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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Un "esprit tordu et tortu", redéfinit le "non-temps" - Xeon

"Ce beau titre qu’ils avaient acquis, en s’appelant « sophistes », c’est-à-dire spécialistes de sagesse, est vite devenu et est resté jusqu’en notre temps synonyme d’homme retors". Jacqueline de Romilly, Les Grands Sophistes dans l’Athènes de Périclès

 

 

A propos de non-temps et d'esprits tordus, 

Petite histoire d'une désinformation par le "non-temps"

Une formule largement usitée par Arnaud Mussy, cannibale de l'enseignement d'André Bouguénec, est "non-temps".

Comme ces quelques enregistrements le montrent.

 - Propos localisant le non-temps dans l'astral, là où les êtres "sont dans leurs chimères" et où le rêve permet de faire "la loi". A quoi André répondra qu'il y ET du temps en astral ET des lois.

- Courrier de 2006

  

 

C'est à la possibilité de ce "non temps" comme étant "sans temps", qu'André répondra, lors de la réunion du 03 Mars 1995.

 

 

Propos d'André Bouguénec

Source

"Méditez et concluez vous-même, un archiviste s'impose, et pas n'importe lequel, pour redonner l'essentiel de la mémoire perdue. Secret ? Mystère ? Peut-être. Toujours est-il, avec un peu de bonne patience, et de la bonne volonté, qu'il n'est rien de caché, de secret, qui ne puisse un jour être découvert, percé à jour, comme on dit.

Quand les choses anciennes se heurtent, naturellement aux choses nouvelles, et vice et versa, un tampon de transition se forme alors de lui-même à la mesure même des forces qui s'affrontent. Et croyez-moi, en ce moment, elles sont de taille.

Ne cherchez pas de contradiction dans ces lignes. Il n'y en a pas. Prenez le temps nécessaire pour étudier ce qui vous est révélé.

 

Le sas est comme une toute petite portion infinie de l'éternité.

Bah, comme il est des esprits tordus et tortus, qui font semblant de ne pas comprendre, je vais moi aussi faire semblant. Semblant de croire qu'ils ne comprennent pas et m'expliquer un peu. Par ailleurs cela ne fera tort à personne.

C'est dans le choc du fini et de l'infini, du temporel et de l'éternel, de l'involution et de l'évolution, de l'avant et de l'après, de l'alpha et de l'oméga, que se forme le présent créateur et purificateur pour que naisse quelque chose de nouveau.

Prenez n'importe quel objet, ou n'importe quel être - j'insiste sur le "n'importe quel", il est à la fois fini et infini. Ce que vous saisirez ou voudrez faire saisir de lui sera défini par le mot fini ou infini, d'après la place qu'il occupe à vos yeux et à votre coeur dans le temporel ou dans l'éternel. 

Dans l'éternel, l'éternité, les choses et les êtres sont à la fois finis dans l'espace et infinis dans le temps. Dans le temporel, les êtres et les choses sont à la fois infinis dans l'espace et finis dans l'éternel. Comprenez bien cela, et n'allez pas penser que dans l'éternel ou dans l'éternité il n'y a pas de temps. Vous feriez une grosse erreur qui fausserait votre jugement et vous empêcherait de comprendre. L'éternel ou éternité contient tous les temps, comme l'Ophnar contient toutes les dimensions, comme Dieux contient tous les dieux (vous savez que ce Dieux-là c'est la Matrice Mère Suprême).

Paradoxe n'est pas contresens et l'éternité qui comprend, contient et est tous les temps est aussi obligatoirement un non-temps par le fait même. L'éternité est, contient et comprend tous les espaces, mais c'est aussi un espace nul. C'est l'Aïn soph hébraïque, le sommet des Séphiroth, le rien.

Ainsi, maintenant que vous avez assimilé cela, (point d'interrogation), vous comprenez pourquoi dans le sas qui va se faire sans anéantissement par une volonté extérieure à la présente vôtre, mais cette volonté n'exclue pas la vôtre, ni votre participation, collaboration active, bien au contraire. Voilà, je me suis quelque peu répété mais je pense qu'il le fallait.

 

Alors j'ai mis une note : un sas, ça veut dire "de soie", d'abord. En latin c'est seta, qui veut dire "poil rude", un tamis de crin ou de soie, pour éliminer tout ce qui n'est pas susceptible de traverser la mesure de la trame (TRAME, MATER). Partie entre deux portes étanches, les pressions étant différentes. C'est un passage. Celui qui ne fut pas sage ne passe pas."

