"Ce beau titre qu’ils avaient acquis, en s’appelant « sophistes », c’est-à-dire spécialistes de sagesse, est vite devenu et est resté jusqu’en notre temps synonyme d’homme retors". Jacqueline de Romilly, Les Grands Sophistes dans l’Athènes de Périclès
"Par expérience ancienne, j'ai insisté sur ma discrétion, mais peu à peu à mesure de mes exhortations à cette humanité complètement désemparée, de mes insistances sur les esprits leurrés ou confondus, le Verbe n'a pu s'empêcher de s'imposer avec une autorité qui en rappelle une autre. J'ai parsemé des allusions et des recoupements numériques et nominatifs qui incitent à deviner ce qu'il faut.." Avertissement, L'Ultime Grand Secret, André Bouguénec
A propos de non-temps et d'esprits tordus,
Petite histoire d'une désinformation par le "non-temps"
Une formule largement usitée par Arnaud Mussy, est l'expression "non-temps". Nous allons chercher à comprendre comment et pourquoi. Ces deux questions étant intimement liées.
Donnons pour commencer quelques exemples permettant de confirmer son intérêt pour ce thème.
Ainsi ce propos localisant le non-temps dans l'astral, là où les êtres "sont dans leurs chimères" et où le rêve permet de faire "la loi". A quoi André répondra qu'il y a, en astral ET du temps ET des lois.
Le Courrier de 2006 y fait encore référence, comme d'un lieu dont on peut "venir" ou "revenir". Nous y ferons de nombreux renvois.
Cf : scan de la première page du courrier

Enfin dans Satornet, on trouvera une formule désignant la même chose : "C'est donc ici l'ultime étape : te voici seul face à toi-même. C'est un instant magique empli d'Eternité !".
C'est le sens déformé de ce "non temps" comme étant "sans temps", tout en pouvant être compris comme "tous les temps", qu'André dénoncera comme typique d'une "contorsion" (issue d'un esprit tordu et tortu), lors de la réunion du 03 Mars 1995, par le propos suivant :
Propos d'André Bouguénec
Source
"Méditez et concluez vous-même, un archiviste s'impose, et pas n'importe lequel, pour redonner l'essentiel de la mémoire perdue. Secret ? Mystère ? Peut-être. Toujours est-il, avec un peu de bonne patience, et de la bonne volonté, qu'il n'est rien de caché, de secret, qui ne puisse un jour être découvert, percé à jour, comme on dit.
Quand les choses anciennes se heurtent, naturellement aux choses nouvelles, et vice et versa, un tampon de transition se forme alors de lui-même à la mesure même des forces qui s'affrontent. Et croyez-moi, en ce moment, elles sont de taille.
Ne cherchez pas de contradiction dans ces lignes. Il n'y en a pas. Prenez le temps nécessaire pour étudier ce qui vous est révélé.
Le sas est comme une toute petite portion infinie de l'éternité.
Bah, comme il est des esprits tordus et tortus, qui font semblant de ne pas comprendre, je vais moi aussi faire semblant. Semblant de croire qu'ils ne comprennent pas et m'expliquer un peu. Par ailleurs cela ne fera tort à personne.
C'est dans le choc du fini et de l'infini, du temporel et de l'éternel, de l'involution et de l'évolution, de l'avant et de l'après, de l'alpha et de l'oméga, que se forme le présent créateur et purificateur pour que naisse quelque chose de nouveau.
Prenez n'importe quel objet, ou n'importe quel être - j'insiste sur le "n'importe quel", il est à la fois fini et infini. Ce que vous saisirez ou voudrez faire saisir de lui sera défini par le mot fini ou infini, d'après la place qu'il occupe à vos yeux et à votre coeur dans le temporel ou dans l'éternel.
Dans l'éternel, l'éternité, les choses et les êtres sont à la fois finis dans l'espace et infinis dans le temps. Dans le temporel, les êtres et les choses sont à la fois infinis dans l'espace et finis dans l'éternel. Comprenez bien cela, et n'allez pas penser que dans l'éternel ou dans l'éternité il n'y a pas de temps. Vous feriez une grosse erreur qui fausserait votre jugement et vous empêcherait de comprendre. L'éternel ou éternité contient tous les temps, comme l'Ophnar contient toutes les dimensions, comme Dieux contient tous les dieux (vous savez que ce Dieux-là c'est la Matrice Mère Suprême).
Paradoxe n'est pas contresens et l'éternité qui comprend, contient et est tous les temps est aussi obligatoirement un non-temps par le fait même. L'éternité est, contient et comprend tous les espaces, mais c'est aussi un espace nul. C'est l'Aïn soph hébraïque, le sommet des Séphiroth, le rien.
Ainsi, maintenant que vous avez assimilé cela, (point d'interrogation), vous comprenez pourquoi dans le sas qui va se faire sans anéantissement par une volonté extérieure à la présente vôtre, mais cette volonté n'exclue pas la vôtre, ni votre participation, collaboration active, bien au contraire. Voilà, je me suis quelque peu répété mais je pense qu'il le fallait.
