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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Arnaud Mussy relance notre procès en son Courrier du 16 décembre 2006 - Xeon

Date : 2006-12-16

 A Jérémy Trossais, un ami.

 

"Maintenant, apprenez définitivement le terrible secret de votre Créateur qui voulait faire de vous des combattants contre l'Esprit Duel qui habite votre "dualité" et les subtiles "tentations" de toutes sortes qui, en ces jours de ténèbres, mènent le monde. Dans Matthieu XXIV-22 : "...Et si ces jours-là n'étaient pas abrégés, aucune créature ne serait sauvée ; mais ces jours-là seront abrégés à cause des élus ". Matt.XXIV-24 : " Il y aura de faux christs, et de faux prophètes s'élèveront et feront de grands signes et des prodiges, jusqu'à séduire s'il était possible, les élus eux-mêmes. Vous voilà prévenus ". Oui, c'est de Matthieu.", André Bouguénec, L'ultime grand secret, Article Qui créa Lucifer, p. 145

 

"Je le répète pour la énième fois, Dieu, s'il vous crée, il lui est impossible de vous "engendrer" ; le ferait-il, ce serait une création accomplie de vertus et qualités qui viendraient de lui, mais non de vous ! Et c'est ainsi que fut créée l'engeance angélique, parfaite. Or c'est la raison de votre humanisation afin que, de vous-mêmes, vous fassiez naître votre âme et la nourrissiez pendant toute votre existence terrestre : c'est votre raison d'être ici-bas, de vous recréer "à l'image de Dieu" selon ses lois. Il faut naître de vous-même en "co-naissant" Dieu en vous, jusqu'à le faire votre Père.
Comme le mot "en-GEN-drer" le stipule, Dieu ne peut mettre en vous que des "Gènes" qu'il a conçus et créés, mais c'est à vous de les cultiver, de les développer pour.. vous engendrer de vos gènes. Eh oui, le Monde est fait de tous les GENS qui sont des gènes en poussée ou bien qui végètent. Vous êtes tous, toujours en "Genèse", en commencement et en recommencement : en réGENE-ration. Le prénom Eugène est bieakashin significatif de "bien engendré", littéralement : un bon gène. Et Dieu, et Lucifer, n'en finissent pas de pousser vos gènes à "pousser", à fleurir, par votre seule volonté de choix. Si ce n'était que la volonté seule de Dieu, vous ne seriez, et cela arrive parce qu'il en faut, qu'une marionnette..."in-stru-mentale" ; un instrument utile aux autres, mais pas forcément à lui s'il ne s'accomplit pas avec ce qu'il doit donner ou montrer. La racine "instru" signifie "arrangement", "enstructuré", évidemment par Dieu dans le mental de cet humain."
Ibid, p. 150

"Peu à peu, saisissez-vous que vous n'êtes Rien, si...si vous n'entrez pas dans votre Raison d'être, et si vous ne suivez pas Ma Voie. C'est votre dernier recours avant qu'ON ne vous enlève votre liberté, bientôt !"
Ibid, p. 202

 


"Même s'il n'en reste qu'un parmi vous, j'aurais réussi ma mission." André Bouguénec

 

"Il n'y a aucun doute, le Christ est : La lumière du monde, et sous l'égide de Notre-Dame Suprême il est en sa naissance le Christ Solaire, détenant la clef de sa montée progressive de sa lumière aux hommes.

Je répète, la clef de la montée progressive de la lumière aux hommes.

Jadis notre Jésus devait programmer et annoncer l'avenir d'aujourd'hui. Il enseigna d'un coup tout l'essentiel de l'amour et des rapports avec son Père sans préparer les intelligences à comprendre les clés du Royaume de Dieu. D'où la raison d'une promesse d'envoyer pour aujourd'hui, l'esprit de vérité, dévoilant les mystères. Pour sensibiliser un peuple, surtout celui d'aujourd'hui, il ne s'agit pas de proclamer "Je suis Jésus, voici mon dernier Testament".

Il faut prudemment et progressivement préparer les esprits et susciter une nouvelle intelligence. C'est une clef du fameux Arepo du Carré Sator, pour cette délicate OPERAtion qui subrepticement va intéresser de façon inattendue les esprits."

 

"C'est pourquoi la mission du Fils de l'homme est très difficile. Il n'est pas question de bouleverser la France ou la planète. Il est question de laisser un testament. Cela veut dire que ça reste, et tu pars. Et vous vous démerdez avec le testament.

Tout ce que j'ai écrit (lettres, documents…), tout ça c'est le testament, parce que tout s'enchaîne."

 

 

 

 

 

"J'suis le bouc émissaire. Tout ce qui ne lui plait pas, elle me le met sur le dos". André Bouguénec, commentant un courrier de démission capitale, daté du 12 nov. 1994

"Dans le fonctionnement de Néo-Phare il fallait un bouc-émissaire, une tête de Turc." Procureur lors du procès d'Arnaud Mussy en Octobre 2004

"Nous ne pouvions valider ce groupe qui se bâtit sur le rejet, l'exclusion". Courrier personnel d'un ancien adepte de Néo-Phare

 

 


Source

 

 

 

Traduction du Courrier envoyé le 16 décembre 2006, au Phare-ouest.

Il faut partir du ciel, qui signifie : lieu où siège le juge, celui qui tranche entre deux discours contradictoires. 

Les "ruses du ciel", sont les ruses du faux juge, de celui qui tranche en trichant, en se créant un alibi à lui-même pour se défausser du temps qui passe : "les contorsions du temps".

Le chef d'accusation contre André Bouguénec est : il n'est pas un bon juge. C'est un juge qui triche, nous manipule. Car pour se sauver et aller au ciel, il faut se fier à la loi du "non temps", qui "remonte le temps", c'est-à-dire de la loi qui vous rend présent partout, pour maitriser tous les temps, le plus vite possible.

Cette maitrise des temps, c'est la maitrise langagière ("PAR ORA") de deux temps contradictoires : le fini et l'infini, respectivement le passé et le futur. 

D'où : "Combien de fois André évoqua les "ruses..." du "ciel", "à commencer par les contorsions du temps". D'où sa disqualification comme "juge" arbitraire, et son éviction, par celui qui va pouvoir dire : "je vous ai libéré"... mais maintenant le juge, c'est moi : "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA". Qui parle à la fois un discours fini et infini, pour pouvoir trancher et vous apprendre à "participer" à cette technique consistant à dominer toutes les opinions, très vite, en faisait taire l'adversaire, comme je viens de le faire en me servant du langage utilisé par André Bouguénec, pour l'opposer à André Bouguénec, sans que vous ne puissiez répondre.

 

Ce deux discours désignant deux parcours, ou "procès", pour que de ces deux procès, un seul reste à la fin. 

"Nous sommes 2, puis 1" dans le non temps, car l'un des deux est le plus fort. Celui qui "revient" du "non temps".

Ce dernier terme signifiant que nous ne pouvons avoir d'alibi, notre impossibilité de nous trouver "ailleurs", "hors du temps", avec Arnaud Mussy totalement présent, pour nous encercler dans son "temps" et son "parcours", ces deux termes se reliant dans le mot "procès" (processus et marche).

Il a ainsi trouvé le moyen d'être omniprésent pour juger de tous les temps, sans que nous n'osions répondre, tant cette formule nous échappe, nous empêche de "voir", littéralement, de quoi il parle. Nous verrons, justement, pourquoi.

C'est, dans ce procès codé par un discours équivoque, la présence du "juge", encerclant et tenant l'ensemble des discours contradictoires sur le temps : passé et futur s'opposant, mais qu'il va réunir sous sa même coupe, pour leur imposer sa "paix" ("Jérusalem Céleste"), car au bu de sa "situation", il se dote ainsi d'une qualité, pour parler deux discours en "même temps" (mot signifiant "ensemble"), et donc : trancher.

Or celui qui tranche, c'est le chef. 

Le "chef" revient du non temps, pour pouvoir trancher tout le temps, conserver son pouvoir, toujours renouvelé. C'est pourquoi André Bouguénec ne fait qu'en "venir", pour aller en s'éloignant, s'écarter et se perdre, bien que conservé comme "nom". 

Celui qui en "vient" a son procès "accompli", c'est-à-dire tranché, et est comme tel : condamné.

 

Et n'est pas par hasard, s'il place sa signature ("M"), au centre du cube, qu'il dit être du "TNT". C'est que le Sator représente le "Testament" d'André, sa succession, son temps.

 

L'aspect accompli considère le procès comme achevé, au-delà de sa « borne finale ».

La "personne" d'André Bouguénec ne dure pas, contrairement à l'abstraction des "retours" permanents du "16 décembre", scellant l'accomplissement systématique d'Arnaud Mussy, dans un système qui ne peut plus toucher le monde réel.

Confirmation qu'on parle bien d'un "procès" : ce mot signifie "marche", et "l'accomplissement final" d'André concerne "son parcours"... et le nôtre : "en ce qui vous concerne, il n'était pas difficile de suivre André à la fin de sa vie". 

"Il n'était pas difficile de suivre André" =  Il était facile de lui faire un procès.

D'où le mot et l'action du "procès" est centrale dans ce cadre où nous sommes jugés en "trahison", si nous continuons à nous "agripper" à : André en "parcours final", pour ne pas suivre celui qui va naitre automatiquement de cette mort : "Arnaud" en "parcours"... "de résurrection".

 

Ce "ciel" n'est que la reproduction temporaire de loi des cycles cosmiques et ses étapes irrémédiables, permettant de fonder une "révolution", faisant naitre un nouveau cycle, quand l'autre se termine.

Ce n'est qu'un moteur invincible, fondé sur une démarche de mécanisation de nos mots, dont les étapes sont imagées sur le tempo d'une horloge, de sorte à ce que cet "accomplissement" soit placé sur une date, pour pouvoir dire : "plus vous tarderez, plus votre salut, votre "futur" est à caution.

D'où toutes les images de moteurs placées en ce Courrier. Nous y reviendrons. 

"Alors basculez vite" sous les ordres du pouvoir restant (2 - 1 = 1), avant que la Mère ne mette "l'homme et l'ophnar à terre" : 

L'appel à la vitesse, critère de la "participation" à ce jugement par le "temps", précisant le critère : la peur de la mort. Aller "vite" avant que l'incommensurable ("Ophnar" et "homme" infini) ne soient réduits à poussière, "pour" avoir rejeté le "message d'André en parcours", c'est-à-dire un infini forcément illusoire, car uniquement présent en notre cerveau (la tête étant à l'image de l'Ophnar, à la fois dans sa forme et comme potentiel de développement de la pensée vers l'infini). "Mettre l'ophnar à terrre", c'est faire mourir l'infini en nous, de force, en le chiffrant en tous points. 

C'est cela nous enfermer dans le "non temps", nous forçant à rester à l'intérieur, quelle que soit notre position à l'égard d'Arnaud Mussy, nous sommes piégés par un mot qui nous contraint si nous avons le malheur de répondre. Comment prouver que nous rejetons le "non temps" ?

Le "ciel" n'est que le "juge" d'une association de matérialistes, accusant le récalcitrant, le fidèle à la parole de l'infini, ne pouvant trouver d'alibi, sans tout de suite s'accuser lui-même.

 

Un tel discours, évidemment, créera des clivages dans un groupe, personne ne comprenant son sens profond. Ce qui permettra à Arnaud Mussy de tester ceux qui seront plus proches de son sens réel, et de les approcher pour le suivre dans sa révolution, dans son procès contre André Bouguénec. Leur nombre grandissant, les minoritaires seront encore plus contraints de se taire.

 

"Déchirer sa perception linéaire du temps", pour "participer", et ainsi être sauvé, "participer" du "futur", de la "Jérusalem céleste", c'est résoudre les deux discours contradictoires, le décoder pour amener la paix civile grâce à ce jugement (retrait d'André Bouguénec), amenant à faire trancher la loi de la matière, du fini.

A l'issue des débats issus de ce double langage employé en permanence, il faudra un "juge", qui sortant des "participants", tranchera, pour réaliser la "paix" de nom, belle et bien terrestre dans les faits, puisque fondée sur une vérité issue d'un calcul : de la vitesse à dominer l'autre durant le débat, le procès.

Faculté requise quand tout le monde est en débat.

"Revenir du non temps" : c'est parler un langage rendant impossible la "perception linéaire du temps" : du monde réel, du concret, pour enfermer l'infini dans les chiffres, afin qu'on n'en possède aucune vision concrète possible. Ce qui permet à "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA", d'en donner le sens final qu'il veut, et de vaincre toutes les positions dans un débat.

Parlant les mots de la spiritualité (ex : "Jérusalem céleste"), pour leur attribuer un sens matériel. Il parle ainsi tous les temps : le fini et l'infini, pour pouvoir proposer à la fin du débat, sa solution, qui sera imposée par l'urgence du temps, c'est-à-dire la loi d'exception, qui demeurera, mais avec les mots de ce qui ne s'arrêtera jamais, comme "le ciel", même s'il finit par devenir "'la nation", le "groupe", la "tête".

L'urgence, l'exception étant déterminée par la crise, la peur, les tricheries et contorsions de la fausse justice, amenant à devoir changer "maintenant", et "là", c'est-à-dire au temps de l'exception, ces deux termes entre guillemets,a introduisant et concluant ce courrier.

 


Un pur texte et un tissu d'images révolutionnaires

A commencer par : les contorsions (le vice), s'opposant au cube (la pureté).

Ces images sont des "charges" et des "décharges".

Caricaturer signifie : charger. Le "16 décembre" désignant la fête des caricatures du pouvoir légitime et héréditaire, brûlé sur la place publique : les Saturnales, qui évolueront dans l'histoire européenne en Carnaval, Fête des fous, jusqu'à devenir un véritable modèle pour les instigateurs de la Révolution française.