03 Mars 1995 

 

 

Un problème de définition

Le choc dont nous parle André Bouguénec, c'est la surprise, provoquée par l'écoute d'une langue que nous ne comprenons pas : celle du "non-temps", du hors-sujet, pour prendre la chose au mot, amenant une nouveauté.

Autrement dit ce "non temps" est lié à l'idée de progrès. Paradoxe, puisque le progrès est un temps.

Tous les antagonismes présentés par André Bouguénec sont facteur de temps, d'événements, de progrès, alors que le "non temps" serait une absence de ce progrès, la fin du progrès. Autrement dit l'utopie et la mort du temps. Ce qui ne peut advenir, selon le schéma des moteurs présentés en ce propos.

Un présent "purificateur" sera un présent qui ôtera quelque chose, pour que le "nouveau" soit "épuré" de l'ancien. Ce qui représenterai une erreur, démontrée par les moteurs : tout "temps" fini est pris dans un contexte infini, et il en est de même pour l'espace, ce qui interdit leur arrêt pour une nouveauté.

Ce qui est décrit en introduction n'est rien d'autre qu'une abolition du passé, issue d'une croyance, en un "progrès" nécessairement "positif". Par ailleurs le seul langage qui permette de mettre en application et de rendre concret ce principe, est le langage des chiffres, de la science, du calcul, rendant toute formulation irréversible.

Cette langue étrange, parlée des "esprits" "tordus" et "tortus" (abstraits), tordent la réalité concrète, grâce à ce "non temps", qui n'est, nous dit André Bouguénec qu'un "mot" ("le mot fini ou infini").

Quand tout à été chiffré, le réel a été tordu par des "esprits", des intentions humaines.

 

Quand, dans son Courrier de 2006, Arnaud Mussy écrit au Phare-ouest : "je reviens du non temps", il ne fait que dire : "je reviens de moi-même, agissant comme bon me semble, et ce sans limite, pour imposer un futur"... après avoir aboli le passé.

Le progrès mathématique amenant inévitablement un rapport de force avec le passé. D'où les premiers termes employés par André : "ces forces sont de tailles" : des chiffres.

 

Alors nous en perdons aussi la mémoire. D'où : "un archiviste s'impose".

 

D'où, dans ce même Courrier de 2006, Arnaud Mussy nous dit qu'André Bouguénec, "vient" du non temps, signifiant qu'il s'éloigne de notre mémoire, n'est pas "répété", progressif.

 

"Le sas est comme une toute petite portion infinie de l'éternité." Et un sas c'est une séparation et un jugement. Simplement pour départager les forces en présence : abolir ou accomplir.

Séparatisme prouvé par une géométrie se formant peu à peu pour en fixer les espaces, les "forces" ("elles sont de tailles"), avec des majorités et des minorités nouvelles.

Qui parlera la "langue" du "non temps" se sentira en force pour commander par ce langage impersonnel et manipulateur, ceux qui parleront encore la langue naturelle de la source réelle de notre enseignement.

Ce sera la langue des "forces de progrès" (un modèle de langue de bois politique !) contre les forces de régression... qui ne "'passeront pas", selon les (forts) tenants du "progrès.

 

D'où la terreur nouvelle pressant les phare-ouestiens, cherchant leur salut, uniquement conditionné par la compréhension de cette langue (des mots) : la langue prétendue de "l'éternité" justement, du "non temps", impersonnelle, masquant derrière les mots abstraits (chiffrés, impersonnels, généraux...) une langue de pouvoir, qui en parlant à tout le monde en même temps, disant une chose et son contraire selon les circonstances, nous "empêchera de juger".

D'où l'allusion d'André Bouguénec au "contre-sens", qui n'est pas "paradoxe". Le "contre-sens" arrête la pensée, le paradoxe, rendant, lui, intelligent.

La langue de la sidération doit en effet louvoyer entre tous les partis, jouer des contradictions pour pouvoir tenir comme pouvoir. Lorsqu'il le faudra elle en appellera à André Bouuguénec, et même plus que nous, et quand il le faudra elle en appellera à la  "nouveauté" (une abstraction). Mais une nouveauté qui elle sera chiffrée, donc elle seule... progressera.

Etonnamment le mot langue de bois trouve bien son sens en grec, puisque "bois" se disait "hulé" et signifiait aussi : matière.

 

 

On en arrivât au Phare-ouest, à produire et balancer des slogans ne signifiant rien en eux-mêmes, anonnés par des idolâtres du "non-temps", comme "penser divinement", sorti à toute occasion. Cas typique de dépersonnalisation par perte du sujet, substantivation du verbe devenu un simple "nom", qu'on pouvait alors redéfinir comme on voulait, "pour la fraternité", autre abstraction débitée à tout bout-de-champ, pour presser les exclus de cette langue, sidérés (surpris, choqués), par de telles démonstrations... de force (de "taille"), pourtant purement verbale. Le truc est imparable pour faire avancer... SA cause, parfaitement dénuée de toute réflexion et de toute analyse, donc d'intelligence, parce que... c'est le progrès.

