Le 09 Décembre 2000, soit quelques jours avant le départ théâtralisé d'Arnaud Mussy du Phare-Ouest, les réfractaires au changement demandé par ce même personnage, furent invités à ce qui fut annoncé comme une "réunion informelle", en laquelle ses dévoués amis seraient présents. Seuls quelques-uns de ces réfractaires s'y rendirent, dont nous-même. Ce qui nous mettait en minorité de nombre par rapport au "groupe" formé par Arnaud Mussy et sa clique.
"Réunion informelle" mais qui curieusement : "devra mettre les choses au clair" pour "conditionner la suite", lancera un ami d'Arnaud Mussy au moment des embrassades. Chacun étant à ce moment en conversation avec son interlocuteur, il fut bien entendu impossible de réagir à cette injonction cruciale, lancée dans le brouillement des bla-bla caractéristiques de tout "amical" accueil, et permettant de sidérer le cerveau se trouvant aux prises avec une contradiction logique : "mettre au clair" signifiant précisément : rendre formel.
Nous avions personnellement décidé d'y récupérer par écrit, le maximum des propos tenus, persuadés que pouvant ensuite être analysés, ils nous seraient utiles un jour, lisibles à tête reposée.
C'est pourquoi ce rapport constitue un exemple unique de manoeuvre mise en place en amont d'un échange ("informel" !) par ce groupe, manifestement toujours habile à l'oral, grâce à des procédés impossibles à comprendre pour un cerveau normal, du fait de la vitesse des échanges verbaux, "exprimés" en réunion.
Cet enregistrement-surprise empêchant alors nos hôtes de revenir en arrière en cas de préparation antérieure. On peut dire en ce sens que ces notes constituent une "prise sur le fait".
On verra comment le déroulement de la "réunion informelle" suit bien un processus parfaitement millimétré, où chacun des "acteurs" tient son rôle, au point qu'on a l'impression d'avoir affaire à des machines parlantes, dont la vitesse est justement un des paramètres, puisque la dernière de nos notes fut celle-ci : "Le privilège des groupes, c'est le partage, on progresse vite". Et qu'y partage-t-on ? Ce qui est annoncé en introduction : Un langage, une "expression", "autour d'une table" : dans un débat.
Vite s'exprimer dans un débat, c'est aussi vite conclure, et vaincre l'adversaire.
Disons tout de suite que nous n'oserions inventer quoi que ce soit quant à ce rapport, dans la mesure où ce jour nous étions environ une douzaine de personnes, qui pourraient nous contredire aujourd'hui, même si nous savons que la mémoire leur manquerait sans doute après tant d'années. Il est cependant possible qu'un enregistrement existe, car nous savons que les gens de Néo-Phare enregistraient beaucoup de choses.
Nous proposons d'abord la lecture des propos à l'état brut.
Les propos des membres acquis à Arnaud Mussy, majoritaires en nombre, seront identifiés par l'abréviation "NP" (pour Néo-Phare, qui n'existait pas en tant que tel à ce moment).
"PO" désignant les propos des 5 réfractaires présents.
Notre analyse personnelle, présentée à la suite des propos, sera encadrée par des crochets [ ].
***
PROPOS BRUTS :
NP : « Mettre les choses au clair ce jour ». « C'est ici, autour de cette table, qu'il faut s'exprimer », « Ce qui conditionnera la suite », « l'avenir ».
NP : « Il faut aller au bout des choses, même si ça fait un peu mal »
NP : « S'oublier pour bâtir en commun ».
NP : « Ne plus réfléchir pour soi ».
NP : « Ce que je crois est plus important que ce que je suis ».
NP : « Se faire mal »
NP : « Croire en un certain état d'esprit pour le Phare-Ouest.
NP : « Le « coeur à coeur » est une perte de temps. »
NP : « On peut se tromper d'objet. Faire des choses à l'extérieur. C'est un prétexte. Il ne faut pas oublier que notre objectif commun est la fraternité ».
NP : « Qu'est-ce que devra être le Phare-Ouest demain ? »
NP : « La transparence, au-delà des différences, de la sensibilité »
PO : « Le Phare-Ouest est bâti sur les sept ouvrages d'André Bouguénec, la fraternité/tolérance. Il faut faire des choses selon les objectifs du Phare, selon ses connaissances, en faire profiter les autres. Faire progresser les autres. Etre témoin, divulguer. Comment intégrer les nouveaux venus ? Les personnes qui écoutent ?
NP : « Quel est l'objectif qui transcende les autres objectifs ? Le plus pressé. »
NP : « L'échéance est 2001. Je ressens un objectif personnel et commun.
PO : « Peu importe l'échéance ».
NP (agressif) : « Il faut se donner les moyens ! »
NP : « Pas facile à vivre. Avoir des attitudes d'effort pour dire des choses ». « Aller au-delà de ce qu'on ressent pour le but commun. Pas fait avec plaisir. »
NP : « Avec cet objectif commun, on est sûr de l'intention ».