Le rire (qu'on retrouve dans l'imagerie de la "fête) est le fruit de la "charge", de la caricature (durant la fête révolutionnaire), mise en axiome.

 

Le "joker de Dieu" est une caricature, tirée des "contorsions" du temps : une charge "prouvant" le "vice de forme" du mauvais juge, n'appliquant pas le texte de la "justice", car "tricheur", se trouvant des "excuses".
 
"Forme" tordue devenant l'axiome de toute la suite, puisqu'elle est le "commencement" ("à commencer par les contorsions du temps") qui aboutira à l'exclusion d'André Bouguénec à l'issue du calcul : "Nous Sommes 2... Mais dans le ‘‘non Temps’’ de l’Univers TEMET – eh oui, il fallait opérer une petite greffe au cœur de la Croix TENET pour la rénover – nous ne faisons qu’1. "
 
2 - 1 = 1
 
Le "non temps" est limité, puisqu'on peut en revenir, mais en remontant le temps (je suis le tackyon..."), "M" ramenant les informations (les "scoop") depuis ce "lieu", qui devient l'espace maximal. Qui donc inclue temps... et non temps. En cela il petu se prévaloir de sa présence infinie, et accuser celui qui s'en éloigne, de se chercher... des alibis (mot signifiant : ailleurs).
 
 
Parenthèse : la greffe signifie : enregistrement des "preuves" par le texte ("accomplir les Ecritures"), signifiant : le juge mène un procès d'inquisition, où il instruit : à charge et à décharge...
 
A noter que les "élus", "pariticipants" pour ne pas être eux-mêms jugés, "riront plus tard". Autrement dit ils apprendront comment procéder pour participer du tribunal.

 

 

A propos de Jérémy Trossais, appelé "bouffon de l'univers" : qui fait rire l'assemblée

Nous n'apprendrons à personne à quel événement correspond la date du 14 juillet, à laquelle Jérémy Trossais à mis fin à ses jours, pour "ouvrir les portes du ciel". Arnaud Mussy déclara lors de son procès de 2002, que celui-ci avait une "fêlure", ajoutant à cette image de rejet en folie.

Bouffon de l'univers : qui va à l'extérieur, vers l'infini, l'universel, ramené à un isolement, une solitude.
 
Car le le "présent" est partout. Qui sort du présent de l'infinitif est coupable de faux alibi au regard du langage, de la démonstration géométrique.
 
Faux puisqu'en dehors du texte écrit au présent, au "non temps", qui encercle et enferme sur l'intérieur, le tribunal.

Pour ne plus freiner le "Ciel", il faut "revenir" et "ouvrir les portes du ciel", en accepter le "jugement". 

Epurer. La Révolution n'était-elle pas une "régénération" après "épuration" des gêneurs ?

Afin de laisser le "tribunal" (ciel) révolutionnaire conduire sa politique de terreur sur le peuple, médusé par le double discours : langage de l'humanisme, mode opératoire de la terreur. Ce double langage, tenu par les révolutionnaires, leur permettant de se dire "pour le peuple", et au nom de ce "service", juger, trancher pour la destruction de la moitié du peuple. Autrement dit en parlant deux discours contradictoires en même temps, de sorte à en contrôler entièrement le sens final, dont on ne pouvait "sortir".

Notons encore que leur argument premier fut : le Roi (hérédité au nom de laquelle je parle en premier), vous a manipulé et vous à traité "injustement". Or, nous, sommes humanistes, etc. Pour "vous sauver" il faut épurer la société des gêneurs : ceux qui croient en l'infini, en l'univers-el. Alors nous aurons "la paix" dans la seule dimension des entités finies, matérielles, fermées.

Un "bouffon de l'univers", comme on l'avait appelé en Néo-phare, c'est quelqu'un qui fait rire. Le bouffon est historiquement une figure de Carnaval, fête directement héritée des Saturnales romaines, où l'on tuait le Roi Bouc émissaire, dans une liesse généralisée, exprimée par les esclaves enfin libérés des gêneurs.

Cette fête en rapport avec le "rire plus tard", signifie le renouvellement permanent et infini du pouvoir, de sa jouissance (fête), rendue possible par l'usage de mots évoquant l'infini, impossibles à circonscrire à du concret, dès lors qu'on l'a chiffré, comme dans la formule "suivre l'amour".

 

Pour pouvoir transformer le temps réel en pure image, en pure caricature, il faut réduire le réel à un texte, à des signes, et le géométriser, en faire un langage d'images. "André avant de partir", "vient", "en parcours", etc.

"André", en cette procédure inquisitoriale, n'est que le mot-signe d'un texte, d'un "Testament" à inverser. Jamais une personne. 

"Vous pensiez qu'André était revenu pour accomplir les Ecritures ? Eh bien cela n'a jamais été aussi vrai". A ceci près que nous sommes 2... puis "1".

La vérité comme pur texte, ou plutôt le texte pris comme vérité permet de détruire la légitimité du réel, d'en faire un chiffre qui ne peut plus jamais revenir à la Terre, au concret, au visible.

De sorte à pouvoir dire : la personne réelle d'André est passée, il ne reste qu'un texte : un testament, qui pourra être maintenant mis en accusation, soit, sa succession réelle, sans que vous puissiez y répondre quoi que ce soit. 

C'est tout simplement couper la parole de la partie contradictoire, tout en lui parlant avec ses propres mots.

"M" (A LA TETE DES APOTRES PAR ORA) n'est-il pas au centre (géométrie du moteur, contrôlé par sa force centrale) du Sator, qu'on va faire exploser par ce "TNT". Sator constituant le testament d'André, sa "succession", sur laquelle un "nom" a été écrit.

 

Une fois cette théorie d'ensemble admise, par la croyance en ce "non temps" détruisant le temps réel, il n'y a plus qu'à faire les associations voulues par des procès d'intention 
- les réfractaires seront attachés au passé et salis comme tels (une analyse sémantique le montrera plus bas, très facilement d'ailleurs)
- les "participants" seront attachés au futur
- "André" sera entre les deux 
- Arnaud Mussy sera décrit au présent, signifiant : omniprésence car contrôlant tous les temps, géométrisés, dès qu'on a imposé une date et une image circulaire au temps (mon parcours, "systématiquement ponctué" "tous les 16 décembre", à intervalles de 10 ans).

 

André qui lui ne revient pas du non temps, mais en "vient" comme nom, pour rester dans le temps du passé, à "dé-chirer" pour "participer" de la nouvelle marche : celle de la réécriture du "Testament" pour une destruction de son temps naturel, de sa succession naturelle. 

Qui reste fidèle à la succession d'André, sera jugé en "trahison" d'André, au nom d'André, pour assurer à Arnaud Mussy, la place de nouveau juge en cette succession, celui qui "tranche" par l'image (contorsions impures contre pureté finale du cube après élimination des fidèles, de ceux qui ne parlent pas la langue de la vitesse, celle qui peut trancher après avoir parlé à "tous les temps" en même temps.

 

Le mot "ultime" qualifiant cette "main tendue", définit le contexte : ce qui ne permet pas de cas, de recours ultérieur, "ultime" venant de ultra : Ce qui va le plus loin. Après, on ne peut plus rien dire, il y a "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA", ou plutôt... DANS LA TETE.

Sa "sincérité", étant celle de celui qui prend la main durant le procès, première des qualités de l'avocat, le mettant A LA TETE DES APOTRES PAR ORA, avant de prendre le rôle de juge, mettant "l'homme et l'ophnar à Terre", depuis le "ciel".

Ce qui mènera à la terreur : "basculer" ou "se trouver à Terre" : sans "futur", exclu du "Rêve du Père Mère".

 

Le mot dépôt signifie "mettre à terre". C'est le dépôt d'un testament de l'infini : le Carré sator, qu'Arnaud Mussy accompli en "Nouveau Testament".

Après le suicide (auto-accomplissement), le sacrifice d'André Bouguénec.

 

La main tendue a le sens de main créant un mouvement circulaire à partir d'un centre, mais aussi "main posée", expression signifiant "héritier" en sanscrit, et qui interrompt le cours d'une succession naturelle, en la stoppant sur un point ("mon parcours systématiquement ponctué sur un 16 décembre") : un "16 décembre", pour la faire tourner dans une succession de changements imperceptibles, où tout notre discours va sa matérialiser. A la fin du processus : Arnaud Mussy est le maitre de notre propre langage.


Ces "points" revenant régulièrement ("systématiquement"), tous les 10 ans. Ce cycle c'est le modèle du mouvement planétaire, image de tous les mouvements de tous les corps de l'univers.

 

Cette "purification" étant issue des révolutions successives, appelées tout comme en politique, des "régénérations", pour mieux prêter à confusion.

Ce "parcours de résurrection", étant en effet ponctué des phases du procès, commençant par la découverte de signes, d'indices : 

1 - André par l'ironique et surpris d'une tromperie :"le soir même je découvre chez Élodie et Olivier qu’André est Jésus"

Pour terminer par le jugement : 

2 - Famille : "il me fallait trancher avec la fausse famille"

3 - Pour "accomplir ma mission finale" : Devenir le nouveau juge permanent, grâce au contrôle des mots du "ciel", même temporalisés comme "coeur" ou "fraternité", permettant de parler indéfiniment au nom  - "pour" (voir plus bas le rapport aux questions omniprésentes), des valeurs les plus nobles.

La référence à l'antiquité, mais grecque cette fois n'est peut-être pas unique, puisque les magistrats de l'époque, appelés "archontes" (ennemis du divin dans la gnose) étaient reconduits tous les dix ans, au sein d'une... collégiale (→ première forme de tribunal institué au Phare-ouest), après l'avoir été à vie. Mais tous les dix ans de façon systématique, c'est une façon de dire "à vie", en vous faisant croire que vous êtes libres de renouveler cette charge. 

D'où le chiffre symbolique de ce pur Tartuffe : le 8, et tous les moteurs dessinés en ce Courrier, pour représenter ce "parcours" de régénération à partir de l'ancienne succession des temps (une symétrie des noms, mais une définition inverse).

Autrement dit : il tient tous les discours contradictoires en même temps, de sorte à pouvoir parler à tout le monde sans être contredit.

A chaque fois, donc, que nous entendons ce mot, il sonne comme un "arrêt", qu'on ne peut réfuter.

D'arrêt en arrêt (seulement) entendu, il finit par devenir "vérité" dans notre cerveau, et nous faire dire : André Bouguénec n'était qu'un point dans le cercle total d'Arnaud Mussy. 

La preuve géométrique de cette pure image étant irréfutable, elle devient : "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA", conservant les mots de l'ancien sens, tout en évinçant, par eux, l'ancienne succession. Ce dernier terme signifiant : sans interruption. Donc créant l'interruption dans notre cerveau.

A la fin des "torsions" on obtient un tour complet et une révolution.

 

Un cycle peut être spatialisé, puisque ses éléments sont visibles simultanément, ce qui le rend géométrisable et dès lors mesurable par classes, avec leurs mesures propres, en termes de vitesse.

Et si c'est "André" qui "évoqua" ses propres "tricheries" dans une répétition ("combien de fois"), forcément stérile, c'est que ce "jeu" (du "Joker de Dieu") fait perdre du temps. La "vitesse" de celui qui maitrise la parole parce que contrôlant les discours contradictoires, est alors évidente, et sert de preuve que la "parole" est son domaine.

 

Recoupement :

C'est ainsi qu'il faut lire toutes les allusions aux "tours", et autres "retours" d'Arnaud Mussy, comme dans les paraboles évangéliques de ce Courrier, où il prétend "revenir" (faire le tour)... par surprise.

Et encercler c'est cerner, c'est contraindre la vie, par ce pouvoir obtenu par les mots : Dans cette "OMNI (cf. : tout) po-TEMPS-ce" il faut deviner, par simple dé "FINITION" (cf. : qui vient du FINI), la puissance de Celui qui "MAÎTRise" tous les Temps (cf. : « Je Suis Celui qui Suis »).

 

Ce cycle menant à une révolution par retour en arrière, puisque par lui nous ne pouvons plus avancer, et il faut bien qu'un mouvement se fasse.

Dans ce cycle, André est en "parcours", c'est-à-dire en marche. Ce mot signifiant "procès".

 

Mais André lui avait dit - et donc répondu : "Toi, t'as une âme qu'est bien en route en tous cas."

 

Mais "revenir" c'est aussi être témoin, donc informé pour dire : je suis le mieux placé pour dire : quelle est la nouvelle succession, et son nom : "M", un paraphe sur un testament, signifiant à son tour : tourner la page.

"Cétypafuté" ?

Le nouvel héritier, entièrement conçu sur du vent et un artifice de langage, se fait aussi témoin (qui apposera son paraphe "M" au centre du Carré - = testament d'André Bouguénec - et nous prouve, déjà cette qualité par ce témoignage choc, le mettant en position de témoin privilégié, d'informé parmi les informés : "Aujourd'hui 16 décembre, André est accompli" (avec date du scoop !), détruisant celui dont il prétend être le serviteur le plus fidèle, et plus que quiconque parmi nous.

"M" représentant le paraphe qui dit lui-même : "tourner la page."

En dé-chirant" en nous notre "perception", pour adopter une perception purement cérébrale du temps, un concept géométrique excluant maintenant tout rapport avec le réel, toute notre "chair" (dé-chiré = ôter de la chair). Et la chair, c'est l'hérédité.

C'est l'hérédité naturelle, qualifiée de "contorsion" (comme l'ADN), pour évoquer aussi une crise par ce "vice de forme", cette "tricherie" au regard du seul texte qui vaille aux yeux d'Arnaud Mussy : celui de la mécanique.

Preuve que mussy savait qui étaient les héritiers réels. Car ces contorsions de comportement évoquaient aussi quelqu'un de bien précis.

