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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Comment la mémoire sert à l'intelligence, pour une lumière - André Bouguénec

[...] une petite ferme et un cheval.

La ville et le marché étaient à plusieurs kilomètres de là. Le fermier avait évidemment besoin d'y aller, régulièrement. Le chemin était compliqué, d'embranchements. Il fit donc un premier voyage et retour. Puis successivement plusieurs. Bien sûr il guidait son cheval. Un beau jour, fatigué d'une courte nuit de sommeil, il s'endormit, calé sur sa banquette, les guides relâchés. Un brouhaha le réveillât. Il était rendu sur la place du marché.

Alors qui a guidé le cheval ce jour-là ? Sinon sa mémoire informatisée, par la répétition des premiers voyages. Mémoire sensibilisée, de première main, par son maitre.

Après, ça marche tout seul. Bien sûr, dans les limites d'un cheval. Mais celle de l'ange humain, celle que Dieu a cerné pour ses besoins et ceux de ses créatures d'avenir.

Mais supposez que notre cheval, ayant eu l'occasion de visiter une autre ferme avec son maitre, où il y avait une jument. Vous pouvez supposer facilement qu'un certain jour, de son chef, le cheval bifurquait vers la ferme de son coeur. Reste à savoir si le fermier est endormi ou non. Mais le cheval à quelque chose d'éveillé, à nouveau, en lui.

 

Alors Mireille D me posait la question : "Alors vraiment il faut de la mémoire pour développer l'intelligence ?"

 

C'est absolument indispensable. Tout ce que vous voyez, tout ce que vous touchez, tout ce que vous ressentez, tout ce que vous ressentez au plan sentimental ou autrement, c'est un cumul de quantités de choses. On peut dire que c'est un chaos tant que ce n'est pas classé. Mais n'empêche que cela développe l'intelligence. Alors in tel ligere, cela veut dire : "lire dans la terre". In tel, c'est la terre, tellurique, ligere : lire.

Donc tout ce que vous lisez ou photographiez dans votre mémoire - Et plus vous photographiez, plus... vous avez par exemple affaire à des observateurs, plus leurs facultés d'analyse de choses, ou d'autres choses, évidemment va se développer. Comparativement.

Et ce sont ces exercices qui vont permettre à cette vertu de l'intelligence de se développer et de cumuler la faculté de voir de plus en plus de choses dans les enchaînements. Et la conception qui est évidemment la plus grande faculté de l'intelligence, ne peut concevoir si vous n'avez pas justement cette palette formidable de tout ce que vous avez observé, vu, ressenti dans votre existence.

Là vous pouvez concevoir et créer. Si vous n'avez pas de moyens, vous pouvez pas créer. Patrice par exemple il peut faire des dessins de tête. Pourquoi ? Parce qu'il a vu des formes, des têtes, des choses, des bébés, etc. tout ça c'est là-dedans, bon il compose. Donc ça c'est l'intelligence, l'intelligence de la vision, l'intelligence de la composition.

La poésie, bon, c'est une faculté justement de mettre en ordre les observations qui jouent avec la sentimentalité. Et là aussi l'intelligence est en quelque sorte mobilisée pour joindre l'observation a des sentiments, a des palettes artistiques de l'expression et de la vision.

C'est pourquoi - j'y reviens toujours, à l'éducation des enfants, à leur instruction : il faut leur donner le plus possible de lectures, de visions, de réflexions, etc. Parce que c'est dans la jeunesse que s'inscrit dans cette bibliothèque de la mémoire tout ce qui va lui servir dans la vie.

Vous savez combien, et ceux qui ont suivi Bernard Pivot là, son Couillon de culture, combien il y en a qui font leur biographie, c'est un grand pourcentage, et vous voyez, dans la plupart de ces gens qui écrivent élégamment, eh bien, toujours cette émergence de la jeunesse, de ce qui est imprimé en eux et qui continue à vivre, quel que soit le tempérament adulte, quelle que soit l'expérience d'un adulte, eh bien reste toujours cette empreinte de la jeunesse. Donc l'intelligence n'a pas de date. Elle commence à l'enfant.

Moi j'ai une manie, je fais une course en ville, je regarde les gens, je les observe. Je vois tout de suite où ils en sont. Ou ils sont dans la Lune, ou ils sont cafardeux, ou ils souffrent, ou ils regardent les devantures, vous voyez une personne préoccupée, vous voyez comment elle est attifée, comment elle marche, etc.

Eh bien tout ça par exemple, Patrice il peut faire une caricature à force d'observer les gens. Voilà. Il charge en quelque sorte ce qu'il a vu, pour dévoiler un tempérament.