NP : « Il faut suivre la logique de Dieu, ce qui permet d'anticiper sur les erreurs de forme, car on se dit : je ne m'agrippe pas sur les erreurs de forme. »
NP : « Jésus prend ses disciples pour des moins que rien – Car il savait où il allait »
NP : « Objectif commun », « objectif », « projet commun », etc. etc.
NP (agressif) : « Dire si l'on n'est pas d'accord, et ne pas noter ! »
NP : « Quelqu'un qui dit : 2012 au lieu de 2001 n'est pas d'accord avec moi, donc il n'est pas “dans l'Esprit“. Ça veut dire “je ne suis pas acteur“. C'est un problème, un manque de foi ».
NP : « S'inscrire dans l'urgence. Aller vite. Vite se transformer. Prendre une décision efficace. »
NP : « Ceux qui ne croient pas en 2001 seront balayés par eux-mêmes »
PO : Ici nous intervenons, critiquant la "vérité" de la supériorité numérique exclusive.
NP : « Peu importe le nombre, quand on a la sincérité ».
NP : « On est affecté des critiques des autres, parce qu'on n'a pas confiance en soi. Il faut avoir la simplicité pour dire ce qui ne va pas, la spontanéité »
NP : « Si on se dit : “c'est l'autre qui est méchant“, c'est notre égo ».
NP : « Le privilège des groupes, c'est le partage. On progresse vite. »
***
NP : « mettre les choses au clair ce jour ». « C'est ici, autour de cette table, qu'il faut s'exprimer », « ce qui conditionnera la suite », « l'avenir ».
[Analyse et présentation générale
Telle fut l'injonction qui initiat cette prétendue "réunion informelle", devenant de façon surprenante : "capitale", impliquant des conséquences, relativement à notre "expression".
Mais au sens administratif, une réunion informelle est censée s'organiser "spontanément" (hum...)
Le mot "informel", équivoque, préparant l'arrêt de notre pensée, car ce lieu d'expression "sans forme", informant sur une neutralisation de notre "expression", devenait un lieu de joute d'opinions, devant pourtant déboucher sur une conclusion ("aller au bout des choses"), devenant l'opinion du plus fort en gueule, et non plus la vérité.
Ces "conséquences" seront issues d'un débat en assemblée, quand tous se croient "égaux", "autour d'une table", de manière, après avoir présenté une crise, une peur ("2001"), à imposer le fait de l'urgence à se sauver d'une mort possible, imminente.
Comment être sauvé ? Non pas en évitant, justement, de chercher à "sauver notre âme", comme il est demandé au chrétien, mot pour mot dans l'Evangile, mais "en mettant les choses au clair" prenant alors le sens de conclure scientifiquement. On nous dira en termes équivoques, comme toujours : « S'inscrire dans l'urgence. Aller vite. Vite se transformer. Prendre une décision efficace. »
C'est-à-dire, puisqu'il y a crise, des mesures exceptionnelles.
Ce que nous acceptons par notre silence, imposé par cette sidérante invitation "amicale", permettant déjà de comprendre ce que sont ces "acteurs", prônant l'action... mais seulement "à l'intérieur", par peur de "2001", et pour pouvoir y survivre.
"A l'intérieur", c'est-à-dire avec nos propres mots.
Cette personne, invisible, "acteur" "humble", disons "transparent", sortira du bois pour conclure après cette pression par le chiffre. Elle aura le dernier mot, le plus fort en chiffre, en imagerie géométrique, le plus cruel aussi pour dire : « Ceux qui ne croient pas en 2001 seront balayés par eux-mêmes ».
"Par eux-mêmes" car les faibles, à exclure, seront exclus par le retournement de leurs propres mots, contre eux-mêmes. Ces mots leur "prouveront" (mais par le truchement de l'intervention des "forts") leurs mauvaises intentions, la saleté intrinsèque de leur âme. Quand les forts seront dans la seule pureté de l'action. Mais au nom des mêmes mots. Le truc est imparable pour obtenir le silence et s'emparer ainsi, mot après mot, de tout notre langage. "2001" sera de cet ordre.
La "foi" des méchants sera "mauvaise" par définition, ce sera pour eux le procès d'intention, alors que la "foi" des bons, des "acteurs", sera définie comme la bonne foi, la sincérité. Ce sera en fait celle qui les rendra crédibles dans leur rôle d'acteur.
Ce qui permet déjà de comprendre comment le "groupe" progresse si "vite"... à récupérer de nouveaux adeptes. Il suffit pour ce pouvoir, de savoir mêler habilement deux types de langages en même temps, puis de faire la surprise, en tranchant pour la version de la force, comme pour cette "réunion informelle", que les uns prendront pour une réunion amicale, et les autres, un procès.