 

 

Révolution inverse : Arnaud Mussy revient du non temps en "remontant le temps", à la vitesse du "tackyon".

Inverse : quand le temps est long, on déprime à cause de la mémoire conservant le souvenir, parce qu'on est dans l'émotion, le sentiment personnel, égoïste (inverse de la "participation", qui nous dira à la fin : "jugez André !"... TNT pour notre tête), nous disqualifiant comme "témoins" de l'héritage. Si le temps est court = non temps, alors plaisir : "rire plus tard".

Un témoignage objectif se passe d'émotions, de sentiments... il sort des chiffres. Mais de l'intérieur, en parlant à des gens qui eux, ont des sentiments, vivent leur témoignage dans leur chair. 

C'est pourquoi Arnaud Mussy réduit le discours d'André Bouguénec a... des contorsions et des ruses, pouvant être quantifiées : "combien de fois André...". Donc contrôlées par le chiffre.

 

Recoupement : 

Telle est la raison d'être de tous les témoignages tordus concernant André Bouguénec, en faisant le procès par une caricature totale, évoquant tels ou tels "signes" (des indices avant de faire la preuve par ce faisceau de concordance), durant un procès inquisitorial, et donc à évincer de nos mémoires tel qu'il fut, pour en faire un être classé et étiqueté à l'avance, réduit, sali.

Or quand le temps passe, on oublie aussi. André accompli sur un "point" tend à faire croire que l'oubli est inéluctable. Qu'il est une conséquence de la perte, de l'éloignement de la "parole" originelle.

il "revient" pour remplacer la parole fine par des détails chiffrés, des "signes" qui ne peuvent plus faire revenir en arrière. Ex : contorsions du temps, évoquées un certain "nombre de fois".

 

André Bouguénec évincé, puisque lui ne "revient" pas du "non temps", mais en "vient", comme un simple nom dans ce système, une donnée et une mémoire, va maintenant s'éloigner par cette nouvelle "perception" s'imposant en notre cerveau, mais avec conservation de son nom, afin d'en tirer toute l'énergie nécessaire à mettre en branle de simples idées dans nos têtes.

"André Est l’Abyssin du Futur, « le Maître de Justice » venu déposer la Conception du Grand Œuvre (avec ses 7 livres). Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en ‘‘p’tit Jésus’’ pour L’accomplir. Je Suis « le Paraclet », « l’Esprit de Vérité » annoncé après Son départ. Tel un tachyon, André a pris soin d’arriver (à travers moi) avant de partir. Alors oui, comme une particule qui remonte le temps, je suis bien André revenu « comme un voleur » parmi vous pour sculpter et sceller la 1ère Pierre de la Jérusalem Céleste (la lettre M). C’était aussi cela le sens caché de « l’Ultime Grand Secret »."

 

"Jérusalem tue et lapide les voyants, c'est-à-dire ceux qui révèlent ses masques et manquements. Dans Thomas Log. 65, c'est l' "héritier" qui est tué." André Bouguénec

 

Mais tué par le langage de l'héritage, amenant une réduction des victimes, quand les autres se grossissent, d'où l'image de la double chair : deux chairs, allant en sens contraire d'évolution ("ADN")... par une ARNaque : celle "d'ARNaud". Le mot "arnaquer" ayant pour sens primitif : « amuser afin d'escroquer ».

 

C'est là la clé de son apparente génération spontanée, issue de rien.

Rappelée dans cette autre citation montrant la contradiction entre un "Fils" de nom, et un Fils de chair.

Cet insert prouvant la fausseté même de cette allégation :

Car "très tôt" est bien la preuve qu'une date a été donnée, celle d'une génération spontanée, issue de rien, alors que le vrai nom n'a pas besoin de date : il "a" au présent, donc "avant" ce "très tôt" TOUTE la reconnaissance d'André, ce dernier terme signifiant "témoignage" après "test". Menant à : Testament. Alors que "joie" et "reconnaissance" ne peuvent advenir que par la preuve du temps, comment pourraient-elles être acquises "très tôt", comme datées. sous la forme d'un "appel", montrant qu'il ne s'agit que d'un titre, d'une étiquette. D'où les guillemets.

"Dieu peut susciter des fils d'Abraham à partir des pierres du chemin, dit l'Evangile, mais ces êtres créés de toutes pièces, même sentimentales et "aimantées" de besoins et d'envies, sont sans valeur. Seul l'Amour autogénéré librement relie l'Humus-Humain au divin." André Bouguénec, Qui créa Lucifer ?

Appeler = Désigner par choix. C'est-à-dire "choisir" un mot pour donner un "titre".

Comment un "Fils", ayant alors EN LUI reconnaissance et joie, pourrait-il avoir été "choisi" par un autre ? Mais "Dieu peut susciter des enfants à Abraham de ces pierres du chemin".

C'est justement ici qu'Arnaud Mussy ajoute cet insert en son "ultime main tendue au Phare-ouest", qu'il voudrait faire passer pour une étiquette avantageuse.

"Alors pour accélérer le processus vers le Bien, il n'y a qu'une seule façon, pour respecter la liberté justement du choix humain, c'est d'accélérer le mal en précisant l'inspiration dans le mal. Comme je dis souvent : "Pour que ça aille mieux, faut que ça aille plus mal, plus vite". Propos complet

"J'ai maintes fois expliqué les raisons de cet antagonisme, de cette influence contraire aux leçons des Inspirés, des Prophètes et des Messies. Le but de la création de l'humain est qu'il devienne un dieu, un fils du Père Divin. Un dieu sans énergie condensée, sans volonté, sans créativité exclusivement dans le Bien, est absolument inutile à l'intention de la Mère de la Vie. Jésus répond dans l'Evangile que Dieu, s'Il le veut, peut susciter des fils d'Abraham à partir des pierres du chemin ! Autrement dit, Il peut transformer toute matière en un fils louable, spontanément !
Cela n'a aucune valeur sans un long procédé d'existence auto-élaborée par un être qui doit chercher, choisir, devenir par sa propre volonté, un être de qualité. Les refus de toutes tentations mauvaises cumulent en lui, une énergie indispensable à sa future divinité. N'oubliez pas : Dieu vomit les tièdes ! Cela veut dire qu'Il les rejette de ses bienfaits et les envoie post-mortem dans les planètes purgatives d'involution". Introduction à Qui a créé Lucifer, André Bouguénec.

Vous avez bien lui : "peut susciter des fils" "à partir de pierres". Ce dernier terme désignant évidemment la matière.

 

 

Etude plus approfondie sur les guillemets, utilisés par André Bouguénec, dans le contexte de propos sur Arnaud Mussy.

 

 Le mot "Testament" signifiant à l'origine "ce qui est mis dans un coffre" (teckhe), et plus avant : "poser", on comprend alors la formule :

- "André Est l’Abyssin du Futur, « le Maître de Justice » venu déposer la Conception du Grand Œuvre (avec ses 7 livres). Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en ‘‘p’tit Jésus’’ pour L’accomplir. Je Suis « le Paraclet », « l’Esprit de Vérité » annoncé après Son départ. Tel un tachyon, André a pris soin d’arriver (à travers moi) avant de partir. Alors oui, comme une particule qui remonte le temps, je suis bien André revenu « comme un voleur » parmi vous pour sculpter et sceller la 1ère Pierre de la Jérusalem Céleste (la lettre M). C’était aussi cela le sens caché de « l’Ultime Grand Secret »."

Comme un voleur... ou "ARNaqueur.

Puis :

- "Saisissez-vous pourquoi le Fils devait poser la lettre M pour rénover le Cube ? C’était pour permettre à Dieu de concrétiser Son Rêve le plus absolu : devenir enfin MERE et PERE dans le cœur des hommes."

"Le fils", c'est-à-dire l'héritier, ayant lui-même posé son nom. On n'est jamais mieux servi que par soi-même, n'est-ce pas.

A noter que "Moïse" représente le parti de la "contorsion", des "juifs s'arqueboutant sur cet héritage" issu d'une succession antérieure...

Autrement dit c'est André Bouguénec comme descendant qui répète la faute historique, se disqualifiant, se dévoilant comme "joueur" acteur d'une tricherie par détournement, excuse ("tricheries du ciel"), que l'arbitre, témoin et justicier Arnaud Mussy va pouvoir mettre "hors-jeu", faire sortir du cercle, par la réécriture d'un nouveau "Témoignage", appelé "Evangile de 900 pages", ou encore "Testament". Ce dernier terme signifiant bien "témoignage".

Le "joker de Dieu" est en ce sens, la "manipulation" opérée par le joueur André Bouguénec, que "l'arbitre Arnaud Mussy" (maitre du temps) va "sortir du jeu" : un "16 décembre" (une date sur le cercle du système), littéralement "l'arrêter".

vec toute "l'assise" voulue. Ce qui explique la forme du cube, imperturbable, quoi que "M  A LA TETE DES APOTRES", dise et donc : décide.

D'où la "mission" d'Arnaud Mussy : réécrire cet Evangile, sans André, "accompli", pour "retrancher" dans la "famille" (le temps linéaire par excellence, héréditaire et le monde réel). Retranchement précisé par la couleur d'un éloignement (géométrie), d'un oubli, représenté par la couleur grise. 

Alors le justicier peut devenir juge, c'est-à-dire décider, en effectuant sa "mission" finale...  : Etre le chef.

 

 

Voilà comment son "message" progressa au Phare-ouest, comme dans du beurre, pour détruire la filiation, au nom de la filiation, pour nous engager sur la seule dont il pourra maitriser la définition, celle de la classe de la majorité, de ceux qui "participent", laissant coi les autres, devant toutes ses décisions.

C'est ce qui est dit dans cette formule, où le "tackyon" "remonte le temps"... de vos précédents engagements, pour vous forcer à "participer à la loi de l'opinion générale : "Tel un tachyon, André a pris soin d’arriver (à travers moi) avant de partir. Alors oui, comme une particule qui remonte le temps, je suis bien André revenu « comme un voleur » parmi vous pour sculpter et sceller la 1ère Pierre de la Jérusalem Céleste (la lettre M). C’était aussi cela le sens caché de « l’Ultime Grand Secret »."

La référence à l'Ultime Grand Secret renvoie au texte qu'il y inséra, et qu'André titra : Opinions de lecteurs, puisque précisément, il décrit des "lecteurs" (signifiant : celui qui choisit, s'engage sur le sens d'un texte... à supprimer), "enthousiastes" (non dépressifs), "rentrant dans les livres"... d'André Bouguénec.

 

Et plus les valeurs abstraites, invoquées par Tartuffe, seront élevées, plus le sacrifice demandé au nom de ces mêmes valeurs, sera important, mais aussi votre déprime si vous contestez son pouvoir, ne reposant que sur l'étiquette de "fils" ou de "témoin", terrorisante.

Ces réfractaires seront les "traitres" qui subiront le jugement du prétendu "humaniste", pour les exclure du "ciel", c'est-à-dire du groupe, en les traitant de "fous", dès lors qu'ils ne suivent pas "l'amour". 

Ou dit autrement : "dès lors qu'ils ne le poursuivent pas" dans sa forme naturelle. Donc dès lors qu'ils ne le jugeront pas pour en imposer la forme quantifiée, celle qui peut tout permettre.

D'où le "sage" est celui qui ne suit pas l'amour, mais au contraire l'impose... Car le mot "amour", comme le reste, a ici deux définitions. La première (accusée de tyrannie !) devant à terme être remplacée par la seconde, dite "humaniste", mais tellement vide, que son sens deviendra bien plus tyrannique.

 

Recoupement :

"A moins d'être un despote, nous savons tous que les relations entre un Père et sa progéniture ne peuvent indéfiniment s'inscrire dans la stricte observance des lois. Alors, Dieu, par l'intermédiaire de Jésus, fit naturellement évoluer cet échange par des principes qui privilégiaient non plus le simple respect, mais l'Amour de l'autre... Le précepte « Tu ne tueras point » s'est transformé en « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Le processus est exactement le même au sein d'une famille : dans UN PREMIER TEMPS on incite un jeune enfant à partager... puis, dans UN SECOND TEMPS on l'enjoint d'aimer ses frères."

Que voilà de "l'amour" qui fonctionne comme une horloge.

Ce à travers un procès (processus = temps) DE LA PREMIERE FORME D'AMOUR, tirée de l'hérédité ("Jésus"), commué en "précepte"... pour changer progressivement : dans un premier temps... dans un second temps... "injonction"...

 

L'accusé en chef, celui qui est tellement déprimé qu'il se saborde lui-même, c'est André Bouguénec : "La ruse la plus importante est sans conteste celle qu’André S’Est réservé à Lui-Même et qui vous a tous échappé ces 72 derniers mois."

 

 

"Comprendre"

Le mot grec pour péché est Hamartano, signifiant également "ne pas participer", ce qui sera la conséquence de notre "non compréhension". 

D'où : pour "comprendre" - et ainsi "participer" - les "ruses du ciel", d'où découlent les "contorsions du temps" (désinformation, manque de clarté, manipulation, etc.), nous devons rentrer dans l'abstraction : "déchirer notre perception linéaire du temps". Déchirer signifiant sacrifier notre chair, notre vécu réel, senti, et participer de ce procès contre André Bouguénec.

 

Reprenons à présent notre courrier par une de ces images de la force :

D'où :André Bouguénec "vient" du "non temps", quand Arnaud Mussy en "revient".

"Revenir" c'est créer un cercle, un système complet, de contrôle sur le temps, par le "non temps", qui lui est défini par le critère de la vitesse : son repère, son échelle ("échantillon"), étant définie sur le "temps" du "tackyon", c'est-à-dire l'absence de temps, quand André Bouguénec est reconnu par ses répétitions ("combien de fois André évoqua..."). 

En systémique, on sait que la répétition est considérée comme une "perte de temps", et le signe (mathématique, mesurable), qu'il faut passer à autre chose.

