Académie métaphysique

 

Paroles

 

Accueil > Classement thématique > Philosophie > Sophisme(s) / Sophistique

Tous les thèmes

 

 

« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Conférence d'Arnaud Mussy vs Cafés Métaphysiques de Xeon, suivi d'une traduction d'une conférence d'Arnaud Mussy sur Matrix - Xeon

Date : 25 Déc. 2025

"Surtout pas de conférences publiques !" (André Bouguénec, Cassette E 97 Face B)

 

 

L'esprit du Café Métaphysique : Un débat libéral, poussé par des connaissances...

C'est au café le Flesselles situé à Nantes, que nous lancions en 1999 le premier Café Métaphysique de France, ceci deux ans après le décès d'André Bouguénec.

Nous voulions par ce petit événement local, proposer un lieu d'échanges, de discussions se voulant simples et intelligentes à la fois, en lesquelles nous aurions à coeur de distiller sans choquer, des éléments de notre enseignement ou de nos connaissances, tout en échangeant avec le public, parfaitement libre d'argumenter, de coeur à coeur, auprès d'un public divers au possible.

André Bouguénec écrivait à Robert Charroux - un athée qu'il put convertir à la certitude de l'existence d'un Esprit concepteur : "[Les croyants] ont leur foi et leurs certitudes sont à la mesure de celle-ci. Mais tous les autres, je les ai toujours plaints aussi, car je suis persuadé que des masses de bonnes volontés ne peuvent pas physiologiquement croire à une métaphysique quelconque. J'ai démontré cette thèse de plusieurs façons. Les croyants sont tous responsables de la carence des autres par manque d'investigations ferventes pour atteindre rationnellement des intellects qui attendent d'être fécondés. [...] Bref, j'ai toujours voulu apporter une preuve irréfutable d'une métaphysique, d'un Dieu, d'un Esprit. Une preuve pour ceux qui n'ont pas ce 'sens' de la pérennité de la vie, puis une confirmation et un soutien pour les tièdes, à revigorer".

C'est cet esprit qui animait ses "Cours du gai savoir", "discussion savante et simpliste à la fois", que nous voulions paetager en notre Café Métaphysique.

Nos tracts annonçaient : "Voulez-vous échanger sur le symbolisme, la tradition, les textes sacrés, dans une perspective intelligente et sentimentale, spirituelle et concrète ? Alors nous vous attendons, pour un atelier de discussion, au sein d'un cadre convivial et ouvert à tous".

 

Le domaine de la discussion : la "métaphysique", avait l'objectif assumé de donne l'occasion aux croyants comme aux athées (pour faire court), de partager leurs idées et si possibles bien entendu de convaincre, dans un certain esprit de débat. 

En cela ce fut une réussite, car nous avions réellement un public des plus diversifié et enthousiaste : des athées bouffeurs de curés aux new-ageux les plus "éthérés" en passant par des religieux en robe, traditionalistes de l'Eglise ou scientifiques intégristes, lesquels communiquaient ensemble, et pacifiquement. Et la durabilité de notre Café, s'emplissant de façon croissante était le signe de cette réussite. Des deux premières personnes présentes, la salle devint comble en un an, manquant de sièges. 

Aussi notre Café était à l'opposé de cette forme de discours qui consiste à prendre la parole, la confisquer, et imposer une idée unique à une assemblée impersonnelle et atomisée, acceptant sans échange, les conclusions d'un orateur.

 

 

Comment André Bouguénec traitait le format de type "conférence"

Trois propos permettrons de saisir ce qu'André pensait de la conférence.

Prenons-les dans l'ordre chronologique.

- Lors d'une réunion, André critique le format de la conférence, qu'il qualifie de format obsolète. Voici ce qu'il dit à ce sujet, à l'auteur Paul Misraki, projetant de devenir conférencier, et lui demandant des tuyaux. André répond : "il s'agit pas de faire des conférences. Vous faites des colloques, vous faites de la conversation avec votre public. Actuellement il n'y a plus de conférenciers. Ça tient plus debout, un conférencier, ça lasse. Il faut donc parler avec eux, les faire parler, poser des questions, converser, et c'est facile. C'est très facile, vous verrez. Faites-le avec des amis, avec des relations d'abord, et puis vous allez en salle publique."

Ensuite, deux propos tenus après l'arrivée d'Arnaud Mussy. 

