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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Dernier courrier procès d'Arnaud Mussy contre l'Incarnation - Xeon

Date : 20 Déc. 2025

 A Jérémy Trossais, un ami.

 

"Maintenant, apprenez définitivement le terrible secret de votre Créateur qui voulait faire de vous des combattants contre l'Esprit Duel qui habite votre "dualité" et les subtiles "tentations" de toutes sortes qui, en ces jours de ténèbres, mènent le monde. Dans Matthieu XXIV-22 : "...Et si ces jours-là n'étaient pas abrégés, aucune créature ne serait sauvée ; mais ces jours-là seront abrégés à cause des élus ". Matt.XXIV-24 : " Il y aura de faux christs, et de faux prophètes s'élèveront et feront de grands signes et des prodiges, jusqu'à séduire s'il était possible, les élus eux-mêmes. Vous voilà prévenus ". Oui, c'est de Matthieu.", André Bouguénec, L'ultime grand secret, Article Qui créa Lucifer, p. 145

 

"Je le répète pour la énième fois, Dieu, s'il vous crée, il lui est impossible de vous "engendrer" ; le ferait-il, ce serait une création accomplie de vertus et qualités qui viendraient de lui, mais non de vous ! Et c'est ainsi que fut créée l'engeance angélique, parfaite. Or c'est la raison de votre humanisation afin que, de vous-mêmes, vous fassiez naître votre âme et la nourrissiez pendant toute votre existence terrestre : c'est votre raison d'être ici-bas, de vous recréer "à l'image de Dieu" selon ses lois. Il faut naître de vous-même en "co-naissant" Dieu en vous, jusqu'à le faire votre Père.
Comme le mot "en-GEN-drer" le stipule, Dieu ne peut mettre en vous que des "Gènes" qu'il a conçus et créés, mais c'est à vous de les cultiver, de les développer pour.. vous engendrer de vos gènes. Eh oui, le Monde est fait de tous les GENS qui sont des gènes en poussée ou bien qui végètent. Vous êtes tous, toujours en "Genèse", en commencement et en recommencement : en réGENE-ration. Le prénom Eugène est bieakashin significatif de "bien engendré", littéralement : un bon gène. Et Dieu, et Lucifer, n'en finissent pas de pousser vos gènes à "pousser", à fleurir, par votre seule volonté de choix. Si ce n'était que la volonté seule de Dieu, vous ne seriez, et cela arrive parce qu'il en faut, qu'une marionnette..."in-stru-mentale" ; un instrument utile aux autres, mais pas forcément à lui s'il ne s'accomplit pas avec ce qu'il doit donner ou montrer. La racine "instru" signifie "arrangement", "enstructuré", évidemment par Dieu dans le mental de cet humain."
Ibid, p. 150

 

"Peu à peu, saisissez-vous que vous n'êtes Rien, si... si vous n'entrez pas dans votre Raison d'être, et si vous ne suivez pas Ma Voie. C'est votre dernier recours avant qu'ON ne vous enlève votre liberté, bientôt !"
Ibid, p. 202

 


"Même s'il n'en reste qu'un parmi vous, j'aurais réussi ma mission." André Bouguénec

 

"Il n'y a aucun doute, le Christ est : La lumière du monde, et sous l'égide de Notre-Dame Suprême il est en sa naissance le Christ Solaire, détenant la clef de sa montée progressive de sa lumière aux hommes.

Je répète, la clef de la montée progressive de la lumière aux hommes.

Jadis notre Jésus devait programmer et annoncer l'avenir d'aujourd'hui. Il enseigna d'un coup tout l'essentiel de l'amour et des rapports avec son Père sans préparer les intelligences à comprendre les clés du Royaume de Dieu. D'où la raison d'une promesse d'envoyer pour aujourd'hui, l'esprit de vérité, dévoilant les mystères. Pour sensibiliser un peuple, surtout celui d'aujourd'hui, il ne s'agit pas de proclamer "Je suis Jésus, voici mon dernier Testament".

Il faut prudemment et progressivement préparer les esprits et susciter une nouvelle intelligence. C'est une clef du fameux Arepo du Carré Sator, pour cette délicate OPERAtion qui subrepticement va intéresser de façon inattendue les esprits."

 

"C'est pourquoi la mission du Fils de l'homme est très difficile. Il n'est pas question de bouleverser la France ou la planète. Il est question de laisser un testament. Cela veut dire que ça reste, et tu pars. Et vous vous démerdez avec le testament.

Tout ce que j'ai écrit (lettres, documents…), tout ça c'est le testament, parce que tout s'enchaîne."

André Bouguénec

 

 

 

 

 

"J'suis le bouc émissaire. Tout ce qui ne lui plait pas, elle me le met sur le dos". André Bouguénec, commentant un courrier de démission capitale, daté du 12 nov. 1994

"Dans le fonctionnement de Néo-Phare il fallait un bouc-émissaire, une tête de Turc."
Procureur lors du procès d'Arnaud Mussy en Octobre 2004

"Nous ne pouvions valider ce groupe qui se bâtit sur le rejet, l'exclusion". Courrier personnel d'un ancien adepte de Néo-Phare

 

 


Source

 

 

 

La citation en exergue

« Mais, saisissez bien ceci : l'Heure du Salut par la décision de la Mère, ne peut se réaliser qu'à la condition de posséder en Elle les "nouveaux-nés de Ses Entrailles", les premiers Enfants qui L'ont reconnue, comme "Mère de tous les peuples", qui L'Aiment et qui participent au Rayonnement de la Lumière de Son Fils. Sa stricte décision est basée sur ce "levain de l'Avenir" dont l'avertissement fut donné jadis » - Extrait de la page 54 de L’Ultime grand secret.

Cette citation en exergue permet à Arnaud Mussy de tirer parti d'un texte d'André Bouguénec, signfiiant : une échéance arrive, et votre changement en est la condition. 

Comment, après une telle exergue, douter de ce sauveur si fidèle, au point qu'il se justifie du texte d'André Bouguénec ?

Changement prévu, certes, mais pour le futur, puisque le "levain de l'avenir" n'est pas daté. 

D'où Arnaud Mussy va venir nous mettre un coup de pression avec son scoop : "aujourd'hui, 16  décembre 2006, André est accompli". Ceci annonçant LE changement de programme, pour maintenant.

Annonce permettant de statuer de sa qualité de gestionnaire, lui permettant de maitriser au présent ce qui se passera demain. Il en a les capacités. Ceci de par ses aptitudes de vitesse (il "revient du non temps", tel un "tackyon"), pour trancher sur l'état complet ("accompli") d'un autre individu : André Bouguénec. Cette complétude n'étant que matérielle, puisque déterminée dans le cadre du temps maintenant arrêté de l'évolution, bloquée, du même "élève" André Bouguénec, visé et classé, par le maitre du contrôlé continu, Arnaud Mussy.

Controle continu amenant à réduire un individu à ses seules aptitudes, et non à sa connaissance. Notamment, aptitudes à la vitesse. 

Or sur ce point, Arnaud Mussy est le meilleur, puisqu'il "revient" du "non temps", quand André Bouguénec ne fait qu'en "venir". Il va deux fois moins vite, et ne "contrôle" pas sa "direction". De sorte qu'il va s'éloigner de nous. 

 

Quelle est cette date ? Celle d'un "système", dont Arnaud Mussy feint d'être lui-même le jouet (ses "venues" se font systérmatiquement un  décembre"). Mais tout "système" à une logique interne. Et c'est bien ce jour qu'il nous envoie le sujet de sa "mission" : "réécrire un nouvel Evangile". Après lecture de l'ancien... donc son TEST (d'où TESTament) Ceci marquant le type de "traitement" mécanique de l'ordinateur : lecture, traitement et calcul, classement et réécriture. 

D'où : l'Evangile ancien, associé à André Bouguénec, est lui-même "accompli" (traité), amenant la "mission finale" (traitement et décision) : "réécrire un Evangile de 900 pages", basé sur une "structure", celle du "cube" (un ensemble de signes pouvant être recombinés à volonté), selon une règle d'équivalence, consistant à détruire tout ce qui se répète dans l'ancien livre, supprimé pour inutilité et (donc) facteur de perte de temps. 

Or s'il y a douleur (à cause des "contorsions"), c'est qu'il y a un problème. Problème mathématiquement résolu par la fin des répétitions stériles, pour la "réécriture" d'un "nouvel Evangile", de "900 pages" ayant "simplifié" toutes les cordes de l'univers. Ayant donc retiré toutes les répétitions "bloquantes", dont la forme linéaire (comme une "corde"), était déjà indiquée comme étant à supprimer, dans le domaine "temporel", dès l'introduction du récit.

Ce qui recoupe le contexte d'une théorie ("théorie des cordes" !) des ensembles, où là encore, les parallèles se suppriment. 

 

Tel est le sens de la question (première question posée au "groupe" d'élèves "participants" de ce nouveau monde ("nouvelle Jérusalem"), issue du "non temps" et de son "rêve"... cybernétique), première question requérant leur intuition (une qualité propre à se mettre en avant dans le cadre du "contrôle continu", où l'intelligence acquise ne sert plus à rien, où le premier est seulement le plus "rapide"), première question donc, amenant à statuer sur un quotient, sens même du mot "combien de fois", André "évoquat" (parole faible), les "contorsions du temps", c'est-à-dire une faiblesse, le signe d'une maladie, et une "ruse" (une manipulation) du "ciel".

Ce "quotient", résultat d'un calcul servant à éliminer tout ce qui se répète (par une fonction d'équivalence), devenant la preuve visuelle que le "temps linéaire" (celui de l'apprentissage lent, impliquant l'étude et donc la répétition), désormais caricaturé, doit amener à un changement de "perception", pour rentrer dans le temps des "ensembles", qui lui permet de "voir" tout de suite, qui est bien placé, et qui ne l'est pas".

Le "joker de Dieu", que représentent ces "contorsions", devenant le symbole du jeu incontrôlé, permettant de dire n'importe quoi, alors que le calcul, lui, est clair, précis, mathématique, comme une date : le "16 décembre".

 

Cette caricature sert à détruire la raison d'être de l'homme, qui était d'évoluer dans la continuité de ses principes. 

La raison d'être, le sens de l'homme, c'est tout ce qui suit un chemin indirect pour créer une qualité en l'homme, comme l'erreur, l'attente ou , le travail, et donc c'est de l'inattendu, de l'irrationnel, mais : au mérite. A condition de ne pas compter, vouloir "sauver son âme", car alors on la perdra.

