale : "Etre balayé par soi-même", "même si ça fait mal".
C'est-à-dire faire germer en soi l'idée (par amour, ce que personne ne saurait rejeter sans craindre de commettre une faute grave) que l'homme n'est plus qu'un chiffre, qui doit "accélérer" pour "participer" d'un "groupe", celui qui va avoir peur de la mort, "au nom" de l'amour.
Voilà comment placer un premier axiome, par les mots du "coeur", d'un raisonnement final, totalement dénué de toute âme.
Le présent permanent d'un "oubli de soi", pour appliquer maintenant concrètement, ce qui sera accepté par la conclusion de celui qui, toujours plus hardi que les autres, saura manier et croiser le vertical et l'horizontal : "l'amour" (le vertical) et le tranchant (horizontal) des mathématiques pour vous faire vous "oublier", vous noyer dans une unité, donc une égalité, mais dominée par une présence (indicatif) protectrice, acceptant une dissymétrie en ce qui concerne le pouvoir invisible mais accepté, son jugement omniprésent pour bâtir en commun.
Car pour batir, il faut un guide.
Le mot "commun" n'apparait pas moins de 6 fois dans les notes prises ce jour. C'est la grande supercherie de "l'unité", permettant d'englober tous les partis, toutes les prétendues "epxressions" libres. De sorte que même l'opposition, les réfractaires, rentrent dans cette logique, sans s'en rendre compte.
Ceci par la maitrise complète de l'art de l'équivoque, permettant de faire passer tous les axiomes, nous enfermant dans la conclusion finale, qui nous tombera dessus et que nous admettrons, sans que nous comprenions pourquoi.
Alors que, si cette proposition avait été amenée dès le départ, nous serions partis en riant de la folie du dictateur qui la prononce.
Entendant cela, nous en admettrons déjà la possibilité, la probabilité, et tout le jeu de la pression permanente, permettra de transformer ce "probable" - cette croyance - en "vérité" mathématique.]
NP : « Ne plus réfléchir pour soi ».
[Réfléchir, c'est analyser. Il est alors parfaitement logique, après la mise en axiome de notre "âme" que nous n'ayons plus la possibilité de réfléchir, de penser à partir d'un reflet de notre réalité. Si tout est mathématique alors que nous parlons de l'homme, son emploi ne peut plus être qu'hors sol, ne plus correspondre à la réalité d'une mesure cohérente, visible, comme elle le serait si nous parlions de la simple mesure d'une table (ce qui est confirmé par "c'est ici, maintenant, autour de cette table", que notre parole, etc.").
Dès que l'on parle d'une façon uniquement, communément mathématique, en traitant l'homme par ce langage, on ne peut que le mutiler de lui-même, ce qui s'exprime dans ses propres mots, comme le mot "amour", devenant le seul poids d'une mutilation, c'est-à-dire d'un sacrifice de soi.
"Ne plus réfléchir pour soi", c'est se réfléchir par cette "parole" nouvelle, venue d'un autre.]
NP : « Ce que je crois est plus important que ce que je suis ».
[Confirmé par cette répétition, en quelque sorte, de devoir uniquement croire en des axiomes, puisque désormais, le langage des mesures de la matière, plaqué sur notre seule vie intérieure, ne peut plus être l'outil d'une information nette, claire, concrète, mais au contraire d'une pure désinformation.
Que ceux qui "savent", car "présents", pourront manier à l'envi puisque le mental est désormais complètement confus.
D'où : il y a un rapport de masse, "d'im-portance", donc de poids (quantité), entre cette "croyance" et "ce que je suis".
"Ce que "je suis" est le poids faible opposé à l'opinion avant conclusion.]
NP : « Se faire mal ».
[répétition, voir plus haut]
NP : « Croire en un certain état d'esprit pour le Phare-Ouest.
[Toujours "croire".
Certain" pour une "certitude", une autre manière de brouiller l'esprit, justement, avant changement.
"L'esprit", nous l'avons dit, c'est l'intention. La "fin" (qui justifiait les moyens).]