Alors j'ai mis une note : un sas, ça veut dire "de soie", d'abord. En latin c'est seta, qui veut dire "poil rude", un tamis de crin ou de soie, pour éliminer tout ce qui n'est pas susceptible de traverser la mesure de la trame (TRAME, MATER). Partie entre deux portes étanches, les pressions étant différentes. C'est un passage. Celui qui ne fut pas sage ne passe pas."
03 Mars 1995
Ne cherchez pas de contradiction dans ces lignes. Il n'y en a pas. Prenez le temps nécessaire pour étudier ce qui vous est révélé.
L'injonction est parfaitement claire, comme appel à l'analyse et à l'étude longue, et non à l'intuition (l'outil magique des fainéants), faisant émerger une idée de cette éventuelle contradiction cachée ("ne cherchez pas") dans l'énoncé. Autrement dit, n'attendez pas un "euréka" surprise, issu d'une procédure d'induction mécanique. C'est l'analyse et le travail personnels qui seront les seuls garants de la découverte du "secret" visé.
Tant pis pour les fainéants, attendant la vérité leur sortir des images, c'est-à-dire des mécanismes de leur cerveau.
Le choc du fini et de l'infini, pour une agitation
Tout d'abord il faut situer ce "non temps", c'est l'analogie d'un "temps de communication", ce qu'est un sas, une communication... pour une nouveauté. Ce qui en fait le lieu d'un nouveau langage. Mais ce dont parle André Bouguénec, c'est d'un langage de la force, à l'envers d'un langage de la liberté, donc de l'intelligence.
"Quand les choses anciennes se heurtent, naturellement aux choses nouvelles, et vice et versa, un tampon de transition se forme alors de lui-même à la mesure même des forces qui s'affrontent. Et croyez-moi, en ce moment, elles sont de taille."
...
"C'est dans le choc du fini et de l'infini, du temporel et de l'éternel, de l'involution et de l'évolution, de l'avant et de l'après, de l'alpha et de l'oméga, que se forme le présent créateur et purificateur pour que naisse quelque chose de nouveau."
La "taille", c'est la proportion, amenant à statuer, établir des classements, qui bien que discrets au départ, émergeront mécaniquement, par la force des choses, et seront alors "vues" (mentalement !) comme exprimant des analogies applicables dans le monde réel.
Ces classes ne seront pourtant jamais que des noms, pour que nous soyons jugés à travers ces noms.
Il suffit de placer discrètement la marque mathématique d'une mise en minorité, dans une formule adressée à une majorité, pour que peu à peu, cette dernière, finisse par se sentir invinciblement "minoriitaire". Parce que l'opération elle-même empêchera toute velléité de contradiction, surtout si cette majorité quantifiée et étiquetée selon des critères "d'amour", mais à signification purement matérialiste, à partir de ce moment.
La contradiction, cachée dans ce langage, va, par cette torsion entre le réel (ce qu'on voit), et l'invention (ce qu'on entend), renverser (puisque c'est une nouveauté), les valeurs du fini et de l'infini. Là où les valeurs de l'infini (l'Esprit) étaient majoritaires, et celles du fini (la Matière), minoritaires, leur image, issue d'une proportion purement langagière va se renverser, et opérer à un classement nouveau, relatif à des "tailles", pour des changement de mentalité, justifiés en l'occurrence par le besoin d'un changement, d'instaurer une nouvelle "communication", une communication de crise, amenant le dit-changement en notre cerveau et nos idées, désormais applicables : transformer une société d'étude spiritualiste, en une secte dont les membres en pleine confusion, vénèrent maintenant les lois et ordres d'une religion matérialiste, soumise à une hiérarchie par la "parole".
C'est la communication de la matière, qui va devenir la norme, et la communication de l'Esprit, qui fera le trajet inverse, sortira du sas, pour aller vers le passé, disparaitre.
Une religion en laquelle la parole "rapide", analogique, chiffrée, deviendra la norme et la valeur exclusive, permettant salut des uns, et mort sociale des autres, de ceux qui ne parlent pas "chiffre".
Le "sas" n'est-il pas une sorte de "porte du ciel" ?
Ce qui est décrit ici, c'est l'agitation provoquée par le choc des idées, les débats et autres incompréhensions, issues d'une série de propos classés et classificateurs, par ordre de "tailles", dont les termes jamais clairs (ce sont les "mots" finis et infinis qui sont en jeu), peuvent toujours être compris dans un contexte fini (matériel) ou infini (spirituel), au sein d'un même énoncé. D'où le débat incessant, et la création de clans, ce qui explique les "forces" en "affrontement".
Propos émis dans des questions (posées par des "esprits tordus" faisant "semblant de ne pas comprendre"), permettant, à travers leur grammaire, de redéfinir ces jeux de proportion, à travers une géométrie incluse dans l'énoncé, de façon discrète, quasi-invisible. Des questions devant susciter, forcément, des débats, aussi bien à travers les deux locuteurs (l'interrogeur et l'interrogé), mais aussi l'assemblée d'auditeurs, qui est alors soumis à se projeter dans la "question" posée.