 

Alors ce "16 décembre" sera la date clé de la naissance ("point" de départ de l'auto-engendrement de l'homme, illusoire) de la "Jérusalem" concrète, terrestre, celle d'un "nouveau monde", "contrôlé" et géré par le maitre de ce contrôle continu, "revenant" du "non temps" pour nous en donner le signe mythologique évidemment incontrôlable, mais suffisament terrorisant pour lui en laisser le "savoir", alors qu'on n'y comprend rien, et le laisser gouverner l'espace concret de nos existencee.

De l'homme individu au couple (comme dans le "Meilleur des mondes", où la mort et le couple sont contrôlés par le pouvoir et ses chiffres, classant les hommes comme des numéros selon leurs aptitudes génétiques), qui sera plus bas imagé dans cette condamnation issue de l'enfermement dans la matière, le tout étant représenté par le Tombeau de François II (mort, couple et matière), remplaçant l'ancien couple, éliminé du "futur" pour faute de répétition stérile

 

La formule d'introduction est parfaite pour donner l'idée qu'un phénomène de groupe, maitrisé par Arnaud Mussy, est la clé du "levain de l'avenir". Cette "décision" étant conditionnée par une "possession" dans un ensemble ("en Elle"), de ses "premiers" (les plus rapides) enfants (par une pédagogie), mais qui relève d'une promesse passée. Et tout le problème est là. Elle ne vise pas un progrès, que le "scoop" : Aujourd'hui... André est accompli", permettra de faire lever dans les têtes, au présent.

Sous condition de "participer" et de se classer, parmi les "premiers" (un chiffre) dans le groupe de ceux qui "comprennent" tout de suite, et en tirent une place selon cette "aptitude" à "déchirer sa perception du temps linéaire", le temps des répétitions.

Tout de suite, puisque cette "intelligence" (il s'agit en effet d'une "lumière"), cette "compréhension", doit, comme celle d'André Bouguénec, arriver à date établie. 

 

Date qui en une seconde, à minuit, permettra de réduire totalement ("l'accomplir" : le rendre complet) André Bouguénec. C'est-à-dire de le simplifier à mort, n'en faire qu'un signe, pour la seule raison que dans un ensemble, tous les signes similaires deviennent inutiles et peuvent être supprimés. 

Un ensemble nouveau peut alors naitre, et être comparé à celui de ceux qui "participent" à la "Jérusalem Céleste", de ceux qui comprennent que les répétitions ne servent à rien pour qui veut "aller vite".

Or la pression réelle vient plus bas : "Alors basculez vite, avant que la Mère ne mettre l'homme et l'ophnar à Terre", c'est-à-dire n'abatte totalement l'infini qui était en vous, pour vous prouvez que vous n'êtes que matière, ne prouvent votre problème à ne pas vouloir "basculer" justement.

 

Que comprendre ? il suffit d'énumérer les freins de notre évolution : "combien de fois André évoqua les ruses, facéties et tricheries du ciel"... consistant à parler le langage de l'ennemi même qu'on veut, justement : abattre, mettre à terre.

L'aspect médical des "contorsions" évoque la douleur... provoquée par la nécessité ("naturelle") d'un changement, provoquant cette pathétique crise des : "contorsions du temps" !!!"

Cette souffrance évoquée par une image géométique, sera alors traitée par celui qui va se poser en "arbitre" qui "comprend" les retardataires, et "comprend" parce qu'il est dans notre camp, tout autant que dans l'autre. Ne parlons-nous pas un même langage ?

Mais un arbitre, c'est aussi un juge. Qui statuera bientôt sur le "couple" (se rappeler qu'en Néo-phare, les couples furent détruits et recomposés. Sur quels principes ? Celui d'un changement de "forme", nommé "transformation", donc d'une décision issue d'un calcule sur des "tailles" et des "contorsions").


Alors, qui pourrait s'opposer à celui qui est en mesure de gérer tout cela, qui les comprend mieux que quiconque ? : "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA". 

Alors laissons gérer celui qui "sait" ("à la tête"), et contentons-nous ("apôtres" comme répéteurs de message) de répéter ses axiomes, dits ("ora"), si nous voulons nous aussi "participer" du "groupe" (mort des individus, isolés comme le "joker de Dieu" pour faute d'égo), même si nous ne "comprenons pas", nous, cette nécessité. Lui "sait", puisqu'il "revient du non temps". Il a toutes les aptitudes pour assurer notre contrôle continu. Il est l'oeil. "M" n'est-il pas situé au centre du cube, lui permettant de contrôler toutes les positions. Il est pour cela appelé "point de singularité", ayant atteint la "huitième gradation du cube", quand ses "atomes", au nombre de 125 (1/125 = 0.08), sont au centième de sa position.

Il voit les choses du haut de son cerveau  ("TETE").

Ce faisant, nous acceptons la "logique du ciel", qui nous empêchera de nous dédire, une fois le temps des applications concrètes (sa "Jérusalem"), venu. 

Or ce nouveau temps sera le fruit d'un "rêve". Tout un (nouveau) programme, que Néo-Phare aura cherché à appliquer.

"M" nous dit alors : pour "comprendre" (= participer de cette élection : devenir un numéro définitif dans la nouvelle société) : il faut rentrer dans la logique ensembliste ("déchirer sa perception du temps linéaire") et ainsi cesser de se former personnellement pour "participer" à la logique du "groupe", qui elle-même implique de devoir éliminer les "répétitions" devenues inutiles.

Or après la dynamique de groupe, où le leader s'est tout "naturellement" imposé, viendra la "thérapie de groupe" pour ceux qui auront basculé dans la seule et unique "compréhension" à avoir de cette introduction : la nécessité mathématique, de rejeter le propos d'André Bouguénec.

Celui qui "teste" en fin de parcours, alors que le contrôle continu implique de tester en début de parcours, pour statuer tout de suite. Dès lors, la connaissance elle-même ne sert à rien, et donc les livres.

Et si le "test" d'André vient en fin de parcours, c'est qu'il n'était pas, lui, "à jour" : "C'est pourquoi, en partant, [André] voulut tester le fond de votre âme pour SAVOIR qui aurait suffisamment de Foi parmi vous pour le suivre dans son Accomplissement final ?"

Le contraire d'un test des "répétitions", arrivant en fin de parcours, c'est un "TEST" pemanent, effectué par la TETE de "M" (test et tête ayant même étymologie).

 

Qu'est-ce que cet "accomplissement" ? On l'a dit (nous aussi nous nous répétons), c'est le concret. Etre concret, c'est être parfaitement visible. Si cet accomplissement arrive à date T, c'est qu'il ne bougera pas dans les temps à suivre (temps et espace sont fixés). Et même, il se répétera maintenant à l'infini. D'où sa valeur réduite, relativement au "non temps" d'Arnaud Mussy, qui par lui, "revient" en permanence pour se régénérer.

Par ce tour de passe-passe mythologique, cette pure narration, cette fiction, le plein (le concret), perd en valeur, quand le vide (le "non temps") augmente en valeur, de sorte qu'en fin de ce parcours imaginaire, la comparaison de leurs "tailles" respectives, inverse la réalité des rapports... de force réels. C'est le vide qui a la victoire sur le plein, sur le réel. Et ce vide, c'est Arnaud Mussy lui-même, nous hypnotisant sur la probabilité d'une disparition mathématiquement démontrée, d'André Bouguénec, condamné par la parole d'Arnaud Mussy, à ne plus évoluer, mais à seulement se répéter.

 

Note :

Comment le NON temps pourrait il exister ?

Entendu qu il a des limites, il est fini. Arrêté et donc n'a plus de temps, ne se développe pas.

C'est que ce cadre-vide n'est qu'un mythe, une impossibilité, offrant la possibilité de créer de nouveaux boucs émissaires.
 
Le non temps est le temps de la régénération originelle, de la sauvagerie permettant de sauver le groupe, de donner bonne conscience à son "amour".
 
Ce courrier ne mentionne-t-il pas les traitres comme "retenant" le "personnage" (dans une mise en scène de procès) de "Moïse" ? Bien entendu il ne s'agit pas du "Moïse" historique, mais dans cette analogie historique clairement annoncée ("Les juifs étaient déjà..."), du véritable témoin d'André Bouguénec. 
 

Pour le moment, Arnaud Mussy en "revient" tous les 16 décembre (jour des Saturnales, équivalent de notre "14 juillet" comme fête populaire marquant la terreur, mais il est aussi le "point de singularité" revenant "systématiquement" de ce même "non temps" en réduisant les étapes, puisqu'il est aussi le "tackyon" qui "remonte le temps", donc en resserrant la pression (mot signifiant "urgence"), à l'infini.

 

 

Comment faire tenir le groupe ?

Or il ne dit pas plus où nous mènera ce "changement" de programme, appelé "Jérusalem", mot signifiant "ville de la paix"... elle-même impossible dans le cadre d'une logique de groupe (nous verrons quelle sera la solution)

D'où "Rire plus tard" = Plus de douleur (encore le "Meilleur des mondes") quand on aura forcément compris qu'une seule logique existe : celle du retrait "une fois pour toutes", du passé.

Changement rendu nécessaire au nom d'une prétendue évolution naturelle : André est accompli, amenant l'usage possible du "bras de la Mère", c'est-à-dire la peur.

Les "enthousiastes" sont ceux qui ont passé ce changement, ont "basculé" (rire plus tard).

Ce sont donc ceux qui "savent", répètent les slogans de celui qui gère la "douleur" parce qu'il proposera bientôt : une certaine "thérapie"... de groupe, où l'on apprendra l'oubli du passé charnel à "dé-chirer" (supprimer de la chair) pour "comprendre".

Les véritables "contorsions du temps" sont devenues un "point" de départ ("à commencer par"), donc un chiffre et un lieu géométrique réduit au possible, avant la mise en place d'une nouvelle majorité, représentée par le "cube" et la "paix".

Et pour qu'il y ait "paix" = cessation des contorsions, alors nous sommes encore dans l'ancien monde, il faut opérer un tri ("urgentissime", puisqu'André "est accompli", etc.), puis un filtrage, pour cette régénération salutaire, pour le plus grand nombre. 