NP : « Le coeur à coeur est une perte de temps ».
[La nature de l'accusation montre encore en quoi le "coeur" est aligné sur une fonction "temps", et sa "perte", issue d'un calcul.
Le coeur, c'est la préférence, l'opinion, ce qui fait "plaisir", nous l'avons dit plus haut. Et c'est ce qui devra peser pour dominer les assemblées, tétanisées à l'idée de devoir s'opposer à celui qui revendique ce "coeur", et s'en fait le propriétaire le plus zélé.
D'où ce Tartuffe, nous dit : Le "coeur à coeur est une perte de temps. Pourquoi ? Parce que la conversation de coeur à coeur n'a pas pour objectif de vaincre l'adversaire et de dominer sur son opinion. Au contraire, c'est un partage d'opinions.
Or le pouvoir n'a qu'un but : dominer les assemblées.
Dans le coeur à coeur, l'échange concret, il est impuissant, et même il le fuit, car alors il révélerait son vide, le fait que les termes qu'il emploie n'ont aucune substance, ne représentent rien de réel.
La "perte de temps" présentant alors l'image géométrique d'un recul, par rapport aux "présents". Donc d'un rejet..]
NP : « On peut se tromper d'objet. Faire des choses à l'extérieur. C'est un prétexte. Il ne faut pas oublier que notre objectif commun est la fraternité ».
[Nous parlions de procès d'intention. Nous y rentrons maintenant à plein. Par ailleurs celui-ci suit la même procédure de géométrisation de la parole, menée "à l'extérieur", et réduite à ce critère.
On est "écarté" dans les mots, car on y fait des "choses" : un tel réfractaire est hypocrite ("c'est un prétexte"), et devrait déjà être en voix de se dégouter lui-même, puisqu'accusé par ses propres valeurs, détournées par ce langage géométrique : il n'est pas dans le "commun", car le "commun" a seulement une signification "bonne" quand il est appliqué à "l'intérieur".
Appliqué à "l'extérieur", c'est le "mal".
On peut noter ici comme l'esprit, l'intelligence est tordue à souhait, par ce même procédé de mathématisation de l'esprit, quand il est de bon sens qu'aller vers l'extérieur, c'est précisément élargir le commun.
C'est justement ce qui empêche l'accusé de penser, cette double signification possible des mots. Ne pouvant alors répondre à l'accusation (par un simple effet de sidération, le cerveau ne pouvant décider de quoi on lui parle), il admet, et commence à s'auto-détruire, au nom même de ses propres valeurs, simplement nommées par pur intérêt de pouvoir.
Par ailleurs, l'accusé fuit, il est hors la "fraternité", le "commun".
Mieux : il "oublie", se "trompe d'objet". Il est "désorienté", là encore dans les mots.
Mais "oublier" c'est aussi être oublié. Car plus dans le "présent". Il s'éloigne, est rejeté.
Cette désorientation reprenant la topologie de l'éloignement, qu'elle soit nommée par la "fuite" ou l'écartement, l'éloignement dans le passé, le dessin mental est toujours le même.
C'est le sens du "bouffon de l'univers", comme Jérémy Trossais était nommé dans Néo-Phare, et qu'on décrivait sur la base des visionnages de vidéos enregistrées dans la secte, comme paraissant "désorienté" - comme les mots-images répétés, finissent par créer les idées, ils finissent par susciter l'action, la probabilité se transformant peu à peu en "vérité", pour produire, faire naitre la "chose".
Qui travaille et crée des réunions dont le coeur à coeur est un des principes, est donc en fait "calculateur", il ment, son âme est sale, il est de "mauvaise foi", hypocrite...
Car lui ne cherche pas le pouvoir.]
NP : « Qu'est-ce que devra être le Phare-Ouest demain ? »
[Là on commence à demander à envisager la conclusion, le "bout des choses".]
NP : « La transparence, au-delà des différences, de la sensibilité ».
[La transparence, c'est l'aveu d'un devoir de mutilation de soi.
