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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Arnaud Mussy relance notre procès en son Courrier du 16 décembre 2006 - Xeon

Date : 2006-12-16

 A Jérémy Trossais, un ami.

 

"Maintenant, apprenez définitivement le terrible secret de votre Créateur qui voulait faire de vous des combattants contre l'Esprit Duel qui habite votre "dualité" et les subtiles "tentations" de toutes sortes qui, en ces jours de ténèbres, mènent le monde. Dans Matthieu XXIV-22 : "...Et si ces jours-là n'étaient pas abrégés, aucune créature ne serait sauvée ; mais ces jours-là seront abrégés à cause des élus ". Matt.XXIV-24 : " Il y aura de faux christs, et de faux prophètes s'élèveront et feront de grands signes et des prodiges, jusqu'à séduire s'il était possible, les élus eux-mêmes. Vous voilà prévenus ". Oui, c'est de Matthieu.", André Bouguénec, L'ultime grand secret, Article Qui créa Lucifer, p. 145

 

"Je le répète pour la énième fois, Dieu, s'il vous crée, il lui est impossible de vous "engendrer" ; le ferait-il, ce serait une création accomplie de vertus et qualités qui viendraient de lui, mais non de vous ! Et c'est ainsi que fut créée l'engeance angélique, parfaite. Or c'est la raison de votre humanisation afin que, de vous-mêmes, vous fassiez naître votre âme et la nourrissiez pendant toute votre existence terrestre : c'est votre raison d'être ici-bas, de vous recréer "à l'image de Dieu" selon ses lois. Il faut naître de vous-même en "co-naissant" Dieu en vous, jusqu'à le faire votre Père.
Comme le mot "en-GEN-drer" le stipule, Dieu ne peut mettre en vous que des "Gènes" qu'il a conçus et créés, mais c'est à vous de les cultiver, de les développer pour.. vous engendrer de vos gènes. Eh oui, le Monde est fait de tous les GENS qui sont des gènes en poussée ou bien qui végètent. Vous êtes tous, toujours en "Genèse", en commencement et en recommencement : en réGENE-ration. Le prénom Eugène est bieakashin significatif de "bien engendré", littéralement : un bon gène. Et Dieu, et Lucifer, n'en finissent pas de pousser vos gènes à "pousser", à fleurir, par votre seule volonté de choix. Si ce n'était que la volonté seule de Dieu, vous ne seriez, et cela arrive parce qu'il en faut, qu'une marionnette..."in-stru-mentale" ; un instrument utile aux autres, mais pas forcément à lui s'il ne s'accomplit pas avec ce qu'il doit donner ou montrer. La racine "instru" signifie "arrangement", "enstructuré", évidemment par Dieu dans le mental de cet humain."
Ibid, p. 150

"Peu à peu, saisissez-vous que vous n'êtes Rien, si...si vous n'entrez pas dans votre Raison d'être, et si vous ne suivez pas Ma Voie. C'est votre dernier recours avant qu'ON ne vous enlève votre liberté, bientôt !"
Ibid, p. 202

 


"Même s'il n'en reste qu'un parmi vous, j'aurais réussi ma mission." André Bouguénec

 

"Il n'y a aucun doute, le Christ est : La lumière du monde, et sous l'égide de Notre-Dame Suprême il est en sa naissance le Christ Solaire, détenant la clef de sa montée progressive de sa lumière aux hommes.

Je répète, la clef de la montée progressive de la lumière aux hommes.

Jadis notre Jésus devait programmer et annoncer l'avenir d'aujourd'hui. Il enseigna d'un coup tout l'essentiel de l'amour et des rapports avec son Père sans préparer les intelligences à comprendre les clés du Royaume de Dieu. D'où la raison d'une promesse d'envoyer pour aujourd'hui, l'esprit de vérité, dévoilant les mystères. Pour sensibiliser un peuple, surtout celui d'aujourd'hui, il ne s'agit pas de proclamer "Je suis Jésus, voici mon dernier Testament".

Il faut prudemment et progressivement préparer les esprits et susciter une nouvelle intelligence. C'est une clef du fameux Arepo du Carré Sator, pour cette délicate OPERAtion qui subrepticement va intéresser de façon inattendue les esprits."

 

"C'est pourquoi la mission du Fils de l'homme est très difficile. Il n'est pas question de bouleverser la France ou la planète. Il est question de laisser un testament. Cela veut dire que ça reste, et tu pars. Et vous vous démerdez avec le testament.

Tout ce que j'ai écrit (lettres, documents…), tout ça c'est le testament, parce que tout s'enchaîne."

 

 

 

 

 

"J'suis le bouc émissaire. Tout ce qui ne lui plait pas, elle me le met sur le dos". André Bouguénec, commentant un courrier de démission capitale, daté du 12 nov. 1994

"Dans le fonctionnement de Néo-Phare il fallait un bouc-émissaire, une tête de Turc." Procureur lors du procès d'Arnaud Mussy en Octobre 2004

"Nous ne pouvions valider ce groupe qui se bâtit sur le rejet, l'exclusion". Courrier personnel d'un ancien adepte de Néo-Phare

 

 


Source

 

 

La citation en exergue

« Mais, saisissez bien ceci : l'Heure du Salut par la décision de la Mère, ne peut se réaliser qu'à la condition de posséder en Elle les "nouveaux-nés de Ses Entrailles", les premiers Enfants qui L'ont reconnue, comme "Mère de tous les peuples", qui L'Aiment et qui participent au Rayonnement de la Lumière de Son Fils. Sa stricte décision est basée sur ce "levain de l'Avenir" dont l'avertissement fut donné jadis » - Extrait de la page 54 de l’ultime grand secret.

Cette citation en exergue permet à Arnaud Mussy de tirer parti de nos peurs, sur le fondement de quelques lignes tirées d'un texte reconnu par notre "communauté", permettant d'influer sur chaque cerveau, sans avoir à débattre, comme s'il suffisait de "l'entendre" sans ne plus rien voir. 

A la suite de quoi vient la terreur : "à partir de maintenant...".

Par lui il crée un nouveau moment, démarrant après un "point" fixe, clair et tranché, appelé "16 décembre". Premier point d'un cycle et d'un procès, celui de son "parcours, systématiquement ponctué" de cette date, contre l'imprécision des "contorsions du temps" (associée à des "ruses du ciel", également opposées à sa "sincérité"). 

 

Elles-mêmes demandeuses d'un système qui nous rende "droits", nous "dresse" à répondre aux signes sonores de la force et de la peur :

Le signe (purement sonore) évoquant une date qui va nous effrayer : 

"Aujourd’hui, 16 décembre 2006, André est accompli. 
À partir de maintenant, Anna peut déclencher les Evénements à n’importe quel moment…"

Pour nous demander de "passer" à "l'amour" (appelé "participation"), avant de recevoir le fouet :

"Alors, basculez vite avant que l’Univers TEMET de la Mère ne mette l’OPHNAR et l’homme à terre… pour avoir autant corrompu l’Esprit et le  Message d’André en Parcours."

 

Ce qui amène la création d'un moteur de temps, d'une procédure en "temps limités", où la vitesse d'exécution à toute son importance, car elle permet de porter le problème à une entité spatiale limitée et donc fermée. Un cirque en lequel les "dressés" pourront s'exécuter au moindre "message" proféré par "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA". Et être à la tête, c'est être le juge, celui qui tranche selon la position tenue par rapport à lui.

Ce "M" n'aura d'ailleurs pas besoin de parler, car sa seule "présence" (venue du "non temps"), le rendra présent partout ici maintenant. Ce qui amènera ses ouailles à s'auto-surveiller elles-mêmes, ne sachant jamais où se trouve le "juge"... 

D'où les contorsions du temps (manque de dressage), conduisant au non temps : dressage parfait au nom de l'amour, qu'il faut "'suivre" comme le ferait un animal bien dressé, ne résistant plus  - ce qui est le cas dans la période des "contorsions du temps" exprimant le mouvement chaotique d'un couple de forces opposées.

Le dressage par le non temps, c'est-à-dire une présence à tous les temps, enfin "claire", c'est le dressage par la peur de la dictature de l'heure, donc par le procès, inéluctable, qui fera payer si on ne "suit" pas le procès général de "André en parcours". L'heure étant l'inéluctable et irréversible signe de cette facture : alors "basculez vite..."

Sinon le "non temps" fera valoir le "TNT". N'est-ce pas suffisamment clair ?

 

Qui se rapprochera de ce centre et de cet "oeil" sera sauvé, qui s'en écartera, perdant vitesse et visibilité sera exclu, réputé "fou", ne comprenant pas l'enjeu du procès : Changer de conception pour pouvoir parler, se comprendre = "participer".

Et tirer de cette pure théorie de dressage politico-social : "le rêve du Père-Mère", dans une cité dite "céleste" : contrôlant ses "participants" depuis ce centre (TNT) comme le ferait le centre d'attraction d'un système solaire, une mécanique. 

Une mécanique simpliste, mais cachée sous les mots tirés du langage d'André Bouguénec, pour noyer le poisson, se rendre incompréhensible, et par ce moyen, assurer à son discours une aura que nous n'oserons réfuter, lui permettant de séduire les plus stupides d'entre-nous, ceux qui vont croire en cette mythologie ("salut" = "comprendre" = "destruction de notre perception" : de la vision du monde réel) du progrès de ce langage, vers la "simplicité".

 

La "Mère" est déjà en procès comme conceptrice infinie, celle qui doit "décider" mais qui "attend", puisque le "levain de l'avenir" n'est pas le "levain du présent". Ce "levain" visiblement n'est pas efficace, ne dresse pas les singes savants suffisamment rapidement.

D'où : "le bras" de "Anna", lui... Ce dernier nom ne représentant plus la Mère tirée de ce texte, mais sa version seulement judiciaire. 

Le réel est d'abord dévoré en nous demandant de détruire notre perception du temps linéaire (la logique naturelle), pour tout réduire au texte (ici : L'Ultime Grand Secret) puis c'est le texte lui-même qui est dévoré une première fois pour le réduire, et enfin une seconde fois pour en tirer un seul sens : celui du pouvoir, de la force par le procès et la peur de ne pas "participer", qui fait "lever" les êtres par le calcul sur leur position, elle-même déduite de leur "vitesse" à "basculer"

Pour "concrétiser", à partir de cette peur, la Jérusalem céleste". Concrète donc bien terrestre.

Le mélange de deux discours dans un même énoncé (celui du procès et celui d'André Bouguénec), sert précisément à nous faire nous engager sur le principe, même si nous n'y comprenons rien.