Ce procès purement utilitariste, pour le "salut du groupe", imposera la création du mal, et donc d'un Bouc émissaire pour le porter, à travers une ou des parodies de procès, se répétant indéfiniment. L'homme (en groupe), étant fatalement un loup pour l'homme, Arnaud Mussy devra reprendre ce procès en permanence pour renforcer toujours plus cette régénération et la place de "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA". Le mot "juge" a exactement cette définition : Etre plus élevé que les autres, être au "ciel", ce qui désigne sa position très matérielle, au tribunal durant tout procès, siginifiant tout "contrôle" mené en permanence.

Ce procès continu et réitéré, c'est son "retour du non temps", pour toujours faire table rase du passé, revenir à , et toujours plus "épurer" son groupe.

Tel le sens de sa "présence" : une constante, une fois que les "contorsions" ont été (soi-disant) éliminées.

Comme le groupe est fondé sur le gout du pouvoir (se prendre pour des élites se surveillant maintenant elles-mêmes, puisque le "contrôle" est opéré par une notion partagée, commune, même si elle n'est qu'imaginaire : le non temps), il est en danger permanent de dislocation interne, de conflit. Son salut étant dans la création de Boucs émissaires.

D'où : "André" "vient" du non temps, le jour commémoratif des Saturnales (une date qui revient "systématiquement" nous dit Arnaud Mussy, et encore aujourd'hui), où, comme l'avait montré Frazer en son temps, le Roi bouc émissaire des défaites guerrières de la nation, devait être sacrifié afin de permettre au groupe de reprendre son temps "normal", pacifié.

Ils sont donc bien, au départ du procès, "2" dans le non temps, puis "1" à la fin du procès.

Les réfractaires seront donc jugés comme "égoïstes", freinant les autres.

La fin de ce regroupement par traits communs : le gout de la force, du "progrès" par élimination de l'ancien et des anciens, est la finalité de ce "regroupement" : un tri de classe, permettant d'éliminer les faibles, les "lents". Le "non temps" est en cela le temps de la "pureté finale", toujours appélée, mais jamais obtenue, et pour cause...

 

Le mot "amour" par exemple, oblige chacun à s'auto-surveiller et à surveiller son voisin (le cube est aussi un "coeur", fabriqué par ses 125 micro-cubes). La formule-slogan "il faudrait être fou pour ne pas suivre l'amour" est la loi d'une auto-régulation permanente (donc de harcèlement du groupe, qui fait payer le réfractaire par son isolement social, sa mise en quarantaine).

 

Recoupement :

"D'ailleurs, ne sommes-nous pas, tous, à chaque seconde, "COMPTABLES" de nos pensées, de nos paroles, de nos actes, de la société dans laquelle nous évoluons et... de notre supposée envie d'évoluer dans le Bien, le Beau et le Bon ?" Arnaud Mussy, Satornet

"Supposée"... Terme disant tout de la position d'Arnaud Mussy, quant à nos valeurs métaphysiques.

La "société dans laquelle nous évoluons", c'est l'ensemble qui permettra de réduire nos valeurs à un point, avant comparaison avec ce "groupe".


 

Le procès cybernétique de l'infini, réduit vers le fini

Le chef sait, puisqu'il parle notre langage, tout en comprenant la nécessité d'un changement. On peut lui faire confiance, se disent les naïfs, ne se sentant plus à l'idée de passer le "test" des aptitudes à la vitesse de "compréhension", ne consistant qu'à répéter les ordres du maitre, à répondre à ses questions (incessantes), permettant de distiller les signes d'une nécessité de changement POUR... du vide, des slogans. 

Il n' y pas besoin de "penser" s'il suffit de bien "parler" pour avoir un "futur". Parler des slogans accessibles à la logique d'un enfant ("suit moi !"), et même d'un animal bien dressé au mot-signe, créant des réflexes pavloviens d'obéissance, permettant de recevoir pitance offerte par la protection du "groupe".

D'où Arnaud Mussy "revient" du "non temps" pour effectuer ce "TEST", quand André Bouguénec ne fait qu'en "venir", comme nom utile en son temps (on conserve les mots du passé, pour permettre une transition en douceur), mais dépassé (source de "contorsions"). "Venir" du non temps c'est être une autorité au Phare-ouest. En "revenir", c'est être une nouvelle autorité permanente en Néo-Phare.

La première jugeait et suscitait sur le critère du "temps" réel de l'évolution des individus, la seconde jugera et commandera (au futur, une fois l'engagement pris) sur le critère du temps des machines, via les mots porteurs d'infini, mais sur le fondement de principes nihilistes, matérialistes et mécanistes, détruisant toute utilité d'évolution propre, et instituant alors, forcément, la loi du plus fort.

 

Dans un monde fini, les "contorsions", image de la crise médicale, amèneront le recours au "soin", donc au "traitement" (des objets de l'ensemble) pour le salut des âmes malades de leur "passé", (on le verra au travers de toutes les questions posées en ce Courrier).

D'où bientôt, la "gestion de groupe", amènera la "thérapie de groupe" - également pratiquée en Néo-Phare - et là la "force" prendra toute sa dimension de charcutage de l'âme, "mettra l'homme et l'ophnar à terre" pour de bon, potentiellement "à chaque seconde".

Alors "M" distribue les places selon la seule capacité à comprendre... qu'il faut répéter ses slogans pour être sauvé, et ce sur-le-champ, et pour les réfractaires, il sera dit : "il faudrait être fou pour ne pas suivre l'amour". Ce slogan digne d'une publicité pour chaussures bon marché, reprenant le critère de la vitesse ("suivre"). 

Le "fou" c'est l'éjecté. Le joker et d'ailleurs une carte test, révélant la personnalité du joueur : et révélera un rapport à l'incertitude, ce que le parfait rationaliste, voulant tout contrôler, refusera. Etant "de Dieu", il devient l'image de l'inctrontrôlé. 

Ce "Joker" n'est que la figure du mauvais démon décrit par Wiener (démon des religions, du spiritualisme), qui est le démon qui change de visage même quand on croit l'avoir maitrisé. Contrairement au démon de la science, représentant le verrouillage de l'entropie, par le rationnel. 

Ce qui explique pourquoi Arnaud Mussy demandait à ses fidèles de "tous être des joker", comme démons maitrisables, pouvant effectuer la transition vers la science du calcul, le "contrôle du groupe", issu de ses "rétroactions" ("tous des" "joker", donc répondant aux lois du groupe).

Et comme le monde est fini, avec la mort au bout, les répétitions amèneront des oscillations-contorsions (un problème en cybernétique, car provoquant l'effondrement du système, sa mort : l'entropie). Oscillations-répétitions, perpétrées par celui qui se croit au dessus des autres en développant sa personnalité, en dehors du groupe.

"L'auto accomplissement d'André", est alors sa résistance ultime et honteuse (cherchant des défausses comme "joker" de Dieu) devant le succès d'Arnaud Mussy. Aussi André Bouguénec "testa" le Phare-ouest pour se chercher des complices le "suivant" dans sa honte. 

 

Recoupement

"L'apocalypse "Révèle" bien la Maladie et son Remède à la fois. C'est le moment où "GANY-MEDE" déverse ses Eaux d'épuration et ses Ondes d'inspiration saine. Ganymède, ou GYN-AMEDE : qui engendre des mesures, soins et ordres, pour remédier au mal et retrouver la Lumière et l'origine adamique." Arnaud Mussy, Satornet

Ces "Ondes" (les sons au lieu de la vue du réel) d'inspiration (immédiate) : "saine", par un "remède" fait de mesures et d'ordres, amenant "L'origine adamique" étant la régénération du "nouvel homme", engendré par ses aptitudes immédiates (ondes - cérébrales - ne provoquant pas de contorsions, appelées "inspirations").

 

Si le monde est fini, que Dieu n'existe pas, il est normal que tout discours sur le divin, se répète, montrant ainsi le signe de sa faiblesse, quand "M" invente un "futur", mais ne se répète pas, puisque pouvant toujours être "renouvelés".

En cybernétique, la vitesse est capitale, pour ne pas se faire doubler par l'arme de l'ennemi en anticipant ses mouvements.

Donc le progrès implique de dépasser les faibles.

Parce que derrière la façade humaniste, l'homme (en groupe) est un loup pour l'homme. L'argument du groupe cache en fait une profonde ambition personnelle, cachée sous les mots de la bienpensance. L'effet de meute amènera des ambitions, des clans, que la peur permanente doit juguler (peur des "contorsions, effondrement = entropie, mort, le "16 décembre", jour des Saturnales).

Comme en Néo-phare. Sauf à se trouver des boucs-émissaires, permettant de protéger la "nouvelle" "Jérusalem" (ville de la paix), et "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA", revenant "systématiquement tous les 16 décembre". 

Le lent devient alors le bouc émissaire de ce système d'auto-régulation.

Frazer a écrit un ouvrage titré Le bouc émissaire, décrivant l'histoire du Roi sacrifié, brûlé en place publique, par la lie de la société, un 16 décembre.

Evénement modèle de la Révolution française, dont la date clé est, chez nous, le 14 juillet, jour de "fête", ou "l'homme" fut "régénéré", pour la terreur à venir.

 

 

Recoupement

Les effets de tremblements, sont également présents ailleurs dans ses écrits, attribués au théologien Arnaud Dumouch. En cybernétique, ils précèdent les effondrements, sauf si on inverse le sens des réponses. Par des moteurs.

 

 

Jérémy Trossais

Jérémy Trossais, appelé "bouffon de l'univers" (un "joker") en Néo-Phare, s'est suicidé pour "ouvrir les portes du Ciel", un 14 juillet. Or pour Arnaud Mussy, au ciel, "il n'y a pas de temps", c'est donc le lieu du "contrôle continu". 

"C'est seulement un drame", avait dit ce dernier, lors de son propre procès, pour définir ("seulement") cette situation. Parce que le Bouc émissaire, comme lors des procès staliniens, doit être ridiculisé, discrédité devant la foule, à travers des procès de théâtre.

De même que l'égo est en procès théâtralisé en conclusion de Satornet.

Notons que dans ce genre de procès-purge, l'accusé lui-même ne peut savoir de quoi on l'accuse, puisque tout est décidé au nom de la "participation", de l'amour. Pas étonnant que les "sujets" de ces procès finissent donc par s'accuser eux-mêmes. Tout le monde ayant évidemment une "idée" de l'amour, c'est-à-dire une image. 

 

André Bouguénec ayant décidé de "'s'auto-accomplir"... Un 16 décembre, date du procès du Roi périmé, des Saturnales romaines, modèle de révolution.