Le chiffre n'est-il pas le contraire de la sensibilité, qu'il faut supprimer ? Il devient l'autorité de celui qui parle par lui, s'assurant toujours d'être caché derrière les mots, n'être qu'une "chose", "personne".
Quand l'âme n'est plus que calcul, le chef est celui qui calcule le plus vite. Donc le plus abstrait, le plus vide et le plus dénué de sentiment. C'est à dire aussi le plus cruel.]
PO : « Le Phare-Ouest est bâti sur les sept ouvrages d'André Bouguénec, la fraternité / tolérance. Il faut faire des choses selon les objectifs du Phare, selon ses connaissances, en faire profiter les autres. Faire progresser les autres. Etre témoin, divulguer. Comment intégrer les nouveaux venus ? Les personnes qui écoutent ?
[On retrouve ici ce qui était demandé par André Bouguénec, se fonder sur le réel, la situation telle que nous la voyons, et correspondant aux voeux historiques d'André Bouguénec.]
NP : Quel est l'objectif qui transcende les autres objectifs ? Le plus pressé ? »
[Pour couper l'histoire, la "transcendance" est alors évoquée. On revient dans le monde de l'imaginaire mathématisé d'un "objectif" "supérieur". Si on ne nous faisant pas rentrer en permanence dans un monde où seules les notions abstraites peuvent être maniées, on ne pourrait pas créer le chaos voulu.
On retrouve la même logique : C'est L'objectif - général, majoritaire - qui "transcende" (est géométriquement supérieur) LES objectifs - particuliers, minoritaires -. L'objectif le plus pressé, quand le temps est pressé, c'est de ne pas mourir, "sauver son âme", d'avoir un "futur", et pour cela de vite signer, en oubliant le passé, et ceux qui veulent y rester.]
NP : « L'échéance est 2001. Je ressens un objectif personnel et commun. »
[L'âme est à présent située sur le "chiffre" de "l'objectif", un autre chiffre.
Ce chiffre n'est-il pas relatif à "ce jour", qui "déterminera la suite" ?
Par contre : Gaffe ! notre interlocutrice, n'ayant sans doute pas suffisamment bien appris son script, usât de quelques termes honnis : "Je", "Personnel", et pire : "ressentir"... Alors que la loi, tranchant par le recours au chiffre, doit toujours paraître, justement, "IMpersonnelle", être dite par le représentant de "la volonté générale", le "commun".
Nous ne savons pas à quelle amende - du fait de cet éloignement de la "chose", elle a pu être soumise après notre départ. Mais nous savons qu'elle fut souvent mise à l'amende par la suite, et même en le demandant elle-même. "S'oubliant" pour le "commun", elle aussi sans doute.]
PO : « Peu importe l'échéance ».
[Justement ici un membre du Phare-ouest va instinctivement recadrer les choses en interdisant la nécessité d'une décision finale fournie par un simple chiffre. Nous ne sommes pas maitres de la géométrisation du temps, issue d'un axiome, un "point", permettant par la suite d'échaffauder toutes les théorèmes, par nous-mêmes.]
NP (agressif) : « Il faut se donner les moyens ! »
[Logique alors qu'on revienne aux "moyens", permettant d'aller, en conclusion de la théorie : "au bout des choses", à la fin de l'axiomatique.]
NP : « Pas facile à vivre. Avoir des attitudes d'effort pour « dire » des choses.
[ici on trouve l'invitation à appliquer l'agitation, en son propre intérieur. Ce qui prouve que cette demande est infinie. Même les "acteurs", agitant les têtes des autres, ne "comprennent" jamais vraiment la finalité réelle, dé-finitive du pouvoir. Eux-mêmes sont soumis et furent soumis à des jeux théâtraux (des "acteurs"), d'agit-prop intérieure, où se charcutant tous l'âme entre eux, "s'oubliaient pour le commun". On retrouve tout cela dans les psychodrames et autres méthodes "pour dire des choses", et ainsi conclure à un besoin de se défaire d'autre chose, "se faire mal". Le "coeur à coeur" par exemple, "contre-salutaire", "perte de temps".]