Une fois cet engagement initié, nous sommes pris dans l'engrenage de la logique de la "participation" ou du rejet, et nous accepterons tous les procès bien réels, tels ceux qui se tinrent au Phare-ouest durant la "présence" d'Arnaud Mussy.

Car après les beaux principes - plus élevés on ne peut pas - vient l'ordre, sous l'alibi du "commun", de "participer" à la "fraternité", à "l'amour" (permettant de créer la terreur du rejet, peur fondamentale de l'homme), et qui ne suit pas devient le déclassé de ce système planétaire : exclu de cet ordre social totalement matériel, puisque gouverné par les images de la mécanique.

Les moteurs sont d'ailleurs les seules images présentes en ce Courrier, prétendant que tout se fonde sur "'l'attraction universelle". Nous y reviendrons.

 

Comment comprendre la double fonction du système planétaire ?

Le temps c'est le procès : chaque entité nom doit ss'y trouver enfermée sans possibilité de sortie. D'où il faut la dégrader dans un système fini (matériel, chiffré par des dates opérant comme des signes de position). Si elle s'y refuse, elle est dans les contorsions, encore dans la dualité des forces. Le but est de lui faire admettre que toute la vérité tient dans le "non temps" où Arnaud Mussy se tient comme en étant informé (il en "revient", ce monde est donc fini). Il peut alors le représenter, sans lui-même y appartenir. Ce qui le rend invisible.

L'espace c'est le pouvoir : la présence partout, tenue par le centre du calcul.

 

Ce faisant, "La Mère" (qui n'est pas "Anna"), se situe dans le camp des inefficaces, de ceux qui éloignés de centre solaire, tourneront plus... lentement.

Leur détachement total les renverra dans les limbes du cosmos vide, l'inertie complète, c'est-à-dire la mort, sans mouvement.

Arnaud Mussy remonte le temps, forcément : il est le "tackyon", etc.

 

Le "texte" réduit en bouillie logique, aura servi à censurer toute réponse, toute "parole" libre et contradictoire, personnelle, parlant naturellement, pour nous conduire dans un contexte chiffré, où le temps de nos propres mouvements ("momentum" = moment et mouvement), sera désormais un chiffre, déduit de notre rapprochement ou de notre éloignement du centre du système... planétaire, impliquant à son tour l'argument de la vitesse.

Car nous entrons bien dans un "moment" (issu du couple de forces : fini contre infini) entièrement modelé sur la mécanique des forces célestes : "Si l’on ouvre le Cube, ou plutôt ces 2 COEURS, on aperçoit le 125ème Dé. Il Est le Point de Singularité, l’Œuf du Monde, la QuintEssence insécable de cet Amour Éternel qui ‘‘Aimante’’ Tout l’Univers." C'est tout simplement la description d'un couple de forces, dont le centre omniprésent dirige les "125 dés" qui sont sa reproduction sociale, tournant autour du centre du calcul (le bourg dans un système social gouverné par ses "notables", ses "élites" calculantes).

Plus bas, Arnaud Mussy nous dit qu'il a atteint la "8ème gradation du cube". 1/125 = 0.08. Toutes ces "portions" ("participantes") sont bien des copies fractionnées, de sa propre "présence" à tous les temps de ce système.

Il en parle les deux langages : celui du monde fini et celui de la spiritualité infinie, de sorte à nous terroriser avec nos propres valeurs. SI nous le rejetons lui, ce sera comme "rejeter André Bouguénec", aux yaux des "participants". A la fin de ce système de pression, ils'agira d'écarter André Bouguénec lui-même, en faire le procès ((André en parcours"), tout en nous interdisant de dénoncer cette élimination.

 

Tout le monde se tait devant celui qui maîtrise le texte, qui a "accompli André", puis "accompli les Ecritures", avant de les réduire pour en tirer ce qui l'intéresse : le seul langage du procès.

Il ne reste plus à Arnaud Mussy qu'à "accomplir sa mission finale" : réécrire un nouveau texte, appelé "Evangile", qui sera un pur texte de loi, dont le "huitième point" est, comme par évidence, un procès et un jugement, créé de toute pièce sur une "structure", celle d'un procès (les principales étapes) et un scénario : un texte, réduit lui aussi, à sa pure expression formelle, de tribunal.

 

L'attraction universelle aura alors fait faire le tour complet à son projet de "révolution", pour éliminer André Bouguénec et la parole libre, au nom même d'André Bouguénec, pour laisser la place à Arnaud Mussy, jugeant désormais sans se montrer, au nom de principes habilement présentés, donc sans limite.

Ex : "il faudrait être fou pour ne pas suivre l'amour". L'amour n'ayant pas de fin, et étant forcément voulu par tous. Le mot "pour" signifiant "au nom de"...

Le mot "suivre", amenant la question de la vitesse, preuve et critère de réussite et de rapidité à l'exécution, pour récompense (ne pas subir le "TNT") négative.

L'acte lui-même : "suivre le groupe", n'étant que la résultante mécanique d'un dressage social, produit par une image simpliste, primitive, gérée par la voix de "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA".

Puisque le "commun" c'est la vitesse, et la vitesse ne saurait faire attendre.

Les "contorsions du temps" imageant évidemment le contraire, décrivant celuiqui n'a pas totalement basculé, mais ne comprend pourtant rien, et portant alors sur le "déroulement" des "mouvements" du "suspect".

 

Or ce sont les "ruses du ciel" qui mènent à ces contorsions. Elles-mêmes "évoquées par André", et répétées, comme s'il avait voulu nous laver le cerveau... 

La mission finale, c'est celle d'Arnaud Mussy, devenant l'humaniste qui nous sauvera du mauvais juge, du tricheur, de celui qui se déguise en "Dieu" ("joker de") Dieu tricheur, disqualifié comme "juge", statut auquel Arnaud Mussy vient de le réduire. 

 

Ceci dit en parlant les deux langues temporelles en même temps (fini et infini), Arnaud Mussy nous mène en s'emparant de notre langage et nous empêche les autres d'en parler, trop peureux de réfuter une telle puissance de langage, et laissant ainsi disparaitre le "temps" qui faisait la force du Phare-ouest.

 

 

André disait : la société c'est la famille. C'est-à-dire l'hérédité, déchirée par Arnaud Mussy (voir imagerie présentée plus bas), c'est-à-dire un temps pour tous, chacun pouvant SE juger en fonction de SES progrès, engagements, libres. 

 

 

Le ciel

Il faut partir du ciel, qui signifie : lieu où siège le juge, celui qui tranche entre deux discours contradictoires. 

Ce ciel n'est qu'un moteur invincible, fondé sur une démarche de mécanisation de nos mots, dont les étapes sont imagées sur le tempo d'une horloge, de sorte à ce que cet "accomplissement" soit placé sur une date, pour pouvoir dire : "plus vous tarderez, plus votre salut, votre "futur" sera compromis.

D'où toutes les images de moteurs placées en ce Courrier.

"Alors basculez vite" sous les ordres du pouvoir restant (2 - 1 = 1), avant que la Mère ne mette "l'homme et l'ophnar à terre" : 

L'appel à la vitesse, critère de la "participation" à ce jugement par le "temps", précisant le critère : la peur de la mort. Aller "vite" avant que l'incommensurable ("Ophnar" et "homme" infini) ne soient réduits à poussière, "pour" avoir rejeté le "message d'André en parcours", c'est-à-dire un infini forcément illusoire, car uniquement présent en notre cerveau (la tête étant à l'image de l'Ophnar, à la fois dans sa forme et comme potentiel de développement de la pensée vers l'infini). "Mettre l'ophnar à terrre", c'est faire mourir l'infini en nous, de force, en le chiffrant en tous points.

 

 

Les "ruses du ciel", sont les ruses du faux juge, de celui qui tranche en trichant.

Le chef d'accusation contre André Bouguénec est : il n'est pas un bon juge. C'est un juge qui triche, nous manipule, car il n'agit pas, ne tranche pas pour nous sauver des "événements", de la dureté de la vie, tout simplement.

Et pour se sauver et aller au ciel, il faut se fier à la loi du "non temps", c'est-à-dire de la loi qui vous rend présent partout, pour maitriser tous les temps, le plus vite possible, c'est-à-dire tenir le pouvoir, maitriser l'autre avec ses propres mots. Et ainsi avoir un "futur" dans une société : la "Jérusalem Céleste".

 

Le contraire de l'incarnation, c'est l'abstraction, qui va utiliser les mots de l'incarnation, pour les fixer dans des chiffres, afin d'en ôter le rattachement au "visible", au concret, au vérifiable, objet de notre bon sens : notre "perception du temps linéaire", c'est-à-dire de la succession naturelle des choses. Ce qu'on peut encore appeler une logique naturelle.

Dès lors que nous nous sommes engagés dans ce système, la définition, la limite du mot est détenue par celui qui en connait le sens exact, fini, humain, matériel, se cachant derrière l'invisibilité (illusoire) du mot-source, y trouvant prétexte à son pouvoir.

Mais pour cela il faut des aides, les "participants". Leur récompense sera de trouver "l'amour" dans le groupe des dressés grâce aux signes de forces, exprimés par Arnaud Mussy.

Exemple : "André" c'est le temps des "contorsions," mais je les ai re-dressées en revenant  "du non temps".

Tel est le principe de tout : une image débile, de contorsion, mais mêlée à celle du "temps" qui permet d'en donner le caractère d'une science, de faire passer les "dressés" pour des "savants", qui répéteront les slogans du dresseur ("M A LA TETE... PAR ORA), sans les comprendre, en jouant les entendus, les initiés, et faisant taire tout le monde, les douteurs et les tièdes, impressionnés et apeurés de contredire de tels singes savants.

 

C'est cet alibi de ce qui est "commun", le livre, qui va être l'argument pour faire taire.

D'où l'argument de la vitesse, celle-ci caractérisant l'admission de ce qui est admis par tous, notre "texte", facile à comprendre quand il est traité par ces images automatiquement irréfutables : "je reviens du non temps", ou tel jour, "André est accompli". 

Et il ne restera qu'à répéter ces formules impressionnantes et creuses pour faire taire d'abord, puis imposer une "concrétisation" en leur nom.

Toutes ses questions le montrent, scindées en deux temps, reliées par le mot "pour" signifiant "au nom de", et nous jugeant, au nom d'un slogan à l'infinitif. Nous y reviendrons.

Il reste à laisser la parole à celui seul qui peut la traiter pour la "participation", pouvant ainsi imposer son propre sens au texte : "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA", dont la "mission finale", après avoir "accompli les Ecritures" (d'André), sera alors de "réécrire SON "Evangile".