Alors vous pouvez découvrir un tempérament dans des subtilités très fines. Il faut regarder. Riton quand il regarde sa culture, il voit très bien quand ça commence à pousser ce que ça va donner. L'observation de la météo également par rapport à cette culture, eh bien forcément il y a des conclusions ou des prévisions. Donc tout est observation.

Et y'a pas d'intelligence si on exerce pas son observation.

[Suit un rappel sur l'origine angélique de l'homme]

A leur insu, les anges ont reçus une mémoire fantastique. Elle ne leur appartenait pas. Elle leur était inculquée, sans qu'ils le sachent, et ces mémoires sont devenues des potentiels. Parce qu'il y a pas que la mémoire, y'a l'exploitation de ces mémoires. Et ça ça reste. Exactement comme dans un spermatozoïde, on ne voit rien et pourtant y'a toute une génération, un code là-dedans, qui va se développer.

Bin c'est la même chose. Vous êtes des anges humanisés avec des potentiels qui ont été intégrés dans vos corps angéliques et qui sont restés donc en léthargie, et c'est à vous, librement, de réveiller ces mémoires, à la mesure évidemment de votre humanité dans le milieu où vous êtes, sur la planète où justement les anges sont incarnés.

Et c'est pourquoi qui ne développe pas sa mémoire, eh bien reste un peu en arrière dans la hiérarchie de la société, bien sûr, dans tous les domaines, dans toutes les disciplines...

Et on s'aperçoit surtout dans ces moments de discussion politique à quel point, surtout quand vous écoutez une interview à la télévision, à quel point certains ont une mémoire, n'est-ce pas, des événements politiques précédents, qui datent même d'une dizaine d'années ou tout au moins des présidentielles précédentes, ou des Gouvernements, etc. Ils en connaissent toutes les ficelles, les valeurs, les échecs, les possibilités et autres. Donc la mémoire leur permet de s'exploiter.

S'ils ont l'intelligence de leur responsabilité vis-à-vis du pays, cette mémoire va tenir compte des échecs, de ce qu'il ne faut pas faire, n'est-ce pas, de ce qui est bon dans une sélection et éventuellement d'une conception vers quelque chose de nouveau qui peut s'établir dans un nouveau Gouvernement.

Alors quelqu'un qui n'a pas de mémoire, va jouer évidemment avec ses humeurs, avec ses sentiments, avec ses instincts. Y'a pas de gouvernement. 

Vous trouvez ça très fréquemment. Ce sont des gens qui sont déséquilibrés, qui sont pas heureux d'abord, parce qu'ils n'ont pas créé une personnalité définitivement, établie, stable et maitrisant, justement, leurs facultés, leurs humeurs et leur intelligence, et l'exploitation de cette personnalité. Voilà.

Et vous voyez que ça commence à l'enfance. Actuellement, y'a une énorme carence d'éducation des enfants. On les instruit, on les éduque pas.

Bon, j'suis un p'tit bonhomme, j'ai quelques ch'veux blancs, bon. C'est rare lorsque dans un bus ou le tramway, un jeune m'offre sa place. Enfin ça m'est arrivé, mettons trois fois dans l'année. Pas beaucoup, mais y'en a. Ça vient de quoi ? Non seulement d'une éducation, mais d'un sentiment qui n'a pas été développé. Un sentiment qui doit jouer sur le phénomène social. Alors vous voyez dans un bus, des mémés qui sont debout, accrochées au tube, et puis une dizaine de jeunes qui sont assis, qui s'en foutent.

Un jour même y'en avait un qui avait les pieds sur le fauteuil en face et puis ma femme était devant. Elle a fini par lui dire : "Dites donc vous voulez enlever vos pieds que je m'assoie ?" Mais autrement il n'aurait pas bougé. Voilà.

Alors c'est quoi ? C'est un manque de sentiment, c'est un manque d'éducation, mais c'est surtout un manque de sensibilité quoi, tout de même, même sans instruction, il y a des choses qu'on peut tout de même apercevoir.

Les jeunes ont une maman, grand-mère... ils savent ce que c'est qu'une vieillesse, etc. Donc vous voyez qu'on a besoin de cette vision.

Teilhard de Chardin a dit : "voir ou périr". Ça n'a l'air de rien. Trois mots. C'est vrai. C'est fondamental pour la vie d'un individu. Mais lorsqu'on a vu beaucoup de choses, faut savoir les comprendre et équilibrer. Et prendre une direction, morale autant que possible. Si elle n'est pas morale, c'est un bouchon sur une mer en tempête ou dans un courant ou dans un fleuve.