A quoi ? A la "participation", c'est-à-dire que cette prétendue "liberté" sera assurée par l'intégration de la loi du système, le nombre, qui permet d'éliminer les "égos", ralentissant le groupe, car parlant la langue de la vie, de l'étude et de l'effort contre la facilité de la vitesse. 

C'est la langue du chiffre, qui va donc devenir la nouvelle langue-repère, comme "langue de la justice", langue du "non temps", parlant tous les temps en contradiction, pour trancher sur LA conséquence voulue. 

Qui ne "participe pas", est retardataire, sera assez "fou pour ne pas suivre l'amour", verra son "temps" de retard compté et devra "payer" au prorata de ce retard.  

C'est-à-dire que plus nous nous référons au témoignage du temps, plus nous sommes coupables.

 

Et donc à l'opposé, forcément, plus cette réalité sera niée pour lui substituer le critère nouveau d'un "salut" par le fait de "rentrer" dans le "cercle" du "non temps", de la vitesse, de la langue de la "simplicité", de la mécanique et des classes visuellement incontestables, amenant les esprits épris de vitesse, à rentrer dans cette logique.

Le "test" nivelant de la vitesse remplacera ainsi le test du temps.

D'où par exemple la première des qualités décrites de son "texte" Testament, sera d'être "un concentré de la Mémoire Akasique ou du Testament Omega de Dieu". 

C'est-à-dire qu'Arnaud Mussy parle deux langues en même temps, lesquelles permettent toujours de tirer deux sens différents.

Exemple avec le mot "non temps" qui peut signifier "tous les temps", donc éternité, temps de la vie (d'où : justice par le test du temps, le travail, l'étude, le mérite), mais aussi "absence de temps" : non temps, signifiant alors "ensemble", puis classes d'individus s'opposant. Pour amener : Tri et purification.

Les deux sens étant tous deux audibles, des partis vont se créer. Chacun des camps entendant le "futur" selon deux logiques totalement inverses. Alors Arnaud Mussy, parlant évidemment les deux langues en même temps, pourra apporter la "paix" (sa "Jérusalem") en proposant une solution jugée valable pour raison d'exception, de laquelle il tirera sa future place de juge. La solution faisait toujours appel à la langue des chiffres, de la "participation", sera celle du camp de la force, mais toujours dite "au nom de l'enseignement d'André Bouguénec", alors même qu'il sera éliminé dans cette opération. 

Exemple : si "André vient du non temps" et qu' "Arnaud Mussy en revient", c'est que l'un des deux est plus rapide, et pourra à ce titre, contrôler le "futur" en son nom, tout en l'évinçant. Dans les mémoires. 2 - 1 = 1.

A terme, il suffira de dire : puisque ce système peut s'appliquer à l'homme intégralement, pourquoi conserver le "Joker de Dieu", qui nous a trompé avec ses "tricheries", alors que la langue des chiffres est si simple, si claire et si efficace.

 

Geste recoupé par la description de "l'accomplissement", cette fois, d'Arnaud Mussy : "Aujourd’hui, j’ai accompli la 8ème Gradation divine du Cube : sa Métamorphose en Œuf du Monde, reflet de la Globalité." Un "oeuf" c'est ce qui grossit, et fait naitre. Naitre par les lois prises au monde, c'est-à-dire par la raison, "reflet" mental de la "globalité".

 

Qui oserait s'opposer à "celui qui revient du non temps" ? Cette formule creuse, mêlant culot accompli et géométrie, n'étant qu'une simple étiquette pour terroriser les spiritualistes.

Et rappelons-le, plus on va vite à obéir au "non-temps", moins on devra "payer" aux yeux de la loi. Le non temps servira donc un système de peur, de terreur de ne pas se soumettre à ce mot - masque de la justice et de celui qui parle en son nom, qui deviendra la clé de l'injonction : obéit vite au message "pacifique" du "non temps", si tu ne veux pas être exclu du "ciel", de la bonne "société".

 

 

 

La langue de l'analogie Dieu | Simplicité matérielle

Tous les éléments de ce texte sont inscrits dans un système temporel mécanique, s'exprimant dans la grammaire du langage-machine, dont la valeur dépend de... la bonne mise à jour : déclenchement (d'une machine, d'une décision sur critère d'un calcul), basculement (selon un poids), suivre (passer d'un point à un autre), tout ce qui relève des lois de la matière, transcrites dans du chiffre.

Autant de termes emprisonnant l'homme dans des mécanismes s'engrenant de proche en proche, pour établir une chaine (d'images) parfaitement fermées, faite de dates, "d'heures", de mois et d'années, commençant par des "combien de fois" (création d'un raisonnement probabiliste, amenant à induire ce qu'on voudra, mais déclenchant quoi qu'il en soit, une réflexion). On a encore : "venir", "revenir", "non temps", arriver, "huitième gradation" (ou "grade"), "appuyer, "mener à terme", "basculer", "fonds", "suivre", "cube", "échantillon", 1/125, etc. etc. etc.

Le "cube" devient un fond, l'assise prouvant une "sincérité"...  (celle de l'avocat des "trompés" attendant de prendre la place du juge, bien plus violent car maintenant approuvé non plus sur le rapport de la réalité mais de simples noms).

Les moteurs omniprésents désignent autant de systèmes de noms induits par des chiffres qui une fois admis ne peuvent plus disparaitre de notre conscience (nous les détaillerons mieux un peu plus bas).

Tout y est limité et fini afin de former une véritable cage pour l'esprit, et une destruction progressive de l'âme qui remplace tous ses concepts par des notions toutes obligatoirement chiffrées, nous empêchant d'y trouver tout rapport avec le concret, l'héréditaire charnel, réel.

Descartes, ou Kant : Nous possédons en nous les lois simples de la compréhension des lois simples de toute matière. Comme... tourner, suivre, atteindre...

Puisque tout se suit, tourne... c est que tous les objets nommés sont analogues à des mécanismes, mus par des lois matérielles : attraction et levier, pour en tirer une force faisant taire les faibles, ceux qui ne comprennent pas pourquoi "l'amour" serait à "suivre", mais qui ne peuvent y trouver de réfutation.

Pour réaliser une âme totalement mécanisée, de plus en plus conditionnée à force d'engagements successifs.

C'est le sens de l'image du papillon, qui, dès qu'on lui a touché les ailes, reste à terre, appesanti par la force, ici, d'un langage, passant par notre cerveau.

"Je ne vous en dit pas plus, de peur de vous brûler les ailes" (oui, car il faut aussi que ce processus soit progressif pour ne pas qu'il puisse être perçu, sans quoi il échouerait).
 

Son "coeur" mécanique, n'est-t-il pas, par analogie avec celui de la Révolution copernicienne, une reproduction de la loi de "l'attraction universelle" : "la QuintEssence insécable de cet Amour Éternel qui ‘‘Aimante’’ Tout l’Univers" ? 

 

Les forts en gueule, qui comprendront peu à peu ce code, finiront par mettre au pas les autres, en leur "prouvant" la faiblesse de leur langage trop lent, donc punissable, par leur langage même...

De silence en silence, c'est finalement tout le langage d'André Bouguénec qui finit par ne plus rien vouloir dire, sinon ce qu'en décidera le nouveau chef, qui pourra alors tout faire gober en son nom.

 

 

 

Révolution et retournement des définitions du Ciel

"LE RETOUR DU CHRIST = 216, c'est-à-dire du Verbe."

...

"Pour son retour, à travers l'ALPHABET (= 77) français".

...

"Le plus important est-il de vénérer l'Homme Jésus - y compris pour son retour - ou d'assimiler quotidiennement la substance de son message ?"

...

"il est logique que le retour du Verbe soit symbolisé par le "Z - A"

Satornet, Arnaud Mussy

 

Dans ces quatre exemples, le "retour", est explicitement associé au langage. Le retour, c'est le retournement d'un homme, par le retournement de son langage, c'est la création d'une nouvelle définition des mots de notre enseignement et de notre langage naturel.

Pour un "règne" :

"Voilà, Il tient ses promesses et comme le dit si bien la prière : "son règne arrive". C'est discrètement que se réalise le retour du Verbe, afin de révéler ce qui demeure pour l'homme, un mystère : son origine angélique, son "PRESENT" (qui est aussi un cadeau) si important dans la perspective d'un futur état... androgyne et divin."

Ce "présent" c'est le retour, justement, du non temps, signifiant "présence" totale, quand les partis (passé et futur), se déchirent entre eux. 

Car dans la prose d'Arnaud Mussy, c'est toujours la même trame logique qui revient, revient, et revient encore.

Ne... "revient"-il pas du "non temps" ?

Sa "présence" c'est une unité, qui englobe le réel, les portions, qui elles "participent". Sont les "atomes" en "attraction" (donc non incluses parfaitement) dans son "coeur", dont le centre maintient tout le système, et qui paraphe "M". 

Pourquoi cette présence est-elle totale ? Parce qu'à la fin de son "parcours", il maitrise tout le vocabulaire et ses définitions. 

Le mot "amour" par exemple (dans Satornet, ce mot est, écrit-il, symbolisé par la lettre "M"), va parler à tous les camps en même temps, mais comme il est géométrisé (il faut "suivre" ou "ne pas suivre" l'amour), il pourra prendre tous les sens voulus. En parlant alors de façon équivoque, les deux sens pourront être entendus différemment par les partis en lice. 

"il faudrait être fou pour ne pas suivre l'amour", signifiant, selon qu'on est attaché au réel, que le sage cherche à épanouir l'amour, mais signifiant aussi, si l'on est partisan d'un procès contre le "tricheur" nous faisant perdre du temps, qu'il faudrait être fou pour ne pas... faire un procès à l'amour dans son sens le plus faible.

Alors l'amour peut prendre un sens fort, qui requière des "décisions" difficiles, en "temps de crise", etc. Quant à ceux qui ne veulent pas lui faire un procès, ils deviennent, selon ce sens fort, des "opposants au groupe". Ce sera donc le sens admis, peu ou prou ("discrètement", comme dit juste au-dessus), pour retourner... le "christ", en faire un coupable. 

Le sens le plus fort sera alors défendu par ceux qui voudront sauver leur peau, pour un "futur" (puisque cet "amour" nous freine, ne nous permet pas de "survivre").

Voilà comment tous auront admis cette phrase "amicale", s'y seront engagés, pour qu'elle se "retourne" contre eux à la fin du prétendu débat.

 

Recoupement :

"A moins d'être un despote, nous savons tous que les relations entre un Père et sa progéniture ne peuvent indéfiniment s'inscrire dans la stricte observance des lois. Alors, Dieu, par l'intermédiaire de Jésus, fit naturellement évoluer cet échange par des principes qui privilégiaient non plus le simple respect, mais l'Amour de l'autre... Le précepte « Tu ne tueras point » s'est transformé en « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Le processus est exactement le même au sein d'une famille : dans UN PREMIER TEMPS on incite un jeune enfant à partager... puis, dans UN SECOND TEMPS on l'enjoint d'aimer ses frères."

Que voilà de "l'amour" qui fonctionne comme une horloge.

Ce à travers un procès (processus = temps) DE LA PREMIERE FORME D'AMOUR, tirée de l'hérédité ("Jésus"), commué en "précepte"... pour changer progressivement : dans un premier temps... dans un second temps... "injonction"... où l'avocat ("intermédiaire" pour nous sauver du tyran et de ses "los strictes")), devient celui qui tranche à la fin du "procès" (premier temps, second temps...), pour "enjoindre" (force) à l'amour (mot que personne n'osera lui opposer sous peine de PASSER POUR UN FOU).

 

Le plus rapide survit car il maitrise les chiffres, à su, lui, "déchirer sa perception du temps linéaire", l'ôter de sa chair, pour ne conserver que le temps contrôlé par le mental, calculant tout : temps et espace comme exceptions : "aujourd'hui", pour conclure par "je sais que ..."

Or le "non temps" c'est, dans notre imaginaire, le temps du sas, du moment du choix dont la sortie est également : mort ou survie. Qui renvoie aussi au "ciel", lieu où siège le "juge", celui qui accorde "futur"... ou pas, à la fin du "tour", de la "révolution" (mot signifiant très exactement retour). Révolution inverse, vers le matérialisme (puisque le "tackyon" remonte le temps", transmue notre infini réaliste, en fini, arrêté et verrouillé). 

Révolution "accomplie" et fêtée un 16 décembre, ou un 14 juillet...

 

D'où la terreur comme clé de la pression et... de ce savoir, celui de la menace de mort immédiate... brutale, la décision d'un rejet hors-"participation" (le "fou", qui n'a pas voulu accepter la logique du procès, est rejeté, est le "bouc émissaire")

Le réfractaire, réputé de "mauvaise foi" par le procès d'intention (les isolés sont des "égoïstes", ne "participant" pas), aura l'âme sale, et pour cela sera rejeté de cette "bonne société" d'élites, de "choisis", d'élus (nous verrons comment) au nom de "l'amour" fort (= participation), de ceux qui vont "survivre".

 

Ceci afin de faire exploser le cerveau de ses contradicteurs, pour peu à peu inverser les lois du "ciel", en les tordant graduellement pour les faire tenir dans les seules proportions de la Terre, symbolisée par "M" (comme Matière, puisqu'on est dans le cube nommant MES, dont les initiales sont l'acronyme connu : Matière-Esprit-Science).

 

Le "non temps" c'est la croyance qu'un arrêt doive s'opérer dans notre propre évolution linéaire, dans notre temps, pour lui opposer une vision morte, figée, répétant constamment ses propres schèmes.