D'où le problème, quand un "joker de Dieu" (égoïste) se répète via ses héritiers spirituels, devenant des empêcheurs de tourner en rond, car osant parler après la conclusion de "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA". Tel ce "Moïse", influençant les autres...

La horde doit alors s'abattre sur lui, pour que chacun de ses membres se protège lui-même, au nom des meilleures intentions : la "participation", l'amour.

C'est le sens de ce "TNT" inscrit au coeur du "cube" : la surprise (la terreur quand on a cru aux paroles de "l'amour") qui tue.

La "sincérité" d'Arnaud Mussy, étant celle de celui qui prend la main des "victimes" du méchant maitre passé, en fait le procès. La "sincérité" n'est-elle pas la première des qualités de l'acteur et de l'avocat, qui pourra ensuite prendre le rôle de juge, mettant "l'homme et l'ophnar à Terre", depuis le "ciel" ? 

A la suite de quoi vient la terreur : "à partir de maintenant..." "le bras de Anna"... Permettant d'évincer les récalcitrants à l'ordre du "groupe", de ceux qui "participent".

Qui ne rentrera pas dans la classe validée par ce chiffre, sera... jugé en trahison.

 

Caricaturer signifie : charger (comme l'est le "bouc émissaire" par les "péchés" des autres, afin de sauver le groupe de sa propre mauvaise conscience méchante.

Le "16 décembre" désignant la fête des caricatures du pouvoir légitime et héréditaire, brûlé sur la place publique : les Saturnales, qui évolueront dans l'histoire européenne en Carnaval, Fête des fous, jusqu'à devenir un véritable modèle pour les fondateurs et acteurs de la Révolution française.

Ces "points" revenant régulièrement ("systématiquement"), tous les 10 ans. 

Le rire (qu'on retrouve dans l'imagerie de la "fête") est le fruit de la "charge", de la caricature, de ceux qui ne participent pas. "Rire" c'est donc appartenir au groupe, ridiculisant les "bouffons", ceux qui doivent connaitre la honte.

Le "joker de Dieu" est une caricature déguisée, tirée des "contorsions" du temps : une charge "prouvant" le "vice de forme" du mauvais juge, "tricheur", se trouvant des "excuses", se défaussant en se servant de la carte de Dieu. 

Un contorsionniste est aussi une figure de spectacle, amusante.

Un "bouffon de l'univers", comme on l'avait appelé en Néo-phare, c'est aussi quelqu'un qui fait rire. Le bouffon est historiquement une figure de Carnaval.

 

Bouffon de l'univers : qui va à l'extérieur, vers l'infini, l'universel illusoire (les "portes du ciel" n'ouvrant sur rien) isolement et solitude, mis en quarantaine. Un "14 juillet".
 

 

C'est pourquoi en ce qui concerne André Bouguénec et "le sens caché de l'Ultime Grand secret", tout est ramené au texte, lui-même réduit à une citation, amenant alors le lancement d'un nouveau temps, d'un nouveau cycle (16 décembre), qui séduira les adeptes d'un progrès facile, acceptant le changement sans plus réfléchir, à condition de détruire tout le passé... et toute prudence - argument de l'urgence, pour lui faire un procès.

Chacun de ces nouveaux "progressistes", reprendra les éléments de langage du plus fort de tous, pour parler une même langue incompréhensible, mais portant toujours sa force par les signes qu'elle fait "entendre", de sorte à faire passer les RE-"dressés" (sortis des "contorsions") pour des "savants", qui répéteront les slogans du RE-dresseur de... TORTS ! Afin de conserver leur place dans le groupe, le salut de leur "âme".

Sans même les comprendre, en jouant les entendus, les initiés (qui auront seulement la "foi"), débiteront des slogans écrasants, abstraits, imposant le silence aux impressionnés et apeurés de contredire de tels singes savants.

Si on en veut des exemples, on peut se reporter aux 11 questions listées plus bas, tirées de ce Courrier, et qui toutes proposent de tels slogans... régulateurs.

 

Par ailleurs quand un "juge" tarde alors qu'il y a urgence, il y a lieu de s'interroger sur ses motivations. Ce sera alors le procès inéluctable contre André Bouguénec, dont nous reparlerons vite.

Il faut un changement efficace, sera en effet confirmé par Arnaud Mussy (lanceur du slogan), et le mouvement sera lancé : la concrétisation du rêve (d'un délire appelé Néo-Phare) du Père-Mère : la "Jérusalem Céleste", c'est-à-dire le point final, le seul point concret : du "TNT".

Cette puissance permettant de dominer l'opinion, de faire taire tous ses opposants, suscitera alors de plus en plus de... vocations et finira par produire une véritable petite armée terrorisant les intellectuels, les poètes, les fidèles au programme ancien.

 

"Alors basculez vite" sous les ordres du pouvoir restant, prouvé par une "vérité" vue en extension et non en compréhension, pour que les plus bêtes puissent la "comprendre" (2 - 1 = 1).

 

 

Car si tout est fait pour que nos yeux ne voient rien de ce qui est réellement dit entre les lignes, notre cerveau va lui, entendre ceci :

Les "ruses, facéties et tricheries du ciel", ce sont les ruses du "ciel" métaphysique, manipulateur, de celui qui nous dresse à "imiter Dieu", comme des marionnettes esclaves de l'ancien programme, alors même qu'il ne faisant que se répéter par intérêt, et que le "progrès", en toute conséquence, ne "venait pas".

C'est donc toute l'autorité ancienne qui est ainsi ridiculisée, par ses "contorsions".

Ce groupe aura pour finalité d'accepter la loi du "non temps" qui détermine les places de chacun sur-le-champ, selon ses propres chances ou facultés, prouvées par leur "compréhension" du système. 

Il ne suffit donc pas de vouloir un progrès, il faut aussi en comprendre les clés pour avoir une place auprès de ce nouveau pouvoir. 

Et qui est au centre du groupe ? "M".

Alors que le langage d'Arnaud Mussy, de "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA", "sincère", tranchera sur les "évocations" d'André : sa parole faible.

Imiter Dieu (être le "joker de Dieu") est ainsi présenté comme une manipulation faisant perdre du temps, une "répétition" stérile de mots ne servant qu'à nous induire en erreur, et amenant l'ennui (contre le plaisir et la passion du progrès !), prouvé par un calcul : "combien de fois André évoqua...". 

La solution ? Comprendre que nous vivons dans un monde fini, et s'y con-former.

 

Heureusement, notre "tackyon" va nous proposer un "progrès" : pour cela il "revient du non temps". Qu'est-ce à dire ? D'abord une impossibilité rationnelle. En effet le "non temps" est pour nous, "tous les temps". En "revenir" serait donc en sortir pour rentrer dans un autre temps... Ce qui serait absurde. Pourtant cette absurdité n'est pas une erreur de sa part. Elle permet de faire exploser le cerveau des esprits réalistes, ayant du bon sens, pour les empêcher de lui répondre. Trop complexe. Mais en "revenir" c'est justement en être informé, en connaitre les limites.

D'où cette absurdité va devenir censée, pour le premier petit malin qui comprendra que ce "non temps" est le temps immédiat, classant chacun en dépit de ses potentiels, et répondant ainsi aux besoins de "l'urgence".

Et si "André Bouguénec" en "vient" seulement, c'est qu'il en est issu comme point unique (le point de son "accomplissement", voulu et décidé par... Arnaud Mussy, mêlé dans ses "retours" systématiques tous les 16 décembre), comme origine textuelle, utile pour trouver prétexte à exercer un pouvoir en son nom.

Ceci pour peu à peu en faire glisser le sens vers la seule présence d'Arnaud Mussy sans André Bouguénec, entériné par l'opération logique et le tour de magie final : "nous sommes 2 dans le non temps", puis "1".

 

C'est ainsi que par le moteur de nos mots, un frein est également posé dans le propos, pour le soumettre et donner un autre sens à ces mêmes mots, les tordre peu à peu jusqu'à amener le "point" final, qui était présent partout sans qu'on ne le voit.

Et tout ce courrier et tous les discours d'Arnaud Mussy reposent sur ce concept horizontal (qui d'ailleurs, comme concept, pourra être reproduit dans n'importe quelle situation de pouvoir. Ce concept, c'est la révolution).

 

Recoupement 

"Non seulement les MOTS que nous utilisons quotidiennement sont le miroir de notre âme, mais ils sont également le MOTeur de nos agissements."

...

"Puisqu' « on ne voit bien qu'avec le coeur... », suivons cette voie recommandée par Saint-Exupéry. La véritable question est de savoir si les MOTS ont été MOTEURS pour toi ; est-ce que ce Verbe Nouveau a pu toucher véritablement ton Ame et ton cœur ?"

Arnaud Mussy, Satornet

 

 

Le modèle du système planétaire comme modèle de pouvoir

Son modèle est le système solaire. Tout moteur est créé à partir de ses lois, et le moteur magique des idées, l'est aussi : les mots sont moteurs pour permettre de créer autre chose, une "révolution" complète à la fin du cycle... d'accomplissement (16 décembre... 14 juillet...).

Totu "atome" qui se rapprochera de son centre et de cet "oeil" omniprésent sera sauvé, qui s'en écartera, perdant vitesse et visibilité sera exclu, réputé "fou", ne comprenant pas l'enjeu du procès : Changer de conception pour pouvoir parler, se comprendre = "participer".

Et tirer de cette pure théorie de dressage mental et politico-social : "le rêve du Père-Mère", dans une cité dite "céleste" : contrôlant ses "participants" depuis ce centre (le "bourg" où se tiennent les "notables" - ceux qui comptent et décident, le pouvoir) comme le ferait le centre d'attraction d'un système solaire, une mécanique.

Ce modèle lui-même fut repris par les révolutionnaires français (les représentants du monde bourgeois ! : hommes de lois et de chiffres, de contrats), comme image d'une société "idéale".

A propos de contrat, ne faut-il pas se "greffer" sur le cube ? Ce mot signifiant aussi : signer (griffe), à côté de "M" paraphe de celui qui va "tourner la page" révolutionnaire, du progrès (un 16 décembre).