 

L'animal comme l'ange sont deux génies, c'est-à-dire créés de gènes instruits et d'instincts parfaits ou parfaitement instigateurs.

Comment se fait-il que les observateurs de la sociologie, de la psychologie, de l'évolutionnisme, ne se sont pas aperçus que tous les animaux sont parfaits ? Depuis l'insecte, jusqu'au virus, jusqu'au microbe. Ils sont parfaits dans leurs facultés d'exploitation selon certaines circonstances. 

L'animal choisit exactement l'aliment qu'il lui faut, et pas un autre. Vous verrez pas une vache devenir carnivore, bien sûr. Etc. etc.

Alors que l'homme, lui, n'a rien ! Même pas un instinct. La faim, oui ! Mais il est obligé de tout contrôler, de tout choisir, de voir si ça colle, si ça colle pas.

Alors il est évident que nous arrivons par exemple à des cas médicaux. Pourquoi ? Maintenant des diététiciens, des scientifiques, se mettent à faire des analyses sur le phénomène alimentaire [...] parce qu'on s'aperçoit qu'il faut manger vivant, beaucoup de choses fraiches, des légumes, des fruits, etc. Très peu de viandes, du poisson... Des choses qui sont plus près de la vie que de la mort. Tout ce qu'on cuit, évidemment, il reste quelques éléments, mais il n'y a plus de vie. [Exemple du lait]. Un lait de une journée, perd son magnétisme, son rayonnement.

L'organisme humain est une énergie, vous vous rendez bien compte. Vous mettez dans le fourneau du carburant, et puis bon, c'est ça évidemment qui fait manoeuvrer la mécanique humaine.

Et plus les aliments sont vieux, par exemple le lait qui est important, le lait qui passe dans les laiteries, il est brassé, il perd son énergie dans tous les tubes métalliques, et puis il arrive un, deux ou trois jours après à la consommation. Il a perdu son rayonnement. Il reste peu de vitamines, peu d'éléments, et des médecins d'ailleurs ont fait l'expérience de donner du lait frais à des malades qui avaient perdus pratiquement toutes leurs forces. Du lait qui vient d'être tiré : leurs faiblesses les ramène au niveau du bébé, au niveau de l'enfant. Pourquoi ? Parce que ce malade a besoin justement d'être régénéré. Alors du lait entier, et du lait évidemment propre qui vient d'être trait, à ce moment-là il y a une différence de force, d'énergie, que l'organisme absorbe.

Alors tout est comme cela. Une culture de fruits, de légumes surtout lorsque ce n'est pas pollué de pshht pshht pshht, hein, de quantité de chimie, évidemment, elle a gardé toute son énergie, tout son rayonnement.

On sait déjà depuis pas mal d'années, d'après l'expérience de Kirlian, n'est-ce pas, que une feuille, un plan quelconque, émane une énergie. On peut la photographier, et cette aura elle est plus ou moins grande, plus ou moins colorée, suivant la vitalité, justement, de la plante. Au bout de quelques jours, ça disparait, bien entendu, voilà.

Eh bien c'est cela, tout rayonne.

Alors j'en viens à vous dire ceci : vous savez maintenant que vous êtes dans cette immense matrice qui est la Mère Suprême, qui est la seule source de vie, la seule énergie, évidemment, qui s'émane en différents éléments de force, d'aperception ou de forces invisibles.

Eh bien le soleil, l'eau et la terre ne suffiraient pas à faire pousser les plantes si tout cela n'était pas déjà dans la vie. Faut comprendre cela. Alors cette vie bien entendu, si elle est respectée dans son utilisation, elle va faire sa fonction. Une plante évidemment, si elle a son terreau, si elle a son exposition, etc. bon bin ça va marcher.

Eh bien nous sommes pareils, nous sommes identiques à cette poussée si l'homme a en lui la lumière. S'il n'y avait pas de soleil, il n'y aurait pas de vie sur terre.

Bon alors vous pouvez évidemment avoir des humains qui ont un tempérament, une bonne hérédité et qui ont un physique honorable, n'est-ce pas, résistants. Mais cela ne suffit pas pour faire un homme selon la conception divine, qui va à l'aboutissement de la mort, qui est là une transformation, une transmutation. Il lui faut donc en plus du soleil, la lumière.

Alors cette lumière, alors que le soleil est extérieur, la lumière est intérieure. Pour l'homme, la lumière de vie. La lumière de vie c'est l'enseignement que je vous donne [LUMIERE ET VIE = 144]. C'est la sensibilisation dans un être, de toutes les questions qu'il se pose, de tous les drames, les épreuves qu'il ressent, des amours, des désespoirs aussi qu'il ressent en lui.