Cette méthode de pédagogie, une simple maïeutique, permet en outre, sous forme ironique, de faire passer André Bouguénec pour un être "mystérieux" (qu'on fait semblant de ne pas comprendre), afin de faire passer l'idée qu'un langage totalement technique, donc "fini", sera la solution finale, pour "communiquer" et avoir un "futur", être sauvé.
Car un "choc", c'est aussi une crise. Et la personne, le "tordu", qui parle les deux langues en même temps, celle du fini et de l'infini pourra argumenter comme suit : nous sommes en crise, tout le monde se pose des questions. Et sous le prétexte qu'une situation (espace-temps) exceptionnelle demande des "mesures" (des chiffres) exceptionnelles (une "taille"), changeons de langage, abandonnons les mystères faisant "perdre du temps", et devenons techniques dans nos méthodes de ré-solution de problèmes. En un mot : calculons.
Toutes les questions posées demanderont alors à être résolues par un chiffre. Comme par exemple le fait de "communiquer" rapidement, de parler selon un "temps donné", un chiffre sur un cadran, amenant l'idée d'une "efficacité" technique prouvée par un chiffre, qui serviront alors à créer des classes, des ensembles, qui sera donné par celui qui sera le mieux placé pour le définir, celui qui aura posé toutes ces questions, forcément !
Si ce "non-temps" est décrit comme "absence de temps", tout en étant "tous les temps", il sera alors le point central d'un espace arbitrairement divisé en toutes les classes voulues, au hasard des choix du classificateur, divisant la société en "groupes" de paroles. La société divisée entre elle pourra ensuite être ré-unie par lui. Les individus n'étant alors plus que des "portions" de ces groupes, perdant toute identité absolue.
Selon leur "classement" en termes de parole, "taillée" selon des critères de vitesse, de lenteur, de qualité, ou même encore de sonorité, une classification nouvelle s'établira en termes de "temps", relativement à notre rapport personnel au "fini" ou à "l'infini".
Nous deviendrons alors de simples chiffres, puisque l'infini sera devenu "fini", re-dé-fini.
Ces classements devenant des outils de censure par le fait même de leur arrêt quantifié.
Tel "parleur" sera classé par sa capacité à "démontrer" ceci ou cela en 2'.
Ce qui évidemment est à l'envers de toute pensée s'exprimant dans un langage naturel, incarné (émanant d'un Dieu infini), puisqu'une telle langue implique qu'une parole en appelle une autre, à l'infini, et par suite, qu'une idée en appelle une autre. C'est cela l'intelligence libre et vivante ("Le verbe est la vie"). Mais c'est ce que les censeurs ne veulent pas.
Quant à l'analyse, qui évidemment déploie le langage, n'en parlons pas.
Le langage par image restera le seul qui soit valide. Du moment que cette image soit fixée par un chiffre. C'est le langage analogique pur, par intuitions, d'où : ils se prennnent pour des "anges", dont c'est le mode de pensée en ce qui concerne "Dieu".
"Le silence est la pire des oppressions". Pascal.
Les "élites" de ces "techniciens", les chanceux de ce système voué au hasard des capacités des individus à repérer des "tailles", donc des chiffres dans les énoncés, se croyant sauvés par la vertu de telles "capacités", ces "participants", seront devenus, par la forces des choses arrêtées, et de par leur nouvelle place, finie, arrêtée, statuée par ce "temps de parole", évidemment, des perroquets (se croyant forts pour pouvoir parler en un temps "donné"), totalement censurés, mais ouf ! Sauvés !
Et plus le portionné sera censuré dans sa pensée, ira vite, "taillera" sa parole, et ainsi s'interdira d'évoluer grâce à elle, plus il montera haut dans le système. Autrement dit, les plus crétins iront le plus haut.
Les autres, ceux qui parlent un langage naturel, ne réduisant pas les hommes à des chiffres, des étiquettes, ne leur donnant pas un "prix" arbitraire, les poètes et les intellectuels, feront partie des exclus.
C'est cela "tordre" le réel, pour recréer des formes nouvelles de "société", selon des critères purement abstraits, inventés par des analogies imaginaires ou même réelles, mais réductrices, selon les désirs de celui qui ainsi, se prend pour Dieu dans sa TETE.
D'où, évidemment, les "erreurs" qui en découleront. Celles-ci étant qualifiées de "grossières", puisque de fil en aiguille, l'irréel ira en aggravant ses inventions, jusqu'à admettre des propositions complètement aberrantes, dès lors que le démenti du réel ne permettra plus de corriger ces cerveaux dénués de tout bon sens.
On reconnaît facilement ces tordus :
- Parlent d André comme s'ils le servaient, mais incluent systématiquement en leur discours une contradiction qui permettra de douter, de l'évincer, en induisant l'idée, entre autre, de son "incompréhensibilité," et autres rumeurs et procès d'intentions sans jamais présenter de preuves.