NP : « Aller au-delà de ce qu'on ressent pour le but commun. Pas fait avec plaisir. »
["Pas fait avec plaisir"... mais pour qui et de qui parle cette personne ? Sinon de lui-même.
Le "ressenti" est encore écrasé par la supériorité géométrique de cet "au-delà" "commun", en détruisant toute réalité venant des sens : le "ressenti", car la logique de ce discours doit rester abstraite, pour rester toujours tordable et permettre que ces "débats" mis en scène, puissent finalement être contrôlés par le plus fort.
Le maitre des chiffres, lui, ne ressent rien, puisqu'il a su aller "au-delà des différences, de la sensibilité".]
NP : « Avec cet objectif commun, on est sûr de l'intention ».
[Celui qui ne suit pas cet objectif, a de mauvaises intentions. Ce qui permet, sur la base d'une pure abstraction, sans ressenti, juger celui qui est hors de cette "intention", de "l'esprit".]
NP : « Il faut suivre la logique de Dieu, ce qui permet d'anticiper sur les erreurs de forme, car on se dit : je ne m'agrippe pas sur les erreurs de forme. »
["Errare humanum est, perseverare dialocum". La question étant : pourquoi ces prétendues "erreurs" "de forme" (le pouvoir tranchant ne saurait prendre de pincettes, puisqu'il est "au-delà" de la "sensibilité"), pourquoi donc ces "erreurs" persistent-elles ? C'est qu'elles sont évidemment un système.
La logique, c'est le langage. Celle de "Dieu" est à "Suivre", pour pouvoir "suivre" la logique des spiritualistes, et de fil en aiguille, les amener du contrôle du temps, au contrôle de la mort, de la mutilation maximale.
Comment s'opposerait-on à un tel saint, ne parlant que de "commun" pour nous "sauver" ? D'où, on ne peut que conclure à des "erreurs de forme". On se dit : Bon, il tranche, juge et rejette, mais tout de même, il est au "service" de "Dieu"... Là encore le cerveau ne peut décider. Et la comédie peut continuer.
"Suivre", c'est aller d'un point à un autre. C'est exactement "seconder". Ce propos est mathématique, et mène "au bout des choses", du pouvoir absolu quand il est fondé sur l'abstraction de tout "ressenti".
Plus on sait décoder cette logique, ou plus on croit le savoir, plus on monte haut dans la possibilité de manipuler les autres avec leur propre langage. Le plus fort à ce jeu, étant le chef, qui n'avoue jamais la dernière étape de sa méthode : la mathématisation de la langue du coeur.
C'est précisément cela, mutiler l'âme par le chiffrage de ses concepts. En les chiffrant, on coupe la moitié du cerveau de l'auditeur, afin qu'il ne reste plus que le cerveau mathématique à la fin, mais parlant toujours de "coeur". Comme nos propres politiques sont proches...
Quand tous les mots de notre vocabulaire ont été mathématisés de la sorte, toute l'âme est mécanique, et elle se chiffre elle-même sur des visées, des "idées" délirantes, totalement abstraites du monde réel mais toujours justifiées par les chiffres.
Comme celle qui excuse le mal qui nous est fait, devenu le "bien" parce que décrit comme un "futur" et un "commun", une "fraternité", etc.... autant de notions abstraites au sens général arbitraire, dont on pourra tirer ce qu'on veut.]
N-P : « Jésus prend ses disciples pour des moins que rien – Car il savait où il allait »
[La logique de Dieu conduit, forcément, à Jésus, son "fils" unique.
Mais la parole de Jésus "passe" en l'homme, parce qu'elle dit le Réel au moment donné. Elle n'est pas conditionnée pour être comprise, à la découverte d'un secret, donné par un pauvre humain, et limitée à ceux qui "comprennent" ce code.
C'est tout le contraire d'un langage codé mathématiquement, uniquement accessible à une "élite" qui aurait "compris" "ce jour" "autour d'une table", pour "conditionner" un "futur" "commun".