Cet "arrêt du temps" n'étant qu'un arrêt... momentané dans un programme qui "reviendra" sans cesse sur cette forme, jusqu'à ce que sa "probabilité" passant dans des formules équivoques, devienne "vérité". C'est tout simplement le phénomène de l'induction, issu d'une technique probabiliste, qui amènera à faire grossir l'idée mathématiquement et - bien que "discrètement" irréfutable. Notre propre cerveau n'y pourra rien.

"Revenir du non temps" c'est en être tiré comme chef, à l'infini : "re"-venir, re-faire le procès, en permanence. Les décisions du "juge" invisible, caché derrière le mot "amour", renforçant ainsi sans cesse le très concret pouvoir d'Arnaud Mussy.

C'est ainsi que tout notre langage se retourne contre nous-même.

Arnaud Mussy "revenant" de ce non temps, va plus vite qu'André qui en "vient", et s'égare par rapport à la précision du retour de "M", au centre de tout. La force des images géométriques est imparable pour prouver une certaine "destination" et PRE-destination.

"Alors, basculez vite" = votez logiquement !

"avant que l’Univers TEMET de la Mère ne mette l’OPHNAR et l’homme à terre… " = le vote ayant en lieu "avant" la mise en place de la loi de la terreur, qui vient elle, "après" le vote, l'engagement, la signature. "M" signant lui aussi par ce paraphe, signifiant qu'il est le seul à "pouvoir tourner la page" de l'hérédité, de la succession (SATOR). 

La loi prend en compte le maximum d'espace sur le plan horizontal et vertical : la puissance du "bras de Anna" qui met " l’OPHNAR et l’homme à terre" en cas de refus de "l'amour". Plus légal et plus fort on ne peut pas faire. Rappelons ce que nous disions plus haut : "l'ophnar", c'est pour Arnaud Mussy; "l'infini", dans notre tête (forme de l'OPHNAR).

Déposition (justice) : Action de faire une déclaration en justice; le contenu de cette déclaration. De depositio « action de déposer; déposition (en justice), destitution », dér. du rad. du supin depositum de deponere « mettre à terre, déposer ».

Déposer c'est préparer le procès pour les "traitres". 

Le dépositaire d'un Testament... : personne à qui on a confié un dépôt : Les 7 ouvrages d'André.

D'où l'on peut à présent comprendre : ""André Est l’Abyssin du Futur, « le Maître de Justice » venu déposer la Conception du Grand Œuvre (avec ses 7 livres). Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en ‘‘p’tit Jésus’’ pour L’accomplir. Je Suis « le Paraclet », « l’Esprit de Vérité » annoncé après Son départ. Tel un tachyon, André a pris soin d’arriver (à travers moi) avant de partir. Alors oui, comme une particule qui remonte le temps, je suis bien André revenu « comme un voleur » parmi vous pour sculpter et sceller la 1ère Pierre de la Jérusalem Céleste (la lettre M). C’était aussi cela le sens caché de « l’Ultime Grand Secret »."

Qui ne "vote pas" pour l'élu subira la punition, après procès en "trahison" : "pour avoir autant corrompu l’Esprit et le Message d’André en Parcours." : en procès.
  
Notre compréhension de son code, est mesurée comme poids de notre salut, contre la Faute et le péché : "transgresser le message"... mentionné tout de suite après la mention de "M A LA TETE..." : "vous avez transgressé le Message avec : ARO sur ARNO qui est assez fou pour se croire à la TÊTE des APÔTRES".

Le "fou" désignant ici selon le sens du pouvoir : celui qui joue avec les mots. 

L'esprit c'est le cerveau calculant : 2 - 1 = 1. Et rien d'autre : "nous sommes 2 dans le non temps", puis "1". On ne peut pas faire plus clair.

"Vous pensiez qu’André Était le Fils de l’Homme revenu accomplir les Écritures ? Eh bien cela n’a jamais été aussi vrai ! À ceci près que Nous Sommes 2... Mais dans le ‘‘non Temps’’ de l’Univers TEMET – eh oui, il fallait opérer une petite greffe au cœur de la Croix TENET pour la rénover – nous ne faisons qu’1. "

 

A quoi suit : "la mission finale d'Arnaud Mussy" : le pouvoir total après le procès : "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA", exerçant une "mission" (ce qui demande forcément du "courage" et du "coeur") : "Ecrire un nouveau texte" pour remplacer l'ancien : son "Evangile de 900 pages", dont nous parlerons plus bas.

Toute cette opération devant amener à la concrétisation d'une nouvelle société : la "Jérusalem céleste" (ville de la paix).

 

La révolution copernicienne devenant le modèle scientifique, comme elle le fut en 1789, de la révolution sociale, grâce à un changement de paradigme, de vision (de "perception déchirée" : dé-chirée = ôtée de notre chair), dominée par l'abstraction, un retournement de l'homme par son propre langage.

C'est conserver les mots du procès, tout en changeant le sens, en le rendant implacable, cruel et hors-sol, puisque décrété selon notre compréhension, non pas des choses réelles, mais d'un langage. Qui comprend le sens propre au pouvoir, est sauvé, même s'il doit y mettre le prix, se taire et laisser "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA". Les autres seront éjectés. C'est tout. C'est d'ailleurs le sens du dilemme final : "là".

 

Qui est "petit" est faible et mérite d'être "écarté", qui est "grand" est fort et "participera".

"REvenir" du non temps c'est grandir, c'est se répéter... "Venir" c'est aller et se désorienter.

Comme le sens du non temps spiritualiste est détruit, mais que le mot "non temps" est conservé, il permettra à "M", aimé aveuglément, de dire (PAR ORA) ce qu'il voudra, sans avoir à se dédire.

Il pourra à jamais "revenir" pour inventer ce qu'il voudra, de... définitif. Avant de recommencer.

 

 

 

Le sens inversé du "non temps"

Se faire Dieu à la place de Dieu est le "REVE" même de Lucifer, inversant pour cela les mots, celui de "Dieu" désignant forcément alors : le Diable. Alors le système d'inversion est complet.

Incidemment, voilà la raison pour laquelle il fallait tellement ridiculiser et réduire André Bouguénec à "celui qui se prend pour Dieu", afin de mieux le remplacer tout en feignant la fidélité, pour en conserver le rapport au nom... Ce pour mieux l'évincer en devenant peu à peu le "recours" (l'avocat) des pauvres victimes phare-ouestiennes, du "despote" et "tricheur" André Bouguénec.

Le cerveau étant incapable de comprendre en temps réel, un discours qui dit une chose et son contraire en même temps : qui "aime" André Bouguénec, et qui l'évince à la fois. 

C'est par la destruction de la logique naturelle, humaine, la logique temporelle classique, que Lucifer peut ainsi prendre le pouvoir... sans se faire voir, en restant à jamais invisible, parce que sa langue emploie des termes sortis de tout contexte concret, et par-là même impossible à définir, à comprendre.

Etant le plus "fidèle" de tous (ex : "je me revendique à 100% d'André Bouguénec - soit par un chiffre terminal d'une évolution probabiliste, d'une induction), on ne peut le mettre en doute sans se mettre en doute soi-même, sans se tirer une balle dans le pied aux yeux des autres membres de la communauté, de l'opinion plus exactement.

 

Les fêtes révolutionnaires, et tout leur vocabulaire sont un parfait exemple de cet "entrainement" mécanique à la "régénération" du "peuple" pour "l'amour... du Roi d'abord, puis finalement de "la nation" coupant la tête du Roi, après son procès, les avocats devenant juges et enfin bourreaux sans pitié - puisqu'on est jugé que sur le rapport du nombre, de notre position dans une classe.

Amenant la terreur au nom de la "régénération" et des termes volés à l'Ancien Régime - y compris religieux. Comme le mot "âme".

"Vous concernant, il n’était pas difficile de suivre André à la fin de sa vie (symbolisé par la face accomplie du Vieillard de la Prudence). C’est pourquoi, en partant, il voulut tester le fond de votre âme pour savoir qui aurait suffisamment de Foi parmi vous pour le suivre dans son Accomplissement final ? Et ce, sans statut, à travers la dernière personne arrivée au P.O., affublée d’une apparence différente et plus jeune."

André Bouguénec en procès donc (par la facilité du chiffre, de la classe), parce qu'il voulut écrire un testament ("tester") sans fond réel, l'âme n'existant pas, ce même André Bouguénec, le sachant, selon les termes de l'accusation.

Autrement dit André se sentant "découvert" par le rationaliste Arnaud Mussy, se cherchât ultimement des alliés... comprendre des bonnes poires.

 

Ou encore par le mot "accomplir", quand André Bouguénec, est "accompli" (= j'en ai fait le "tour") un 16 décembre, jour de la fête révolutionnaire et cannibale des Saturnales, qui conduisirent historiquement à nos carnavals, où la lie du peuple brulait les rois - fêtes qualifiées par René Guénon de sataniques.

On lit plus bas en ce Courrier, que "trahir" "le message" "D'André Bouguénec" (d'abord dévoré par le rationaliste "message" de "M", invoqué plus haut), c'est manquer de "coeur" et de "courage", termes glissants si proche de la cruauté, parfois nécessaire dans des situations dites d'exception.

 

Ce qui amène : André Bouguénec a mis notre foi à l'épreuve concernant Arnaud Mussy, dévorant André Bouguénec. Ce qui est vrai, mais forcément dans le sens où André Bouguénec ne valida pas Arnaud Mussy... 

Test, donc mise à l'épreuve de notre "foi" dans une question "pour savoir". Ce qui relie Arnaud Mussy grand inquisiteur (car c'est bien lui qui pose la question), et une question "pour savoir".

"Vous concernant, il n’était pas difficile de suivre André à la fin de sa vie (symbolisé par la face accomplie du Vieillard de la Prudence). C’est pourquoi, en partant, il voulut tester le fond de votre âme pour savoir qui aurait suffisamment de Foi parmi vous pour le suivre dans son Accomplissement final ?" "Le" du verbe "suivre" renvoyant à Arnaud Mussy réduisant tout notre langage à des normes finies, y compris l'amour, puisqu'il dit aussi "il faudrait être fou pour ne pas suivre l'amour".

Car cette "foi" testée, n'est que la foi dans la croyance qu'il est possible de se fondre dans un langage, pour se l'accaparer et dominer les autres, par son biais. 

D'où cette "foi" concerne un personnage de théâtre "affublé" d'une "apparence plus jeune" : le calcul, le langage fini de la science matérialiste.

Le nom "André" "accomplit les écritures", car celles-ci sont conservées comme noms. Utiles pour pouvoir ferrer les victimes de ce stratagème, consistant à mener les gens par leurs propres mots, en prenant littéralement possession du corps, de celui qu'on veut détruire. 

"D'où : "Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en ‘‘p’tit Jésus’’ pour L’accomplir. Je Suis « le Paraclet », « l’Esprit de Vérité » annoncé après Son départ. Tel un tachyon, André a pris soin d’arriver (à travers moi) avant de partir. Alors oui, comme une particule qui remonte le temps, je suis bien André revenu « comme un voleur »" C'est clair, non ?

 

Pour finalement revendiquer ce "coeur" d'exception en lien direct avec le courage de la parole simpliste, ce qui lui donne sa "force" pour épurer la société "future" de ces gêneurs qui "prennent leur temps", ne font pas dans le "facile".

 

   

"Revenir" du non temps = symétrie

"Revenir du non temps" c'est créer un axe de symétrie entre la Terre et le ciel, entre le passé et le futur, entre l'infini et le fini, entre toutes les catégories de notre enseignement, pour pouvoir créer un système complet de doubles définitions permettant de classer les attributs, selon la place et la classe à laquelle apparient leur porteur dans ce système où tout est situé : "M" au centre.

Donc selon notre situation par rapport à lui.

Les mots servant à décrire chaque portion de la symétrie n'ont évidemment plus le même sens selon le côté, où l'on est situé. 

Il s'agit pour "M" (une lettre symétrique), de  transformer l'infini en fini et placer les deux sens possibles de chaque "temps", dans une formule unique, possédant sa propre symétrie inverse. Ceux qui croient au temps mécanique ("technique") et à la vitesse, seront les élus positionnés sur le "futur". Les autres, croyant au temps intérieur seront positionnés côté passé, et s'éloignant, ce sont les faibles.

"Cet Art du Verbe appliqué à la langue française trouve sa paternité dans la Kabbale Juive ; notamment à travers les "techniques" suivantes (par commodité de lecture nous avons placé les exemples dans la rubrique "recoupements", proposée à la fin du texte).
...
La Thémoura : consiste à changer l'emplacement des lettres d'un mot pour établir une analogie (cf.: l'anagramme).
...
La Phonétique : consiste, comme vous le savez, à jouer sur les sons de certains mots afin d'établir des analogies."

 

L'usage de l'analogie, invoquée dans Satornet, comme clé de son discours "artistique" mais au sens grec de "teckne", puisqu'il l'appelle aussi "technique", trouve sa solution dans une forme unique reliant les deux "partis".

Ex : la symétrie de la TETE du "christ", dont une seule va regarder vers le passé, et s'éloigner visuellement, se "griser" (comme "forme"), à quoi se rajoute l'opération 2 - 1 (bis = 2 - 1). Le visage, c'est la TETE, le "chef", etc.

 

Le centre du cube, est aussi un carré démultiplié, où "M" a atteint la "huitième gradation du cube" (un "grade"...), le chiffre "huit" symbolisant l'infini, dans le fini, et... une symétrie dans sa forme, à : "atteindre".

 Le "cube" justement, comporte 125 micro-cubes, représentant chacune des caisses de résonance de la pensée de "M". Mais lui, a "atteint la huitième gradation du cube". Ce qui amène pour chacun des micro-cubes : 1 / 125 = 0.08. Une fraction relative qui étrangement donne un chiffre parfait, le même. Ceux-là "participent", mais en tirent leur esclavage des "chiffres-mots" d'Arnaud Mussy. Là encore nous trouvons une symétrie inverse. 