- Ne traitent son œuvre qu'en la découpant par des chiffres
- communiquent en mettant des cœurs en veux-tu en voilà
- Structurent leurs propos sur des mesures de la matière, formant, elle, toute la production de leur cerveau et dont ils font le modele unique de leur "pensée"
- classent les individus
- Finissent un beau jour par comptabiliser votre temps de parole
La dialectique du procédé
"Quand on pose une question, c'est pour obtenir quelque chose de nouveau". Cassette G54 A, André Bouguénec
Faire semblant de ne pas comprendre, c'est faire semblant d'être à égalité avec les autres, tout en préparant la dissymétrie du pouvoir. Celle qui parle toutes les langues à la fois, et qui place une contradiction mathématique dans la poésie de l'ancienne langue. Alors le passé peut s'assimiler dans un futur abstrait, présenté comme mathématico-logique, et qui sera validé à la fin par la plus grande quantité de participants, validant à son tour un discours prouvé par la quantité de "hauts-parleurs".
Chercher à comprendre pour créer un changement, c'est chercher à comprendre pour créer une nouveauté, elle-même issue d'une décision après un choix, un débat "purificateur", qui tirera parti d'un passé réencodé et montré comme "fini", mais comme assimilable à un "futur" montré comme "infini", c'est-à-dire arbitraire, puisque cet infini n'est plus un infini réel, mais seulement basé sur un axiome, fini.
Le fini et l'infini sont simplement redéfinis en sens inverse, au moment voulu, au moment de la crise, par l'esprit "tordu", qui pourra alors invoquer le besoin de donner un "tour" nouveau à la "pensée", mais toujours avec les mêmes mots, pour mieux tromper l'audittoire, ne comprenant pas, mais soumis à la presssion constante de devoir "aller vite" en termes de "communication".
Faire semblant de ne pas comprendre, c'est alors poser des questions, dont le passé, l'histoire, nos principes, serviront à "faire naitre" l'idée nouvelle d'un "futur", fondé sur des mots creux, inversés arbitrairement.
Ce choc est entre fini et infini, mais "de taille". Le but est de "tailler" dans ces deux possibilités de sens, pour laisser un seul sens, le sens du fini.
Le "non temps" au sens fini, ne pouvant être le temps le plus long (qui serait alors le temps "infini", "tous les temps"), ne peut plus être que son invese : le temps le plus court, à savoir l'absence de temps déterminé.
Mais c'est toujours une symétrie, un cycle, qui permet de faire rentrer le mental de l'auditeur dans une logique géométrique, de le couper du réel pour créer un nouveau concept du "non temps", "empêchant de juger". Un concept réduit à sa dimension de pouvoir.
Conçevoir étant par ailleurs synonymes de "comprendre". Le "tordu" fait donc semblant de ne pas "concevoir", pour créer un "concept" nouveau.
Le "non temps" au sens fini, en termes de paroles, c'est l'arrêt de la parole, car le chiffre a tranché, et est alors étendu au maximum de "voix", comme le concept le plus creux qui soit, mais aussi le plus admissible par tous; le chiffre, la proportion, "nous empêchant de juger".
C'est-à-dire de penser conformément à la réalité, être désinformé par la charge magique du mot, nous faisant oublier son nouveau sens politique de tri, de sélection pour une épuration du phare-ouest, grâce précisément à la censure que ce mot permet d'opérer : ceux qui parlent librement seront d'abord jugés, puis écartés, évincés des nouvelles "élites", parlant le langage de l'esprit "tordu".
L'infini faisant ainsi "transition" pour amener ce que son esprit "tordu" avait prévu et préparé dès le départ par ce procédé de désinformation parfaitement conçu, inclus dans chaque énoncé, et qui va grandir, pour que la partie contradictoire, qui était discrète, devienne, à la fin du processus, quand l'intelligence a été évincée, minoritaire.
Recoupement et exemple dans le Courrier de 2006
Dans l'introduction du Courrier de 2006 (cf. image en tête de cet article), le "choc du fini et de l'infini", c'est "André vient du non temps", puis "je reviens du non temps" avec un "message". Nous sommes donc bien dans un contexte de communication et d'inversion, de "re-tour". Ce mot étant la traduction exacte de "révolution"'.
Mais si le non-temps est un temps infini, comment peut-on en "revenir", c'est-à-dire y rencontrer des limites ? Voilà le "choc" du fini et de l'infini, qui rend compte de la petite contradiction discrète, qui comme une graine, va grossir dans les têtes, pour amener une nouvelle mentalité, une mentalité de calcul, qui immanquablement, va germer, induite dans les cerveaux,de façon subreptice.
La solution mathématique finale, sera l'image d'un axe (le "revenir" amenant la formation d'une symétrie, et donc d'une séparation des "temps", à partir du point limite, de la dé-finition, du point de départ : le mot, et du point d'arrivée : Arnaud Mussy, qui dit le mot), permettant d'effectuer un tri, à partir de cette fausse symétrie.
Notez qu'auparavant il a été demandé de quitter, de déchirer (ôter de notre chair), notre "perception du temps linéaire", amenant de "rentrer dans un temps géométrique, un cycle et une symétrie), impliquant de rentrer dans une vérité uniquement produite par l'abstraction, devenant le "critère" nouveau de la "vérité", et donc : de ce que nous voyons. C'est-à-dire que tout se passer maintenant (en tous cas c'est la demande), dans notre tête, avant de dire que "M" est "A LA TETE DES APOTRES PAR ORA".