- Le premier tourne autour de la "Lumière commençant à poindre", propos tenu juste après notre rejet ouvert et public, verbalisé, des projets d'unification des évolutions des phare-ouestiens, sous la conduite d'Arnaud Mussy. C'est 15 jours plus tard, qu'André nous parle de cette lumière, qui viendra, notamment par des "causeries", que nous allions faire "de plus en plus". Nous disons bien "causeries", et non "conférences".

- Six mois plus tard, bien des phare-ouestiens se sont lancés dans les conférences, formés par Arnaud Mussy... soit en Septembre 1996.  Des conférenciers interrogent André sur ce qu'il faut y dire et la difficulté qu'ils éprouvaient à faire passer certains messages.
André (sans doute lâs) argumente alors une n-ième fois pour la primauté de la causerie sur la conférence, en disant : Il faut provoquer des discussions. "Vous leur posez des questions. Que pensez-vous du proche avenir ? Des évolutions de la science ? Vous avez des idées sur l'actualité... que pensez-vous de l'actualité, de l'humanité, de la planète, etc".

Sur ce dernier propos, qu'est-ce d'autre que de provoquer des discussions libérales, sur les connaissances et repères concrets des gens ? Méthode utilisée par les Témoins de Jéhovah, testant ainsi, en quelque sorte, les personnes touchées. André l'ayant fait remarqué dans des réunions précédentes.

Mais Pascal M. critique carrément cette directive d'André Bouguénec, pour la raison (calculée) qu'elle "inciterait alors les gens à parler 10 minutes chacun pour chaque question", ce qui lui parait "dangereux". Et serait donc à éliminer dans une logique de classe d'équivalence, détuisant tout ce qui se répète.

On voit comment les ateliers de parole ont créé en fait l'idée d'une prérogative à "gérer" et forcément faire du "contrôle de gestion" de cette dite parole, au regard de son "temps" d'émission - comme pour une machine : la parole n'est plus définie selon sa valeur au regard de la vérité, mais de sa durée sonore. Ce qui amène au contrôle de la gestion de la parole du public, elle-même dérivant de la gestion de group

 

 

C'est le besoin de ce type de contrôle qu'Arnaud Mussy cherchera par divers moyens, à nous faire valider, afin de faire "évoluer" notre Café Métaphysique, devant prendre une tournure se rapprochant de la conférence, s'il voulait "survivre", ne pas se déliter... naturellement. Passant ainsi de son caractère informel, que nous voulions conserver, à un caractère formel, comme chemin pris par une prétendue force des choses.

Or notre binôme évoluant sur ce projet, fut aussi approché par Arnaud Mussy. Il était celui qui, de façon toujours "informelle", prenait sa place dans le groupe du Phare-Ouest, comme étant celui qui "rebondissait" lors des débats, et surtout se faisait un devoir de le faire savoir dès qu'il ouvrait la bouche pour contredire ou relativiser un propos. Il eut sa place de défendeur du maitre, lors de l'émission de Bernard Tapie, en prenant la parole dans le public, comme "témoin"... informel.

L'origine du mot rebondir est d'ailleurs plaisante. Ce terme signifie au départ : "résonner", autrement dit n'émettre que des "sons", ramenant exactement au reproche d'André Bouguénec, lorsqu'il demande aux participants des "ateliers de paroles", s'ils ont bien défini ce mot "parole", non réductible à un système de "signes et de sons" sans âme, mais ce qui vient du profond de soi.

Résonner ("rebondir") et "son" ayant évidemment la même racine, et prouvant le vide et l'attitiude purement mécanique de telles "interventions". Mais "rebondir" c'est aussi récupérer la parole des autres pour la faire dériver, lui faire prendre un nouveau chemin. C'est-à-dire la contrôler, rendre l'informel (débat naturel), plus formel (un "son" résonne en prenant un angle - annonçant une mise en forme). 

 

Tout le contraire de l'esprit et du concept de notre Café Métaphysique, devant être et rester une discussion informelle, que le maitre en "dynamique de groupe" cherchera à formaliser, en y instituant, sous la mise en scène d'un prétendu "besoin" d'évolution naturelle, une véritable mise en classe, de "contrôleurs", de "leaders", et d'initiateur déchu de ses prérogatives de conducteur : nous.