Chaque mot, une fois qu'il est "revenu" du non temps infini, est désormais vidé de sa chair ("déchiré"), mais doit toutefois perdurer comme nom, comme simple signe (étiquette pour un classement et un jugement) et son, vidé de sa substance temporelle, de son "temps", de notre passé, notre histoire, notre mémoire, etc.

En retournant par exemple le "temps" infini en temps de la vitesse, mais sans le dire, et permettre ainsi à deux camps de se former, chacun entendant cette expression à sa façon. Lesquels finiront par demander un arbitrage, c'est-à-dire une décision.

Et qui sera le mieux placé pour la donner, en toute humilité ? Le créateur même de ce débat, évidemment. 

Mais ce tri, établi à partir de cet "échantillon" (pour un test mené de façon purement scientifique, !), "échantillon du futur", apportera la paix scientifiquement, en se servant des mesures mêmes qui auront été placées subrepticement dans le débat : des majorités et des minorités, les premières parlant le langage de "'la simplicité" (images géométriques, tout de suite "compréhensibles").

  

 

Quelques images de symétries :

On trouve d'autres symétries similaires et parfaitement subliminales (tous les coups sont permis) en ce courrier, comme celle qui passe par ses couleurs si attrayantes, si ludiques, peignant les "mots" de ce pur schéma, incluant Arnaud Mussy en plein centre, et dont voici la liste dans l'ordre d'apparition : André ; Lui ; Sommes ; André ; Lui ; Tachyon ; André ; 62 ; Père ; Rejeton ; Enfants ; Père ; André ; face accomplie ; Moïse ; Jésus ; André ; Arno ; Vieillard ; André ; André ; Jésus ; Bang ; opéra ; André ; ADN ; Couple ; André ; André ; Christique ; couple ; Christ ; Christ ; Vierges sages 153 ; André ; Christ.

Il y a en tout 36 sujets nommés. S'étonnera-t-on de ce que le mot "Arno" soit placé exactement à la 18ème place (comme la lettre "R" de retour = révolution), mais aussi comme "coupe" de cette symétrie. Il est : celui qui tranche.

La répétition régulière du mot "André", à intervalles régulier, allant du centre vers l'extérieur, était évidemment attendue.

 

La pagination est très étudiée elle aussi. En effet toutes les grandes étapes et personnages présentés en cet ensemble, le sont en "tête" de page. Quelle spontanéité, quelle vie dans l'écriture ! Tout est cadré, millimétré. Pas un mot ne doit déborder.

On a ainsi :

Tête de la page 1 : Aujourd'hui, André est accompli ("accomplissement comme accusation et épuration)

Tête de la page 2 : André est l'abyssin

Tête de la page3 : Notre mission finale... (au centre de ce nouveau système)

Tête de la page 4 : Aujourd'hui j'ai accompli

Tête de la page 5 : (Mon) parcours (daté) du 16 ( = 24). (un point 0 en conclusion, pour indiquer son éternel renforcement)

 

"M" est un paraphe. Paraphe vient de "paragraphe", du latin paragraphus. C'est un titre  

 

 

La porte de la Basilique de Vézelay : un autre sas

Le procès faussement religieux sera imagé plus bas par le sas représenté par la porte, ou le Narthex (jugement et porte permettant le passage du profane au sacré, mais aussi forcément : l'inverse) de l'abbaye de Vézelay, montrant les "apôtres" en jugement, à la TETE de qui, "M" se trouve, rappelons-le. 

Le mot Narthex signifie "férule" : Direction rigoureuse, autorité sévère, domination, despotisme de quelqu'un ou de quelque chose.

Ce jugement les sauvera ou leur fera "perdre la tête", nous dit l'adepte des couperets révolutionnaires, datés comme tels.

Dès lors, il faut choisir : trancher, pour passer la "porte". Et quand on ne comprend rien, on fait appel aux plus in-formés.

D'où : le Phare-ouest, mis sur la sellette, ici, du tr, qui "tranche" la tête des faux apôtres, après passage par l'abstraction :

1 - Famille naturelle
2 - Famille dégradée, ternie (comme Couple et alchimie, lointain, trouvé par le "bras" d'Arnaud Mussy à... "Ternes") et mise en croix, pour effectuer un tri, une s'élection, la couper, en lui faisant perdre la couleur de la chair, ternie car mise en perspective, évoquant à un mouvement de disparition, dans le lointain, vers la petitesse, l'entropie.
3 - "Apôtres ayant perdus la tête", accusés par la matière, le chiffre qui conclue.

Le tout présenté sous la forme schématique d'une pâle de moteur, dont le mouvement... incitatif, est figuré par les flèches.

 

   

 

L'accusation du parti caricaturé du "passé", lourd et dégoutant

Pourquoi procéder ainsi ? Parce que la position de l'usurpateur est minoritaire, quand le discours à supprimer est au contraire majoritaire, de sorte qu'on ne puisse le détruire ouvertement. Si Tartuffe annonçait d'emblée son projet de prise de pouvoir et de (ou par la) destruction de nos valeurs, il serait évidemment rejeté.

Alors il s'invente une majorité par le mot "amour", et une minorité par le mot "fou".

Le faible, le minoritaire réel, va faire en sorte que sa cause devienne la plus forte dans le langage. Pour qu'elle progresse invinciblement.

L'idée à rejeter recevra des termes impliquant le dégout, le rejet, la faiblesse et la mort, etc. et l'autre amènera l'assurance, la force, la survie. Toujours par l'équivoque, les analogies implicites, le jeu avec les mots.
 

Qui est accompli à date T, s'éloignera. Qui est accompli sur la "huitième gradation du cube", grossira "systématiquement" "tous les 16 décembre", donc se rapprochera pour mener son procès.

Comment amener à décrire le passé comme "minoritaire", à retrancher ?  

Le contraire du mot "avenir", n'est pas "passé", mais : aller, disparaitre, envoyer, quitter, s'en aller, s'enfoncer, autrement dit aussi, pour faire allusion aux prévisions de René Guénon, se dissoudre.

Qui va vers le passé, est affublé de la lourdeur, il prend du poids, s'écrase et rapetisse, perd en vitesse, pour disparaitre, comme le bouc émissaire dans le désert.

Cette "lourdeur" suggérée, ayant pour conséquence notre rapetissement, et notre rejet consécutif du "futur". Ce rejet (dans le désert) représente l'angoisse primitive de l'homme, sa plus grande peur : la mort.

Or ces formes ne sont décrites et nommées que par leur incidence sur le temps. Ce qui n'a pas de temps ou plus de temps, se réduit, se contracte, prend du poids et s'écrase sur lui-même pour disparaitre, quand ce qui a du temps, grandit, évolue, est fluide.

Voilà aussi pourquoi sa "Mère Suprême" est décrite ici comme "lourde", là comme "indigeste".

Passage tiré de Satornet, traitant de l'Apocalypse (un "jugement") après évocation des "fondamentaux" (ce qui s'efFONDre) d'André.

"Les hommes qui détenaient tout en "poten-CIEL" pour faire de cette Terre un paradis, par l'Amour, par la connaissance de leur Créateur et de leurs frères, refusèrent les prophètes venus les aider dans cette lourde tâche. l'un des derniers en date fut Jésus. Lassé des errements humains, le Ciel prévoit donc un grand "BOULEVERSEMENT" pour cette fin de siècle."

Passons sur les "errements (contorsions) et du Jésus "dernier en date" (accompli à date T, lui aussi), "lassant" le "ciel" (le juge) : par ses pertes de temps.

Vous avez à présent les moyens de comprendre son intérêt pour "l'effondrement des deux tours", en rapport avec des dates anniversaires, devant amener des "fins du monde", celles d'André Bouguénec, et la nôtre. Avec un jour en moins en ce qui nous concerne, mais nous, n'étions pas encore totalement morts... il nous restait une chance, donc, de comprendre le "code" et d'y "participer".
  

On notera que son nouveau disciple, Pascal M., s'intéresse quant à lui de très près à la thèse de l'effondrement (collapsus), véhiculant l'idée d'un renouvellement de société.

 

Les effets de tremblements, sont également présents ailleurs dans ses écrits, attribués au théologien Arnaud Dumouch. En cybernétique, ils précèdent les effondrements, sauf si on inverse le sens des réponses. Par des moteurs.

 

C'est pourquoi on trouvera partout en ce texte d'Arnaud Mussy et en d'autres, des "tailles", déployées dans des "repères", amenant des idées de "poids", de "dimensions", "d'écartements", de "rapprochements", de "vitesse" et de "lenteur", etc., dans un volume unique, fini, de déplacements, formant alors des procès.

André est cet "abyssin du futur, qui arrive... avant de partir".

C'est encore le "petit" Jésus (taille, grandeur) Arnaud Mussy, qui donc : deviendra grand : "Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en "p’tit Jésus" pour L’accomplir".  

 

C'est pourquoi encore, pour séparer, éloigner, tout ce qui relèvera du Phare-ouest sera traité comme "passé" et rapporté à des images de dégout, suscitant le rejet.

Qu'on en juge par les mots qui nous concernent :

Devons déchirer le voile de notre perception ;
tester le fond de votre âme
tomber
arque bouté
folle
cramponner
prendre une ultime main tendue
corrompre
ceux qui perdent la tête
basculez vite avant que l’Univers TEMET de la Mère ne mette l’OPHNAR et l’homme à terre...
ceux avec qui il faut "trancher"
ceux qui se brulent les ailes
ceux qui sont mis à terre
etc.

André Bouguénec, lui, est fixé dans une figure de la mort, mais participant à la fois du présent et du passé :

"Aujourd’hui, 16 décembre 2006, André est accompli."

Ensuite viennent :

fin de sa vie
vieillard
dernière apparence physique
Esprit d'André (désignant son "intelligence de la matière")
Date d'accomplissement

    

Arnaud Mussy : Parlant toujours au présent (accélération permettant d'englober tous les temps contorsionnés), "MAIN TENANT"..., se "situe" comme "actuel" et "toujours", ou au futur :

Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu...
Je Suis « le Paraclet » ;
Je suis bien André ;
Laissez-moi vous donner ;
"Je sais que" , je vous pose un (sacré) dilemme".

Progrès vers le contrat ("huitième gradation du cube", expression paraissant délirante, mais en fait parfaitement étudiée)

remonte le temps
sculpter
poser
apparence différente plus jeune.

Cette dernière formule permet de parler du "double visage de la prudence", comprendre comme une symétrie opposant les deux "sages" en termes de vitesse de pensée, le "vieillard" regardant vers le passé, s'éloignera - accompli ! - de la "prudence" comme sagesse, opposée de la "folie". La sagesse amenant le salut de la "jeunesse" regardant elle, vers le "futur".

 

Recoupement dans Satornet

"Aucun iota de l'univers n'est voué à l'inertie, alors, plus que jamais, la roue tourne, la TORA devient ROTA et le recto devient "VERSEAU". Tant pis pour ceux qui veulent rester définitivement enchaînés à leurs vieux symboles et à leurs vieilles clefs périmées.

Le vin d'hier "a fait son office", il est aujourd'hui servi dans de nouvelles outres, ou plutôt de nouvelles COUPES. "ENTENDEZ" par-là, de nouvelles COUP-ures, de nouvelles césures, de nouvelles PER-MUTATIONS à partir des mots nouveaux ; donc, de nouvelles sonorités qui "éclatent" pour un nouvel entendement, façonné "depuis toujours" pour les esprits d'aujourd'hui."

Couper, c'est alléger, épurer, trancher. L'oeuvre du juge.

 

 

Le procès de la Mère Suprême : Celle qui ne décide pas

Sur la cassette G41 face A, André Bouguénec parle du levain de l'avenir, que sont les phare-ouestiens. A ce moment, Arnaud Mussy rentre dans la conversation en présentant un passage de L'Ultime Grand Secret portant sur "l'heure de la Mère", afin d'en tirer l'argument de notre "double responsabilité" au regard de l'avenir.

Etre doublement responsable, c'est porter une double charge, terme judiciaire pour désigner ce qui "pèse" sur l'accusé.

La citation placée en introduction, et menant la Mère à "déclencher les événements", c'est-à-dire "décider" à heure dite, montre que ce n'est plus Elle qui décide, mais Arnaud Mussy, qui... prends les choses en main, et pourra "déclencher" les "événements", depuis un "non temps" (puisqu'il les encercle tous, peut donc définir tous les projets, tous les objectifs et leur temps d'aboutissement) infiniment plus arbitraire.

 

 

 

Les paraboles (géométriques) des Evangiles

On ne s'étonnera plus du choix de ces paraboles, traitant toutes deux de "retour" ( = révolution) précédant une nouveauté.

"Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant".

N'invitaient-elles pas chacun à veiller, à [= pour le slogan : ] se préparer aux Noces de Marie et Jésus, plutôt que de se cramponner à la dernière apparence physique du Rejeton ?"

Ces deux paraboles traitent géométriquement ("aller comme un gant") de la rencontre surprise, laissant sans voix, censurant les personnes jugées. Avant les conséquences : une séparation.

Les époux des "vierges" doivent en effet, re-venir : à l'improviste, pour ensuite "fermer la porte" (du tribunal : on ne peut en sortir), mais aussi pour rejeter les vierges ne s'étant pas préparées à ce retour.

L'époux, venu par surprise, va trancher. Lui , sait "l'heure". Il est "informé". 

Quant à la parabole des disciples d'Emmaüs, elle décrit des "compagnons", "surpris", après un "choc", de ne pas avoir reconnu Jésus, re-"venant" au moment : opportun.

 

 

Un "Nouvel Evangile" de la régénération par les chiffres

Un Evangile, c'est un "Testament", écrit devant témoins, en principe. "Evangile" reposant sur quoi ? Un tombeau : représentant un couple endormi dans la pierre, passé, mort. Ce couple, ce sont deux classes sociales, encore endormies, et représentant la famille, la succession, accusée et lourde, comme il se doit.