En effet cette prétendue égalité entre passé et futur, cache l'inégalité des "parts" mathématiquement décrites dans la suite et permettant une "purification", c'est-à-dire le retrait de tout rapport à l'infini, soit : dans l'univers TeMet (M comme matière, puisque la référence est celle de MES) : "nous sommes 2", puis "nous ne faisons qu'1". C'est-à-dire quelque chose de nouveau a été prouvé mathématiquement : 2 - 1 (solution la plus simple et la plus rapide à comprendre, faisant l'unanimité), une nouveauté sans André Bouguénec, dit en début de courrier : "accompli à date T", c'est-à-dire conclu, solutionné, mais amenant alors : une crise pour un changement, une nouveauté.
La solution de quoi ? D'un arrêt des "contorsions du temps", c'est-à-dire d'un débat interminable, issu des questions dont les mots naviguent entre un sens fini et infini.
La solution vient alors comme une raison. Ajoutant avant de faire ce petit calcul compréhensible par le premier des crétins (2 - 1 = 1) : "cela n'a jamais été aussi vrai", puis il fait son calcul, supérieur en autorité, pour annoncer la "vérité", ce qu'il appelle "comprendre". Qui coupe alors la parole à André Bouguénec, pour laisser la place à celui qui possède le nouveau message : "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA", amenant André Bouguénec au silence : pour réaliser un "rêve" (une abstraction issue d'une géométrie) : "concrétiser la Jérusalem future", nom d'une société future, en laquelle les calculateurs auront leur place, selon les décisions du plus informé. Cette ville étant une pure symétrie et donc conçue par une pensée qui l'est tout autant.
Supprimer son passé (sa "chair", l'incarnation du Verbe), amenant le tri, le droit de "participer" à la société future, dont le sens réel est ici encore inversé. Passer le sas, c'est admettre la pensée de l'opinion, qui se range pour "participer", et ne plus "penser" ("vous pensiez qu'André..."), pour préférer le calcul, la loi de la majorité.
Et qui serait contre celui qui "revient du non temps", et se pose comme "le coeur" ? Mot creux que tout le monde admettra sans broncher, et déprimera toute personne isolée, doutant de ses propres décisions.
Attention : qui ne passe pas le sas, mourra. Autrement ici, le réfractaire à cette parole de la finitude, quand toutes les définitions sont inversées.
La mort est alors la mort sociale, etc, c'est suivre André Bouguénec, "accompli un 16 décembre".
Plus bas en ce même courrier, Arnaud Mussy présentera cette date comme celle d'un cycle (revenant tous les 10 ans), prouvant sa place en termes de communication.
Un enjeu de débat (1)
"Ce que vous saisirez ou voudrez faire saisir de lui sera défini par le mot fini ou infini, d'après la place qu'il occupe à vos yeux et à votre coeur dans le temporel ou dans l'éternel. "
Le coeur c'est la confiance dans celui qui nous dit : votre travail aura un résultat. Or comme ce résultat ne se voit pas sur-le-champ, une "attente" est nécessaire. Mais c'est précisément cette attente qui permet de créern, de SE créer.
Dès qu'on n'attend plus, on ne Se crée plus, puisque le "fruit" arrive alors nécessairement dans et par la facilité.
L'indéfini est donc la clé du temps de l'étude.
"L'humain sans lettres, illettré, reste "littéralement" un primitif sans possibilité d'évolution intellectuelle, spirituelle. L'esprit humain fut conçu pour s'exploiter indéfiniment à l'aide d'études, de mémorisation, de sons, d'images, de textes.
Le fait d'écrire, de composer des mots par des lettres, de matérialiser par le signe, serait-il hiéroglyphique, un concept de la pensée, Cette MANIfestation de l'esprit par la lettre est un formidable phénomène de projection d'un concept invisible dans le visible. C'est la vertu exceptionnelle du cerveau humain par rapport à celui de l'animal. Cette faculté de l'écriture fait de l'homme dans le Temps et l'Espace une présence de jonction, de communication littérale entre tous les êtres qui ont écrit leur pensée dans l'Histoire humaine. Lire, c'est remonter dans le Passé, voyager dans le Temps.
Ainsi, par la lettre, l'homme n'est jamais séparé de l'homme. Il apprend la Vie dans sa diversité.
Si l'expérience nous enrichit, elle n'est qu'à la mesure de notre durée éphémère. La lecture s'y ajoutant, elle nous projette avec toute notre sensibilité acquise dans les myriades d'expériences humaines présentes et passées. Cela devient pour le lecteur une participation, une communion et aussi une expérience sélective unique."
André Bouguénec
Saisir est un acte de l'intelligence, comme "comprendre", c'est le sens premier de "concevoir", acte de la pensée associant en une unité et une cohérence, ce qui est dit et ce qui est vu, ou dit autrement, les mots et les choses, les mots et le monde réel.