Car nous entrons bien dans un nouveau "moment" tiré de la lassitude des "contorsions" du temps (répétitions, chiffrées - "combien de fois"... d'André) (contorsions comme produit d'un couple de forces en oppositions : fini contre infini, quand l'infini a encore de la vie et la manifeste... à tort puisqu'il n'y a plus besoin de temps), qui se résoudront sur la belle forme, bien "dressée" (comme ses acteurs "mis en scène") entièrement modelée sur la mécanique des forces célestes, dont l'action tire une force magique en termes d'image : "Si l’on ouvre le Cube, ou plutôt ces 2 COEURS, on aperçoit le 125ème Dé. Il Est le Point de Singularité, l’Œuf du Monde, la QuintEssence insécable de cet Amour Éternel qui ‘‘Aimante’’ Tout l’Univers." C'est tout simplement la description d'un moteur, dont le centre omniprésent dirige les "125 dés" qui sont sa reproduction sociale, tournant autour du centre du calcul (tenu par les "élites" calculantes). Plus bas, Arnaud Mussy nous dit qu'il a atteint la "8ème gradation du cube". 1/125 = 0.08. Toutes ces "portions" ("participantes") sont donc bien des copies fractionnées, et parfaitement définies maintenant, relativement à sa propre OMNI - "présence" à tous les temps de ce système.

Il en parle les deux langages : celui du monde fini et celui de la spiritualité infinie, de sorte à pouvoir nous terroriser avec nos propres valeurs. SI nous le rejetons lui, ce sera comme "rejeter André Bouguénec", aux yeux des "participants" qui en tireront prétexte pour se jeter sur les isolés, les "fous" minoritaires, les "lents", éloignés du centre et donc du "groupe", de "l'amour". 

Ce faisant, "La Mère" (qui n'est pas "Anna"), se situe dans le camp des inefficaces, de ceux qui éloignés de centre solaire, tourneront plus... lentement, pour se détacher

Leur détachement total les renverra dans les limbes du cosmos vide, l'inertie complète, c'est-à-dire la mort, sans mouvement (comme le "bouffon" "de l'univers" : en mouvement inerte, détaché de son orbite).

Arnaud Mussy remonte le temps, forcément : il est le "tackyon", etc. Il en est donc l'image inverse.

 

Quand tous les mots de notre vocabulaire auront été traités ainsi, un nouveau programme sera lancé, mais celui-là, ne portant pas de nom, ou plutôt tirant parti des mots les plus purs, permettra tout. Il sera aussi infini que le mot creux "amour", définissant un phénomène matériel, aussi vide que ce "groupe" de "participants". 

 

 

Le tribunal

Ce "parcours de résurrection", étant "ponctué" des phases du procès, "tous les 16 décembre", commençant par la découverte de signes, d'indices, suite forcément à une en-quête : 

André est d'abord attaqué, par l'ironique annonce de la découverte d'une tromperie :"le soir même je découvre chez Élodie et Olivier qu’André est Jésus".

Ceci montrant la rapidité d'Arnaud Mussy à... comprendre.

Pour terminer par le jugement...

Et encercler c'est cerner, définir la vie, par ce pouvoir obtenu par les mots : Dans cette "OMNI (cf. : tout) po-TEMPS-ce" il faut deviner, par simple dé "FINITION" (cf. : qui vient du FINI), la puissance de Celui qui "MAÎTRise" tous les Temps (cf. : « Je Suis Celui qui Suis »).

"Deviner"... une autre aptitude propre à se placer premier lors du contrôle permanent.

 

 

 

La porte de la Basilique de Vézelay : un sas

Le procès faussement religieux sera imagé plus bas par le sas représenté par la porte, ou le Narthex (jugement et porte permettant le passage du profane au sacré (monde du "non temps"), de l'abbaye de Vézelay, montrant les "apôtres" en jugement, à la TETE de qui, "M" se trouve, rappelons-le. 

Le mot Narthex signifie "férule" : Direction rigoureuse, autorité sévère, domination, despotisme de quelqu'un ou de quelque chose.

Ce jugement les sauvera ou leur fera "perdre la tête", nous dit l'adepte des couperets révolutionnaires, datés comme tels.

Dès lors, il faut choisir : trancher, pour passer la "porte". Et quand on ne comprend rien, on fait appel aux plus in-formés.

D'où : le Phare-ouest, mis sur la sellette, ici, du tri, qui "tranche" la tête des faux apôtres, après passage par l'abstraction :

1 - Famille naturelle
2 - Famille dégradée, ternie (comme Couple et alchimie, lointain, trouvé par le "bras" d'Arnaud Mussy à... "Ternes") et mise en croix, pour effectuer un tri, une s'élection, la couper, en lui faisant perdre la couleur de la chair, ternie car mise en perspective, évoquant à un mouvement de disparition, dans le lointain, vers la petitesse, l'entropie.
3 - "Apôtres ayant perdus la tête", accusés par la matière, le chiffre qui conclue, et juge ceux qui ne voulaient pas disparaitre.

Le tout présenté sous la forme schématique d'une pâle de moteur, dont le mouvement... incitatif, est figuré par les flèches.

 

Note : Le travail étant destiné entre autre à la subsistance de la famille, les raisons du manque d'intérêt des membres de Néo-Phare, pour le travail, s'expliquent peut-être pour cela.

 

 

L'accusation du parti caricaturé du "passé", lourd et dégoutant

La prudence, c'est de "voir". Ne plus voir, c'est ne plus regarder en arrière, aduler le "progrès".

L'idée à rejeter recevra des termes impliquant le dégout, le rejet, la faiblesse et la mort, etc. et l'autre amènera l'assurance, la force, la survie, la "présence".

Qui est accompli à date T, s'éloignera. Qui est accompli sur la "huitième gradation du cube", grossira "systématiquement" "tous les 16 décembre".

Comment amener à décrire le passé comme "minoritaire" ?  

Le contraire du mot "avenir", n'est pas "passé", mais : aller, disparaitre, envoyer, quitter, s'en aller, s'enfoncer, autrement dit aussi, pour faire allusion aux prévisions de René Guénon, se dissoudre.

D'où, qui va vers le passé, est affublé de la lourdeur, il prend du poids, s'écrase et rapetisse, perd en vitesse, pour disparaitre, comme le bouc émissaire dans le désert, éloigné du "centre d'attraction".

Cette "lourdeur" suggérée, ayant pour conséquence notre rapetissement, et notre rejet consécutif du "futur". Ce rejet (dans le désert) représente l'angoisse primitive de l'homme, sa plus grande peur : la mort.

Rejet dans la "fête", la liesse et le "plaisir" ("rire plus tard"), après le procès. La société du plaisir étant un des aspects du Meilleur des mondes, cette dictature softe, où le plaisir est réservé aux membres du pouvoir, apèrs épuration, forcément.

 

 

Recoupements

Voilà aussi pourquoi sa "Mère Suprême" est décrite ici comme "lourde", là comme "indigeste".

Passage tiré de Satornet, traitant de l'Apocalypse (un "jugement") après évocation des "fondamentaux" (ce qui s'efFONDre) d'André.

"Les hommes qui détenaient tout en "poten-CIEL" pour faire de cette Terre un paradis, par l'Amour, par la connaissance de leur Créateur et de leurs frères, refusèrent les prophètes venus les aider dans cette lourde tâche. l'un des derniers en date fut Jésus. Lassé des errements humains, le Ciel prévoit donc un grand "BOULEVERSEMENT" pour cette fin de siècle."

"Lourde tâche"... Pour le "dernier en date", "Jésus"... mais il n'est pas seul, car seulement "un des derniers", "en date" (= calendrier terrestre), pour le ciel, maintenant défini comme cicularité (boule-versement) révolutionnaire.

Le ciel prend alors le sens de nouveau juge, temporairement présent au "ciel", lassé... des répétitions, forcément, amenant "errements" (dans l'espace des inertes, des rejetés).

 

 

Un autre recoupement

Sur la cassette G41 face A, André Bouguénec parle de ce levain de l'avenir, que sont les phare-ouestiens. A ce moment, Arnaud Mussy rentre dans la conversation en présentant ce passage présent en tête de son courrier, tiré de L'Ultime Grand Secret portant sur "l'heure de la Mère", afin d'en tirer l'argument de notre "double responsabilité" au regard de l'avenir.

Etre doublement responsable, c'est porter une double charge, terme judiciaire pour désigner ce qui "pèse" sur l'accusé, sa "corvée". 

Ce qui permet de comprendre le sens réel de la citation placée en exergue, bonne en soi, mais... prouvant une lenteur.

 

 

Vous avez à présent les moyens de comprendre son intérêt pour "l'effondrement des deux tours", en rapport avec des dates anniversaires, devant amener des "fins du monde", celles d'André Bouguénec, et la nôtre. Avec un jour en moins en ce qui nous concerne, mais nous, n'étions pas encore totalement morts... il nous restait une chance, donc, de comprendre le "code" et d'y "participer".
  

 

C'est pourquoi on trouvera partout en ce texte d'Arnaud Mussy et en d'autres, des "tailles", déployées dans des "repères", amenant des idées de "poids", de "dimensions", "d'écartements", de "rapprochements", de "vitesse" et de "lenteur", etc..

André est cet "abyssin du futur, qui arrive... avant de partir".

C'est encore le "petit" Jésus (taille, grandeur) Arnaud Mussy, qui donc : deviendra grand : "Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en "p’tit Jésus" pour L’accomplir".  

C'est pourquoi encore, pour séparer, éloigner, tout ce qui relèvera du Phare-ouest sera traité comme "passé" et rapporté à des images de dégout, suscitant le rejet.

Qu'on en juge par les mots qui nous concernent :

Devons déchirer le voile de notre perception ;
tester le fond de votre âme
tomber
arque bouté
folle
cramponner
prendre une ultime main tendue
corrompre
ceux qui perdent la tête
basculez vite avant que l’Univers TEMET de la Mère ne mette l’OPHNAR et l’homme à terre...
ceux avec qui il faut "trancher"
ceux qui se brulent les ailes
ceux qui sont mis à terre
etc.

André Bouguénec, lui, est fixé dans une figure de la mort, mais participant à la fois du présent et du passé :

"Aujourd’hui, 16 décembre 2006, André est accompli."

Ensuite viennent :

fin de sa vie
vieillard
dernière apparence physique
Esprit d'André (désignant son "intelligence de la matière")
Date d'accomplissement

    

Arnaud Mussy : Parlant toujours au présent (accélération permettant d'englober tous les temps), "MAIN TENANT"..., se "situe" comme "actuel" et "toujours", ou au futur :

Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu...
Je Suis « le Paraclet » ;
Je suis bien André ;
Laissez-moi vous donner ;
"Je sais que" , je vous pose un (sacré) dilemme".