Rien de plus simple, nous dit Arnaud Mussy, que son nouvel "Evangile" remplaçant l'Evangile "accompli" "d'André".

D'une "simplicité" "qu'on n'imagine pas", simplement parce qu'elle ne touche qu'à la raison.

 

Par ailleurs, l'article "de", trouvés dans les titres de ses sujets, prouve que le sujet réel de chaque section, est une extraction, une abstraction, laquelle consiste systématiquement en un calcul de... ceci ou cela, hérité "de", ceci ou cela.

De : De marque la condition préalable d'un procès ou du résultat d'un procès matériel ou moral.

D'où évidemment la vitesse de compréhension de cet "ouvrage".

  

Revenons à la "simplicité" de son "Evangile", usant des formes simples des lois de la matière, que la Révolution copernicienne a décrites comme se trouvant en notre esprit, et permettant en théorie, de "comprendre" toute réalité matérielle.

"Simplicité" de son évangile, mais bizarrement, traitant de "lois de Planck", "Big Bang", et autres thèmes scientifiques demandant des années d'études pour être seulement compris comme problèmes... et pas compris pour autant. Ce sont tous les thèmes qui touchent de près ou de loin à la physique quantique, qui justement ne peut être comprise par les lois de la physique copernicienne.

Or, ce sont aussi les lois de la finesse, de l'infiniment petit, contrôlée ici par notre champion de la parole mécanisée et quantifiable par mesures humaines.

Lois de la petitesse, donc de la faiblesse, alors contrôlées par celles de la force

Il faut savoir que nombre d'auteurs, y compris parmi les savants les plus réputés, associent la mécanique quantique à la matière même... de l'âme et de son caractère insaisissable.

Bizarrement la liste de son contenu commence donc par l'énoncé d'une maitrise par Arnaud Mussy, de ces différents sujets d'achoppements et de débats pour la science elle-même, avec disparition progressive de Dieu, pour laisser place à une "simplification" des calculs (ce que la révolution mécaniste apporte) avant contrôle du temps, des heures, du "tour" des choses.

Ajoutons que mathématiquement parlant, cette réduction du résultat quantique, seulement probable, à un résultat binaire, définitif, est la fonction même du rasoir d'Ockham, concluant sur la base d'une probabilité, en tranchant par élimination de la part minoritaire, présente dans tel phénomène.

En cet "Evangile", la seule logique finie, est celle de la pensée d'Arnaud Mussy, qui établit des "plans", des "scénarios", décrit des "gradations", etc., autant d'actes de pensée verrouillant le monde quantique dans une structure binaire, macrocosmique. 

Ceci évidemment pour ajouter à la confusion mentale déjà produite par son discours croisant les notions universelles spiritualistes, avec les chiffres lui permettant de passer pour celui qui, parlant tous les discours, pourra trancher, arbitrer en toute "logique".

Le dernier point fait même "disparaitre le principe d'incertitude".  C'est la "paix" de sa Jérusalem.

Cette liste précédant un "jugement" : le huitième "point".

Ce huitième point est le "jugement" des "anges" (une classe également endormie, et en attente de jugement, comme son couple de pierre). Les anges furent parfois comparés par analogie, à des machines cybernétiques... Contrôlées du même coup par l'horloge, et "voyant" Dieu par "intuition" (autrement dit par induction).

Cet Evangile (Qu'on n'a jamais vu), dont (forcément !) on "n'imagine pas" la richesse, la densité et la simplicité (...), qui, sur 900 pages (surprise : sa croissance magique de 100 pages depuis la précédente information à son sujet - pas une de plus ni de moins !), s’appuie systématiquement sur la structure du Cube SATOR (matière) et du Tombeau de François II, qui ne font qu'1..."

(II =) 2 - 1, encore... un exemple de son "retour du non temps". Ce 2 - 1 déjà calculé plus haut, avec la même opération au regard de "l'accomplissement des Ecritures" ("Vous pensiez qu'André...).

D'où la mort, présentée par le "tombeau de François II", indiquant la nature de ce Testament ayant fonction de "tri".

Rappel : ce couple est présenté au centre du cube, décrit plus haut, ce qui permet un renvoi de l'un à l'autre dans notre imaginaire... probabiliste.

Quant à ce "concentré de mémoire", défini comme une conclusion ("Testament oméga de Dieu"), se rapporte à nouveau à la "présence" relative au "sas", au "non temps" jugeant les deux contradictoires (ici les deux "anges", ou "l'homme et la femme").

 

A noter qu'en Néo-Phare les couples furent reformés, à coup sûr en fonction de leur position vis-à-vis du maitre.

 

Les "deux témoins" sont également deux formes de témoignages.

  

Voici donc la liste de ses "sujets", testant notre "simplicité" : 

1 - L’Ame du Plan de Dieu et le dévoilement du « Je Suis Celui Qui Suis ».
2 - Le scénario du BIG BANG et de son AVANT.
3 - Une description transcendantale de l’OPHNAR et de l’Univers TEMET avec ses Gradations principales.
4 - Les 4 Visages de Dieu ( Astrid L. + Arnaud + André + Anna ) présents dans l’Univers AREPO et OPERA avant qu’ils ne Fusionnent dans "l’Univers nouveau" TEMET (expliquant les 4 Forces de l’Univers, les 4 Nucléotides de l’ADN, etc...) .
5 - Une simplification de la théorie des cordes par rapport à la Matière imparticulée,
6 - Les mystères et les méandres du Temps, de l’Espace et de l'Amour qui tissent la Matrice (ou la disparition du principe d’incertitude au-delà du mur de Planck).
7 - La structure de l’ADN et l’ARN angélique, humain et divin.
8 - Les principales étapes du scénario angélique jusqu’au péché originel et la révolte
9 - La pluralité des visages du Couple Rejeton en parcours, et des gradations des 144 000, durant l’Ere Adamique.
10 - La nature divine du Couple et le rôle dévolu à chacun dans la Résurrection.
11  - Les Erreurs des 3 religions Abrahamiques, synthèses de toutes les autres.
12 - Les 17 Couples qui formeront la Synthèse de la Jérusalem Céleste.
13 - Le dévoilement de la structure divine de mon parcours et du Jour J.
etc... etc..

Dès qu'on les voit, les termes "de", "du", etc. permettent de comprendre les sujets réels de son Evangile : des abstractions, dont voici les étapes pour plus de simplicité.

De : "Hériter de, descendre de, tenir de, être issu de"

Liste non exhaustive de sa géométrisation : "plan"... "parcours", "nature", "étapes", "pluralité", "structure", "scénario",  "gradation", chiffres 4 (22), 4 (22), 4 (22) (les puissances de 2 mesurant les aires)... "univers" nouveau, "forces", "rapport", "méandres", "structure", "scénario" (encore), "pluralité", "parcours", "gradation" (encore), "structure" (encore), "parcours" (encore), et enfin d' "au-delà" (valeur horizontale, autant que verticale).

Pas un terme spiritualiste n'échappe au scalpel mathématique d'Arnaud Mussy, impliquant la mise en faiblesse du "reste", pour une conservation de la force mathématique, seul "sujet" restant de cette "ontologie" dont le chiffre représente la seule clé et la seule autorité faisant office de détention de "vérité".

Qui osera s'opposer à un tel "sachant", sans risquer de se compromettre aux yeux de tous ?

Cet Evangile "prouve" automatiquement la "force" de celui qui entreprend la découpe de Dieu, le "je" invisible, caché derrière l'équivoque des signes.

Sur ce point, une petite parenthèse s'impose pour rappeler une des formules favorites des titres d'Arnaud Mussy. Qu'on peut d'ailleurs retrouver dans ses textes de Satornet : "De... à...", avec son commencement extrait (de...), et sa fin, sa conclusion (à...) : un procès.

  

 

 

Les questions du pédagogue, ou "grand inquisiteur", nous aidant à induire sa politique

"Amis lecteurs, interrogeons-nous", Arnaud Mussy, Un lecteur, in L'Ultime Grand Secret

Voici comment André Bouguénec me présenta un jour Arnaud Mussy : "Lui, je l'appelle mon Grand Inquisiteur, parce qu'il pose des questions" Et des questions, "pour savoir et pas pour être", dira-t-il ailleurs. Ajoutant : "Et là c'est foutu".

Une question pour savoir et pas pour être, c'est une question pour obtenir une place, un statut.

Mussy dira ce jour-là : "Oui, le mal, y'a la partie mauvaise qui s'en va."

Quant au grand inquisiteur, inutile d'en faire l'analyse. Tout le monde sait qu'on parle d'un juge. 

Un procès inquisitorial étant un procès fondé sur des documents, où le juge procède à la fois au traitement à charge et au traitement à décharge. Autrement dit il parle les deux langages de l'accusation et de la défense. Toutefois c'est bien lui qui tranche à la fin. Et s'il mène une enquête, c'est qu'il a un doute et qu'il devra trancher sur la base de cette... probabilité.

 

Les questions sont en effet un élément capital de la rhétorique d'Arnaud Mussy, puisqu'il en sort une toutes les dix lignes.

Dans Satornet, l'ensemble de ses textes contient exactement 141 points d'interrogation, pour 18 000 mots (arrondis à 100 près), soit une question tous les 120 mots. Si on compte 8 à 10 mots, pour une longueur de ligne moyenne dans un livre lambda, on arrive à une question toutes les 10 lignes environ. 

Notre courrier, qui en contient 11, n'échappe pas à la règle. Toutes ses questions ou presque, contiennent aussi l'adverbe "pour". 

"Pour savoir", dira André Bouguénec, comme indiqué juste au-dessus.

Le premier sens de cet adverbe est "au nom de"... pour juger et questionner sur un fait passé, "au nom de" un état présenté à l'infinitif, c'est-à-dire que le passé est jugé à l'égard du présent. 

Tous ces "infinitifs" débouchent sur des "slogans", permettant de mettre en mémoire ce qui finira par sortir, "intuitivement", par "inspiration". Tel : "susciter l'auto-engendrement", "accomplir les écritures", "rénover le cube"... "accomplir le futur", etc.

Exemple avec la première question de ce courrier qui en comportera 10 autres, toutes grammaticalement identiques, accusant le passé au nom d'un présent permanent, amenant la mauvaise foi obligatoire des mis en accusation.

"Combien de fois André évoqua les ruses, les facéties et les tricheries déployées par le Ciel pour SUSCITER l'homme à s'auto engendrer ?" 

"Susciter l'homme à s'auto engendrer"... en pure perte, puisque son "engendrement" ne peut se faire que par le groupe, la "participation" à "l'unité" : alibi de tous les pouvoirs.

   

Voici la liste complète des 11 questions de ce courrier, traités pour la plupart, dans d'autres sections de notre travail.

1 - "Combien de fois André évoqua les ruses, les facéties et les tricheries déployées par le Ciel pour SUSCITER l'homme à s'auto engendrer ?"

2 - Vous pensiez qu'André Etait le Fils de l'Homme revenu [pour] ACCOMPLIR les Ecritures ?

3 - Saisissez-vous pourquoi le Fils devait poser la lettre M pour RENOVER le Cube ?

4 - C'est pourquoi, en partant, [André] voulut tester le fond de votre âme pour SAVOIR qui aurait suffisamment de Foi parmi vous pour le suivre dans son Accomplissement final ?

5 - Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant. N'invitaient-elles pas chacun à veiller, à [= pour] SE PREPARER aux Noces de Marie et Jésus, plutôt que de SE CRAMPONNER à la dernière apparence physique du Rejeton ?

6 - Maintenant, c'est à vous de voir si vous aurez assez de coeur, de courage et d'humilité pour COMPRENDRE, ACCEPTER vos trahisons (par actions ou par omissions), et RIRE plus tard de tout cela ?

7 - En un mot, allez-vous prendre cette ultime main tendue du Ciel et [= pour] CONSIDERER ces quelques pages comme un échantillon de la Pierre d'Angle, ou comme une Pierre de scandale ?

8 - Une Pierre d'Angle ou une Pierre de scandale ?

9 - Savez-vous pourquoi le Ciel organisa ce Futur en 2001 ?

10 - Le CHRIST TRISCHa avec le Temps parce qu'Il ne connaissait que trop bien votre manque de Foi de la Fin, pour DECIDER de vous FAIRE VIVRE cet Evénement dès le début. Cétipafuté ! ?!

11 - 5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer le récit de Marie-Madeleine, au sujet de la Résurrection du Christ, comme le témoignage d'une femme exaltée ? 

 

L'une de ces questions nous demandant "d'avouer", tout en nous rendant acteurs de notre propre jugement ("maintenant c'est à vous de voir"), puisque partout nos propres mots se retournent contre nous-mêmes.

Voici comment le cerveau et seul le cerveau est encore sollicité dans ces questions mettant le coupable dans une machine à laver, pour lui faire "savoir", après une procédure très proche de l'hypnose, sa culpabilité.

Mais, saisissez bien ceci - Extrait de la page 54 de l'Ultime grand secret
Combien de fois André évoqua
Comprenez qu'
Vous pensiez que 
il fallait opérer une petite greffe au coeur
Vous savez tous
Saisissez-vous
Vous concernant, il n'était pas difficile
C'est pourquoi, en partant, il voulut tester le fond de votre âme pour savoir qui aurait suffisamment de Foi
Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant. N'invitaient-elles pas chacun à
Maintenant, c'est à vous de voir
vous avez transgressé le Message
Vous n'imaginez pas
Entrer plus avant dans les détails risquerait, pour le moment, de vous brûler les "ailes''. (allusion aux deux lobes du cerveau)
Savez-vous pourquoi le
5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer
Je sais que là, je vous pose un sacré dilemme ! "

 

 

Note sur les points de suspension :

Les points de suspension sont, avec les points d'interrogation, grammaticalement classés comme des "signes forts".