Si le mot "coeur" permet de vaincre dans les débats, c'est que son sens est fini, lié à une dimension matérielle, et revendiqué par un groupe dans l'espace maximal de l'opinion. Le "coeur" devient l'argument de l'écrasement des individus isolés devant l'opinion unanime.
Or c'est l'intelligence conceptuelle qui permet de voir, à la fois le fini et l'infini d'un être ou d'une chose. La bêtise, elle, ne juge que dans le fini. Le coeur réel, acceptant ces deux dimensions des choses, quand le coeur de l'hypocrite, feint de parler les mots de l'infini, alors qu'il n'y intègre que des projets finis, révélant son propre coeur, son vide.
Hélas, l'humain, comme aurait dit André Bouguénec, aime à se doter de ce dont il manque.
La Lumière est dans le coeur, mais nait du débat, écrit André Bouguénec dans Entretien avec l'homme. Avoir raison sans débattre, par la censure, c'est donc censurer la lumière.
Avoir raison sans débat, ce n'est donc pas faire advenir la lumière. C'est la dictature de l'opinion, et ce qui est plus grave sur le plan spirituel : des ténèbres.
Le langage de la rationalisation de la parole, devenant nécessaire si on veut "accélérer" et "participer", être dans la "con-corde" de cette nouvelle logique.
Ceux qui ont raison vont plus vite que les autres à sortir victorieux des débats. C'est ce que l'on a voulu nous apprendre en cet "Atelier de paroles", destiné à nous "former" en "prise de parole" moraliste (que l'unanimité ne saurait rejeter !) pour le "futur". Par quel moyen ? en apprenant à accélérer nos capacités de démonstrations et de pression sur l'auditeur, par l'argument de l'amour, de la morale.
Qui conclue le débat est toujours le plus fort. C'est lui qui gouverne.
Plus tard, Néo-phare se constituera dans le cadre d'un enseignement encore plus accéléré, décrit comme "apprentissage à faire des conférences", conduit par le plus informé de tous à ce sujet : Arnaud Mussy. C'est dans ce nid que la future secte prendra son essor.
L'antagonisme accélération / retard dans la "force" a des implications en termes d'espace, il est géométrique.
La surprise
André Bouguénec parle d'un choc, notamment entre temporel et spirituel. Afin qu'une nouveauté en soit tirée.
Un choc, c'est une crise, du grec krei, signifiant crible, tamis, un creux temporel avant création de quelque chose de nouveau. Ce terme donna aussi "secret" : ce qui est mis à part.
Il précise pourtant qu'il n'est nul secret qui ne puisse être découvert : tout peut donc être "compris", quitte à devoir prendre du temps pour ce faire.
Celui qui ne passe pas, c'est celui qui ne rentre pas dans le secret des mathématiciens. N'a pas le langage pour cela.
D'où le mot "tamis" usité à la fin, pour décrire le choix que cette "crise" inventée de toute pièce par des "esprits tordus", nous oblige à "trancher" et ainsi nous "séparer", pour pouvoir "passer", "survivre", "participer" et "avoir un futur".
Evidemment, ce tri peut être compris en sens inverse, selon les critères du divin, qui met en "note", faisant appel à la "MATER" :
"Alors j'ai mis une note : un sas, ça veut dire "de soie", d'abord. En latin c'est seta, qui veut dire "poil rude", un tamis de crin ou de soie, pour éliminer tout ce qui n'est pas susceptible de traverser la mesure de la trame (TRAME, MATER). Partie entre deux portes étanches, les pressions étant différentes. C'est un passage. Celui qui ne fut pas sage ne passe pas."
Une trame, c'est une matrice, une cause, un commencement.
Un enjeu de débat (2) : Abstraction / Incarnation ou Temporel / Eternel
Celui qui prend son temps est obligé de se conformer aux lois de l'incarnation, contraires à celles de l'abstraction totale, permettant d'être DIEU dans sa tête. Celui-là doit suivre les lois du temps, et apprendre à les "voir".
Dans l'éternité, c'est-à-dire le temps long, les espaces sont finis du fait de cette incarnation, qui oblige évidemment à devoir accepter d'avoir un corps, et non seulement un corps comme enveloppe, mais une chair, qui ressent, obligée qu'elle est, de subir les lois physiques et naturelles REELLES.
Ce qui n'empêche pas la science. Mais issue d'un usage concret des mathématiques, ne reposant pas sur l'imagination, pour charcuter le cerveau en tordant ses concepts.
A l'inverse, dans le fini, ceux qui seront dans l'abstraction, pourront faire fi des lois de l'incarnation, et mathématiser comme ils le voudront le monde de l'invisible, le "tordre" à l'envi, pour faire imaginer un "espace" nouveau, analogue à celui d'une machine.
D'où l'allusion d'André Bouguénec au "contre-sens", qui n'est pas "paradoxe". Le "contre-sens" est un retour en arrière vers la pensée primitive, chiffrée et arrêtée... le paradoxe, rend intelligent, à condition que "l'égo" travaille...
Le mot révolution signifie, faut-il le rappeler : retour.