Comment le serait-elle, puisque tout de suite admise sans débat, sans échange, sans production d'argument ?

Hors l'absence d'intelligence est le critère de la matérialisation la plus épaisse.

 

Recoupement dans le Courrier de 2006 : chacune de ses questions est scindée en deux. La première partie exposant des produits de l'imagination ou du mental conditionné, chiffré, censés ouvrir à un futur abstrait, décrit en revanche par des mots creux, des slogans vides : "susciter l'auto-engendrement", "accomplir les écritures", "rénover le cube"... "accomplir le futur", etc., autant de formules vides, qui permettrons tout ce qu'on voudra une fois qu'elles auront été acceptées.

Eh oui, pour notre politicien local aussi, "Le changement c'est maintenant".

  

Bien entendu, cette langue pouvait se sentir, à l'audition même sans en comprendre les rouages. De même que tout être de bon sens est capable de sentir la puanteur du discours tordu de nos politiques. Hélas, la perspective de dominer son égal par de purs actes de langages, fut la plus forte au Phare-Ouest.

C'est le coeur, notre propre rapport au fini et à l'infini-tif, qui devient alors le lieu du salut. Même sans comprendre intellectuellement ce processus caché, ce "secret" "enfin dévoilé : "Toujours est-il, avec un peu de bonne patience, et de la bonne volonté, qu'il n'est rien de caché, de secret, qui ne puisse un jour être découvert, percé à jour, comme on dit."

Arnaud Mussy fut donc un test pour le coeur du Phare-ouest. Le coeur c'est ce qui reçoit et ce qui rejette : ce qui classe, selon ses préférences personnelles, ou selon le réel, la vérité et donc la lumière.

Le "coeur" du Phare-ouest finit en effet par abolir André Bouguénec, qui disait à la fin : "s'il n'en reste qu'un parmi vous, j'aurais réussis ma mission".

 

D'où également les moteurs présentés dans ce propos d'André Bouguénec, où l'éternel et l'infini n'excluent pas la finitude, mais l'intègrent, afin de ne pas être "hors-sujet", de "voir" (de lumière). 

L'infini n'exclut pas le défini, mais l'intègre, comme le grand n'écrase pas le petit. 

 

 

 

Le "fou ne passe pas".

Le fou, c'est celui qui tord les choses, modifie les logiques naturelles et parle une langue non naturelle.

Il ne passe pas le "sas", puisque sans temps... Et "qui n'avance pas recule".

Car "de taille". C'est la folie des grandeurs, ou l'hubris des grecs, la démesure.

 

Ceux qui répètent leurs recherches pour l'éternité, seront perdus à ses yeux. Les esprits géomètres seront déclarés "sauvés".

Ce point amenant le but de ce propos : retrouver la mémoire "perdue".

 

D'où "l'erreur" "énorme" à se con-former à sa folie, consistant à parler toutes les logiques à la fois, à l'in-finitif, pour rallier tout le monde à sa cause, progressivement.

D'où "paradoxe n'est pas contre sens".

Le paradoxe rendant intelligent, "sage".

Qui "n'est pas sage" est bien "fou" et "ne passe pas". Le jugement final est donc donné par André Bouguénec.

 

Les résistants seront ceux qui auront été assez forts pour conserver leur coeur, malgré cette manipulation d'un non-temps "fascinant" l'intelligence, pour l'empêcher d'avancer dans la compréhension de ce projet de manipulation par les mots.

 

Il ne faut pas y "croire" nous dit André Bouguénec, car cela nous empêcherait de "juger"..

D'où la note finale, le mot "sas" signifiant "crin"

Alors j'ai mis une note : un sas, ça veut dire "de soie", d'abord. En latin c'est seta, qui veut dire "poil rude", un tamis de crin ou de soie, pour éliminer tout ce qui n'est pas susceptible de traverser la mesure de la trame (TRAME, MATER). Partie entre deux portes étanches, les pressions étant différentes. C'est un passage. Celui qui ne fut pas sage ne passe pas."

 

  

 

La surprise

Ensuite André parle d'un choc, notamment entre temporel et spirituel. Afin qu'une nouveauté en soit tirée.