Ce qui est normal, quand l'ancien texte, ayant été privé de tout ce qui l'ouvre à l'infini, devient lui-même inutile et symbole de perte de temps. 

On peut n'en conserver que le sens judiciaire, sens repris dans son "Evangile de 900 pages" : un texte fermé sur un chiffre fini. 

Le juge, c'est celui qui dans le débat, contient la clé des deux discours contradictoires en même temps (comme un procès d'inquisition au sens du Droit actuel), qu'il a lui-même subtilisé en se servant d'un texte "commun", irréfutable - une preuve -, amenant notre obligatoire participation cérébrale à cette confusion tirée de l'usage des deux langages en même temps. Il peut alors nous contredire quand il le veut, et nous ne pouvons que nous taire.

"Nous sommes 2, puis 1" dans le non temps, car l'un des deux est le plus fort. Celui qui "revient" du "non temps".

Mussy totalement présent, pour nous encercler dans son "temps" et son "parcours", ces deux termes se reliant dans le mot "procès" (processus et marche).

Le "chef" revient du non temps, pour pouvoir trancher tout le temps, conserver son pouvoir, toujours renouvelé. C'est pourquoi André Bouguénec ne fait qu'en "venir", pour aller en s'éloignant, s'écarter et se perdre, bien que conservé comme "nom". 

Le mot "ultime" qualifiant cette "main tendue" de "l'avocat", définit le contexte : ce qui ne permet pas de cas, de recours ultérieur, "ultime" venant de ultra : Ce qui va le plus loin.

Sa "sincérité", étant celle de celui qui prend la main durant le procès, première des qualités de l'avocat, qui va vite prendre le rôle de juge, mettant "l'homme et l'ophnar à Terre", depuis le "ciel".

 

 

Et ce n'est pas par hasard, s'il place sa signature ("M"), au centre du cube Sator. C'est qu'il représente le "Testament" d'André, sa succession, son temps.

André venu "déposer" : Le mot dépôt signifie "mettre à terre". C'est le dépôt d'un testament de l'infini : le Carré sator, qu'Arnaud Mussy accompli en "Nouveau Testament".

 

La main tendue a le sens de main créant un mouvement circulaire à partir d'un centre, mais aussi "main posée", expression signifiant "héritier" en sanscrit, et qui interrompt le cours d'une succession naturelle, en la stoppant sur un point ("mon parcours systématiquement ponctué sur un 16 décembre").


 

La "personne" d'André Bouguénec ne dure pas, contrairement à l'abstraction des "retours" permanents du "16 décembre", scellant l'accomplissement systématique d'Arnaud Mussy, dans un système qui ne peut plus toucher le monde réel.

"André Est l’Abyssin du Futur, « le Maître de Justice » venu déposer la Conception du Grand Œuvre (avec ses 7 livres). Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en ‘‘p’tit Jésus’’ pour L’accomplir. Je Suis « le Paraclet », « l’Esprit de Vérité » annoncé après Son départ. Tel un tachyon, André a pris soin d’arriver (à travers moi) avant de partir. Alors oui, comme une particule qui remonte le temps, je suis bien André revenu « comme un voleur » parmi vous pour sculpter et sceller la 1ère Pierre de la Jérusalem Céleste (la lettre M). C’était aussi cela le sens caché de « l’Ultime Grand Secret »."

 

Confirmation qu'on parle bien d'un "procès" : ce mot signifie "marche", et "l'accomplissement final" d'André concerne "son parcours"... et le nôtre : "en ce qui vous concerne, il n'était pas difficile de suivre André à la fin de sa vie". 

"Il n'était pas difficile de suivre André" =  Il était facile de lui faire un procès.

 

Un tel discours, évidemment, créera des clivages dans un groupe, personne ne comprenant son sens profond. Ce qui permettra à Arnaud Mussy de tester ceux qui seront plus proches de son sens réel, et de les approcher pour le suivre dans sa révolution, dans son procès contre André Bouguénec. Leur nombre grandissant, les minoritaires seront d'autant plus contraints de se taire.

 

 

Pourquoi un 16 décembre ?

 

Caricaturer signifie : charger. Le "16 décembre" désignant la fête des caricatures du pouvoir légitime et héréditaire, brûlé sur la place publique : les Saturnales, qui évolueront dans l'histoire européenne en Carnaval, Fête des fous, jusqu'à devenir un véritable modèle pour les paticipants de la Révolution française.

Ces "points" revenant régulièrement ("systématiquement"), tous les 10 ans. Ce cycle c'est le modèle du mouvement planétaire, image de tous les mouvements de tous les corps de l'univers.

Le rire (qu'on retrouve dans l'imagerie de la "fête") est le fruit de la "charge", de la caricature (durant la fête révolutionnaire), mise en axiome.

 

Le "joker de Dieu" est une caricature déguisée, tirée des "contorsions" du temps : une charge "prouvant" le "vice de forme" du mauvais juge, n'appliquant pas le texte de la "justice", car "tricheur", se trouvant des "excuses".
 
Mais devant alors laisser place à l'autre déguisé, des oripeaux du discours fort, de la "science".
 
Voilà pourquoi Arnaud Mussy accuse le "joker de Dieu", mais demandait à ses répétiteurs, de "tous être des joker". Sans Dieu. C'est-à-dire des remplaçants.
 
"Forme" tordue devenant l'axiome de toute la suite, puisqu'elle est le "commencement" ("à commencer par les contorsions du temps") , accepté des plus simples...
 

Les "élus", "pariticipants" pour ne pas être eux-mêms jugés, "riront plus tard". Autrement dit ils apprendront comment procéder pour participer du tribunal.

 

 

A propos de Jérémy Trossais, appelé "bouffon de l'univers" : qui fait rire l'assemblée

Nous n'apprendrons à personne à quel événement correspond la date du 14 juillet (similaire au 16 décembre), à laquelle Jérémy Trossais à mis fin à ses jours, pour "ouvrir les portes du ciel". Arnaud Mussy déclara lors de son procès de 2002, que celui-ci avait une "fêlure", ajoutant à cette image de rejet en folie, et de rejet du dressage : la dysharmonie en résultant.

La "fêlure", c'est de se trouver dans l'entre-deux des discours d'André Bouguénec et d'Arnaud Mussy, autrement dit ne pas passer le cap du "non temps", de ne pas "basculer".

Bouffon de l'univers : qui va à l'extérieur, vers l'infini, l'universel, ramené à un isolement, une solitude et une absence de mouvement : l'inertie.
 
Pour ne plus freiner le "Ciel", il faut "revenir" et "ouvrir les portes du ciel", en accepter le "jugement". Mais dans quel sens ?

 

Un "bouffon de l'univers", comme on l'avait appelé en Néo-phare, c'est quelqu'un qui fait rire. Le bouffon est historiquement une figure de Carnaval, fête directement héritée des Saturnales romaines, où l'on tuait le Roi Bouc émissaire, dans une liesse généralisée, exprimée par les esclaves enfin libérés des gêneurs.

Cette fête en rapport avec le "rire plus tard", signifie le renouvellement permanent et infini du pouvoir, de sa jouissance (fête), rendue possible par l'usage de mots évoquant l'infini, impossibles à circonscrire à du concret, dès lors qu'on a chiffré cette mythologie absconse (donc irréfutable), comme dans la formule "suivre l'amour".

 

Après le suicide (auto-accomplissement), le sacrifice d'André Bouguénec.

 

 

Ce "parcours de résurrection", étant "ponctué" des phases du procès, commençant par la découverte de signes, d'indices, suite forcément à une en-quête : 

André est d'abord touché, par l'ironique annonce de la découverte d'une tromperie :"le soir même je découvre chez Élodie et Olivier qu’André est Jésus"

(Les questions, ce sont des en-quêtes judiciaires. Dans ce courrier où il annonce sa venue, il précise en post-scriptum qu'il "pose des questions" mais nous "attend au tournant avec nos réponses"... Il va, comme en toute enquête judiciaire (questions posées à des personnes naïves, "gentilles" : recouper les réponses, cherche les "contradictions", les subterfuges, les tentatives de "détournement" ("nous attend au tournant avec nos réponses"), c'est-à-dire les alibis et excuses du "temps". 

Lui n'est pas "ailleurs" (alibi) : il arrive et sera présent, tous les 16 décembre par exemple, comme un "point" ("systématiquement ponctué") qui dévore tout notre langage. Mais cette annonce est faite en post-scriptum : apèrs signature. C'est là qu'il se cache. Sous son paraphe ("M").

Pour terminer par le jugement...

N'est-ce pas en "rentrant dans les détails" (de nos contradictions, de notre procès), qu'il nous "brûlerait les ailes" ?

 

La preuve géométrique de cette pure image étant irréfutable.

A la fin des "torsions" du 16 décembre, on obtient un tour complet et une révolution.

 

Recoupement :

C'est ainsi qu'il faut lire toutes les allusions aux "tours", et autres "retours" d'Arnaud Mussy, comme dans les paraboles évangéliques de ce Courrier, où il prétend "revenir" (faire le tour)... par surprise.

Et encercler c'est cerner, c'est contraindre la vie, par ce pouvoir obtenu par les mots : Dans cette "OMNI (cf. : tout) po-TEMPS-ce" il faut deviner, par simple dé "FINITION" (cf. : qui vient du FINI), la puissance de Celui qui "MAÎTRise" tous les Temps (cf. : « Je Suis Celui qui Suis »).

 

Mais "revenir" c'est aussi être témoin, donc informé pour dire : je suis le mieux placé pour dire : quelle est la nouvelle succession, et son nom : "M", un paraphe sur un testament, signifiant à son tour : tourner la page.

"Cétypafuté" ?

"M" représentant le paraphe qui dit lui-même : "tourner la page."

 

Mais en tuant l'hériter par le langage de l'héritage, amenant une réduction des victimes, quand les autres se grossissent, d'où l'image de la double chair : deux chairs, allant en sens contraire d'évolution ("ADN")... par une ARNaque : celle "d'ARNaud". Le mot "arnaquer" ayant pour sens primitif : « amuser afin d'escroquer », autrement dit se déguiser, tirer parti du Sator pour se faire naitre.

 

C'est là la clé de son apparente génération spontanée, issue de rien, d'un signe.

Rappelée dans cette autre citation montrant la contradiction entre un "Fils" de nom, et un Fils de chair.