Car les portes du sas, peuvent effectivement se prendre dans un sens comme dans un autre, pour aller vers l'Esprit, ou pour revenir à la Matière, et devenir la religion matérielle d'une évolution inversée.
Voilà donc le débat et le procès dont parle André, ce "choc" entre fini et infini, c'est le choc de deux forces : celle de l'abstraction, humaine, totale, pour gouverner un monde et des hommes finis, mécanisés, des robots, contre l'incarnation, mais qui rend libre, car elle est pleinement affichée, ne nous prend pas en traitre en jouant avec nos mots.
C'est une évidence si le Verbe est incarné en nous.
Recoupement :
"Phonétiquement, l'Ame devient LAME, cette partie tranchante du couteau ou d'un outils permet bien de couper, gratter, tailler... ce qui doit l'être en chacun de nous." Arnaud Mussy, Satornet.
Ce qui doit être taillé, est de facto mathématisé, et donc rendu "fini", sans espoir, désormais, de toucher à l'infini ou à l'éternel. Le fini est bien verrouillé et ne partira plus de votre tête.
Ou encore :
"A cette "cessation" d'exercices de perfection, lors de son "décès", la mécanique corporelle épuisée et mortelle, laisse échapper le corps intime intérieur immortel qu'elle couvait comme une chrysalide qui prépare le papillon. »" Arnaud Mussy, Satornet
C'est bien ici la mécanique qui commande une "taille", mécanique dite "mortelle", laissant échapper dans l'abstrait (géométrie) un autre corps, "immortel" parce que chifffré. Le papillon évoquant la symétrie apparente, et même : éphémère.
Ceci passant par le truchement de "l'épuisement" issu de la pression permanente, amenant le basculement de la victime.
André Bouguénec demande de "prendre le temps"
Quand André Bouguénec dit qu'un "archiviste s'impose", il sollicite un individu capable de travailler sur le temps long ("prenez le temps qu'il faut").
Des archives ne sont-elles pas destinées à être vues, en tous temps ?
Pourquoi André Bouguénec nous demande-t-il de "prendre notre temps" pour "comprendre"... pour exhorter à la nécessité d'accepter un temps long de travail et d'étude, seule apte à comprendre ce système diabolique de mise en suspens de notre cerveau logique naturel.
André parla ailleurs, au moins quatre fois de cette nécessité de "prendre son temps".
Prendre son temps :
- pour étudier les symboles, ce qui sera pourtant le propre de ceux qui travailleront intellectuellement par "gout", dans le futur : "La notion de temps changera radicalement sur celle trépidante du XXème siècle. Toutes les appréciations de la Vie, faites de rencontres, de découvertes, d'enrichissement intellectuel, etc... se goûteront plus intimement et plus intensément en "prenant son temps". Charte de l'ECHRUN
- pour l'avènement d'un potentiel de qualité, car la Mère, "voulant de la qualité, a mis du temps (source)
- pour comprendre les équivoques porteuses de confusion (ici même).
- Et enfin en ce propos de réunion
Dans l'esprit d'André, la Charte de l'Echrun, c'est le programme politique du futur, du Verseau.
Aussi, cette demande de "prendre son temps", permet d'effectuer un test : qui ne peut pas le faire ne cherchera pas, n'analysera pas ce propos, et ne trouvera jamais la solution. Inversement ceux qui voudront "comprendre" seront ceux qui répondront à la demande répétée d'André. Avec "un peu de patience" "Prenez le temps pour étudier ce qui vous est révélé".
Ce qui amène de mettre entre parenthèse ce qui n'est d'abord pas compris, mais sans perte de confiance, et par là sans oubli.
Prendre son temps étant : participer de l'éternel, ce qui fait rentrer dans la classe de ceux qui sont "finis dans l'espace et infinis dans le temps" : les travailleurs, associant gouts intellectuels et applications pratiques, mais aussi évidemment la fidélité.
Entre parenthèse, le nom grec pour "temps long", fut l'ennemi juré d'Arnaud Mussy au Phare-ouest.
Ce que le nom même : "NEO-Phare" laisse comprendre comme signe de censure, de détournement du sens des deux mots : NEO et PHARE-OUEST : un "nouveau Phare-ouest"...
Archiviste
"Un archiviste s'impose, et pas n'importe lequel". C'est-à-dire qui soit nommé selon des capacités réelles, et non au hasard.
Les archives, c'est d'abord un métier, un travail. Elles sont le moyen de la fidélité de la mémoire, pour le plus grand nombre. L'archiviste ne travaille pas, ou pas seulement pour lui... Ou plutôt il travaille pour lui, pour les autres.
"Pas n'importe lequel", signifie : pas "élu" sur la base d'un raisonnement quantitatif, éliminant la qualité réelle, méritant cette tâche, parce qu'ayant travaillé dans la matière et les lois de l'incarnation. Cela s'appelle le mérite.
La qualité se crée avec le temps, puisque seul le temps permet de différencier les êtres, de les qualifier.
Le travail de l'archiviste est de collationner ce qui vient du temps, des temps pluriels de l'incarnation du Verbe, à travers les grands auteurs, philosophes, penseurs, érudits, observateurs... Ce qui selon les propres dires d'André Bouguénec sera le critère du passage.
« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette 'Diaspora' 'tra-issante' ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement.
Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : 'l'Intelligence-Royale-de Dieu', contre laquelle l'homme doit 'lutter', 'l'emporter' (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette 'Agartha' invisible, enfouie dans les profondeurs de la 'Terre', c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »
André Bouguénec
Ce travail-là n'est donc pas une "perte de temps", mais au contraire une construction pour le futur.
Les 144 000 sont ceux qui ont forcément la plus grande mémoire, puisqu'ils sont les premiers hommes (ils ont voyagé dans tous les espaces et les temps). C'est pourquoi ailleurs André en fait logiquement des archivistes.
"LE NOM DE TOUT (=144) s’est incarné (Verbum incarnatus est) lors de “l’implantation” des 144000 sur la Planète “Bleue”. Ils ont pris possession de la Terre et du Verbe en une Première langue que les Génies Semeurs extraterrestres leur ont apprise. Instruments inconscients du Verbe, les premiers humains et leurs descendances, devinrent à leur insu... les Archives célestes, ils étaient la famille Noé du Futur !" Entretien avec l'homme, André Bouguénec
Nouel = Noeud liant les temps anciens et futurs.
Noël c'est aussi le retour de la lumière.
"C'est ainsi que "de Temps en Temps" d'un Temps à l'autre, l'homme se nourrit de ses Saisons et aussi de l'Envoyé du Temps, de Celui qui le domine, Dominus : le Seigneur du Temps : l'Alpha-Oméga ! La fin des Temps fait le noeud de tous, elle les croise. Ce Noeud cyclique, c'est le Nouel, le Noël qui noue la fin des ténèbres au lever de la Lumière" André Bouguénec, De temps en temps, in Entretien avec l'homme
Conclusion
Pour conclure avec une preuve de cette inversion-révolution : André Bouguénec écrivit qu'il vient du temps.
Donc pas du "non-temps", comme Arnaud Mussy l'écrira plus tard, dans son Courrier envoyé au Phare-Ouest en 2006.
Or "venir" du non temps c'est, par une spatialisation, aussi s'en éloigner.

Papier libre, placé en première page du manuscrit d'André Bouguénec, Le Carré Sator
Ajoutons encore, pour le plaisir, cette petite anecdote de réunion, qui répond de façon nette à la "venue" géométrique d'Arnaud Mussy :
André avait un auditeur, dont il parle.
Arnaud Mussy demande si cette personne a eu des réactions.
André répond :
"Il écoutait. Ah si, il a demandé :
- D'où vous venez ?
- De moi."
Un texte d'André Bouguénec, parlant de coeur
Car le coeur, c'est la confiance en la venue d'un résultat indéfini, potentiel.
Cœur-à-cœur : Relation d'intimité entre deux êtres qui échangent en toute confiance leurs pensées les plus profondes.
Le secret de l'Initiation
Il y a des secrets, si secrets, que tout le monde les connaît... sans savoir que ce sont des secrets »
Le Secret ?! c'est le secret de Polichinelle-Et puis quoi ! "La Maison de Vie" pauvres compliqués, c'est La Terre, dans laquelle il faut faire entrer notre coeur.
« Cherchez et vous trouverez ! » Un secret ne se trouve pas, ce qui est pour l'homme, Dieu le donne.
Je vous ai écrit longuement, chers faux initiés ! Oui je vous ai "secrété" (mot que vous avez repris) des évidences, si évidentes qu'elles aveuglent votre vision trop imbue de vaines Glorioles.
« Le Secret de Dieu » - 135
« Le Secret de l'Ange = 135
c'est Moi qui les ai, et je ne les donne pas à ceux qui se croient "initiés", mais à mes "Petits", simple de coeur et ouvert d'esprit. Seul je peux SECRETER = 93 - parce que "LA SOURCE" = 94.
L'Initiation est partout et par Tout, dans la Nature et dans le Verbe. Il n'y a pas de "secret" qui ne se découvre, puisqu'ils sont de faux secrets et conçus pour être trouvés, ET COMPRIS. Oui connaître un ou des secrets, est d'abord un égoïste et forcément un sectaire.
SECRET = SECTER
Mais il est un fait que la Connaissance ne peut s'élaborer que sur évolution de l'intelligence, que sur leçons progressives, et pas à n'importe qui. « Ne jetez pas les perles aux chiens ! »
Le premier et le dernier Secret de l'Homme, c'est son coeur. S'il ne l'ouvre pas, il peut chercher partout, sans cesse il se leurrera, il regardera mais ne Verra pas, il touchera mais ne pénétrera pas...
"Le Secret de l'Homme" = 162
87 9 66
c'est 1 Coeur (62)
Les VRAIS Secrets divins ne se découvrent pas, jamais, ils sont donnés à bon escient. Il y a des Mystères inviolables, ils sont "secrétês" à quelques uns, aptes à les comprendre et à les Respecter.
A. B.
Dimanche 24 Novembre, Fête du Christ-roi