 

 

Comment le Café métaphysique reçut une attaque par l'action virale d'un "ami"

Aussi le gestionnaire des "sons" ne devait pas laisser passer cela. Il fallait soit contrôler l'événement et donc notre propre mental, soit le faire disparaitre, en nous incitant à l'auto-censure : laisser parler, nous dira-t-on, est une preuve d'égo de notre part.

En commençant par nous imposer l'inutilité du livre, comme outil essentiel de nos premiers apports, destinés à nous présenter devant notre public, avec des connaissances, ce qui caractérisait notre démarche personnelle d'étude. 

Précisons qu'en cette occasion, nous étudiions POUR les autres, ce qui allait dans le sens exact des demandes d'André Bouguénec : S'accomplir SOI, mais POUR les autres. 

Mais la connaissance, c'est le temps, et le maitre du contrôle permanent, inversant carrément ce critère pou le remplacer par celui de la vitesse comme première qualité de l'orateur ("rebondissant"), ne pouvait laisser passer cela.

D'autant que ce Café nous apportait forcément un certain crédit au regard des autres Phare-ouestiens.

Aussi Arnaud Mussy approchât-t-il notre binôme, pour, par son biais, saboter (c'est le mot) de l'intérieur, notre projet afin de lui faire prendre une orientation nouvelle, celle de ses propres "rêves".

Aussi, très vite, notre collaborateur désormais cérébralement infiltré par les idées d'Arnaud Mussy, affirmât ne plus avoir besoin de "lire", pour préférer parler selon son "intuition", son "inspiration". C'est-à-dire des qualités de premier de la classe dans un cadre de pédagogie du "contrôle continu".

Ce "sincérisme" masquant en réalité la mise en place d'une parole qui va s'imposer par le critère de la "vitesse", permettant de classer les véritables étudiants comme des "lents", puisque leur caractéristique, est précisément de réfléchir avant de parler, et donc de parler à la fin, après avoir étudié, et non au début, en débitant de purs sons (des slogans ?), du vide.

Celui-ci fit alors tout pour abolir les principes que nous nous étions fixés à l'origine. Savoir, après avoir choisi notre sujet de débat : lire autant que possible sur le sujet, se questionner, creuser..., venir soi-même avec beaucoup de connaissances, en ayant aussi préparé une liste de questions à poser au public pour le relancer ou le faire avancer.

En somme, SE développer, pour pouvoir conduire un Café en laissant liberté de parole aux participants.

 

Ce moyen se révélant inefficace, il fallut passer à la "vitesse" supérieure. "On" décidât alors de nous mettre un coup de pression un soir de réunion, où TOUS les nouveaux clones s'assemblèrent pour nous contraindre à changer la forme de notre projet, le rendre plus strict, plus "cadré". En un mot le soumettre à des éléments contrôlables, et au contrôle de la parole du public.

Refuser cette mise à bas de notre projet, fut gratifié de crime de lèse - Mussy. Ceci pour crime d' "égo" (sic !), expliquant notre refus. 

C'est en ce sens que nous disions que l'alternative était : se soumettre à ce projet, ou le refuser, mais être rejeté. Le fameux dilemme, qu'on retrouve dans Opinions de lecteurs et le Courrier de 2006.

 

 

Un exemple de la "spontanéité" du "rebondisseur"

Revenons à notre pseudo-collaborateur, ne se préparant plus, ne lisant plus, sous couvert que les idées (et la compétence) lui viendraient, par "inspiration", "spontanéité", "sincérité", sur-le-champ.

Rapportons ce fait qui nous choquat, et qui se produisit en fin d'un Café dont le sujet central était celui du couple. En toute fin donc de la discussion, Fabrice B., prit d'une "intuition" subite, coupa la discussion en cours, pour se tourner vers une religieuse plutôt âgée (à l'époque nous pouvions lui donner dans les 75 ans), habituée de nos échanges mensuels, pour lui demander brusquement, en gros : "et vous ma soeur, que pensez-vous du couple ?"

Cette question ignoble, pesait alors comme un jugement, intimant, par surprise, une introspection à une personne qui avait choisi justement de se sacrifier pour ne pas vivre ce rapport. 

Le message sous-jacent (surtout pour les phare-ouestiens présents) étant peut-être : nous devons jouir avant de mourir, et non mourir sans ne rien en connaitre. Mais posé dans un débat, cette question ne devenait plus une simple soumission de la chair, mais devait alors rentrer dans un cadre abstrait, puisque la religieuse, attaquée sur le vif, fut alors forcée à développer une forme de raisonnement, ne serait-ce que pour justifier sa présence dans ce débat sur le couple. Cette question en quelque sorte, l'amenait à se dire : "je n'ai pas ma place ici". 