"Alors pour accélérer le processus vers le Bien, il n'y a qu'une seule façon, pour respecter la liberté justement du choix humain, c'est d'accélérer le mal en précisant l'inspiration dans le mal. Comme je dis souvent : "Pour que ça aille mieux, faut que ça aille plus mal, plus vite". Propos complet

"J'ai maintes fois expliqué les raisons de cet antagonisme, de cette influence contraire aux leçons des Inspirés, des Prophètes et des Messies. Le but de la création de l'humain est qu'il devienne un dieu, un fils du Père Divin. Un dieu sans énergie condensée, sans volonté, sans créativité exclusivement dans le Bien, est absolument inutile à l'intention de la Mère de la Vie. Jésus répond dans l'Evangile que Dieu, s'Il le veut, peut susciter des fils d'Abraham à partir des pierres du chemin ! Autrement dit, Il peut transformer toute matière en un fils louable, spontanément !
Cela n'a aucune valeur sans un long procédé d'existence auto-élaborée par un être qui doit chercher, choisir, devenir par sa propre volonté, un être de qualité. Les refus de toutes tentations mauvaises cumulent en lui, une énergie indispensable à sa future divinité. N'oubliez pas : Dieu vomit les tièdes ! Cela veut dire qu'Il les rejette de ses bienfaits et les envoie post-mortem dans les planètes purgatives d'involution". Introduction à Qui a créé Lucifer, André Bouguénec.

Vous avez bien lui : "peut susciter des fils" "à partir de pierres". Ce dernier terme désignant évidemment la matière.
 

Etude plus approfondie sur les guillemets, utilisés par André Bouguénec, dans le contexte de propos sur Arnaud Mussy.

 

 Le mot "Testament" signifiant à l'origine "ce qui est mis dans un coffre" (teckhe), et plus avant : "poser", on comprend alors la formule :

- "André Est l’Abyssin du Futur, « le Maître de Justice » venu déposer la Conception du Grand Œuvre (avec ses 7 livres). Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en ‘‘p’tit Jésus’’ pour L’accomplir. Je Suis « le Paraclet », « l’Esprit de Vérité » annoncé après Son départ. Tel un tachyon, André a pris soin d’arriver (à travers moi) avant de partir. Alors oui, comme une particule qui remonte le temps, je suis bien André revenu « comme un voleur » parmi vous pour sculpter et sceller la 1ère Pierre de la Jérusalem Céleste (la lettre M). C’était aussi cela le sens caché de « l’Ultime Grand Secret »."

"Comme un voleur"... ou "ARNaqueur.

Puis :

- "Saisissez-vous pourquoi le Fils devait poser la lettre M pour rénover le Cube ? C’était pour permettre à Dieu de concrétiser Son Rêve le plus absolu : devenir enfin MERE et PERE dans le cœur des hommes."

"Le fils", c'est-à-dire l'héritier, ayant lui-même posé son nom. On n'est jamais mieux servi que par soi-même, n'est-ce pas.

"Poser" signifiant : mettre à terre (ce qui sera à recouper avec : Je sais que là, je vous pose un sacré dilemme… ").

A noter que "Moïse" représente le parti de la "contorsion", des "juifs s'arqueboutant sur cet héritage" issu d'une succession antérieure...

Autrement dit c'est André Bouguénec comme descendant qui répète la faute historique, se disqualifiant, se dévoilant comme "joueur" acteur d'une tricherie par détournement, excuse ("tricheries du ciel"), que l'arbitre, témoin et justicier Arnaud Mussy va pouvoir mettre "hors-jeu", faire sortir du cercle, par la réécriture d'un nouveau "Témoignage", appelé "Evangile de 900 pages", ou encore "Testament". Ce dernier terme signifiant bien "témoignage", en "revenant du non temps", dont "André (comme nom) vient").

 

D'où la "mission" d'Arnaud Mussy : réécrire cet Evangile, sans André, "accompli", pour "retrancher" dans la "famille" (le temps linéaire par excellence, héréditaire et le monde réel). Retranchement précisé par la couleur d'un éloignement (géométrie), d'un oubli du réel, représenté par la couleur grise. 

 

Voilà comment son "message" progressa au Phare-ouest, comme dans du beurre, pour détruire la filiation, au nom de la filiation.

 Et qui ne suit pas ce système de jeu sur les mots, subira le "TNT".

 

Ces réfractaires seront les "traitres" qui subiront le jugement du prétendu "humaniste", pour les exclure du "ciel", c'est-à-dire du groupe, en les traitant de "fous", dès lors qu'ils ne suivent pas "l'amour". 

 

Recoupement :

"A moins d'être un despote, nous savons tous que les relations entre un Père et sa progéniture ne peuvent indéfiniment s'inscrire dans la stricte observance des lois. Alors, Dieu, par l'intermédiaire de Jésus, fit naturellement évoluer cet échange par des principes qui privilégiaient non plus le simple respect, mais l'Amour de l'autre... Le précepte « Tu ne tueras point » s'est transformé en « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Le processus est exactement le même au sein d'une famille : dans UN PREMIER TEMPS on incite un jeune enfant à partager... puis, dans UN SECOND TEMPS on l'enjoint d'aimer ses frères."

Que voilà de "l'amour" qui fonctionne comme une horloge, avec la "fraternité" comme prétexte du sacrifice de soi.

 Ce à travers un procès (processus = temps) DE LA PREMIERE FORME D'AMOUR, tirée de l'hérédité ("Jésus"), commué en "précepte"... pour changer progressivement : dans un premier temps... dans un second temps... "injonction"... où l'avocat ("intermédiaire" pour nous sauver du tyran et de ses "los strictes")), devient celui qui tranche à la fin du "procès" (premier temps, second temps...), pour "enjoindre" (force) à l'amour (mot que personne n'osera lui opposer sous peine de PASSER POUR UN FOU).

 

 

Comprendre

Le mot grec pour péché est Hamartano, signifiant également "ne pas participer", ce qui sera la conséquence de notre "non compréhension".  

 
Notre compréhension de son code, est mesurée comme poids de notre salut, contre la Faute et le péché : "transgresser le message"... mentionné tout de suite après la mention de "M A LA TETE..." : "vous avez transgressé le Message avec : ARO sur ARNO qui est assez fou pour se croire à la TÊTE des APÔTRES".

Le "fou" désignant ici selon le sens du pouvoir : celui qui joue avec les mots.

 

 

 

 

La langue de l'analogie Dieu | Simplicité matérielle

Tous les éléments de ce texte sont inscrits dans un système temporel mécanique, s'exprimant dans la grammaire du langage-machine, dont la valeur dépend de... la bonne mise à jour : déclenchement (d'une machine, d'une décision sur critère d'un calcul), basculement (selon un poids), suivre (passer d'un point à un autre), tout ce qui relève des lois de la matière, transcrites dans du chiffre.

Autant de termes emprisonnant l'homme dans des mécanismes simplistes, des images s'engrenant de proche en proche, par notre propre imagination, pour établir une chaine (d'images) parfaitement fermées, mais bien rationalisée par des dates, "heures", mois et années, commençant par des "combien de fois" (création d'un raisonnement probabiliste, amenant à induire ce qu'on voudra, mais déclenchant quoi qu'il en soit, une réflexion). On a encore : "venir", "revenir", "non temps", arriver, "huitième gradation" (ou "grade"), "appuyer, "mener à terme", "basculer", "fonds", "suivre", "cube", "échantillon", 1/125, etc. etc. etc.

Le "cube" devient un fond, l'assise prouvant une "sincérité"...

Les moteurs omniprésents désignent autant de systèmes de noms induits par des chiffres-signes qui une fois admis ne peuvent plus disparaitre de notre conscience (nous les détaillerons mieux un peu plus bas), et nous poussent à "suivre" en nous croyant "savants".

C'est d'ailleurs la conclusion de ce texte : Arnaud Mussy déclarant "je sais que". Car c'est la fin : devenir un "savant" impresionnant, mais pour créer la pression, poser un "dilemme" : ne pas le suivre et être perdu, ou le suivre et être sauvé, mais y perdre son individualité.

Descartes, ou Kant disaient : Nous possédons en nous les lois simples de la compréhension des lois simples de toute matière. Comme... tourner, suivre, atteindre...

Puisque tout se suit, tourne... c'est que tous les objets nommés sont analogues à des mécanismes, mus par des lois matérielles : attraction et levier de leur silence, de leur peur.

Pour réaliser une âme totalement mécanisée, de plus en plus conditionnée à force d'engagements successifs dans ce qui est forcément admis par tous les "participants", nivelés au possible.

Son "coeur" mécanique, n'est-t-il pas, par analogie avec celui de la Révolution copernicienne, une reproduction de la loi de "l'attraction universelle" : "la QuintEssence insécable de cet Amour Éternel qui ‘‘Aimante’’ Tout l’Univers" ? 

Ceci dit à travers un discours mêlant une mythologie d'images irréfutables, rendant parfaitement aveugles de ce qui se produira au nom de ces slogans.

  

 

Recoupement : Révolution et retournement des définitions du Ciel

"LE RETOUR DU CHRIST = 216, c'est-à-dire du Verbe."

...

"Pour son retour, à travers l'ALPHABET (= 77) français".

...

"Le plus important est-il de vénérer l'Homme Jésus - y compris pour son retour - ou d'assimiler quotidiennement la substance de son message ?"

...

"il est logique que le retour du Verbe soit symbolisé par le "Z - A"

Satornet, Arnaud Mussy

 

Dans ces quatre exemples, le "retour", est explicitement associé au langage. Le retour, c'est le retournement d'un homme, par le retournement de son langage, c'est la création d'une nouvelle définition des mots de notre enseignement et de notre langage naturel.

Pour un "règne" :

"Voilà, Il tient ses promesses et comme le dit si bien la prière : "son règne arrive". C'est discrètement que se réalise le retour du Verbe, afin de révéler ce qui demeure pour l'homme, un mystère : son origine angélique, son "PRESENT" (qui est aussi un cadeau) si important dans la perspective d'un futur état... androgyne et divin."

 

Ajoutons que le "non temps" c'est, dans notre imaginaire, le temps du sas, du moment du choix dont la sortie est également un destin de : mort ou survie. Qui renvoie aussi au "ciel", lieu où siège le "juge", celui qui accorde "futur"... ou pas, à la fin du "tour", de la "révolution" (mot signifiant très exactement retour).
 

 

 

Le sens inversé du "non temps"

Se faire Dieu à la place de Dieu est le "REVE" même de Lucifer, inversant pour cela les mots, celui de "Dieu" désignant forcément alors : le Diable. Alors le système d'inversion est complet.