Progrès vers le contrat ("huitième gradation du cube", expression paraissant délirante, mais en fait parfaitement étudiée)

remonte le temps
sculpter
poser
apparence différente plus jeune.

Cette dernière formule permet de parler du "double visage de la prudence", comprendre comme une symétrie opposant les deux "sages" en termes de vitesse de pensée, le "vieillard" regardant vers le passé, s'éloignera - accompli ! - de la "prudence" comme sagesse, opposée de la "folie". La sagesse amenant le salut de la "jeunesse" regardant elle, vers le "futur".

 

 

Recoupement dans Satornet

"Aucun iota de l'univers n'est voué à l'inertie, alors, plus que jamais, la roue tourne, la TORA devient ROTA et le recto devient "VERSEAU". Tant pis pour ceux qui veulent rester définitivement enchaînés à leurs vieux symboles et à leurs vieilles clefs périmées.

Le vin d'hier "a fait son office", il est aujourd'hui servi dans de nouvelles outres, ou plutôt de nouvelles COUPES. "ENTENDEZ" par-là, de nouvelles COUP-ures, de nouvelles césures, de nouvelles PER-MUTATIONS à partir des mots nouveaux ; donc, de nouvelles sonorités qui "éclatent" pour un nouvel entendement, façonné "depuis toujours" pour les esprits d'aujourd'hui."

Couper, c'est alléger, épurer, trancher. L'oeuvre du juge, pour du "nouveau", un nouveau ciel = un nouveau juge. Celui du "ciel" comme nom, jugé.

Et comme un "iota" est un symbole", même s'il n'y est pas voué, l'inertie le guette si...

 

 

 

La symétrie 

La symétrie fini / infini, c'est du bancale, un rapport rendant visible les différences de "taille".

Tant que le "non temps" ne sera pas admis, c'est-à-dire la capacité parfaite d'Arnaud Mussy à classer les uns et les autres, il y aura des "contorsions", des forces en opposition, des dissymétries. 

Ce qui en logiquer ensembliste, permet d'effeectuer des comparaisons, de taille, donc de vitesse, d'éloignement, pour permettre des tris.

Ex : la symétrie de la TETE du "christ", dont une seule va regarder vers le passé, et s'éloigner visuellement, se "griser" (comme "forme"), à quoi se rajoute l'opération 2 - 1 (bis = 2 - 1). Le visage, c'est la TETE, le "chef", etc. Mais celle d'André Bouguénec est celle de la vieillesse.

 

Le centre du cube, est aussi un carré démultiplié, où "M" a atteint la "huitième gradation du cube" (un "grade"...), le chiffre "huit" symbolisant l'infini, dans le fini, et... une symétrie dans sa forme.

 

Quelques images de symétries :

On trouve d'autres symétries similaires et parfaitement subliminales (tous les coups sont permis) en ce courrier, comme celle qui passe par ses couleurs si attrayantes, si ludiques, peignant les "mots" de ce pur schéma, incluant Arnaud Mussy en plein centre, et dont voici la liste dans l'ordre d'apparition : André ; Lui ; Sommes ; André ; Lui ; Tachyon ; André ; 62 ; Père ; Rejeton ; Enfants ; Père ; André ; face accomplie ; Moïse ; Jésus ; André ; Arno ; Vieillard ; André ; André ; Jésus ; Bang ; opéra ; André ; ADN ; Couple ; André ; André ; Christique ; couple ; Christ ; Christ ; Vierges sages 153 ; André ; Christ.

Il y a en tout 36 sujets nommés. S'étonnera-t-on de ce que le mot "Arno" soit placé exactement à la 18ème place (comme la lettre "R" de retour = révolution), mais aussi comme "coupe" de cette symétrie. Il est : celui qui tranche après avoir fait "voir" les tailles, qui à leur tour induiront un traitement géométrique de ces formes qui de divines et infinies, "basculeront" vers leur signification terrestre. 

 

Note :

D'où : "Basculez vite avant que... ne mette l'ophnar et l'homme à terre". Car plus on attend, plus cette matérialisation vous fait perdre votre "ciel" (traité géométriquement : "combien de fois..." = théorie ensembliste), traduction : "votre place de juge", terrassant le spiritualiste, pour sa souffrance. 

Le petit "juge" (un des "125") souffre certes (d'où le dilemme final, comme on le verra en conclusion), mais moins. 

Lintégration rapide du camp du pouvoir permet d'éviter le procès maximal, mais n'évite pas le procès toujours possible. D'ailleurs c'est mathématique, car vouloir conserver un chiffre défini (même s'il est symbolique évidemment), quand on fait du prosélytisme, implique une élimination permanente des "impurs".

 

Reprenons :

La répétition régulière du mot "André", à intervalles réguliers, allant du centre vers l'extérieur, était attendue.

 

La pagination est très étudiée elle aussi. En effet toutes les grandes étapes et personnages présentés en cet ensemble, le sont en "tête" de page. Quelle spontanéité, quelle vie dans l'écriture ! Tout est cadré, millimétré. Pas un mot ne doit déborder.

On a ainsi :

Tête de la page 1 : Aujourd'hui, André est accompli ("accomplissement comme accusation et épuration)

Tête de la page 2 : André est l'abyssin

Tête de la page3 : Notre mission finale... (au centre de ce nouveau système)

Tête de la page 4 : Aujourd'hui j'ai accompli

Tête de la page 5 : (Mon) parcours (daté) du 16 ( = 24). (un point 0 en conclusion, pour indiquer son éternel renforcement)

 

 

 

Le Testament et l'héritage

André Bouguénec disait : la base de la société c'est la famille. C'est-à-dire l'hérédité et la chair, ce que le Meilleur des mondes veut éliminer. D'où la "croix" sur son image.

Suivi à nouveau de l'image d'un procès (Narthex de la basilique de Vézelay).

Pour une Jérusalem nouvelle : celle qui tue... l'héritier, en coupant la parole de celui qui se forme, selon les ordres de son père.

André venu "déposer" ce qui permet notre formation contre la loi du "contrôle" permanent : Le mot dépôt signifie "mettre à terre". C'est le dépôt d'un testament de l'infini : le Carré sator, qu'Arnaud Mussy accompli en "Nouveau Testament"... de "900 pages".

La main tendue ayant aussi le sens de "main posée", expression signifiant "héritier" en sanscrit, et qui interrompt le cours d'une succession naturelle, en la stoppant sur un point ("mon parcours systématiquement ponctué sur un 16 décembre").

"André Est l’Abyssin du Futur, « le Maître de Justice » venu déposer la Conception du Grand Œuvre (avec ses 7 livres). Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en ‘‘p’tit Jésus’’ pour L’accomplir. Je Suis « le Paraclet », « l’Esprit de Vérité » annoncé après Son départ. Tel un tachyon, André a pris soin d’arriver (à travers moi) avant de partir. Alors oui, comme une particule qui remonte le temps, je suis bien André revenu « comme un voleur » parmi vous pour sculpter et sceller la 1ère Pierre de la Jérusalem Céleste (la lettre M). C’était aussi cela le sens caché de « l’Ultime Grand Secret »."

 

Le mot "procès" signifie "marche", et "l'accomplissement final" d'André concerne "son parcours"... et le nôtre : "en ce qui vous concerne, il n'était pas difficile de suivre André à la fin de sa vie". 

"Il n'était pas difficile de suivre André" =  "Il était facile de lui faire un procès." C'est la même phrase.

 

Le mot "Testament" signifiant à l'origine "ce qui est mis dans un coffre" (teckhe), et plus avant : "poser", on comprend alors la formule :

- "André Est l’Abyssin du Futur, « le Maître de Justice » venu déposer la Conception du Grand Œuvre (avec ses 7 livres)."... "Comme un voleur"... ou "ARNaqueur... pour lancer la première pierre, la sceller dans un nouveau texte.

L'ADN contrôlé étant aussi le but ultime du contrôle des capacités dans le Meilleur des mondes. 

Puis :

- "Saisissez-vous pourquoi le Fils devait poser la lettre M pour rénover le Cube ? C’était pour permettre à Dieu de concrétiser Son Rêve le plus absolu : devenir enfin MERE et PERE dans le cœur des hommes."

"Rêve" d'une nouvelle société, donc.

"Le fils", c'est-à-dire l'héritier, puisque "Arnaud Mussy est revenu dans André".

"Poser" signifiant : mettre à terre, rendre matériel.

 

D'où la "mission" d'Arnaud Mussy : réécrire cet Evangile, sans André, "accompli", pour "retrancher" dans la "famille" (le temps linéaire par excellence, héréditaire et le monde réel). Retranchement précisé par la couleur d'un éloignement (géométrie), d'un oubli du réel, représenté par sa pâleur

"Moïse" représente le parti de la "contorsion", des "juifs s'arqueboutant sur cet héritage" issu d'une succession antérieure.

 

 

La langue de la simplicité matérielle

Descartes, ou Kant ont, parmi d'autres, montré comment nous possédons en nous les lois simples de la compréhension des lois de toute matière. Comme... tourner, suivre, atteindre...

Types de termes concrets, trouvés en tous les discours d'Arnaud Mussy, qui va les associer à des termes abstraits au possible. De sorte à ce que tous en aient une idée, mais que l'idée finale soit la plus bête possible.

Ces recours au calcul commencent par des "combien de fois". On a encore : "venir", "revenir", "non temps", arriver, "huitième gradation" (ou "grade"), "appuyer, "mener à terme", "basculer", "fonds", "suivre", "cube", "échantillon", 1/125, etc. etc. etc.

 

Tout ce texte peut être compris sans être compris. Les singes savants seront séduits par les idées de déclenchement (d'une machine, d'une décision sur critère d'une image), basculement (relativement à l'image d'un poids), suivisme (passer d'un point à un autre), tout ce qui relève des lois de la matière, simple visuellement, mais dont le sens terminal sera toujours contrôlé par celui qui détient les clés de ce "déclenchement" (par Anna ?!!), basculement. 

Ces derniers termes empêchant au contraire de comprendre le sens des premiers termes, toujours descriptifs,permettant de conduire une belle histoire, mais ne permettant jamais de comprendre de quoi on parle, l'essence des termes employés, dénués de toute connaissance.

L'action sidérante de ces slogans ("suivre l'amour"... tout un programme), n'est-elle pas la preuve de la supériorité de ceux qui les débitent ?