Ceux qui, à la fin, calculent au plus haut et au plus large, instantanément, devenant de facto les décideurs du camp de la force, mêlant habilement le temps scientifique de l'urgence des forts : "2001", conçu comme "croyance", donc impossible à réfuter : « Ceux qui ne croient pas en 2001 seront balayés par eux-mêmes ».
Pourquoi "2001" ? Arnaud Mussy ne croit pas au 2001 des phare-ouestiens, mais il ne fait que se servir de ce mot, dont la définition réelle, dans son code, est le lieu matériel du débat utilitariste, du "procès". C'est de ce mot pris dans nos textes, depuis l'intérieur, qu'il pourra le plus facilement agir sur nos cerveaux.
Le plus habile, c'est le seul qui dans cette géométrie voit à la fois en "largeur" et en hauteur" pour encercler le prévenu : NP : « Ceux qui ne croient pas en 2001 seront balayés par eux-mêmes ». Le plus calculateur tranchera, "balayant" (vu de haut et en largeur) les "poussières", vues et classées, que sont les "égoïstes", rejetés par le fait même de leur manque de "foi" dans ce code.
Ce lieu n'est que l'analogue géométrique et inverse (ou l'infini comme mot (comme "croyance") définira en réalité un terme arrêté, fini ("2001"), afin que le "sas" soit sans échappatoire possible. Etre "balayé" est une image géométrique, mesurable.
Les "poussières" ne passeront pas le "filtre" ("balayés par eux-mêmes"), selon les conséquences de leur choix d'incription pour "l'avenir", ils n'auront donc pas de "futur", ne "survivront pas".
Le procès en mauvaise foi, le "procès contre l'esprit" est le procès d'intention contre ceux qui s'opposent à la loi des chiffres, impossible à réfuter.
La forme et le nom du "sas" ne sont pas choisis au hasard. Ce terme a un sens proche du mot "crise", évoquant la nécessité de devoir "décider", alors que le mot "croyance" renvoie nettement à "opinion".
En résumé, ce "sas" local est un poste de passage pour qui saura parler, pour qui détiendra le langage le plus "clair", donc le langage des formes simples, de la géométrie, de la quantité, pour trancher, clarifier par le langage le plus fort qui soit : celui des chiffres : une date dans un programme de passage du sas.ant le masque du phare-ouestien lambda, pour mieux nous embarquer dans ce "groupe", maitrisant cette langue codée.
Les "rapides" seront les "acteurs" : ils auront des "privilèges" (signifiant "droit privé"), grâce à la maitrise des mots de leur ennemi, chez lesquels ils auront su s'infiltrer, où ils seront mêmes déjà présents.
Le mot "2001" assurera au pouvoir (dont l'usure est le problème), un potentiel de renouvellement sans fin. Car ensuite ce sera "2002", etc., puis tel mois, tel jour, et même telle heure (Ex : Arnaud Mussy se servira de "l'heure de la Mère").
La "convivialité" est le leurre "amical" de cette "expression", permettant de nous faire baisser la garde, et de retourner toute révolte, contre nous-mêmes. Ne serions-nous pas "égoïstes" si nous refusions ces "mots" "d'amour" ? Alors nous "votons", nous nous "inscrivons".
Voilà comment le langage de l'amour se retourne contre ceux qui croient au sens des mots, bernés par ceux qui ne croient qu'au pouvoir des mots.
Notre cerveau, confus, nous commande de baisser la garde, exactement comme s'il avait affaire à un virus, et nous admettons la "décision" des "acteurs", de ceux qui sont "à l'intérieur".]
NP : « Il faut aller au bout des choses, même si ça fait un peu mal »
["Aller au bout des choses", dans un contexte d'expression, c'est... ne plus parler, au nom de nos propres mots, c'est amener nos "mots" à provoquer le silence, quand la conclusion de leur sens a été donnée par le plus fort des meneurs d'opinion.
C'est donc capter la parole des autres, en acceptant que les mots soient, de nature, vides de sens en eux-mêmes, permettant alors qu'ils deviennent propriété exclusive de celui, le plus fort en gueule, qui aura su se les accaparer.
C'est apprendre à parler, avec les mots du chef. Donc se taire soi-même, intimement, tout en tirant parti des mots du chef, qui par cet "échange", pourra vous amener à la "survie" après "2001".
"Aller au bout" de ce système de dévoration des mots, "même si ça fait un peu mal", c'est se taire contre la promesse du salut.
"Même si ça fait (un peu ?) mal", amenant la demande d'un sacrifice : celui de son sens de l'infini réel. "Avoir mal" c'est se mutiler de quelque chose, pour rentrer dans le fini, la limite, mais avec les mots de l'infini, dont on s'est emparé (de l'intérieur), de sorte à pouvoir parler à ceux qui croient encore au sens réel des mots, et tombent, par exemple, dans le piège de l'équivoque du mot "informel", qui après la caresse, deviendra le mot d'une force pour imposer une forme, hiérarchiquement plus élevée que les autres.]
NP : « S'oublier pour bâtir en commun ».