Incidemment, voilà la raison pour laquelle il fallait tellement ridiculiser et réduire André Bouguénec à "celui qui se prend pour Dieu", afin de mieux le remplacer tout en feignant la fidélité, pour en conserver le rapport au nom... Ce pour mieux l'évincer en devenant peu à peu le "recours" (l'avocat) des pauvres victimes phare-ouestiennes, du "despote" et "tricheur" André Bouguénec.

Le cerveau étant incapable de comprendre en temps réel, un discours qui dit une chose et son contraire en même temps : qui "aime" André Bouguénec, et qui l'évince à la fois. 

C'est par la destruction de la logique naturelle, humaine, la logique temporelle classique, que Lucifer peut ainsi prendre le pouvoir... sans se faire voir, en restant à jamais invisible, parce que sa langue emploie des termes sortis de tout contexte concret, et par-là même impossible à définir, à comprendre.

Etant le plus "fidèle" de tous (ex : "je me revendique à 100% d'André Bouguénec - soit par un chiffre terminal d'une évolution probabiliste, d'une induction), on ne peut le mettre en doute sans se mettre en doute soi-même, sans se tirer une balle dans le pied aux yeux des autres membres de la communauté, de l'opinion plus exactement.

André Bouguénec en procès donc (par la facilité du chiffre, de la classe), parce qu'il voulut écrire un testament ("tester") sans fond réel, l'âme n'existant pas, ce même André Bouguénec, le sachant, selon les termes de l'accusation.

Autrement dit André se sentant "découvert" par le rationaliste Arnaud Mussy, se cherchât ultimement des alliés... comprendre des bonnes poires.

Ce qui amène : André Bouguénec a mis notre foi à l'épreuve concernant Arnaud Mussy, dévorant André Bouguénec. Ce qui est vrai, mais forcément dans le sens où André Bouguénec ne valida pas Arnaud Mussy...

   

 

Le problème de la symétrie

La symétrie fini / infini, c'est du bancale. Seule la symétrie matérielle, parfaite, sera stable.

"Revenir du non temps" c'est créer un axe de symétrie entre la Terre et le ciel, entre le passé et le futur, entre l'infini et le fini, entre toutes les catégories de notre enseignement, pour pouvoir créer un système complet de doubles définitions permettant de séparer le fini et l'infini, en accusant l'infini, de mensonge, de facteur de "contorsions".

Ex : la symétrie de la TETE du "christ", dont une seule va regarder vers le passé, et s'éloigner visuellement, se "griser" (comme "forme"), à quoi se rajoute l'opération 2 - 1 (bis = 2 - 1). Le visage, c'est la TETE, le "chef", etc. Mais celle d'André Bouguénec est celle de la vieillesse.

 

Le centre du cube, est aussi un carré démultiplié, où "M" a atteint la "huitième gradation du cube" (un "grade"...), le chiffre "huit" symbolisant l'infini, dans le fini, et... une symétrie dans sa forme.

 

Quelques images de symétries :

On trouve d'autres symétries similaires et parfaitement subliminales (tous les coups sont permis) en ce courrier, comme celle qui passe par ses couleurs si attrayantes, si ludiques, peignant les "mots" de ce pur schéma, incluant Arnaud Mussy en plein centre, et dont voici la liste dans l'ordre d'apparition : André ; Lui ; Sommes ; André ; Lui ; Tachyon ; André ; 62 ; Père ; Rejeton ; Enfants ; Père ; André ; face accomplie ; Moïse ; Jésus ; André ; Arno ; Vieillard ; André ; André ; Jésus ; Bang ; opéra ; André ; ADN ; Couple ; André ; André ; Christique ; couple ; Christ ; Christ ; Vierges sages 153 ; André ; Christ.

Il y a en tout 36 sujets nommés. S'étonnera-t-on de ce que le mot "Arno" soit placé exactement à la 18ème place (comme la lettre "R" de retour = révolution), mais aussi comme "coupe" de cette symétrie. Il est : celui qui tranche.

La répétition régulière du mot "André", à intervalles régulier, allant du centre vers l'extérieur, était évidemment attendue.

 

La pagination est très étudiée elle aussi. En effet toutes les grandes étapes et personnages présentés en cet ensemble, le sont en "tête" de page. Quelle spontanéité, quelle vie dans l'écriture ! Tout est cadré, millimétré. Pas un mot ne doit déborder.

On a ainsi :

Tête de la page 1 : Aujourd'hui, André est accompli ("accomplissement comme accusation et épuration)

Tête de la page 2 : André est l'abyssin

Tête de la page3 : Notre mission finale... (au centre de ce nouveau système)

Tête de la page 4 : Aujourd'hui j'ai accompli

Tête de la page 5 : (Mon) parcours (daté) du 16 ( = 24). (un point 0 en conclusion, pour indiquer son éternel renforcement)

 

"M" est un paraphe. Paraphe vient de "paragraphe", du latin paragraphus. C'est un titre  

 

 

La porte de la Basilique de Vézelay : un autre sas

Le procès faussement religieux sera imagé plus bas par le sas représenté par la porte, ou le Narthex (jugement et porte permettant le passage du profane au sacré, mais aussi forcément : l'inverse) de l'abbaye de Vézelay, montrant les "apôtres" en jugement, à la TETE de qui, "M" se trouve, rappelons-le. 

Le mot Narthex signifie "férule" : Direction rigoureuse, autorité sévère, domination, despotisme de quelqu'un ou de quelque chose.

Ce jugement les sauvera ou leur fera "perdre la tête", nous dit l'adepte des couperets révolutionnaires, datés comme tels.

Dès lors, il faut choisir : trancher, pour passer la "porte". Et quand on ne comprend rien, on fait appel aux plus in-formés.

D'où : le Phare-ouest, mis sur la sellette, ici, du tr, qui "tranche" la tête des faux apôtres, après passage par l'abstraction :

1 - Famille naturelle
2 - Famille dégradée, ternie (comme Couple et alchimie, lointain, trouvé par le "bras" d'Arnaud Mussy à... "Ternes") et mise en croix, pour effectuer un tri, une s'élection, la couper, en lui faisant perdre la couleur de la chair, ternie car mise en perspective, évoquant à un mouvement de disparition, dans le lointain, vers la petitesse, l'entropie.
3 - "Apôtres ayant perdus la tête", accusés par la matière, le chiffre qui conclue.

Le tout présenté sous la forme schématique d'une pâle de moteur, dont le mouvement... incitatif, est figuré par les flèches.

 

   

 

L'accusation du parti caricaturé du "passé", lourd et dégoutant

Pourquoi procéder ainsi ? Parce que la position de l'usurpateur est minoritaire, quand le discours à supprimer est au contraire majoritaire, de sorte qu'on ne puisse le détruire ouvertement. Si Tartuffe annonçait d'emblée son projet de prise de pouvoir et de (ou par la) destruction de nos valeurs, il serait évidemment rejeté.

Alors il s'invente une majorité par le mot "amour", et une minorité par le mot "fou".

Le faible, le minoritaire réel, va faire en sorte que sa cause devienne la plus forte dans le langage. Pour qu'elle progresse invinciblement.

L'idée à rejeter recevra des termes impliquant le dégout, le rejet, la faiblesse et la mort, etc. et l'autre amènera l'assurance, la force, la survie. Toujours par l'équivoque, les analogies implicites, le jeu avec les mots, autant de signes qui amèneront la docilité du groupe.
 

Qui est accompli à date T, s'éloignera. Qui est accompli sur la "huitième gradation du cube", grossira "systématiquement" "tous les 16 décembre", donc se rapprochera pour mener son procès.

Comment amener à décrire le passé comme "minoritaire", à retrancher ?  

Le contraire du mot "avenir", n'est pas "passé", mais : aller, disparaitre, envoyer, quitter, s'en aller, s'enfoncer, autrement dit aussi, pour faire allusion aux prévisions de René Guénon, se dissoudre.

Qui va vers le passé, est affublé de la lourdeur, il prend du poids, s'écrase et rapetisse, perd en vitesse, pour disparaitre, comme le bouc émissaire dans le désert, éloigné du "centre d'attraction".

Cette "lourdeur" suggérée, ayant pour conséquence notre rapetissement, et notre rejet consécutif du "futur". Ce rejet (dans le désert) représente l'angoisse primitive de l'homme, sa plus grande peur : la mort.

Or ces formes ne sont décrites et nommées que par leur incidence sur le temps.

Voilà aussi pourquoi sa "Mère Suprême" est décrite ici comme "lourde", là comme "indigeste".

Passage tiré de Satornet, traitant de l'Apocalypse (un "jugement") après évocation des "fondamentaux" (ce qui s'efFONDre) d'André.

"Les hommes qui détenaient tout en "poten-CIEL" pour faire de cette Terre un paradis, par l'Amour, par la connaissance de leur Créateur et de leurs frères, refusèrent les prophètes venus les aider dans cette lourde tâche. l'un des derniers en date fut Jésus. Lassé des errements humains, le Ciel prévoit donc un grand "BOULEVERSEMENT" pour cette fin de siècle."

Passons sur les "errements (contorsions) de Jésus "dernier en date" (accompli à date T, lui aussi), "lassant" le "ciel" (le juge) : par ses pertes de temps.

Vous avez à présent les moyens de comprendre son intérêt pour "l'effondrement des deux tours", en rapport avec des dates anniversaires, devant amener des "fins du monde", celles d'André Bouguénec, et la nôtre. Avec un jour en moins en ce qui nous concerne, mais nous, n'étions pas encore totalement morts... il nous restait une chance, donc, de comprendre le "code" et d'y "participer".
  

Les effets de tremblements, sont également présents ailleurs dans ses écrits, attribués au théologien Arnaud Dumouch. En cybernétique, ils précèdent les effondrements, sauf si on inverse le sens des réponses. Par des moteurs.

 

C'est pourquoi on trouvera partout en ce texte d'Arnaud Mussy et en d'autres, des "tailles", déployées dans des "repères", amenant des idées de "poids", de "dimensions", "d'écartements", de "rapprochements", de "vitesse" et de "lenteur", etc., dans un volume unique, fini, de déplacements, formant alors des procès.

André est cet "abyssin du futur, qui arrive... avant de partir".

C'est encore le "petit" Jésus (taille, grandeur) Arnaud Mussy, qui donc : deviendra grand : "Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en "p’tit Jésus" pour L’accomplir".  

 

C'est pourquoi encore, pour séparer, éloigner, tout ce qui relèvera du Phare-ouest sera traité comme "passé" et rapporté à des images de dégout, suscitant le rejet.