Un choc, c'est une crise, du grec krei, signifiant crible, tamis. Ce terme donna aussi "secret" : ce qui est mis à part

Celui qui ne passe pas, c'est celui qui ne rentre pas dans le secret (le contraire de la révélation). N'a pas le langage pour cela. Ce langage c'est celui du "non temps", qui "prend par surprise" : pour créer quelque chose de nouveau, par un "choc".

Ce mot donna aussi "jugement" (d'après Upinsky, l'axiome secret du juge, c'est de prendre par surprise.

D'où le mot "tamis" usité à la fin, pour décrire le choix que cette "crise" inventée de toute pièce par des "esprits tordus", nous oblige à "trancher" et ainsi nous "séparer", pour pour pouvoir "passer".

Le mot "déchet" est issu de la même racine : "excrementum". 

André nous disait, alors que nous signifions notre doute sur le "futur" du Phare-Ouest : "en toute création il y a du déchet".

La surprise ne sert-elle pas à forcer la porte pour entrer vers quelque chose de nouveau en profitant de la confusion opérée pour cela ?

 


Le moteur logique 

André Bouguénec présente un moteur. Ce moteur présente des temps et espaces infinis qui se combinent à des temps et espaces finis, renseignant sur l'idée que rien ne se répète jamais, que toutes choses répétitives seraient contrecarrées par leur contraire, l'infiniment grand se mariant à l'infiniment petit, pour produire la vie, l'évolution permanente. Ceci réfutant la possibilité d'une répétition mécanique, régulière et géométrique de formes abstraites, de "points" identiques dans l'infini de l'espace, se développant à l'infini, comme ce "non temps" répétitif.

Recoupement : dans son Courrier de 2006, Arnaud Mussy dit en  "revenir", ce qui exprime cette répétition, justifie la pression interminable, produite par cette "langue" de l'infini-tif.

 

Des logiques mécaniques différentes sont ainsi toujours possibles. De même que sur Terre, les ingénieurs peuvent inventer des moteurs très divers.

Il y a donc du temps dans l'éternité, et celle-ci ne peut être par conséquent, abstraite, réduite à un point, qui permettra de tout dire.

L'image du point étant impossible à définir, ou à limiter.

Ce qui implique une liberté, si l'infini et le fin sont mêlés en l'homme. 

La loi du coeur s'accomplit dans le temps, cadre du travail, de l'étude et de la recherche : "qui n'exclue pas votre volonté" : parce que ce temps éternel est du VERBE incarné (jugement) en NOUS.

La parole vraie, naturelle, issue, produite par un sujet, et pour cela : agissante dans le monde réel et avec clarté.

 

En remplaçant ce terme par travail on obtiendrait : Alors j'ai mis une note : un sas, ça veut dire "de soie", d'abord. En latin c'est seta, qui veut dire "poil rude", un "travail" de crin ou de soie, pour éliminer tout ce qui n'est pas susceptible de traverser la mesure de la trame (TRAME, MATER)."

Désignant à en crever les yeux, le travail de la finesse : le bon sens issu de l'intelligence percevant les réalités finies, tout en les croisant à l'infini, qui aux yeux de l'homme de bon sens, n'est pas qu'un "mot".

 

Le "non-temps" comme "arrêt du temps" étant le fait d'une géométrisation (revenir du non temps), est le fait d'un mental qui nous coupe de la source, de la vraie substance, pour créer une substance nouvelle, en dévorant justement le verbe, pour en faire un simple nom sans sujet, sans source ni volonté.

Mais seulement en apparence, une "croyance".

 

 

  

Pourquoi André Bouguénec demande de prendre son temps ?

Pourquoi André Bouguénec nous demande-t-il de "prendre notre temps" pour "comprendre"... sinon que pour indiquer de la nécessité d'accepter un temps long de travail et d'étude, seule apte à développer notre intelligence.

Ceci pour s'opposer à ceux qui "croient" en la validité et l'autorité d'une telle langue. 

André parla ailleurs, au moins trois fois de cette nécessité de "prendre son temps".

Prendre son temps :
- pour étudier les symboles, ce qui sera pourtant le propre de ceux qui travailleront intellectuellement par "gout", dans le futur : "La notion de temps changera radicalement sur celle trépidante du XXème siècle. Toutes les appréciations de la Vie, faites de rencontres, de découvertes, d'enrichissement intellectuel, etc... se goûteront plus intimement et plus intensément en "prenant son temps". Charte de l'ECHRUN
- pour l'avènement d'un potentiel de qualité, car la Mère, "voulant de la qualité, a mis du temps (source)
- pour comprendre les équivoques porteuses de confusion (ici même).

Dans l'esprit d'André, la Charte de l'Echrun, c'est le programme politique du futur, du Verseau.