[Le mot "pour" signifie "proportion". "S'oublier" au nom du "comme un", c'est se situer dans une géométrie, LE langage qui force la preuve, en ressemblant à la réalité, tout en la tordant un peu, discrètement, puis en fixant définitivement cette torsion sur un nouveau sens possible.
La proposition suivante reprendra cette logique. Etre A "pour" B, c'est être A (minoritaire, particulier sans nom) en fonction de B. renvoyant à un verbe à l'infinitif (telle un slogan politique : "bâtir en commun"), qui pourra tout permettre, y compris le sacrifice de son langage naturel ("même si ça fait mal"), pour redéfinir le mot "unité", comme simple tout, duquel on va tirer des ensembles, des classes, faire un "tri", dont les places seront prouvées par cette même géométrie.
Le salut pour ceux qui participent de cette "unité" d'agissants, d'efficaces dans le monde de la matière, le balayage pour les autres, qui subissent le procès d'intention en "mauvaise foi", prouvée par cette même géométrie.
Celui qui réfléchit, pense, mesure et n'accepte pas cette logique, autrement dit celui qui considère qu'il peut faire des erreurs, et revenir en arrière, mais aussi travailler pour continuer à évoluer, est le fautif. Il est "hors" le commun, le "comme UN".
Le mot "commun" n'apparait pas moins de 6 fois dans nos notes prises ce jour. C'est la grande supercherie de "l'unité", permettant d'englober tous les partis, car parlant tous les langages, pour en retrancher un à la fin, en nous sidérant au moment du verdict puisque nous pensions avoir affaire à des amis.
Nous penserons alors : "à situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles". Ou encore : "L'amour doit parfois être fort"... Et ceux qui ne veulent pas de cette logique ont peut-être des "croyances" douteuses... Ainsi le petit jeu probabiliste peut se développer tranquillement et aboutir. Surtout quand un groupe uni, parlant un même langage (puisque ses propres membres se sont défaits du leur pour leur salut), vous y force.
De sorte que même l'opposition, les réfractaires, rentrent dans cette logique, sans s'en rendre compte, et s'engagent sans le vouloir. D'où leur sidération parfaite au moment d'un verdict qu'ils ont totalement entérinés depuis le départ, sans le voir.
Alors l'amitié se transforme en parole/argument de la force, et vous abat littéralement.
Ceci par la maitrise complète de l'art de l'équivoque, permettant de faire passer tous les points progressivement, nous enfermant dans la conclusion finale, qui nous tombera dessus et que nous admettrons, sans que nous comprenions pourquoi, car elle était impliquée, mais discrètement, secrètement serait un mot plus exact, comme conséquence de la proposition initiale.]
NP : « Ne plus réfléchir pour soi ».
[Réfléchir, c'est analyser avant de décider, de trancher. Ne plus "réfléchir pour soi", c'est se nier au profit du groupe.
"Ne plus réfléchir pour soi", c'est réfléchir l'expression générale, elle-même soumise à celle d'un autre, c'est être une marionnette de celui qui "voit" le plus "clair" de tous, qui domine ces formes.]
NP : « Ce que je crois est plus important que ce que je suis ».
[Ce qui prépare le jugement final : "ceux qui ne croient pas...", seront en fait ceux qui y croient, mais préféreront leurs intérêts égoïstes, et pour cela seront jugés comme faibles, égoïstes, privilégiant "ce qu'ils sont".
La "croyance" commence à prendre le caractère de l'abstraction. L'être de chair ne compte plus. Il doit être réduit ("moins important") en terme mathématique, pour pouvoir traiter le langage et ceux qui le parlent, pour fixer le sens du mot "croyance" comme une abstraction, calculable, pouvant être jugée sur le critère de la vitesse à accepter l'urgence, et ainsi se plier à l'acceptation de "mesures" d'exception, donc de "tri" pour rejeter un "temps" révolu, une hérédité révolue, celle de la vie, de "ce que je suis".
Cette "croyance" ou "foi", c'est celle de l'acteur, qui s'est sacrifié de sa propre chair, de son être ("même si ça fait mal"), pour accepter ce changement, mais aussi en jouir... mais plus tard, dans le "futur" de son salut promis.
En attendant il doit, pour cela, servir le pouvoir et parler les mots de celui (l'hérédité) qu'on veut abattre, de l'intérieur. Etre acteur, en prenant les attributs d'un autre, pour jouer le rôle de l'ami, le ventriloquer en traitant son langage naturel, de l'intérieur, en disant "2001", pour nous séparer de son sens originel spiritualiste et libéral, et nous amener sur le terrain d'un sens matériel et esclavagiste.]
NP : « Se faire mal ».
[répétition, voir plus haut.]
NP : « Croire en un certain état d'esprit pour le Phare-Ouest.