"Jésus" - autorité et prête-nom utile - est informé : il "sait" ce qu'il fait quand il "mène" ses disciples... qu'il méprise. S'il sait "où il va", c'est parce qu'il "intervient" dans les débats. Alors il peut leur parler comme à des...
En même temps, l'habile Arnaud Mussy se sert du nom de Jésus pour le retourner contre Jésus... Par ce propos, il va amener à penser que Jésus pourrait poser un problème. Et qu'il peut amener mieux : une protection.
Là encore, le cerveau est aux prises avec une chimère : faut-il suivre "Jésus", ou notre futur protecteur ?
De la même façon, dans l'émission télévisée, où il fut invité par Bernard Tapie, Arnaud Mussy dit : "Vous n'auriez pas misé un kopeck sur Jésus" (une quantité). Et encore dans son entretien au Télégramme : "Je suis Jésus. J'assume". De sorte à laisser passer l'idée que "Jésus" n'était pas si amical que cela, et ainsi préparer son "regret" et le rejet définitif de "Jésus" dans la tête de son entourage, pour, tout de même, avoir mieux.
Ce mieux passant par un concept mathématique irréfutable, comme toujours. Véritable langue de la conclusion.
En permanence, le discours d'Arnaud Mussy est équivoque pour rester probable, créateur de chaos: il permet ainsi de faire passer une idée, de la faire se développer tranquillement dans les têtes, puis de conclure par un chiffre plus fort que celui des autres, qui forcément, ne sont pas maitres en la méthode.]
NP : « Objectif commun », « objectif », « projet commun », etc. etc.
[ad nauseam...]
NP (agressif) : « Dire si l'on n'est pas d'accord, et ne pas noter ! »
[Cet impératif s'adressait à nous, "notant" ce que vous lisez actuellement. Notre parole accusée par sa faiblesse : "dire et ne pas noter". Autrement dit : nous avons peur, la parole étant la clé de l'accusation. La parole et jamais le réel.]
NP : « Quelqu'un qui dit : 2012 au lieu de 2001 n'est pas d'accord avec moi, donc il n'est pas “dans l'Esprit“. Ça veut dire “je ne suis pas acteur“. C'est un problème, un manque de foi ».
[Encore "dire". "Dire 2001", c'est être un acteur, autrement dit un agitateur d'esprits.
2012, c'est le futur lointain, de celui qui ne tranche pas, parce que sa parole est "lente", "faible" : "quelqu'un qui dit...". Quelqu'un, c'est "impersonnel", signe d'éloignement.
C'est : "ne pas avoir la foi" dans les axiomes, qui réduisent le temps pour créer l'idée d'un "présent" permanent de la part de ceux qui ont le contrôlent. "Dire 2001", c'est juger sans cesse.
"L'esprit" est une zone géométrique spatiale : il faut être "dedans". Qui n'est pas "dedans" est "dehors", rejeté du groupe et de cet "Esprit" géométrique.]
NP : « S'inscrire dans l'urgence. Aller vite. Vite se transformer. Prendre une décision efficace. »
[Confirmant cette petite métaphore topologique, on nous dit bien, tout de suite après : "d'aller vite". "Décider". C'est-à-dire : parler, selon un critère de temps rapide, concentré, "présent" pour juger.
Inscrire signifie "signer", et est un synonyme de "inclure", ou encore "comprendre" au sens de s'incorporer géométriquement dans un ensemble, un concept mathématique. C'est le contraire de s'exclure.
C'est toujours la même peur du rejet qui devient l'argument permettant de mettre la pression pour rentrer dans le "groupe", qui a signé pour être protégé. Comme un certain "peuple" a signé un prétendu "contrat social" justifié par un théorique "état de nature", pour demander protection contre sa liberté, ce qui justifiât la terreur pour mettre en place ces très sacrés "Droits de l'homme". C'est toujours au nom du "commun", de la "République une et indivisible", qu'on peut massacrer son prochain, sans qu'il n'y comprenne rien.