 

Recoupement :

Or je ne peux douter qu'il en fût ainsi. Pourquoi ? Tout simplement parce que tu possèdes EN TOI cette IMPRESSION imprimée au tréfonds de tes cellules, obligatoirement, comme nous tous ! Et nous n'avons pas eu d'autre prétention que de vouloir REVEILLER en toi ce qui somnole plus ou moins, comme l'a si bien formulé Khalil Gibran :
« Aucun homme ne peut rien vous révéler sinon ce qui repose déjà à demi endormi dans l'aube de votre connaissance ».
Chacun de nous, en effet, possède en son Ame ce "circuit imprimé" des mystères de la Création, inscrit par le Créateur depuis notre origine Angélique.
Alors :
« Voir ou périr », nous sommait Tfeilhard de Chardin, puisque, comme il l'ajoutait: « Tout doit être repensé ».

Arnaud Mussy, Satornet

 

Puisque tout se suit, tourne... c'est que tous les objets nommés sont analogues à des mécanismes, mus par des lois matérielles : attraction et levier de notre psyché.

Ce n'est d'ailleurs pas pour rien si les deux seuls scientifiques nommés dans ses textes placés dans Satornet, sont Newton et Archimède. 

Son "coeur" mécanique, n'est-t-il pas encore, par analogie avec celui de la Révolution copernicienne, une reproduction de la loi de "l'attraction universelle", décrite avec des mots pompeux au possible : "la QuintEssence insécable de cet Amour Éternel qui ‘‘Aimante’’ Tout l’Univers" ? 

Ceci dit à travers un discours mêlant une mythologie d'images irréfutables, rendant parfaitement aveugles de ce qui se produira au nom de ces slogans mécanistes. Ce qu'on appelle tout simplement de la magie.

 

 

 

Les paraboles (géométriques) des Evangiles

On ne s'étonnera plus du choix de ces paraboles, traitant toutes deux de "retour" ( = révolution) précédant une nouveauté.

"Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant".

N'invitaient-elles pas chacun à veiller, à [= pour le slogan : ] se préparer aux Noces de Marie et Jésus, plutôt que de se cramponner à la dernière apparence physique du Rejeton ?"

Les époux des "vierges" doivent en effet, re-venir : à l'improviste, pour ensuite "fermer la porte" (du tribunal : on ne peut en sortir), mais aussi pour rejeter les vierges ne s'étant pas préparées à ce retour.

L'époux, venu par surprise, va trancher. Lui , sait "l'heure". Il est "informé". 

En bon gestionnaire de la société de ses rêves, il pourra mettre au tombeau les couples qui ne "suivent pas", les couples qui prévoient de fonder une famille, par exemple, de travailler, etc. Ce sont les couples qui respectent le "concret" : le tombeau de François II les représentant dans sa "lourdeur".

Le "récit de Marie Madeleine" est alors évoqué dans ce sens : les "femmes" de ce  récit, témoignent d'un tombeau "vide". Le Christ "ressuscité" n'étant reconnu que par son geste : la rupture du pain, qui représente la rupture de la famille, à "mi-chemin" ("jour pour jour"). Ce lieu étant le centre de la croix présentée dans le triptique "familial", découpé sur le panneau central. 

Les "compagnons" sont ensuite "surpris", après un "choc", de ne pas avoir reconnu Jésus, leur "expliquant" les Ecritures, "depuis Moïse", auquel les "traitres" s'agrippent. 

Ces deux "paraboles", nous cernent (nous classent), en nous allant "comme un gant", puis : N’invitaient-elles pas chacun à veiller, à se préparer aux Noces de Marie et Jésus, plutôt que de se cramponner à la dernière apparence physique du Rejeton ?"

Or "veiller" c'est attendre (la faute à "avouer"), ce qui s'oppose à la Noce de la vitesse ("rire plus tard"). Et dans la formule "se cramponner à la dernière apparence physique du Rejeton", ce dernier temre ne désigne pas Arnaud Mussy, mais André Bouguénec, dont "l'apparence physique", déjà présentée plus haut avec la tête de la prudence, est celle sur laquelle les "retardataires" se "cramponnent", alors qu'il doit - en bon Bouc émissaire, s'éloigner.

Le condamné pour lourdeur est donc le couple "Jésus Marie".

La conclusion est facile à comprendre. C'est le couple du vide, qui doit le remplacer, le couple du Meilleur des mondes, géré et contrôlé par les lois froides et abstraites du chiffre, selon sa "classe". 

 

 

Un "Nouvel Evangile" de la régénération par les chiffres

Un Evangile, c'est un "Testament", écrit devant témoins, en principe. "Evangile" reposant sur quoi ? Un tombeau : représentant un couple endormi dans la pierre, passé, mort.

Rien de plus simple, nous dit Arnaud Mussy, que son nouvel "Evangile" remplaçant l'Evangile "accompli" "d'André".

D'où 2 - 1 = 1, une fois de plus.

"Nous sommes 2, puis 1" dans le non temps, car l'un des deux est le plus fort. Celui qui "revient" du "non temps", pour permettre le progrès.

Le dilemme c'est aussi 2 - 1 : le retrait d'une partie de nous-même, pour être sauvé.

 

D'une "simplicité" "qu'on n'imagine pas", simplement parce qu'elle fait croire en un savoir clair et net, bon pour des enfants, bloqués dans leur "commencement", leur "point de départ", les classant déjà dé-finitivement. Nous ne pouvons qu'y croire et en répéter les slogans comme des singes-savants, bien dressés.

L'article "de", trouvé dans les titres de ses sujets, prouve que le sujet réel de chaque section, est une extraction, une abstraction, laquelle consiste systématiquement en un calcul de... ceci ou cela, hérité "de".

"Simplicité", encore, de son évangile, mais bizarrement, traitant de "lois de Planck", "Big Bang", et autres thèmes scientifiques demandant des années d'études pour être seulement compris comme problèmes... et pas compris pour autant par les scientifiques eux-mêmes.

D'où son autre caractéristique : la "densité" d'information, empêchant là encore, de comprendre, alors qu'on vient de nous dire que tout était compréhensible, simple. Celui qui ne comprend pas ne peux qu'être en admiration devant le "génie" qui a "réécrit" ce TESTament.

 

La liste de son contenu commence par l'énoncé d'une "maitrise" par Arnaud Mussy, allant vers une "simplification" des calculs... En cet "Evangile", la seule logique finie, est celle de la pensée d'Arnaud Mussy, qui établit des "plans", des "scénarios", décrit des "gradations", etc., autant d'images primaires, maquillées de science, pour détruire notre capacité à la réfuter par une vraie logique, visuelle, elle.

Le dernier point fait même "disparaitre le principe d'incertitude", base de la critique logique, saine...

Cette liste précédant en effet un "jugement" : le huitième "point". Ce qui renvoie au chiffre 8, déjà évoqué plus haut. Il s'agit du "jugement" des "anges" (une classe également endormie, et en attente de jugement, comme son couple mort). Les anges furent parfois comparés par analogie, à des machines cybernétiques... Contrôlées du même coup par l'horloge et d'autant plus efficacement que le calcul est effectué rapidement (sous peine de dégradation vers l'entropie).

Cet Evangile (Qu'on n'a jamais vu), dont (logique !) on "n'imagine pas" la richesse, la densité et la simplicité (...), qui, sur 900 pages (surprise : sa croissance magique de 100 pages depuis la précédente information à son sujet - pas une de plus ni de moins !), s’appuie systématiquement sur la structure du Cube SATOR (matière) et du Tombeau de François II, qui ne font qu'1..."

Rappel : ce couple est présenté au centre du cube, décrit plus haut.

Quant à ce "concentré de mémoire", amené dans sa conclusion ("Testament oméga de Dieu"), il se rapporte à nouveau à la "présence" ou du "non temps" caricaturant  et jugeant ceux qui perdent du temps à vouloir connaitre en profondeur (les "contorsions"), et obligeant chacun à se surveiller lui-même dans sa "vitesse" à "obéir" à la loi du groupe,.

A l'évidence, en Néo-Phare les couples furent reformés en fonction de leur "compréhension". Mais qui comprendra ce fatras ? =>

Voici donc la liste de ses "sujets", testant notre "simplicité" : 

1 - L’Ame du Plan de Dieu et le dévoilement du « Je Suis Celui Qui Suis ».
2 - Le scénario du BIG BANG et de son AVANT.
3 - Une description transcendantale de l’OPHNAR et de l’Univers TEMET avec ses Gradations principales.
4 - Les 4 Visages de Dieu ( Astrid L. + Arnaud + André + Anna ) présents dans l’Univers AREPO et OPERA avant qu’ils ne Fusionnent dans "l’Univers nouveau" TEMET (expliquant les 4 Forces de l’Univers, les 4 Nucléotides de l’ADN, etc...) .
5 - Une simplification de la théorie des cordes par rapport à la Matière imparticulée,
6 - Les mystères et les méandres du Temps, de l’Espace et de l'Amour qui tissent la Matrice (ou la disparition du principe d’incertitude au-delà du mur de Planck).
7 - La structure de l’ADN et l’ARN angélique, humain et divin.
8 - Les principales étapes du scénario angélique jusqu’au péché originel et la révolte
9 - La pluralité des visages du Couple Rejeton en parcours, et des gradations des 144 000, durant l’Ere Adamique.
10 - La nature divine du Couple et le rôle dévolu à chacun dans la Résurrection.
11  - Les Erreurs des 3 religions Abrahamiques, synthèses de toutes les autres.
12 - Les 17 Couples qui formeront la Synthèse de la Jérusalem Céleste.
13 - Le dévoilement de la structure divine de mon parcours et du Jour J.
etc... etc..

Cet Evangile incompréhensible, ne serait-il pas présenté et représenté, pour dégouter de toute tentative d'aller y voir de plus près ?

Car il nous dit : vous trouverez votre place selon la nouvelle autorité, en fonction de ce que vous (y) comprendrez... Le contrôle, ou pouvoir, a ainsi trouver le moyen de conserver sa place.

Dès qu'on les voit, les termes "de", "du", etc. permettent de comprendre les sujets réels de son Evangile : des abstractions, dont voici les étapes pour plus de simplicité.

De : "Hériter de, descendre de, tenir de, être issu de"

Liste non exhaustive de sa géométrisation : "plan"... "parcours", "nature", "étapes", "pluralité", "structure", "scénario",  "gradation", chiffres 4 (22), 4 (22), 4 (22) (les puissances de 2 mesurant les aires)... "univers" nouveau, "forces", "rapport", "méandres", "structure", "scénario" (encore), "pluralité", "parcours", "gradation" (encore), "structure" (encore), "parcours" (encore), et enfin d' "au-delà" (valeur horizontale, autant que verticale).