Pour qu'un lien soit alors établi comme possibilité de jugement (via la question) sur le sens du couple, ou dit autrement, l'établissement de la possiblité d'un "contrôle" rationnel du couple et de sa sexualité. Ce qui amène à comprendre d'autres événements dont nous parlons ailleurs.

Ainsi prise à partie devant tout le monde, façon procès au tribunal, cette personne âgée bafouillat et bien entendu ne revint jamais.

Evidemment, à l'époque, nous ne comprenions pas la cohérence de ce revirement vendu comme effet d'un mental "spontané", parlant avec "sincérité". 

 

Evidemment cette attitude devint très pénible, et alors que nous émettions des réserves sur la continuité de notre collaboration, Fabrice B. me proposa de nous voir pour mettre les choses au point. 

Il en imposat la forme : je parlerait d'abord, puis suite à mes "paroles", écoutées en posant son menton sur sa main, comme s'il devait mieux "penser" et analyser nos propos, il allait "rebondir", en nous apprenant que nous "avions un problème de communication". Comme les perdus dans l'analyse d'Arnaud Mussy, lecteur de Marie de Hennezel.

Forcément, celle-ci étant liée à notre long travail, nous ne parlions pas "tout de suite". 

Il finit par nous proposer de reprendre le débat devant la nouvelle "Collégiale" (on peut noter le même procédé : si le "changement" n'opère pas en face à face, on fait appel au "groupe" pour se charger du récalcitrant). Sachant ce que cela voulait dire, nous avons refusé.

 

Nous avons finalement décidé de nous défaire de cette pesante "aide".

 

  

Métaphysique de l'échange informel vs physique de la conférence formalisée

Voici à présent l'image d'une installation naturelle, où les participants se placent selon leurs envies, quitte à déplacer les tables. Ceci montre comme le hasard d'une prise de vue fait bien les choses pour pouvoir présenter un antagonisme Mécanique / Vie, à l'image de celui de la conférence enclavant les mots, face à la discussion libérale.

En réunion de Phare-Ouest, Arnaud Mussy s'asseyait "spontanément" toujours à la même place (autant que faire se peut bien entendu), devnt André Bouguénec (les tables étant placées en carré).

 

  

 

 

A comparer avec cette photu paru dans l'hebdo, journal nantais disparu aujourd'hui.

  

 

 

Pourquoi Arnaud Mussy doit exclure les athées de ses "conférences" ?

Ce propos enregistré durant une réunion du Phare-Ouest, met en évidence un fait curieux : Arnaud Mussy doit exclure les athées de son auditoire.

On notera l'enferrement géométrique et systématique de la pensée - si on peut appeler une géométrie, une pensée : cadre, axe, on ne peut, ...

Pourquoi ? Parce que leur voler leur langage n'a pas d'intérêt. Ce qui intéresse Arnaud Mussy c'est de passer par le langage abstrait du coeur et de la peur du "ciel", pour pouvoir influencer sans jamais passer dans le concret, de sorte à ne jamais se faire prendre.

Tel est son sens du "débat".

   

 

Traduction d'une conférence d'Arnaud Mussy, sur Matrix

Arnaud Mussy proposait à ses acteurs d'enseigner l'art de la conférence.


Ci-joint à ce propos, la copie d'une prise de note effectuée lors d'une conférence donnée à Paris par Arnaud Mussy. Le sujet portait sur le film Matrix.

L'auditeur n'étant pas phare-ouestien, on ne pourra pas le soupçonner d'un conditionnement "bouguenéquien" (terme neutralisant propagé à l'époque), qui l'aurait amené à déformer les propos en ce sens.

 

La rédaction est évidemment partielle ou déformée, et nous devrons recoller les bouts. Mais il sera facile de les mettre en relation avec tous les autres propos, complets ceux-ci et d'origine sûre, pour y trouver le concept habituel, diffusé dans X cas prétextes, pour sa concrétisation selon ses gouts. 

 

Ajoutons que nous ne nous rappelons pas des propos précis d'Arnaud Mussy, au sujet de ce film, exprimés à l'époque du Phare-ouest. Nous savons seulement que "Néo" Phare avait un rapport avec le film, et que par ailleurs, nous sentions confusément que Néo, c'était l'inversion de Eon. 