[Toujours "croire"... "pour" le Phare-ouest, dont on vole effectivement les mots, l'esprit, mais signifiant ici "en son sens fort : science". Un "état d'esprit", c'est une bonne intention. Permettant la mauvaise intention, ou "foi" (croyance) des autres.]
NP : « Le coeur à coeur est une perte de temps ».
[Le coeur à coeur, c'est la confiance dans le dialogue inter-individuel, le contraire du dialogue en assemblée. C'est le dialogue fondé sur une confiance dans le langage naturel, direct, dont les définitions ne sont pas truquées, mécanisées ou géométrisées.
Il respecte les différence entre des individus, qui parlent un langage commun et se comprennent naturellement, sans besoin de connaitre ce code particulier, d'élite, de "choisis" pour leur "rapidité" à "s'exprimer". C'est le langage du bon sens, de la vue naturelle et immédiate des choses. Ces gens se comprennent et comprennent immédiatement les termes universels... que ces demi-savants veulent reprendre à leur profit.
Evidemment, pour que leur "opinion" la plus forte puisse passer, il faut supprimer le langage commun, naturel.
Sa "perte de temps" s'inscrit comme une accusation en ce temps de "crise".
Le procès d'intention n'est pas loin pour ces méchants parleur (pas dans le "commun") et viendra tout naturellement tout de suite après.
Le "coeur à coeur", c'est une expression du Verbe incarné, amenant le langage vrai, à être présent en toute discussion naturelle, et ici, nous sommes dans le procès de l'abstraction, jugeant l'incarnation.
L'incarnation, c'est-à-dire la possibilité d'une diversité de points de vue, allant à l'infini des variations, mais qui se comprennent comme un tout dans cette diversité. Alors que l'abstraction sera l'imposition d'un seul point de vue pour tous, et selon une définition qui elle peut varier constamment, car maitrisée par un seul, celui qui est Dieu à la place de Dieu.]
NP : « On peut se tromper d'objet. Faire des choses à l'extérieur. C'est un prétexte. Il ne faut pas oublier que notre objectif commun est la fraternité ».
[La suite est alors logique. La groupe en question, qui parle le code (comme ici), c'est la secte (fermée à double-tour), dont les membres vont se servir, par exemple, du mot "fraternité" et des slogans mécaniquement débités, qui en seront tirés. Donc en usant du langage naturel, c'est-à-dire, de l'intérieur...
Ceux qui ne participent pas de cette action virale, iront forcément vers "l'extérieur", et mis en minorité pour cette faute, grâce à une forte image géométrique, image menant l'opinion par excellence. A ceux-là on fait peur : ils ne sont pas dans la fraternité, ils ne passeront pas le... "sas". Le procès les prépare donc à leur "tri", leur rejet, ils seront "balayés par eux-mêmes."
Inévitablement en effet le procès d'intention est indéfendable. Ces gens sont de mauvaise "foi" par définition. C'est bien pourquoi ils seront à même d'admettre plus ou moins la véracité de ces opinions, quand tous disent la même chose : "ils sont manifestement contre l'unité-fraternité-commun-amour..." et le "groupe" de ces élus se chargera de le leur rappeler constamment.
"Ce qui aura des conséquences", comme on nous l'a dit dès le départ. L'axiome de la terreur ayant été entériné par notre silence devant une telle charge.
Ceux qui vont à l'extérieur seront accusés d'hypocrisie : "c'est un prétexte". Leur âme est sale, ils sont de "mauvaise foi", hypocrites... car ne parlant pas le code "commun"... consistant à utiliser le langage de la majorité. Le "commun" les déclasse en minoritaires...
C'est toute la stratégie du pouvoir sociopathe, minoritaire dans le monde réel, que de chercher à désinformer, pour gouverner une majorité saine (qui parle un langage naturel), en lui faisant croire en sa minorité morale, son "hypocrisie", son manque de "fraternité", de "participation" à "l'unité", tout en lui faisant passer ce message via son propre langage naturel, de l'intérieur.
Ce qui n'est rien d'autre que de l'entrisme cérébral.]
NP : « Qu'est-ce que devra être le Phare-Ouest demain ? »
[Préparation d'un slogan et d'une demande de légalisation ("devra être"... "demain"), quand tous parleront le langage du "groupe". La question présupposant qu'un nouveau Phare-ouest, soit indispensable.
Demain c'est "le sas". Notez que cette réunion à lieu à la veille de 2001, en Décembre 2000.]
NP : « La transparence, au-delà des différences, de la sensibilité ».
[La transparence, c'est de se faire acteur, se faufiler sur scène et parler la langue de l'ennemi, comme parler de "fraternité" à celui-là même qu'on veut abattre, tout en pensant l'inverse de ce qu'on dit, depuis son "coeur", sa propre "sensibilité". Dit autrement, c'est parler par équivoque. D'où forcément, par ce double langage, aller au-delà des différences (de ceux qui parlent un langage naturel), aux yeux du mathématicien.]