Note aux phare-ouestiens : pour repérer un adepte du système ou un des élèves d'Arnaud Mussy, il suffit d'analyser ses propos, truffés de ces signes, et c'est très facile. Dès qu'on les a vus, on ne voit plus que ça, tellement ils sont utilisés avec une grossièreté confondante. 

Ces "points", sont eux aussi omniprésents dans les textes d'Arnaud Mussy (149 occurrences dans Satornet), désignant la multiplicité des sens possibles à l'issue de chaque formule qui les précède, tranchés à la fin, par celui qui les place, forcément.

 

Recoupement : en Satornet, le paragraphe posant les "principes" de cette "science", appelée "science du verbe" débute par le mot "pour" et se conclue par trois points de suspension suivis d'un point d'interrogation. La totale.

A savoir un "pour" posant une majorité : "Pour une majorité d'entre nous", etc. puis "le Verbe ... est une abstraction".

La conclusion du chapitre étant : "Pour conclure cette longue introduction, je vous invite à réfléchir sur l'observation suivante : si jadis l'hébreu et ses multiples combinaisons devaient révéler, quelque part en Galilée, un événement d'une portée considérable, d'après vous, que peut signifier aujourd'hui l'émergence d'un Verbe nouveau... ?"

Les multiples combinaisons désignant les lenteurs d'une langue passée ("hébreu"), image servant à une "réflexion" sur le passé associé à la perte de temps ("multiples combinaisons"), s'opposant à une force future, POUR "révéler" (un infinitif) une émergence (en notre cerveau) par induction.

    

 

Le moteur à induction d'idées

La loi des moteurs et de leur révolution, c'est l'attraction universelle, modèle de toutes les forces, imageant la mort d'un cycle avant la naissance d'un autre, après un "procès".

Le moteur, c'est une machine servant à entrainer des pièces, par étapes successives, des "temps" verrouillés, dont le mouvement est inéluctable. Ne parle-t-on pas de "machine judiciaire" ?

"Non seulement les MOTS que nous utilisons quotidiennement sont le miroir de notre âme, mais ils sont également le MOTeur de nos agissements."

[...]

"Puisqu' « on ne voit bien qu'avec le coeur... », suivons cette voie recommandée par Saint-Exupéry. La véritable question est de savoir si les MOTS ont été MOTEURS pour toi ; est-ce que ce Verbe Nouveau a pu toucher véritablement ton Ame et ton cœur ?
Or je ne peux douter qu'il en fût ainsi. Pourquoi ? Tout simplement parce que tu possèdes EN TOI cette IMPRESSION imprimée au tréfonds de tes cellules, obligatoirement, comme nous tous !" Arnaud Mussy, Satornet

Platon n'aurait pas dit mieux en parlant de l'esclave apprenti géomètre du Théétète, développant son "savoir" par la maïeutique, et la vertu in-ductrice de la "question".

Notez que la formule de St Exupéry est précédée d'une mention omise ici : "voici mon secret"...

C'est nous qui soulignons le mot "pour" dans cette question : les mots ont-ils été "moteurs" POUR TOI ("ton âme et ton coeur").

 

Pourquoi le langage mathématique fonctionne-t-il comme un moteur ? Parce que chacun de ses termes se situe dans une logique d'enchainement implacable.

 

Selon les empiristes, toute idée est générée par un phénomène mental d'induction, issu d'une répétition de formes, finissant par produire une idée, un concept plus ou moins stable. Si ce concept est chiffré, issu d'un calcul mathématique lui assurant une stabilité définitive, alors cette forme est irréversiblement implantée, conditionnante.

Arnaud Mussy écrit (nos remarques sont mises entre crochets) :

"Le Verbe Est la Science des sciences [comme les mathématiques !]
Cette assertion qui peut sembler absolue est pourtant très facilement vérifiable [facilité et simplicité de ses preuves].
Tout d'abord, parce que l'homme et plus particulièrement les scientifiques seraient dans l'incapacité de référencer et de tenter d'expliquer l'Univers sans les mots [c'est-à-dire créer des classes. La suite coule de source].

C'est la raison pour laquelle lorsque nous découvrons une nouvelle plante, une nouvelle étoile, un nouveau cyclone, ou qu'un bébé vient au monde, nous commençons par lui donner un nom ou un PRE-nom.

Ensuite, il n'y a pas de Science possible sans mesure. Ainsi, tout NOM trouve son complément, son OMBRE justement dans le N'OMBRE ; de ce fait, le chiffre et le nombre s'organisent automatiquement dans l'intelligence humaine, afin de comprendre les rapports qui composent, relient ou séparent toute chose. Idée reprise dans la Bible (Sagesse xi-21) : « Vous réglez toute chose avec mesure, avec nombre, avec poids. »
Enfin, parce que le Verbe, amorce de toute création, est - avec l'Amour - la première et la plus noble "empreinte" de Dieu.

Lisez bien le sens de cette "amorce" débouchant sur une "compréhension" (d'un code, celui des abstractions simples, matérielles), quand le "verbe" n'est plus qu'un chiffre : un point verrouillé, après l'établissement de rapports, c'est-à-dire de proportions, ou encore d'analogies, "amorces" d'idées induites à venir.

La Bible elle-même, "reprend" cette procédure où la pensée n'est plus qu'un calcul. Elle le "re-prend", donc à la suite de principes qui la précèdent.
 

D'où le titre de l'ouvrage : "Satornet, l'homme nouveau dévoilé par le Verbe". La couverture présentant de façon évidente, dès qu'on en a la clef, l'image d'une révolution planétaire, effectuée par son "cube", qui fera, à l'issue de ce "procès", exploser le Sator, le Testament.

D'où la présence répétée de moteurs en ce courrier, et globalement, dans toute la prose d'Arnaud Mussy.

 

Or nous trouvons en toute la prose d'Arnaud Mussy une quantité impressionnante de moteurs, nommés, représentés, figurés... : points, balanciers, axes, bras, croix (rotor et stator). Leur nombre est impressionnant : l'heure, le 8, l'accomplissement, le "bras de Anna" se déclenchant, les mouvements allant du passé vers le futur ou inversement, se regroupant finalement dans un "présent" "générateur", le coeur- "cube" et son "attraction universelle", etc.

Tous forment un système d'engrenages visuels, imageant la nécessité d'en... finir avec un cycle de langage, une "succession" et sa "perception du temps linéaire" - encore un acte cérébral, pour réduire notre rapport au réel, à une simple activité nerveuse, donc faussée par définition.

Son premier moteur est cependant linguistique, mais son image n'en est pas moins formée dans notre cerveau. Il est cyclé sur 10 ans ! et reprend le procès tous les 16 décembre. La première de ces dates (désignant les Saturnales), correspondant à l'acte de décès chiffré d'André Bouguénec.

Mais aussi : le "je découvre que"... puis "je quitte les faux apôtres" (séparation représentée par le narthex, déjà expliqué), avant de "terminer son parcours de résurrection", entendre : procès pour une régénération.

Et de conclure par une question :

"5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer le récit de Marie-Madeleine, au sujet de la Résurrection du Christ, comme le témoignage d’une femme exaltée ? "

Je sais que là, je vous pose un sacré dilemme..."

Cette question la "folie" d'une femme "faible", qui répète ("encore") ses "exaltations", à "considérer" (un acte cérébral). Et comme il s'agit d'un "récit", c'est que son traitement est soumis à contradiction, au sein d'un... "témoignage" (procès). Autrement dit, les chrétiens sont des faibles, et cette "exaltation" n'est pas de notre jugement, mais de celui qui le décrit : le juge.

Ce qui est une question, traduite ainsi :
- Soit vous acceptez "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA" et vous survivez mais vous vous taisez face à lui
- Soit vous vous opposez à sa révolution (donc restez fidèles au langage héréditaire) et vous périssez, traités comme des fous, mourant comme le "Christ", c'est-à-dire dans l'erreur d'une croyance en la survie, en un temps infini.
 

Revenons à nos moteurs. 

Ces moteurs sont aussi audibles. Exemple : "Savez-vous pourquoi le Ciel organisa ce Futur en 2001 ? Le CHRIST TRISCHa avec le Temps parce qu’Il ne connaissait que trop bien votre manque de Foi de la Fin, pour décider de vous faire vivre cet Evénement dès le début. Cétipafuté… ?! "

 

Voici encore quelques moteurs graphiés dans leur ordre d'apparition, ordonnés d'une façon très logique.

 

Le mot "couleur" vient de "couler", et a donné "couloir", ou sas permettant de classer, de trier. 

Bizarrement les cercles entourant les TETES de ces deux Christ, reprennent les couleurs trouvées dans le courrier. La couleur grise désignant l'éloignement. Car il faut qu'une idée augmente, pour que l'autre, contradictoire, s'éloigne.

Le moteur suivant est tiré d'un tableau de Salvador Dali, qui représente une image de l'abstraction "portant", par le levier d'Archimède : le chiffre, portant dis-je, la matière nommée avec les mots de la religion, de la spiritualité. 

Cette lecture est la même concernant le quatrième moteur, représentant un mouvement allant de la construction d'une matière (commençant pas 8 point, le 8 étant un moteur et une symétrie), à sa réduction à l'oeuf, Arnaud Mussy au centre de tout.

Il y a même le moteur raté (le second cube à partir du haut) du Sator confus, contorsionné.

 

Voici un autre moteur, déjà évoqué :

La "chair", le concret, c'est cette fois la famille au complet (phase initiale du moteur décrit au-dessus). Puis vient l'épuration et la vision d'un éloignement. Le tout étant cyclé en trois temps : a, b et c : le procès. Un vrai projet pour le Phare-ouest !

Une fois le pouvoir acquis, les têtes vont être coupées par le jugement concret, la terreur.

Le détail du procès prend la suite, avec l'agrandissement du tableau "c", renseignant sur le centre et l'axe, toujours le même : Arnaud Mussy, jugeant les deux classes : "vierges folles" et les "vierges sages", chacune d'entre elles étant mesurée, selon leur classe en termes de parole. Rappelons qu'il s'agit de la parabole jugeant et rejetant celles qui n'ont pas "attendu" le retour du maitre, celui qui revient comme un voleur (de mots) par surprise.

 

 

 

Quelques recoupements :

Par le passé, nous eûmes droit à une description du "manège à moi" (c'est-à-dire Arnaud Mussy) Cf. "témoignage" à André Bouguénec.

Vous trouverez encore d'autres moteurs dans ses textes de Satornet, comme en son introduction où "M" parle des "ouvrages d'André Bouguénec", tournant autour d'un "axe" : "Les idées et les recoupements présentés s'inspirent essentiellement de l'oeuvre d'André Bouguénec, fondateur de l'Association "Le Phare-Ouest", et auteur de 7 ouvrages axés sur : "La Révélation des Mystères de l'Homme et de la Création"."

Ajoutons ce moteur, de style très utopie "new-age", placé sur la couverture de l'ouvrage, déjà évoquée. Cette fois le Sator, arrivant comme par surprise, porte le germe de la génération spontanée d'Arnaud Mussy, à l'issue du procès. Sans succession, sans ordre d'hérédité.

 

 

Voici encore, tirés du même ouvrage, un diagramme accompagné du texte suivant :

"A présent" [temps de la décision], si nous observons attentivement la figure présentée page suivante, nous distinguons dans un cercle, la ronde, la "ROTAS-ion" des Temps représentés par les Alpha / Oméga."

A quoi suit : 

"Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il est immuable ! Il ne parcourt plus les Temps, il les regarde... Il Est en tout Temps et en tout Espace (voir le T et le E de TENET) ; il est l'Eternel présent, qui, justement, se présente aux hommes sous le dénominatif: « Je Suis Celui qui Suis ». Si Dieu Est l'Eternel Présent, Il Est alors le Centre de Tout, Il Est l'Unité vers laquelle tout converge... (comme par hasard, LE CENTRE DE TOUT = 167 correspond à la grande signature numérique de l'unité en français : CENT TRENTE CINQ = 167).
Plus concrètement, cette lettre N est "l'Inconnu(e)", Le "Principe caché" que l'on ne peut imaginer car, par essence, Infini(e). Il-Elle correspond au fameux "En-Soph" évoqué(e) par les Juifs. (Phonétiquement "N Soph" !)." 

 
 

Enfin, terminons  par l'événement de Vézelay : Crypte de Vézelay = code de Vézelay : Arnaud Mussy au centre, axe d'un moteur. 

 

 

Le "sacré" dilemme

Nous arrivons enfin à ce "sacré dilemme", déjà décrit. Mais analysons-le un peu plus.

C'est maintenant, après ce fatras vide de toute réalité concrète, Arnaud Mussy ("JE") qui parle et conclue par son ultime "question", "là" (l'espace en conclusion, mais aussi : l'exception), JE SAIS QUE... JE vous pose un sacré dilemme".

La minorité ("je") s'impose alors à la majorité ("vous"), qui "sait" elle aussi, forcément, puisque tout savoir est commun.

 

Ce dilemme, retraduit, est celui-ci :

- Avoir la parole coupée : Accepter d'être égalisé par le pouvoir en restreignant sa liberté de parole au profit de la dctature de "l'amour", donc de "M", apprendre à parler sa langue de l'équivoque et ainsi être "protégé" socialement (enseigné par le sophiste) pour dominer les hommes en société, en manipulant leurs croyances et valeurs les plus élevées : "on", le "coeur", la "fraternité", etc.

- Avoir la tête coupée : Refuser ce pouvoir et avoir la tête coupée : être rejeté du groupe, du "salut", pour faute de mauvaise foi, de position minoritaire, faisant perdre du temps au "groupe" des élus.

 

Xeon - 24 Octobre 2025