Qu'on en juge par les mots qui nous concernent :

Devons déchirer le voile de notre perception ;
tester le fond de votre âme
tomber
arque bouté
folle
cramponner
prendre une ultime main tendue
corrompre
ceux qui perdent la tête
basculez vite avant que l’Univers TEMET de la Mère ne mette l’OPHNAR et l’homme à terre...
ceux avec qui il faut "trancher"
ceux qui se brulent les ailes
ceux qui sont mis à terre
etc.

André Bouguénec, lui, est fixé dans une figure de la mort, mais participant à la fois du présent et du passé :

"Aujourd’hui, 16 décembre 2006, André est accompli."

Ensuite viennent :

fin de sa vie
vieillard
dernière apparence physique
Esprit d'André (désignant son "intelligence de la matière")
Date d'accomplissement

    

Arnaud Mussy : Parlant toujours au présent (accélération permettant d'englober tous les temps contorsionnés), "MAIN TENANT"..., se "situe" comme "actuel" et "toujours", ou au futur :

Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu...
Je Suis « le Paraclet » ;
Je suis bien André ;
Laissez-moi vous donner ;
"Je sais que" , je vous pose un (sacré) dilemme".

Progrès vers le contrat ("huitième gradation du cube", expression paraissant délirante, mais en fait parfaitement étudiée)

remonte le temps
sculpter
poser
apparence différente plus jeune.

Cette dernière formule permet de parler du "double visage de la prudence", comprendre comme une symétrie opposant les deux "sages" en termes de vitesse de pensée, le "vieillard" regardant vers le passé, s'éloignera - accompli ! - de la "prudence" comme sagesse, opposée de la "folie". La sagesse amenant le salut de la "jeunesse" regardant elle, vers le "futur".

 

 

Recoupement dans Satornet

"Aucun iota de l'univers n'est voué à l'inertie, alors, plus que jamais, la roue tourne, la TORA devient ROTA et le recto devient "VERSEAU". Tant pis pour ceux qui veulent rester définitivement enchaînés à leurs vieux symboles et à leurs vieilles clefs périmées.

Le vin d'hier "a fait son office", il est aujourd'hui servi dans de nouvelles outres, ou plutôt de nouvelles COUPES. "ENTENDEZ" par-là, de nouvelles COUP-ures, de nouvelles césures, de nouvelles PER-MUTATIONS à partir des mots nouveaux ; donc, de nouvelles sonorités qui "éclatent" pour un nouvel entendement, façonné "depuis toujours" pour les esprits d'aujourd'hui."

Couper, c'est alléger, épurer, trancher. L'oeuvre du juge.

Et comme un "iota" est un symbole", même s'il n'y est pas voué, l'inertie le guette si...

 

 

Le procès de la Mère Suprême : Celle qui ne décide pas

Sur la cassette G41 face A, André Bouguénec parle du levain de l'avenir, que sont les phare-ouestiens. A ce moment, Arnaud Mussy rentre dans la conversation en présentant un passage de L'Ultime Grand Secret portant sur "l'heure de la Mère", afin d'en tirer l'argument de notre "double responsabilité" au regard de l'avenir.

Etre doublement responsable, c'est porter une double charge, terme judiciaire pour désigner ce qui "pèse" sur l'accusé.

La citation placée en introduction, et menant la Mère à "déclencher les événements", c'est-à-dire "décider" à heure dite, montre que ce n'est plus Elle qui décide, mais Arnaud Mussy, qui... prends les choses en main, et pourra "déclencher" les "événements", depuis un "non temps" (puisqu'il les encercle tous, peut donc définir tous les projets, tous les objectifs et leur temps d'aboutissement) infiniment plus arbitraire.

 

 

 

Les paraboles (géométriques) des Evangiles

On ne s'étonnera plus du choix de ces paraboles, traitant toutes deux de "retour" ( = révolution) précédant une nouveauté.

"Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant".

N'invitaient-elles pas chacun à veiller, à [= pour le slogan : ] se préparer aux Noces de Marie et Jésus, plutôt que de se cramponner à la dernière apparence physique du Rejeton ?"

Ces deux paraboles traitent géométriquement ("aller comme un gant") de la rencontre surprise, laissant sans voix, censurant les personnes jugées. Avant les conséquences : une séparation.

Les époux des "vierges" doivent en effet, re-venir : à l'improviste, pour ensuite "fermer la porte" (du tribunal : on ne peut en sortir), mais aussi pour rejeter les vierges ne s'étant pas préparées à ce retour.

L'époux, venu par surprise, va trancher. Lui , sait "l'heure". Il est "informé". 

Quant à la parabole des disciples d'Emmaüs, elle décrit des "compagnons", "surpris", après un "choc", de ne pas avoir reconnu Jésus, re-"venant" au moment : opportun.

 

 

Un "Nouvel Evangile" de la régénération par les chiffres

Un Evangile, c'est un "Testament", écrit devant témoins, en principe. "Evangile" reposant sur quoi ? Un tombeau : représentant un couple endormi dans la pierre, passé, mort. Ce couple, ce sont deux classes sociales, encore endormies, et représentant la famille, la succession, accusée et lourde, comme il se doit.

Rien de plus simple, nous dit Arnaud Mussy, que son nouvel "Evangile" remplaçant l'Evangile "accompli" "d'André".

D'une "simplicité" "qu'on n'imagine pas", simplement parce qu'elle ne touche qu'au savoir clair et net, destiné à des enfants, bloqués dans leur "commencement". 

 

Par ailleurs, l'article "de", trouvé dans les titres de ses sujets, prouve que le sujet réel de chaque section, est une extraction, une abstraction, laquelle consiste systématiquement en un calcul de... ceci ou cela, hérité "de", ceci ou cela.

De : De marque la condition préalable d'un procès ou du résultat d'un procès matériel ou moral.

D'où évidemment la vitesse de compréhension de cet "ouvrage".

  

"Simplicité" de son évangile, mais bizarrement, traitant de "lois de Planck", "Big Bang", et autres thèmes scientifiques demandant des années d'études pour être seulement compris comme problèmes... et pas compris pour autant par les scientifiqus eux-mêmes.

Ceci pour permettre aux plus simples d'esprits, de se sentir savants, tout en suivant des règlements débiles.

Bizarrement la liste de son contenu commence par l'énoncé d'une maitrise par Arnaud Mussy, pour mener à une "simplification" des calculs avant contrôle par le temps, des heures, du "tour" des choses. Rien de plus simple que ces "signes" permettant de faire peur : l'heure.

En cet "Evangile", la seule logique finie, est celle de la pensée d'Arnaud Mussy, qui établit des "plans", des "scénarios", décrit des "gradations", etc., autant d'images primaires, maquillées de science, pour détruire notre capacité à la réfuter par une vraie logique, visuelle, elle.

Le dernier point fait même "disparaitre le principe d'incertitude", base de la critique logique, saine... D'où découlera la "paix" de sa Jérusalem.

Cette liste précédant un "jugement" : le huitième "point".

Ce huitième point est le "jugement" des "anges" (une classe également endormie, et en attente de jugement, comme son couple de pierre). Les anges furent parfois comparés par analogie, à des machines cybernétiques... Contrôlées du même coup par l'horloge, et "voyant" Dieu par "intuition" (autrement dit par induction).

Cet Evangile (Qu'on n'a jamais vu), dont (forcément !) on "n'imagine pas" la richesse, la densité et la simplicité (...), qui, sur 900 pages (surprise : sa croissance magique de 100 pages depuis la précédente information à son sujet - pas une de plus ni de moins !), s’appuie systématiquement sur la structure du Cube SATOR (matière) et du Tombeau de François II, qui ne font qu'1..."

(II =) 2 - 1, encore... Ce 2 - 1 déjà calculé plus haut, avec la même opération au regard de "l'accomplissement des Ecritures" ("Vous pensiez qu'André...).

D'où la mort, présentée par le "tombeau de François II", indiquant la nature de ce Testament ayant fonction de "tri".

Rappel : ce couple est présenté au centre du cube, décrit plus haut, ce qui permet un renvoi de l'un à l'autre dans notre imaginaire...

Quant à ce "concentré de mémoire", défini comme une conclusion ("Testament oméga de Dieu"), il se rapporte à nouveau à la "présence" ou du "non temps" jugeant les deux contradictoires, et obligeant chacun à se surveiller lui-même dans sa "vitesse" à "obéir" devant la loi du groupe, à l'intelligence nivelée à mort.

 

A noter qu'en Néo-Phare les couples furent reformés, à coup sûr en fonction de la position de leurs éléments, vis-à-vis du maitre.

 

Les "deux témoins" sont également deux formes de témoignages.

  

Voici donc la liste de ses "sujets", testant notre "simplicité" : 

1 - L’Ame du Plan de Dieu et le dévoilement du « Je Suis Celui Qui Suis ».
2 - Le scénario du BIG BANG et de son AVANT.
3 - Une description transcendantale de l’OPHNAR et de l’Univers TEMET avec ses Gradations principales.
4 - Les 4 Visages de Dieu ( Astrid L. + Arnaud + André + Anna ) présents dans l’Univers AREPO et OPERA avant qu’ils ne Fusionnent dans "l’Univers nouveau" TEMET (expliquant les 4 Forces de l’Univers, les 4 Nucléotides de l’ADN, etc...) .
5 - Une simplification de la théorie des cordes par rapport à la Matière imparticulée,
6 - Les mystères et les méandres du Temps, de l’Espace et de l'Amour qui tissent la Matrice (ou la disparition du principe d’incertitude au-delà du mur de Planck).
7 - La structure de l’ADN et l’ARN angélique, humain et divin.
8 - Les principales étapes du scénario angélique jusqu’au péché originel et la révolte
9 - La pluralité des visages du Couple Rejeton en parcours, et des gradations des 144 000, durant l’Ere Adamique.
10 - La nature divine du Couple et le rôle dévolu à chacun dans la Résurrection.
11  - Les Erreurs des 3 religions Abrahamiques, synthèses de toutes les autres.
12 - Les 17 Couples qui formeront la Synthèse de la Jérusalem Céleste.
13 - Le dévoilement de la structure divine de mon parcours et du Jour J.
etc... etc..

Dès qu'on les voit, les termes "de", "du", etc. permettent de comprendre les sujets réels de son Evangile : des abstractions, dont voici les étapes pour plus de simplicité.