PO : « Le Phare-Ouest est bâti sur les sept ouvrages d'André Bouguénec, la fraternité / tolérance. Il faut faire des choses selon les objectifs du Phare, selon ses connaissances, en faire profiter les autres. Faire progresser les autres. Etre témoin, divulguer. Comment intégrer les nouveaux venus ? Les personnes qui écoutent ?
[Spontanément, un débat est créé sur le sens du mot "fraternité", qui est une cause, donc une dé-finition pour le Phare-ouest (socle, commencement). Cet exemple montre comment on a bien ici deux types de langages qui s'opposent sur des termes vagues, alors que le langage qui obtiendra la victoire dans le débat est déjà connu : ce sera celui du nombre, du "groupe".]
NP : Quel est l'objectif qui transcende les autres objectifs ? Le plus pressé ? »
[On voit comme la réponse rebondit sur la fraternité non pas comme cause, mais comme "fin". A ce titre, elle se fait abstraite, vide, et peut tout signifier.
Mais le mot "objectif", va être redéfini pour être ré accaparé selon une signification de la force, se prouvant par la vitesse de la capacité de décider, de vaincre l'opinion de sa victime, en se servant de ses propres mots.
L'objectif - général, majoritaire - "transcende" (est géométriquement et verticalement supérieur) LES (autres) objectifs - particuliers, minoritaires -. L'objectif le plus pressé, c'est de décider ici et maintenant, tout de suite, de "participer" du "groupe".]
NP : « L'échéance est 2001. Je ressens un objectif personnel et commun. »
[L'échéance (mot issu de "cas", comme "occasion"), est une chute pour planter, verrouiller le moment opportun de conclure.
Par contre : Gaffe ! notre interlocutrice, n'ayant sans doute pas suffisamment bien appris son script, manque de "transparence" et use encore de quelques termes honnis : "Je", "Personnel", et pire : "ressentir"... Alors que la loi, tranchant par le recours au chiffre, doit toujours paraître, justement, "IMpersonnelle", être la loi du commun, qui se pare de la magique "volonté générale" pour décider, "même si ça fait un peu mal".]
PO : « Peu importe l'échéance ».
[Ici un membre du Phare-ouest va instinctivement recadrer les choses en classant l'échéance en terme d'im-portance, donc dans un programme, un temps. Imposer une échéance c'est arrêter le temps. Ne pas l'imposer c'est se donner le temps de progresser, de se former, pour être par soi-même et non pas commandé par le plus fort en calcul, ici et maintenant. Le temps de l'incarnation c'est le temps infini réel. Le temps de l'abstraction, c'est le temps arrêté ici ou là, mais variable selon les désirs du plus fort.]
NP (agressif) : « Il faut se donner les moyens ! »
["il faut", c'est la loi, prendre les moyens d'aller aux fins. Les "moyens", c'est le langage de ceux qu'on veut réduire.]
NP : « Pas facile à vivre. Avoir des attitudes d'effort pour dire des choses. »
["Dire des choses", c'est passer de l'équivoque à une conclusion tranchée, dure, qui permettra cette déviance, grâce aux termes sur lesquels la victime se sera engagé, croyant en la bonne foi des acteurs.
Comme "dire des choses", qui permet en ce cas précis, d'accepter que puisse être dit n'importe quoi, demain, de la part des "forts" (ceux qui savent faire des "efforts".]
NP : « Aller au-delà de ce qu'on ressent pour le but commun. Pas fait avec plaisir. »
[Voir plus haut.]
NP : « Avec cet objectif commun, on est sûr de l'intention ».
[Celui qui ne suit pas cet objectif, a, comme nous l'avons également dit plus haut, de mauvaises intentions.
La faute d'individualité est une faute qui mène au procès.
L'intellectuel, le poète, ceux qui ne bloquent pas leur temps, sont "responsables" de leur "faute".]
NP : « Il faut suivre la logique de Dieu, ce qui permet d'anticiper sur les erreurs de forme, car on se dit : je ne m'agrippe pas sur les erreurs de forme. »
["Suivre" c'est se situer. Derrière une logique, c'est-à-dire créer une symétrie de cette logique. Une symétrie inverse, qui part de Dieu, pour arriver à une logique de l'humain, puisque fondée sur des chiffres, par l'argument de la vitesse, du "pressé".
Dieu étant infini, il est clair que cette "logique" en est l'inversion pour une création de "spiritualité" matérialiste.
Or son langage est grossier, passant par des formes énormes, mais aussi : tordant nécessairement le réel. Elle ne peut alors que constamment se tromper grossièrement.
Mais la "croyance" et l'usage des mots abstraits, du mot "Dieu", permet de faire perdurer ces erreurs grossières, de "forme".
"Anticiper" ces erreurs, c'est justement intégrer la logique de la vitesse pour "excuser" ces "maladresses".]
N-P : « Jésus prend ses disciples pour des moins que rien – Car il savait où il allait »
[On en a ici un parfait exemple.
