Académie métaphysique

 

Paroles

 

Accueil > Classement thématique > Religion(s) / Mythologie(s) > Eglise Catholique romaine > Dogmes > Rédemption

Tous les thèmes

 

 

« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Des mystères de l'histoire aux mystères de l'homme (Ex: Templiers) - André Bouguénec

Les Templiers... Voyez-vous, amis, les mystères de l'histoire du passé séduisent toujours les hommes, du moins ceux qui s'instruisent. Or l'histoire est par définition, toujours truquée par des intéressés au silence. Depuis même les Evangiles, tronqués, trafiqués.

En ce qui concerne les mystères de l'homme, il faut chercher, faire des recoupements et des synthèses.

Mais ce qui compte, c'est découvrir, voir, la raison d'être de l'homme, sa destination, c'est-à-dire sa destinée.

Ceci fait, comment doit-il s'accomplir et évoluer.

Là est tout le problème de l'histoire et de ce sacré bipède sacré (pour les cieux).

Les Templiers avaient glané des clefs en Islam, à Jérusalem, s'ajoutant à la filière ésotérique.

Mais ce n'était que le fait des cadres du Temple.

En tout cas, ce qu'ils savaient, c'est que Jésus, bien que réellement crucifié, n'était pas mort sur la croix. Ils haïssaient donc la croix de ce supplice faussement salvateur.