De : "Hériter de, descendre de, tenir de, être issu de"

Liste non exhaustive de sa géométrisation : "plan"... "parcours", "nature", "étapes", "pluralité", "structure", "scénario",  "gradation", chiffres 4 (22), 4 (22), 4 (22) (les puissances de 2 mesurant les aires)... "univers" nouveau, "forces", "rapport", "méandres", "structure", "scénario" (encore), "pluralité", "parcours", "gradation" (encore), "structure" (encore), "parcours" (encore), et enfin d' "au-delà" (valeur horizontale, autant que verticale).

Pas un terme spiritualiste n'échappe au scalpel mathématique d'Arnaud Mussy, impliquant la mise en faiblesse du "reste", pour une conservation de la force mathématique, seul "sujet" restant de cette "ontologie" dont le chiffre représente la seule clé et la seule autorité faisant office de détention de "vérité".

Qui osera s'opposer à un tel "sachant", sans risquer de se compromettre aux yeux de tous ?

Cet Evangile "prouve" automatiquement la "force" de celui qui entreprend la découpe de Dieu, le "je" invisible, caché derrière l'équivoque des signes.

Sur ce point, une petite parenthèse s'impose pour rappeler une des formules favorites des titres d'Arnaud Mussy. Qu'on peut d'ailleurs retrouver dans ses textes de Satornet : "De... à...", avec son commencement extrait (de...), et sa fin, sa conclusion (à...) : un procès.

  

 

 

Les questions du pédagogue, ou "grand inquisiteur", nous aidant à induire sa politique

"Amis lecteurs, interrogeons-nous", Arnaud Mussy, Un lecteur, in L'Ultime Grand Secret

Voici comment André Bouguénec me présenta un jour Arnaud Mussy : "Lui, je l'appelle mon Grand Inquisiteur, parce qu'il pose des questions" Et des questions, "pour savoir et pas pour être", dira-t-il ailleurs. Ajoutant : "Et là c'est foutu".

Une question pour savoir et pas pour être, c'est une question pour obtenir une place, un statut, selon son niveau d'obéissance et d'imitation comme "singe savant".

Les autres : Arnaud Mussy dira ce jour-là : "Oui, le mal, y'a la partie mauvaise qui s'en va."

Quant au grand inquisiteur, inutile d'en faire l'analyse. Tout le monde sait qu'on parle d'un juge. 

Un procès inquisitorial étant un procès fondé sur des documents, où le juge procède à la fois au traitement à charge et au traitement à décharge. Autrement dit il parle les deux langages de l'accusation et de la défense. Toutefois c'est bien lui qui tranche à la fin.

 

Les questions sont en effet un élément capital de la rhétorique d'Arnaud Mussy, puisqu'il en sort une toutes les dix lignes.

Dans Satornet, l'ensemble de ses textes contient exactement 141 points d'interrogation, pour 18 000 mots (arrondis à 100 près), soit une question tous les 120 mots. Si on compte 8 à 10 mots, pour une longueur de ligne moyenne dans un livre lambda, on arrive à une question toutes les 10 lignes environ. 

Notre courrier, qui en contient 11, n'échappe pas à la règle. Toutes ses questions ou presque, contiennent aussi l'adverbe "pour". 

"Pour" permettre de débiter des slogans creux mais impressionnants son monde, comme le font tous les "singes-savants", imitateurs de savants, mais sans le temps du travail.

"Pour savoir", dira André Bouguénec, comme indiqué juste au-dessus.

Le premier sens de cet adverbe est "au nom de"... notions systématiquement décrites à l'infinitif présent.

Tous les "infinitifs" présents en ces questions activant des "slogans", tel : "susciter l'auto-engendrement", "accomplir les écritures", "rénover le cube"... "accomplir le futur", etc.

Exemple avec la première question de ce courrier qui en comportera 10 autres, toutes grammaticalement identiques, accusant le passé (se trouvant des alibis) au nom d'un présent permanent, après un procès d'intention. A la suite de quoi de nouveaux alibis sont trouvés, cachant cette fois un pouvoir aussi infini qu'invisible. 

"Combien de fois André évoqua les ruses, les facéties et les tricheries déployées par le Ciel pour SUSCITER l'homme à s'auto engendrer ?" 

   

Voici la liste complète des 11 questions de ce courrier, traités pour la plupart, dans d'autres sections de notre travail.

1 - "Combien de fois André évoqua les ruses, les facéties et les tricheries déployées par le Ciel pour SUSCITER l'homme à s'auto engendrer ?"

2 - Vous pensiez qu'André Etait le Fils de l'Homme revenu [pour] ACCOMPLIR les Ecritures ?

3 - Saisissez-vous pourquoi le Fils devait poser la lettre M pour RENOVER le Cube ?

4 - C'est pourquoi, en partant, [André] voulut tester le fond de votre âme pour SAVOIR qui aurait suffisamment de Foi parmi vous pour le suivre dans son Accomplissement final ?

5 - Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant. N'invitaient-elles pas chacun à veiller, à [= pour] SE PREPARER aux Noces de Marie et Jésus, plutôt que de SE CRAMPONNER à la dernière apparence physique du Rejeton ?

6 - Maintenant, c'est à vous de voir si vous aurez assez de coeur, de courage et d'humilité pour COMPRENDRE, ACCEPTER vos trahisons (par actions ou par omissions), et RIRE plus tard de tout cela ?

7 - En un mot, allez-vous prendre cette ultime main tendue du Ciel et [= pour] CONSIDERER ces quelques pages comme un échantillon de la Pierre d'Angle, ou comme une Pierre de scandale ?

8 - Une Pierre d'Angle ou une Pierre de scandale ?

9 - Savez-vous pourquoi le Ciel organisa ce Futur en 2001 ?

10 - Le CHRIST TRISCHa avec le Temps parce qu'Il ne connaissait que trop bien votre manque de Foi de la Fin, pour DECIDER de vous FAIRE VIVRE cet Evénement dès le début. Cétipafuté ! ?!

11 - 5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer le récit de Marie-Madeleine, au sujet de la Résurrection du Christ, comme le témoignage d'une femme exaltée ? 

 

L'une de ces questions nous demandant "d'avouer", tout en nous rendant acteurs de notre propre jugement ("maintenant c'est à vous de voir"), puisque partout nos propres mots se retournent contre nous-mêmes.

 

Voici comment le cerveau et seul le cerveau est encore sollicité dans ces questions mettant le coupable dans une machine à laver, pour lui faire "savoir", après une procédure très proche de l'hypnose, sa culpabilité s'il ne va pas assez vite.

Mais, saisissez bien ceci - Extrait de la page 54 de l'Ultime grand secret
Combien de fois André évoqua
Comprenez qu'
Vous pensiez que 
il fallait opérer une petite greffe au coeur
Vous savez tous
Saisissez-vous
Vous concernant, il n'était pas difficile
C'est pourquoi, en partant, il voulut tester le fond de votre âme pour savoir qui aurait suffisamment de Foi
Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant. N'invitaient-elles pas chacun à
Maintenant, c'est à vous de voir
vous avez transgressé le Message
Vous n'imaginez pas
Entrer plus avant dans les détails risquerait, pour le moment, de vous brûler les "ailes''. (allusion aux deux lobes du cerveau)
Savez-vous pourquoi le
5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer
Je sais que là, je vous pose un sacré dilemme ! "

 

 

Note sur les points de suspension :

Les points de suspension sont, avec les points d'interrogation, grammaticalement classés comme des "signes forts".

Note aux phare-ouestiens : pour repérer un adepte du système ou un des élèves d'Arnaud Mussy, il suffit d'analyser ses propos, truffés de ces signes, et c'est très facile. Dès qu'on les a vus, on ne voit plus que ça, tellement ils sont utilisés avec une grossièreté confondante. 

Ces "points", sont eux aussi omniprésents dans les textes d'Arnaud Mussy (149 occurrences dans Satornet), désignant la multiplicité des sens possibles à l'issue de chaque formule qui les précède, tranchés à la fin, par celui qui les place, forcément.

 

Recoupement : en Satornet, le paragraphe posant les "principes" de cette "science", appelée "science du verbe" débute par le mot "pour" et se conclue par trois points de suspension suivis d'un point d'interrogation. La totale.

A savoir un "pour" posant une majorité : "Pour une majorité d'entre nous", etc. puis "le Verbe ... est une abstraction".

La conclusion du chapitre étant : "Pour conclure cette longue introduction, je vous invite à réfléchir sur l'observation suivante : si jadis l'hébreu et ses multiples combinaisons devaient révéler, quelque part en Galilée, un événement d'une portée considérable, d'après vous, que peut signifier aujourd'hui l'émergence d'un Verbe nouveau... ?"

Les multiples combinaisons désignant les lenteurs d'une langue passée ("hébreu"), image servant à une "réflexion" sur le passé associé à la perte de temps ("multiples combinaisons"), s'opposant à une force future, POUR "révéler" (un infinitif) une émergence (en notre cerveau) par induction.

    

 

Le moteur à induction d'idées

La loi des moteurs et de leur révolution, c'est l'attraction universelle, modèle de toutes les forces, imageant la mort d'un cycle avant la naissance d'un autre, après un "procès".

Le moteur, c'est une machine servant à entrainer des pièces, par étapes successives, des "temps" verrouillés, dont le mouvement est inéluctable. Ne parle-t-on pas de "machine judiciaire" ?

"Non seulement les MOTS que nous utilisons quotidiennement sont le miroir de notre âme, mais ils sont également le MOTeur de nos agissements."

[...]

"Puisqu' « on ne voit bien qu'avec le coeur... », suivons cette voie recommandée par Saint-Exupéry. La véritable question est de savoir si les MOTS ont été MOTEURS pour toi ; est-ce que ce Verbe Nouveau a pu toucher véritablement ton Ame et ton cœur ?
Or je ne peux douter qu'il en fût ainsi. Pourquoi ? Tout simplement parce que tu possèdes EN TOI cette IMPRESSION imprimée au tréfonds de tes cellules, obligatoirement, comme nous tous !" Arnaud Mussy, Satornet

Platon n'aurait pas dit mieux en parlant de l'esclave apprenti géomètre du Théétète, développant son "savoir" par la maïeutique, et la vertu in-ductrice de la "question".

Notez que la formule de St Exupéry est précédée d'une mention omise ici : "voici mon secret"...

C'est nous qui soulignons le mot "pour" dans cette question : les mots ont-ils été "moteurs" POUR TOI ("ton âme et ton coeur").

 

Pourquoi le langage mathématique fonctionne-t-il comme un moteur ? Parce que chacun de ses termes se situe dans une logique d'enchainement implacable.