La logique de Dieu conduit, forcément, à Jésus, son "fils" unique, qui "prend ses disciples pour des moins que rien", car il "sait" où il va... Ce qui est le cas s'il les manipule.
Comme à son habitude, c'est au nom du service, qu'on retourne ainsi les cerveaux contre celui qu'on prétend servir. De l'intérieur.
Par ce propos, on va amener à penser que Jésus pourrait poser un problème, mépriser ses disciples, les manoeuvrer.
Contre épreuve : comment celui qui nous trompe depuis le début sur son amitié, pourrait-il d'ailleurs avoeur qu'il nous prend lui-même pour des moins que rien, comme si Jésus devait ici servir d'exemple.
Mais l'expression est encore plus tordue, car s'il "sait", c'est que cette manoeuvre fut parfaitement calculée, et que Jésus lui-même était... géométre. Mais un géomètre non humaniste, ne servant pas le "commun". Dit encore autrement : Jésus ne croyait pas ciel, mais aux seules lois de la Terre. Son propos ne fut alors qu'une manipulation.
Arnaud Mussy crée ici un virus : il inocule en notre cerveau, la probaiblité que Jésus ait pu se foutre de nous. Mais alors que dire d'André Bouguénec, se revendiquant chrétien ?
D'où, Arnaud Mussy peut offrir mieux : une protection "claire", comme il est bien "exprimé" au départ, et même "sincère".
Le cerveau est aux prises avec une chimère qui doit amener cette nouvelle question, encore non formulée, mais qui le serait un jour, si nous nous engagions aujourd'hui, croyant avoir affaire à un authentique chrétien (qui "suit la logique de Dieu") : faut-il suivre "Jésus", ou notre futur protecteur ?
Recoupements : De la même façon, dans l'émission télévisée menée par Bernard Tapie, Arnaud Mussy dit à son hôte : "Vous n'auriez pas misé un kopeck sur Jésus" (une quantité).
Dans son entretien au Télégramme, le même lancera le même propos ouvrant grande la porte du doute, pour qui serait chrétien : "Je suis Jésus. J'assume". De sorte à laisser passer l'idée que "Jésus" n'était pas si amical que cela, et ainsi préparer son rejet en mettant en place les germes de la révolte contre "Jésus", dans la tête de ses auditeurs.
Il fera d'ailleurs la même chose avec tous ses propos équivoques sur son "Tri-cher" André, comme il l'appelât une fois, ou dans ce premier courrier, où il est facile de lire la mise en place de la graine du doute, contre son enseignement qui "dément-je", associant ainsi l'isolement du "je" - "égoïste, et la "folie", amenant l'idée de l'isolement et de la mort sociale, la mise en minorité.
En permanence, le discours d'Arnaud Mussy est équivoque pour rester probable, et ainsi progresser vers une expression claire, un jour où l'autre, avec l'imposition d'une demande de choix, à faire sans attendre. il fait passer une idée, en produit le développement dans les têtes, puis dis : on ne peut plus attendre, alors cette idée chiffrée s'impose.]
NP : « Objectif commun », « objectif », « projet commun », etc. etc.
[ad nauseam...]
NP (agressif) : « Dire si l'on n'est pas d'accord, et ne pas noter ! »
[Cette agression nous visait, évidemment, puisque "notant" ce que vous lisez actuellement. Notre parole accusée par sa faiblesse : "dire et ne pas noter". Autrement dit : nous avons peur de la parole.]
NP : « Quelqu'un qui dit : 2012 au lieu de 2001 n'est pas d'accord avec moi, donc il n'est pas “dans l'Esprit“. Ça veut dire “je ne suis pas acteur“. C'est un problème, un manque de foi ».
[Encore "dire".
"Dire 2001", c'est être un "acteur", c'est-à-dire parler le langage connu des phare-ouestiens, pour le tordre de l'intérieur, et finalement y insérer le virus de son changement de sens, permettant de renforcer les uns, en réduisant les autres - pur cannibalisme scientifique.
Cela veut "dire" (encore et toujours de simples mots) : "je ne suis pas acteur". C'est bien alors "choisir" de ne pas "s'inscrire" comme simple langage.
Ne pas se fondre sur la scène des mots, c'est "manquer de foi"... dans le langage tordu, par la désinformation que la géométrie va créer sur nous.]
NP : « S'inscrire dans l'urgence. Aller vite. Vite se transformer. Prendre une décision efficace. »
[Cette désinformation est amenée par la peur de la crise, amenant à son tour la peur de la mort.
"2001", mot capté et dévoré depuis l'intérieur se transmue alors en terme scientifique, qui sera "prouvé" par la vitesse d'exécution à "s'exprimer" pour modifier les décisions, et passer du "2001" de la lenteur, au "2001" du pouvoir, de ceux qui sont dans l'action, le concret - pas la poésie qui fait perdre du temps alors que la mort est au bout.