Nous prendrons ce parti pour analyser le contenu "discret" de cette conférence, où contrairement aux apparences, "Néo" n'est pas Arnaud Mussy, le héros, mais au contraire un anti-héros, condamné au silence, au rejet. 

 

 

Traduction :

La mauvaise matrice n'est pas humaniste. Elle est "déformée par les hommes" : c'est l'informel (comme notre Café Métaphysique !) du langage et de l'échange naturel. Elle désigne donc la matrice même que se choisissent ceux qui parlent naturellement et refusent alors le monde de la vitesse (des "rebonds" et des "résonnances" du premier venu), monde de la vitesse (du premier qui répond, en meilleure place dans ce système de "contrôle continu par la "bonne matrice" - ici : Trinity), et qui permettrait selon Arnaud Mussy, de "sauver" les hommes "perdus" par leur perte de temps : leurs études chrétiennes, dont les résultats n'arrivent jamais tout de suite, et qui disent et attendent : "viens seigneur Jésus". On verra en conclusion comment NEO est en fait l'ennemi du pouvoir, qui s'identifie aussi à Jésus, Jugé en fin de parcours.

Son "message principal" est bien celui d'un commencement, qui y restera par répétition et attente infructueuse (non renseigné dans notre compte-rendu fourni, mais que nous plaçons pour cohérence. La mise à mort de Jésus-NEO (au corps poisseux), sera très claire à la fin du texte traduit, décodé.

 

Ensuite viennent donc deux tableaux : ce sont des classes, des "tables" de données, ou dit autrement des ensembles, qui vont amener la possibilité de chiffrer leurs objets, puis de les réduire (tous les éléments identiques s'annulent : les répétitions), avant recombinaison dans un ensemble neuf : classant les perdus (réduits) et les sauvés (augmentés), ce qui sera confirmé à la fin par le choix entre camp du négatif et camp du positif, imagé par la "pile" : l'énergie = la force.

 

Note : comme toujours il faut chercher à recombiner les pièces disséminées du puzzle, destinées à nous imposer une image finale, mais en mélangeant au maximum ses pièces intermédiaires, pour que cette image soit également confuse, qu'elle ne puisse être perçue immédiatement, ce qui représenterait un danger, évidemment, pour celui qui par ce biais, amènera à rejeter Jésus et le Verbe incarné.

 

C'est un acte propre à une mécanique algorithmique, amenant à ramener les signes à une réduction (les langues, naturelles, sont UNIES = réduites), puis chiffrées ("colonnes de chiffres"). D'où la possibilité de leur tri, par la seule image géométrique prouvant cette réduction mathématique, à la fois indécelable et implacable.

Dans le second "tableau", le classement est opéré : NEO dort : il est comme mort. Mais il peut se réveiller. Son "casque aux oreilles" signifiant sa lucidité réelle (il voit sans déformation), alors qu'il ne veut pas "entendre" les sons émis par les douces paroles d'Arnaud Mussy - Trinity (ça rime), prenant les "commandes" (pouvoir) avec Cypher : celui qui transforme le Diable en Dieu. NEO devenant alors l'ennemi de ce couple.

NEO est ensuite appelé à "faire un choix", confirmant qui'l ne désigne pas Arnaud Mussy, qui lui connait d'avance son programme. Il n'a pas de choix à faire, mais demande aux autres, en tant que juge du "passage" (mot apparaissant à la fin), à la sortie de ces "colonnes" de chiffres, qui sont l'exacte réplique des "couloirs" du texte de Marie de Hennezel, demande dis-je aux autres, de faire ce "choix" pour aller ves celui qui "commande". 

Suivi de l'apparition surprise du "groupe", comme nous l'avons montré concrètement dans ce texte, quand cela ne fonctionne pas directement. Un groupe qui "frappe" 

 

Après la frappe du groupe, vient celle du chiffre : TRI-NITY, en "noir" (invisible) : c'est le chiffre abstrait qui se "bagarre" contre ses ennemis de la "mauvaise matrice". 

"Smith met à NEO un parasite dans l'abdomen". Tel ce "parasite" venu saboter notre Café métaphysique peut-être ? Que signifierait critiquer notre "ami". Alors nous nous taisons contre lui. Comme lorsqu'un virus vous bloque vos capacités immunitaires. Cette remarque personnelle renvoie à un système général.