 

Selon les empiristes, toute idée est générée par un phénomène mental d'induction, issu d'une répétition de formes, finissant par produire une idée, un concept plus ou moins stable. Si ce concept est chiffré, issu d'un calcul mathématique lui assurant une stabilité définitive, alors cette forme est irréversiblement implantée, conditionnante.

Arnaud Mussy écrit (nos remarques sont mises entre crochets) :

"Le Verbe Est la Science des sciences [comme les mathématiques !]
Cette assertion qui peut sembler absolue est pourtant très facilement vérifiable [facilité et simplicité de ses preuves].
Tout d'abord, parce que l'homme et plus particulièrement les scientifiques seraient dans l'incapacité de référencer et de tenter d'expliquer l'Univers sans les mots [c'est-à-dire créer des classes. La suite coule de source].

C'est la raison pour laquelle lorsque nous découvrons une nouvelle plante, une nouvelle étoile, un nouveau cyclone, ou qu'un bébé vient au monde, nous commençons par lui donner un nom ou un PRE-nom.

Ensuite, il n'y a pas de Science possible sans mesure. Ainsi, tout NOM trouve son complément, son OMBRE justement dans le N'OMBRE ; de ce fait, le chiffre et le nombre s'organisent automatiquement dans l'intelligence humaine, afin de comprendre les rapports qui composent, relient ou séparent toute chose. Idée reprise dans la Bible (Sagesse xi-21) : « Vous réglez toute chose avec mesure, avec nombre, avec poids. »
Enfin, parce que le Verbe, amorce de toute création, est - avec l'Amour - la première et la plus noble "empreinte" de Dieu.

Lisez bien le sens de cette "amorce" débouchant sur une "compréhension" (d'un code, celui des abstractions simples, matérielles), quand le "verbe" n'est plus qu'un chiffre : un point verrouillé, après l'établissement de rapports, c'est-à-dire de proportions, ou encore d'analogies, "amorces" d'idées induites à venir.

La Bible elle-même, "reprend" cette procédure où la pensée n'est plus qu'un calcul. Elle le "re-prend", donc à la suite de principes qui la précèdent.
 

D'où le titre de l'ouvrage : "Satornet, l'homme nouveau dévoilé par le Verbe". La couverture présentant de façon évidente, dès qu'on en a la clef, l'image d'une révolution planétaire, effectuée par son "cube", qui fera, à l'issue de ce "procès", exploser le Sator, le Testament.

D'où la présence répétée de moteurs en ce courrier, et globalement, dans toute la prose d'Arnaud Mussy.

 

Or nous trouvons en toute la prose d'Arnaud Mussy une quantité impressionnante de moteurs, nommés, représentés, figurés... : points, balanciers, axes, bras, croix (rotor et stator). Leur nombre est impressionnant : l'heure, le 8, l'accomplissement, le "bras de Anna" se déclenchant, les mouvements allant du passé vers le futur ou inversement, se regroupant finalement dans un "présent" "générateur", le coeur- "cube" et son "attraction universelle", etc.

Tous forment un système d'engrenages visuels, imageant la nécessité d'en... finir avec un cycle de langage, une "succession" et sa "perception du temps linéaire" - encore un acte cérébral, pour réduire notre rapport au réel, à une simple activité nerveuse, donc faussée par définition.

Son premier moteur est cependant linguistique, mais son image n'en est pas moins formée dans notre cerveau. Il est cyclé sur 10 ans ! et reprend le procès tous les 16 décembre. La première de ces dates (désignant les Saturnales), correspondant à l'acte de décès chiffré d'André Bouguénec.

Mais aussi : le "je découvre que"... puis "je quitte les faux apôtres" (séparation représentée par le narthex, déjà expliqué), avant de "terminer son parcours de résurrection", entendre : procès pour une régénération.

Et de conclure par une question :

"5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer le récit de Marie-Madeleine, au sujet de la Résurrection du Christ, comme le témoignage d’une femme exaltée ? "

Je sais que là, je vous pose un sacré dilemme..."

Cette question la "folie" d'une femme "faible", qui répète ("encore") ses "exaltations", à "considérer" (un acte cérébral). Et comme il s'agit d'un "récit", c'est que son traitement est soumis à contradiction, au sein d'un... "témoignage" (procès). Autrement dit, les chrétiens sont des faibles, et cette "exaltation" n'est pas de notre jugement, mais de celui qui le décrit : le juge.

Ce qui est une question, traduite ainsi :
- Soit vous acceptez "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA" et vous survivez mais vous vous taisez face à lui
- Soit vous vous opposez à sa révolution (donc restez fidèles au langage héréditaire) et vous périssez, traités comme des fous, mourant comme le "Christ", c'est-à-dire dans l'erreur d'une croyance en la survie, en un temps infini.
 

Revenons à nos moteurs. 

Ces moteurs sont aussi audibles. Exemple : "Savez-vous pourquoi le Ciel organisa ce Futur en 2001 ? Le CHRIST TRISCHa avec le Temps parce qu’Il ne connaissait que trop bien votre manque de Foi de la Fin, pour décider de vous faire vivre cet Evénement dès le début. Cétipafuté… ?! "

 

Voici encore quelques moteurs graphiés dans leur ordre d'apparition, ordonnés d'une façon très logique.

 

Le mot "couleur" vient de "couler", et a donné "couloir", ou sas permettant de classer, de trier. 

Bizarrement les cercles entourant les TETES de ces deux Christ, reprennent les couleurs trouvées dans le courrier. La couleur grise désignant l'éloignement. Car il faut qu'une idée augmente, pour que l'autre, contradictoire, s'éloigne.

Le moteur suivant est tiré d'un tableau de Salvador Dali, qui représente une image de l'abstraction "portant", par le levier d'Archimède : le chiffre, portant dis-je, la matière nommée avec les mots de la religion, de la spiritualité. 

Cette lecture est la même concernant le quatrième moteur, représentant un mouvement allant de la construction d'une matière (commençant pas 8 point, le 8 étant un moteur et une symétrie), à sa réduction à l'oeuf, Arnaud Mussy au centre de tout.

Il y a même le moteur raté (le second cube à partir du haut) du Sator confus, contorsionné.

 

Voici un autre moteur, déjà évoqué :

La "chair", le concret, c'est cette fois la famille au complet (phase initiale du moteur décrit au-dessus). Puis vient l'épuration et la vision d'un éloignement. Le tout étant cyclé en trois temps : a, b et c : le procès. Un vrai projet pour le Phare-ouest !

Une fois le pouvoir acquis, les têtes vont être coupées par le jugement concret, la terreur.

Le détail du procès prend la suite, avec l'agrandissement du tableau "c", renseignant sur le centre et l'axe, toujours le même : Arnaud Mussy, jugeant les deux classes : "vierges folles" et les "vierges sages", chacune d'entre elles étant mesurée, selon leur classe en termes de parole. Rappelons qu'il s'agit de la parabole jugeant et rejetant celles qui n'ont pas "attendu" le retour du maitre, celui qui revient comme un voleur (de mots) par surprise.

 

 

 

Quelques recoupements :

Par le passé, nous eûmes droit à une description du "manège à moi" (c'est-à-dire Arnaud Mussy) Cf. "témoignage" à André Bouguénec.

Vous trouverez encore d'autres moteurs dans ses textes de Satornet, comme en son introduction où "M" parle des "ouvrages d'André Bouguénec", tournant autour d'un "axe" : "Les idées et les recoupements présentés s'inspirent essentiellement de l'oeuvre d'André Bouguénec, fondateur de l'Association "Le Phare-Ouest", et auteur de 7 ouvrages axés sur : "La Révélation des Mystères de l'Homme et de la Création"."

Ajoutons ce moteur, de style très utopie "new-age", placé sur la couverture de l'ouvrage, déjà évoquée. Cette fois le Sator, arrivant comme par surprise, porte le germe de la génération spontanée d'Arnaud Mussy, à l'issue du procès. Sans succession, sans ordre d'hérédité.

 

 

Voici encore, tirés du même ouvrage, un diagramme accompagné du texte suivant :

"A présent" [temps de la décision], si nous observons attentivement la figure présentée page suivante, nous distinguons dans un cercle, la ronde, la "ROTAS-ion" des Temps représentés par les Alpha / Oméga."

A quoi suit : 

"Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il est immuable ! Il ne parcourt plus les Temps, il les regarde... Il Est en tout Temps et en tout Espace (voir le T et le E de TENET) ; il est l'Eternel présent, qui, justement, se présente aux hommes sous le dénominatif: « Je Suis Celui qui Suis ». Si Dieu Est l'Eternel Présent, Il Est alors le Centre de Tout, Il Est l'Unité vers laquelle tout converge... (comme par hasard, LE CENTRE DE TOUT = 167 correspond à la grande signature numérique de l'unité en français : CENT TRENTE CINQ = 167).
Plus concrètement, cette lettre N est "l'Inconnu(e)", Le "Principe caché" que l'on ne peut imaginer car, par essence, Infini(e). Il-Elle correspond au fameux "En-Soph" évoqué(e) par les Juifs. (Phonétiquement "N Soph" !)." 

 
 

Enfin, terminons  par l'événement de Vézelay : Crypte de Vézelay = code de Vézelay : Arnaud Mussy au centre, axe d'un moteur. 

 

 

Le "sacré" dilemme

Nous arrivons enfin à ce "sacré dilemme", déjà décrit. Mais analysons-le un peu plus.

C'est maintenant, après ce fatras vide de toute réalité concrète, Arnaud Mussy ("JE") qui parle et conclue par son ultime "question", "là" (l'espace en conclusion, mais aussi : l'exception), JE SAIS QUE... JE vous pose un sacré dilemme".

La minorité ("je") s'impose alors à la majorité ("vous"), qui "sait" elle aussi, forcément, puisque tout savoir est commun.

 

Ce dilemme, retraduit, est celui-ci :

- Avoir la parole coupée : Accepter d'être égalisé par le pouvoir en restreignant sa liberté de parole au profit de la dictature de "l'amour", donc de "M", apprendre à parler sa langue de l'équivoque et ainsi être "protégé" socialement (enseignément promis par le sophiste à ses dressés devenant à leur tour des dresseurs) pour dominer les hommes en société, en manipulant leurs croyances et valeurs les plus élevées : "on", le "coeur", la "fraternité", etc.

- Avoir la tête coupée : Refuser ce pouvoir et avoir la tête coupée : être rejeté du groupe, du "salut", pour faute de mauvaise foi, de position minoritaire, faisant perdre du temps au "groupe" des élus.

 

Xeon - 24 Octobre 2025