C'est la vertu de la parole la plus forte, qui fait taire tout le monde, malgré le spectacle de la "réunion informelle", où il (!?) fallait s'exprimer" .
"Se transformer" c'est changer de forme, pour intégrer la forme décisive : la géométrie, et l'image forte qu'elle génère pour amener tout le monde à dire n'importe quoi, afin que l'emporte la parole la plus forte de toutes, qui arrive maintenant : ]
NP : « Ceux qui ne croient pas en 2001 seront balayés par eux-mêmes »
[Ici nous avons l'opposition de ceux qui "croient", mais ne "croient pas" vraiment, avec "sincérité", sont donc de mauvaise foi, contre ceux qui "croient" réellement... dans leur jeu.
Parfaite inversion accusatoire, donc, permettant de sidérer les victimes de ce jeu rendu possible par l'usage permanent d'une double définition des mots. Aux uns on parlera leur langage pour les affaiblir, mais pour aussi permettre aux autres, de se renforcer, avec la deuxième définition. Les deux étant utilisées en même temps, dans un langage pouvant toujours être entendu dans les deux sens possibles.
Quels seront en effet les "signes" de cette "foi" ? Ceux que voudra faire paraitre l'arbitraire du pouvoir. "2001" pouvant tout permettre, quand c'est une "bonne" "croyance", une croyance pour l'action, et non les retardataires, ceux qui croient au "coeur à coeur", à l'incarnation d'un langage qui porte à évoluer à l'infini, et pas pour s'arrêter dans 6 mois.
Après cette préparation, la décision est posée, là, brutale (comme le "non temps", écrasant ceux qui "temporisent") : un tri sera opéré. Les "poussières" ne passeront pas, et douteront elles-mêmes de leurs propres "choix".
Or c'est bien Arnaud Mussy qui tranche, ici, maintenant, en appelant "poussières" les réfractaires à sa parole. Et le "temps" est toujours géométriquement divisible, et de "2001" comme "urgence," il sera facile de passer au mois, au jour, à l'heure, à la seconde, et pire encore.
En son Courrier de 2006, Arnaud se présente en effet comme celui qui "revient du non temps". Donc il n'y a plus de limite à l'urgence de "trancher", quand celui qui est maitre de la parole à fait le "tour de tous les temps", pour enfermer le nôtre dans le sien.
Note : Si Arnaud Mussy avait tenu un tel discours en arrivant au Phare-ouest (1994), il ne serait jamais resté, ni même venu. Mais en 2001, il a pu créer Néo-Phare, après avoir retourné la moitié du Phare-ouest vers lui, révolté (en "retournement") contre André Bouguénec, dont la parole prônant le "coeur à coeur", ne permettait pas d'agir "vite", dans "l'urgence", impliquant d'abandonner le sens des mots, à l'ancienne.]
PO : Ici, face au jugement final, nous intervenons, critiquant la "vérité" de la loi par le nombre, donnant de la force à la parole, et servant à impressionner.
NP : « Peu importe le nombre, quand on a la sincérité ».
[L'argument de la "sincérité" est fréquent chez Arnaud Mussy, pour l'opposer aux hypocrites. D'où à présent l'hypocrite c'est nous, qui ne percevons pas la "sincérité" de tous ces coeurs purs, unanimes.
Mieux : c'est nous qui donnons trop d'importance au nombre, qui sommes le "calculateur" caché. Les infilrés sortent à présent de leur petit jeu, pour prôner... le coeur à coeur, le langage non intéressé... de bonne foi.
Tel est l'avantage de parler tous les langages en même temps.
Comment prouver que nous sommes sincères ?
Telle est la force du procès d'intention : retourner la victime pour en faire un coupable, en se servant de ses propres mots.]
NP : « On est affecté des critiques des autres, parce qu'on n'a pas confiance en soi. Il faut avoir la simplicité pour dire ce qui ne va pas, la spontanéité »
[Après notre procès en moralité vient l'analyse psychologique, déterminant un problème au regard de la parole... pas simple (comme le serait une forme géométrique) : "Nous n'avons pas la simplicité pour dire..."
L'agressé devient alors l'agresseur : celui qui manque de "simplicité". L'affect étant socialement problématique, isolant socialement, du fait de sa parole.
Autrement dit sa parole ne vaut plus rien. Alors qu'il fallait "s'exprimer".]
« Si on se dit : “c'est l'autre qui est méchant“, c'est notre égo ».
[Le "retournement" de la victime en coupable se renforce : elle est dans l'égo, "son" égo.
Conclusion dont on voudrait que le prétendu paranoïaque s'affuble, finissant par douter de lui-même : "C'est sans doute moi qui... me disant..." ]
NP : « Le privilège des groupes, c'est le partage. On progresse vite. »
["Le privilège des groupes, c'est la vitesse". On se croirait en période d'élection politique.
Voilà : le sens étymologique du mot "privilège", c'est "premier dans la loi". Par le fait de trier, de se séparer du langage retardataire.]