Confirmé par "sa bouche s'efface". C'est LA CHUTE, etc. 

Il n'est plus un homme car matérialisé, devenu une "Bête". Atttention : pour Arnaud Mussy, tout homme est "sans Dieu", puisque pour lui, Dieu n'existe pas, sinon comme nom-prétexte pour en feignant de le servir, le déformer et amener la révolte contre lui, sans que personne ne puisse y redire. 

"L'homme sans Dieu" c'est l'homme qui devient une bête, car récalcitrant à accepter le "contrôle", qui rend "moins bête", comme Arnaud Mussy le disait dans son premier courrier. 

Toutefois une chance est laissée à NEO, par ce RDV, pour un passage, cette "initiation", où "le passage se fait par la bouche" : c'est un serment.

Que signifie "NEO monte dans une voiture" ? Qu'il accepte un système de contrôle de sa "conduite". En ce cas on peut "'lui retirer la bête". La "voiture" c'est la machine, le moteur.

Le "parasite" lui est alors retiré par "Marie" - Trinity. Cette fois la demande n'est plus masquée, puisque le "parasite" a fait son oeuvre d'infiltration, en se servant du mot "amour", le moteur viral de l'amitié, permettant de faire avancer ses projets comme dans du beurre. Quand le "parasite" a fait son oeuvre, on peut alors annoncer franco qu'un changement doit être opéré. D'où "Lumière apoc" : la crise sera invoquée pour justifier le nécessaire changement, vers un "progrès".

L'annonce d'une participation à un contrôle = une vision permanente (un dé-voilement = tout est transparent, comme dans la pédagogie du contrôle continu). 

La matrice c'est le groupe qui alors se "forme" et s'unifie, sous la contrainte des événements et de leur prétendue évolution naturelle (par un "orage"), pour donner une forme à la "pensée humaine", avec NEO en initié. Ce qui singifie "détordre" l'informel des "colonnes" de l'origine, pour évoluer vers une initiation, qui consistera à être "moins bête", en répétant les slogans de ce nouveau pouvoir : "le passage se fait par la bouche". 

Ici nous pensons qu'il manque un élement de passage à la prise de notes, ou que peut-être il y a une inversion dans l'ordre logique, car NEO va vouloir conserver sa liberté (contre l'égalité protectrice de "l'egrégore du groupe") : "débrancher, couper ses fils", ce qui signifie refuser les "commandes", pour qu'en découle la cohérence suivante : 

Il va payer cette nouvelle position de refus : corps recouvert de gel (devenant poisseux comme la mort), "tombe" à nouveau, se débranche - de la pile, qui reviendra tout de suite après -- et va s'éloigner ("coupe les fils"). Les "OVNIS" (justiciers célestes, juges), viennent le "repêcher" (c'est un 153 ?). 

NEO c'est l'homme devant faire ses choix, pour suivre "Trinity"'. 

Les "ADAM EVE" sont les couples gérés par ce contrôle continu, symbolisant leur contrôle comme dans le Meilleur des mondes, où tout est classé, où les "groupes (classes), sont "contrôlées" en continu.

Ces classes, sont les deux pôles de la pile (énergie = + et -).

Cypher "opte pour la chair", c'est-à-dire le contraire de cette option de chiffrage. Il est le nouveau "Diable" qui suit le "Verbe incarné".

 

 

Evolution de Cypher, pour que Dieu devienne le Diable, il faut que le Diable devienne Dieu : il change de "poste". Auprès de Trinity au départ, il s'inverse en Dieu, devient dégoutant ("ordurier"), pour subir le jugement du peuple, et perd le fil lui aussi (jette le téléphone), a donc un "problème de communication". 

Puis : Punition par le tribunal : "Téléphone cellulaire = cellule = prison / Téléphone filaire = la "filiation" pour une génération d'Arnaud Mussy, issue de la filiation (le moteur invincible) de nos "idées" qui finiront MATHEMATIQUEMENT par sortir de ce texte, et "silence" pour NEO, devenu le symbole du langage ancien : "Jésus".

Avec le très discret MORPHEUS, celui qui apparait au tout dernier moment, celui de la "filiation", dont le nom désigne un changement de forme, la concrétisation d'un rêve ("morphée"), qui sera le cauchemar de l'utopie, clairement annoncée comme projet dans la suite du film.

 

 

 

Copie du document qui nous avait été envoyé par notre ami parisien.