Le salut étant alors de s'inscrire dans la logique du pouvoir, et lui demander protection, contre "moins de liberté".
Cette inscription montre aussi comment la personne doit devenir un signe mathématique, n'être plus qu'un élément de langage. "S'inscrire" dans une unité de temps "l'urgence".
C'est alors participer du pouvoir : "prendre une décision efficace".]
NP : « Ceux qui ne croient pas en 2001 seront balayés par eux-mêmes »
[Alors la terreur peut jouer à plein.
Rions un peu : Il suffit d'imaginer ce qui se serait produit en nos esprits si Arnaud Mussy avait dit cela en arrivant au Phare-ouest, ou dans son premier courrier de 1994... Il ne serait jamais venu. Mais en 2001, il a pu créer Néo-Phare, en retournant la moitié du Phare-ouest vers lui, et en faisant taire l'autre moitié, sidérée.
Ce sont les "minoritaires", "dégoutants" (de la poussière, du déchet), qui comprennent par eux-mêmes qu'ils doivent se taire, dégager.
Plan B : Ce projet ayant échoué, c'est Arnaud Mussy qui dégagea pour créer sa secte.
La poussière n'est-elle pas également l'image de la mort ? "Tu es poussière...".
Le verdict est l'annonce d'une situation finale inéluctable, et décidée par le chef, pour nous montrer qu'une hiérarchie dans le pouvoir existe bien malgré "l'égalitarisme" affiché du "contrat".
Notons ce fait capital : ici, pour la première fois, c'est Arnaud Mussy qui parle, d'un ton tranchant.
C'est celui qui "sait" ne sera pas, lui, dans la "croyance", mais la dominera : il résoudra le "problème", aura la parole de conclusion, ira donc : au bout des choses, sans oublier en même temps d'impressionner ses protégés, devant toujours sentir l'épée de Damoclès, se mouvoir au-dessus de... leurs TETES.]
PO : Ici, face au jugement final, nous intervenons, critiquant la "vérité" de la loi par le nombre, donnant de la force à la parole, et servant à impressionner.
NP : « Peu importe le nombre, quand on a la sincérité ».
[Alors va revenir le procès d'intention.
L'agression du nombre (la "forme") est diminuée, par la "sincérité" de l'agresseur, un autre terme... très relatif.
La "sincérité", c'est le coeur et sa hardiesse, le fait d'écraser les autres avec la mise en avant permanente de son "coeur".]
NP : « On est affecté des critiques des autres, parce qu'on n'a pas confiance en soi. Il faut avoir la simplicité pour dire ce qui ne va pas, la spontanéité »
[Qui se sent rejeté ne l'est que relativement à ses problèmes personnels, mais pas à cause d'une agression réelle. Il devrait donc avoir mauvaise conscience.
Il se ment à lui-même et en tire une attitude de fuite personnelle, non motivée par la recherche du "but commun". Il n'est pas "simple" comme un chiffre, ce qui lui permettrait de rentrer dans "l'action" de "ceux qui disent ce qui ne va pas".
Or, critique Néo-Phare, n'est-ce pas précisément "dire ce qui ne va pas". Mais appliqué à la personne qu'il faut abattre, "dire ce qui ne va pas" ne signifie pas la même chose, la "critique" devenant de facto, et ce par définition géométrique, un "problème", de "confiance en soi".
Quand Néo-Phare, à l'inverse, "dit ce qui ne va pas", c'est très bien, puisque fait "pour le commun.
C'est le jeu permanent de la double définition qui permet de déprimer la victime en la détruisant sur la mise en cause de ses propres valeurs, en l'amenant à en déduire sa nullité, le fait que ses "valeurs" à lui, ne sont pas celles, admirables, de celui qui ne se sert des mots que dans le seul but de l'abattre, de le déprimer, de lui faire perdre tout enthousiasme, afin in fine de se rallier à ceux qui "comprennent", "vont au bout des choses," et, étant "acteurs", participent (en partie seulement), du pouvoir de subjuguer et de détruire les autres, en retournant leurs propres valeurs contre eux. En les "balayant par eux-mêmes"..]