Mais tout cela c'est un cumul qui va s'inscrire dans sa mémoire, mais dont il n'a pas la disposition d'arrangement, en quelque sorte, de structuration pour qu'il devienne un être connaissant en quelque sorte, et connaissant sa destinée, et sachant s'y diriger.

Eh bien cette lumière intérieure, et c'est pourquoi que on a toujours symbolisé le christ par le soleil, la lumière. Il est la lumière intérieure.

Pour qu'elle devienne intérieure, il faut qu'il l'émane par sa parole, et quand vous lisez justement l'Evangile de St Jean, eh bien là vous avez - toutes les maçonneries d'ailleurs, déistes ou semi-déistes ouvrent les travaux, la réunion sur l'Evangile de St Jean = "Au commencement était le Verbe et le Verbe était Dieu. RIEN ne s'est fait, n'est-ce pas, sans cette parole, sans cette lumière".

A ce moment-là vous avez l'énergie qui vient de cette lumière enseignante. 

Beaucoup d'entre-vous m'ont fait des confidences sur leur témoignage, sur leurs lettres d'anniversaires et autres, la reconnaissance d'avoir changé complètement de ce que vous étiez avant, de ce qu'ils étaient avant. Et c'est ça : vous avez absorbé la lumière, et vous l'avez donc installée en vous et vous l'avez vécue. Alors c'est comme une plante intérieure qui pousse dès l'instant où elle a sa lumière. Elle est en floraison. Cette floraison va jusqu'à la fin de l'existence c'est-à-dire que vous passez, trépassez vers une autre exploitation de votre être, qui n'a plus besoin de corps à un moment donné, et qui va se décanter donc avec cette animation d'une âme qui a été nourrie par la lumière intérieure.

Alors dans La chute de l'ange, je décrivais la prise de conscience obligée de ces super-archanges, de leur état de serviteurs esclaves, ce qui produisait leur révolte.

L'orgueil dans l'humain est un terrible élément perturbateur. Bien que blâmable, il n'en est pas moins une pulsion d'ambition révolutionnaire. Il provoque une dépense d'énergie et de capacité, mais à la fois, il aveugle. Alors le créateur greffa donc par son souffle en eux, le point de conscience d'auto-examen. C'est le germe de la future conscience de soi.

Automatiquement, quelqu'un qui fait une recherche, devant un échec, automatiquement il fait un auto-examen : qu'est-ce qui ne va pas, qu'est-ce qu'il aurait pu faire, etc. Donc ça permet un progrès. Ça permet aussi une prise de conscience. Parce que dans certains cas comme les clones, y'a une moralité.

[...]

L'erreur et qu'on puisse se tromper est très importante. A condition d'analyser pourquoi. Y'a un concept fondamental. Je vous ai parlé de la Mère Suprême. Elle veut de l'amour. Elle est l'amour et elle projette l'amour pour qui veut l'absorber.

Or la procréation est un acte d'amour. Il est physique la plupart du temps et souvent il est accompagné d'un amour sentimental, hein, bien sûr.

Or une reproduction qui ne joue pas sur ce phénomène du couple et de l'amour, est forcément artificielle et en dehors du concept divin. 

Comme je dis dans ma Lettre au Pape, que les dogmes, les règles, les quantités d'obligations dont on a envahis les fidèles, sont à l'encontre de la conception divine, qui veut que l'homme cherche Dieu, se cherche, découvre - comme dit St Paul "Si vous aviez découvert, dans l'Oeuvre de la création, l'Oeuvre de Dieu, vous n'auriez pas eu besoin de la folie de la foi". Donc, c'est cette recherche : "Cherchez et vous trouverez". Si c'est fait par amour, bon, le cheminement est bon. On a plus ou moins de temps.

En général, tout seul c'est pas suffisant, c'est pour ça que un groupe, une société, évidemment, de collaborateurs, aussi bien en science que même en théologie... Et c'est pourquoi de plus en plus de théologiens se concertent, et ils se rendent compte des erreurs colossales de Rome. Et à ce moment-là évidemment les confrontations permettent de mieux juger, de mieux comprendre, de ce qui est bien, de ce qui n'est pas bien, etc. ou des égarements.

Mais l'erreur, comme je vous l'ai dit il y a longtemps et je recommence : Les sept péchés capitaux sont les sept péchés capiteux. Ce sont les sept nains de Blanche-Neige, qui vont pour l'amour de Blanche-Neige, évidemment, ils vont se nettoyer, ils vont se convertir. Et quand vous convertissez un défaut en qualité...

[Fin de la bande]

 

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