Aussi, cette demande de "prendre son temps", permet d'effectuer un test : qui ne peut pas le faire ne cherchera pas, n'analysera pas ce propos, et ne trouvera jamais la solution. Inversement ceux qui voudront "comprendre" seront ceux qui répondront à la demande répétée d'André. Avec "un peu de patience" "Prenez le temps pour étudier ce qui vous est révélé".

Prendre son temps étant : participer de l'éternel, ce qui fait rentrer dans la classe de ceux qui sont "finis dans l'espace et infinis dans le temps" : les  travailleurs, associant gouts intellectuels et applications pratiques.

 

 

 

Archiviste

"Un archiviste s'impose, et pas n'importe lequel".

Pas n'importe lequel, signifie : pas issu d'un raisonnement quantitatif, mais qualitatif.

Or la qualité se crée avec le temps, puisque seul le temps permet de différencier les êtres, et donc de les qualifier. 

Ce qui renseigne sur la supériorité de la qualité sur la quantité chiffrée et considérée comme une "vérité" : "Il y aura plus de joie dans le Ciel pour une brebis retrouvée que pour 99 qui sont déjà là".

 

Le travail de l'archiviste est de collationner ce qui vient du temps, des temps pluriels de l'incarnation du Verbe, à travers les grands auteurs, philosophes, penseurs, érudits, observateurs... Ce qui selon les propres dires d'André Bouguénec sera le critère du passage.

« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette 'Diaspora' 'tra-issante' ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement.

Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : 'l'Intelligence-Royale-de Dieu', contre laquelle l'homme doit 'lutter', 'l'emporter' (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette 'Agartha' invisible, enfouie dans les profondeurs de la 'Terre', c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec

 

Ce travail-là n'est donc pas une "perte de temps", mais au contraire une construction pour le futur.

Le mot "archive" lui-même dérive de arké, désignant les premières causes, leur commencement dans l'ordre chronologique.

Les archives révéleront les faits, contre les utopies intemporelles, masquant des pouvoirs bien réels.

 

André écrivit :

"Pour les historiens, les archives de la Terre sont :
- Faits géologiques
- Faits archéologiques
- Littératures, témoignages
Ces trois sources doivent se croiser pour former une unité révélatrice du passé terrestre et céleste."

 

Les 144 000 sont ceux qui ont forcément la plus grande mémoire, puisqu'ils sont les premiers hommes (ils ont voyagé dans tous les espaces et les temps, passant même les temps). C'est pourquoi ailleurs André en fait logiquement des archivistes.

"LE NOM DE TOUT (=144) s’est incarné (Verbum incarnatus est) lors de “l’implantation” des 144000 sur la Planète “Bleue”. Ils ont pris possession de la Terre et du Verbe en une Première langue que les Génies Semeurs extraterrestres leur ont apprise. Instruments inconscients du Verbe, les premiers humains et leurs descendances, devinrent à leur insu... les Archives célestes, ils étaient la famille Noé du Futur !" Entretien avec l'homme, André Bouguénec

Nouel = Noeud liant les temps anciens et futurs.

Je vous laisse méditer sur le nom grec de ce "temps long", ennemi juré d'Arnaud Mussy au Phare-ouest.

Ce que le nom même : "NEO-Phare" laisse comprendre comme nom révolutionnaire et abstrait, impersonnel, comme le sigle d'une guerre.

Il n'est pas difficile de comprendre où nous voulons en venir, en relisant ce propos d'André en Déc. 1996, date à laquelle il demande au Phare-ouest d'aider un "potentiel", parce que :

"C'est pas seulement pour soi, ou pour faire du bien. Bien sûr vous faites du bien. Mais c'est pour DONNER A LA MERE SUPREME, le plus possible d'êtres accomplis, ou s'accomplissant avec un caractère capacitaire suffisant pour être estimé, parce que elle est exigeante la Grande Maman !

Elle a attendu longtemps, elle veut de la qualité."

  

 

Conclusion

Par ailleurs et pour conclure avec une preuve physique de cette inversion-révolution : André Bouguénec écrivit qu'il vient du temps.

Donc pas du "non-temps", comme Arnaud Mussy le dira plus tard, dans son Courrier envoyé au Phare-Ouest en 2006.

Papier libre, placé en première page du manuscrit d'André Bouguénec, Le Carré Sator

 

 

Concluons par cette petite anecdote de réunion, qui répond de façon nette à la "venue" géométrique d'Arnaud Mussy :

 

André avait un auditeur, dont il parle.

Arnaud Mussy demande si cette personne a eu des réactions.

André répond :

"Il écoutait. Ah si, il a demandé :
- D'où vous venez ?
- De moi."

Pas de l'impersonnel.