« Si on se dit : “c'est l'autre qui est méchant“, c'est notre égo ».
[Le procès d'intention continue, et forcément, va en déduire une situation en ce qui concerne la "parole" de l'accusé, maintenant, en paranoïa. Il "SE dit". Autrement dit il se parle à lui-même, mais pas aux autres, il ne "convainc" pas.
La victime est jugée uniquement sur la valeur de sa parole, son "expression"... Si... (donc) c'EST...
Rappelons que la parole, c'est tout l'homme, et son sentiment.
Conclusion dont on voudrait que le paranoïaque s'affuble, finissant par douter de lui-même : "C'est sans doute moi qui... me disant..."
L'homme est pécheur par ses mots géométriquement minoritaires ("c'est l'autre" = l'autre catégorise : le groupe, ceux qui "comprennent" le message codé), non son être.]
NP : « Le privilège des groupes, c'est le partage. On progresse vite. »
["Le privilège des groupes, c'est la vitesse", digne d'un discours électoral.
Ou l'art, comme toujours, de croiser les valeurs verticales, et l'horizontalité du chiffre, de la vitesse, pour réduire les temps et donner de la valeur aux seuls présents, qui savent, et "vont au bout des choses" (plus vite que les autres, forcément, "perdant leur temps" avec le "coeur à coeur").
Le "partage", c'est cette prétendue égalité, cette croyance qu'on "partage" un secret, alors que chacun a sa propre idée dans sa tête, et qu'un seul tranchera en réalité sur chaque question.
Tout simplement parce que la vérité mathématique implique son extension et sa compréhension par tous. Un chiffre est le concept le plus facile à comprendre, et permet de conclure sans réfléchir. Celui qui en manie la langue sera en fin toujours victorieux dans les débats.
Tous ces mots : "commun", "fraternité", "coeur"... sont les variables d'un algèbre, qui peut être traduit à tout moment par le plus malin de tous, en un "futur" concret. Là est la véritable conclusion de toute cette théorie imaginaire : inventer.
On est passé de la "réunion informelle", où "tous s'expriment", à un procès contre les isolés, inégalitaires. Mais son principe abstrait et géométrique était déjà dit : "aller au bout des choses", comme un slogan (politique).
D'où, on est passé de l'égalité aux privilèges, sans que personne n'y voit. Mais "privi-lège", cela signifie : être premier devant la loi. En tous cas c'est ce qu'ils "croient" tous.
Le plus con, qui sait toujours qu'il a du coeur, sans besoin d'aller voir plus loin, se sent le plus fort, dès qu'il s'en empare pour terroriser celui qui "n'a pas de coeur", "a des prétextes", est en somme : "égoïste".
Sous couvert d'un mot : "partage", laissant croire à un système égalitaire et "convivial" : "autour de la table" - il faudra bien que tous s'alignent sur une conclusion : "2001". Hors toute réalité
En effet le pouvoir n'aime pas l'intelligence, car elle propose des solutions non conditionnées par le chiffre, multiples, diverses, riches, etc, tout simplement parce qu'elle tient compte autant du réel, des choses, que des mots.
Et quand elle use de mathématiques, ce n'est pas pour calculer l'homme, mais l'univers à la rigueur. L'intelligence, c'est justement de connaitre les limites du chiffre. Sans quoi c'est le chiffre qui détermine l'homme (un homme mutilé), et sa traduction inéluctable en n'importe quoi.
L'intelligence du coeur, appelé encore "bon sens", c'est l'art de juger à la fois des choses et des mots.
Ce qu'André Bouguénec appelait la lumière : "tout ou rien", car n'acceptant aucune mutilation de soi pour "comprendre".
D'où, toute conclusion de ce type, non réduite à un chiffre, peut ouvrir sur une nouvelle question. Dans le cas contraire, c'est impossible, c'est la fin de la pensée.]