Pas un terme spiritualiste n'échappe au scalpel faussement scientifique et mathématique d'Arnaud Mussy, pour une conclusion telle que 2 -1 = 1... : une épuration de la symétrie gênante.

Qui osera s'opposer à un tel "sachant", sans risquer de se compromettre aux yeux de tous ?

 

Recoupement

Sur ce point, une petite parenthèse s'impose pour rappeler une des formules favorites des titres d'Arnaud Mussy. Qu'on peut d'ailleurs retrouver dans ses textes de Satornet : "De... à...", avec son commencement extrait (de...), et sa fin, sa conclusion (à...) : un procès.

  

 

 

Les questions du pédagogue, ou "grand inquisiteur"

"Amis lecteurs, interrogeons-nous", Arnaud Mussy, Un lecteur, in L'Ultime Grand Secret

 

Lors d'une entrevue commune, André Bouguénec me présenta ainsi Arnaud Mussy : "Lui, je l'appelle mon Grand Inquisiteur, parce qu'il pose des questions" Et des questions, "pour savoir et pas pour être", dira-t-il ailleurs. Ajoutant : "Et là c'est foutu".

Une question pour savoir et pas pour être, c'est une question qui va permettre de faire connaitre ("savoir") à l'assemblée, une vérité invisible, un "savoir" irreprésentable et immatériel, faisant ressortir une vérité définitive, n'ayant rien à voir avec le réel. 

Cette nouveauté (car toute question cherche à faire advenir un progrès), appelée en permanence, représente le contrôle continu et la recherche de détails, qui pourront servir à la caricature, plus tard, au moment utile ("TNT"), quand un nouveau bouc émissaire sera devenu nécessaire.

Chaque question formulant les étapes d'un procès.

Dans le cadre d'un procès, "une question pour savoir et pas pour être", cherche une intention cachée, à mettre en lumière, alors que les faits, dans le monde réel, ne sont pas.

Ces intentions sont celles qui auront été subtilement glissées dans des propos divers, et acceptés parce que celui qui les diffuse, est notre "ami". Ensuite cet "ami" interroge, et le détail, répété, distillé un peu partout, prend forme, se développe, grossit, et finit par devenir une caricature. Un trait pour "savoir". Et faire répéter les singes... savants.

Le trait exagéré peut alors "peser" pour le jugement. "Lui, je l'appelle mon Grand inquisiteur, parce qu'il pose des questions". "Grand" permettant d'établir un rapport. Celui qui pose des questions, c'est le maitre, qui veut faire ressortir un savoir nouveau, par ses questions, elles-mêmes dirigées pour que la réponse fasse ressortir le trait qu'il a auparavant fait ressortir de manière discrète, invisible même, en un autre propos. 

Tel le virus instillé par un "ami". Celui qui parle le même langage que nous ne saurait nous tromper, n'est-ce pas.

Ce Courrier lui-même comprend 23 occurrences du mot "pour". Ex : "(pour) accomplir les Ecritures". En fait : les traiter, les éliminer, et les reprendre en les matérialisant, ce par un gestionnaire anonyme, à "l'infinitif présent".

Tous les verbes posés après ces "pour", sont des "infinitifs" : "susciter l'auto-engendrement", "accomplir les écritures", "rénover le cube"... "Rire plus tard", etc.

 

Dans Satornet, les textes d'Arnaud Mussy contiennent 141 points d'interrogation, pour 18 000 mots (arrondis à 100 près), ce qui ramène à une question tous les 120 mots. Si on se donne une moyenne de 8 à 10 mots par ligne dans un ouvrage classique, on arrive à une question toutes les 10 lignes environ. 

Notre courrier, qui en contient 11, n'échappe pas à cette "mesure" d'inquisition.

 

La première intention cachée, uniquement prouvée par la forme d'une pensée est suggérée par la formule : "évoquer" des "ruses, etc." (présupposées), "pour" (intention). Tel un détail, un mot "innocent", qui va susciter des idées.

 

La première question portant précisément sur "l'homme" : "Combien de fois André évoqua les ruses, les facéties et les tricheries déployées par le Ciel pour SUSCITER l'homme à s'auto engendrer ?"

Autrement dit : combien faut-il de cas de caricatures pour vous ouvrir les yeux sur votre esclavage... 

 

Liste complète des 11 questions, apparaissent alors comme un pur formulaire administratif, n'ayant d'autre but que de produire une transparence de votre pensée. 

Une pensée d'imbécile, réduite à ne devoir répondre que par "oui" ou par "non", réduite à cocher des cases, afin d'être traitée telles un formulaire, qui après "traitement", amènera à classer le prévenu.

 

1 - "Combien de fois André évoqua les ruses, les facéties et les tricheries déployées par le Ciel pour SUSCITER l'homme à s'auto engendrer ?"

2 - Vous pensiez qu'André Etait le Fils de l'Homme revenu [pour] ACCOMPLIR les Ecritures ?

3 - Saisissez-vous pourquoi le Fils devait poser la lettre M pour RENOVER le Cube ?

4 - C'est pourquoi, en partant, [André] voulut tester le fond de votre âme pour SAVOIR qui aurait suffisamment de Foi parmi vous pour le suivre dans son Accomplissement final ?

5 - Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant. N'invitaient-elles pas chacun à veiller, à [= pour] SE PREP ARER aux Noces de Marie et Jésus, plutôt que de SE CRAMPONNER à la dernière apparence physique du Rejeton ?

6 - Maintenant, c'est à vous de voir si vous aurez assez de coeur, de courage et d'humilité pour COMPRENDRE, ACCEPTER vos trahisons (par actions ou par omissions), et RIRE plus tard de tout cela ?

7 - En un mot, allez-vous prendre cette ultime main tendue du Ciel et [= pour] CONSIDERER ces quelques pages comme un échantillon de la Pierre d'Angle, ou comme une Pierre de scandale ?

8 - Une Pierre d'Angle ou une Pierre de scandale ?

9 - Savez-vous pourquoi le Ciel organisa ce Futur en 2001 ?

10 - Le CHRIST TRISCHa avec le Temps parce qu'Il ne connaissait que trop bien votre manque de Foi de la Fin, pour DECIDER de vous FAIRE VIVRE cet Evénement dès le début. Cétipafuté ! ?!

11 - 5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer le récit de Marie-Madeleine, au sujet de la Résurrection du Christ, comme le témoignage d'une femme exaltée ? 

  

Formulaire traitant notre "pensée", en l'occurrence nos intentions cachées, produits de notre mental, ce que ces extraits, soulignés, permettent de facilement montrer : 

Mais, saisissez bien ceci  (citation tirée de L'Ultime grand secret, p. 54)
Combien de fois André évoqua
Comprenez qu'
Vous pensiez que 
il fallait opérer une petite greffe au coeur
Vous savez tous
Saisissez-vous
Vous concernant, il n'était pas difficile
C'est pourquoi, en partant, il voulut tester le fond de votre âme pour savoir qui aurait suffisamment de Foi
Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant. N'invitaient-elles pas chacun à
Maintenant, c'est à vous de voir
vous avez transgressé le Message
Vous n'imaginez pas
Entrer plus avant dans les détails risquerait, pour le moment, de vous brûler les "ailes''. (allusion aux deux lobes du cerveau)
Savez-vous pourquoi le
5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer
Je sais que là, je vous pose un sacré dilemme ! "

 

 

Note sur les points de suspension :

Les points de suspension sont, avec les points d'interrogation, grammaticalement classés comme des "signes forts".

Note aux phare-ouestiens : pour repérer un adepte du système ou un des élèves d'Arnaud Mussy, il suffit d'analyser ses propos, truffés de ces signes, et c'est très facile. Dès qu'on les a vus, on ne voit plus que ça, tellement ils sont utilisés avec une grossièreté confondante. 

Ces "points", sont eux aussi omniprésents dans les textes d'Arnaud Mussy (149 occurrences dans Satornet), désignant la multiplicité des sens possibles à l'issue de chaque formule qui les précède, tranchés à la fin, par celui qui les place, forcément.

 

En Satornet, le paragraphe posant les "principes" de cette "science", appelée "science du verbe" débute par le mot "pour" et se conclue par trois points de suspension suivis d'un point d'interrogation. La totale.

A savoir un "pour" posant une majorité : "Pour une majorité d'entre nous", etc. puis "le Verbe ... est une abstraction".

La conclusion du chapitre étant : "Pour conclure cette longue introduction, je vous invite à réfléchir sur l'observation suivante : si jadis l'hébreu et ses multiples combinaisons devaient révéler, quelque part en Galilée, un événement d'une portée considérable, d'après vous, que peut signifier aujourd'hui l'émergence d'un Verbe nouveau... ?"

Les multiples combinaisons désignant les lenteurs d'une langue passée ("hébreu"), image servant à une "réflexion" sur le passé associé à la perte de temps ("multiples combinaisons"), s'opposant à une force future, POUR "révéler" (un infinitif) une émergence (en notre cerveau) par induction.

 

 

 

La question de "la main tendue"... portant une pierre... 

"5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer le récit de Marie-Madeleine, au sujet de la Résurrection du Christ, comme le témoignage d'une femme exaltée ?"

Puisque nous parlons de Marie-Madeleine, à qui Arnaud Mussy s'identifie, puisque son "exaltation" est aussi une "passion", celle du progrès, encore à mi-chemin ("5 ans, jour pour jour...).

Transgression qui justifie notre accusation en trahison, précédant "En un mot, allez-vous prendre cette ultime main tendue du Ciel et considérer ces quelques pages comme un échantillon de la Pierre d’Angle, ou comme une Pierre de scandale ?"

Une main qui tend donc... une pierre.

Pierre d'angle, tenue par un bras... s'opposant à la pierre qui fait chuter, fait perdre du temps. 

Pierre d'angle... de la "Jérusalem Céleste", devenant terrestre quand elle est un "rêve concrétisé".

La punition : Etre de force "mis à terre".

Comme tout ceci ressemble à une lapidation. 

La Jérusalem terrestre ne fut-elle pas accusée de "jeter la pierre" ? Lapider et tuer les prophètes, les "héritiers" ?

Cette proposition venant juste avant le dilemme final, le "récit" (une pure description !) de Marie-Madeleine est présenté dans l'entre-deux de cette révolution : "5 ans jour pour jour", etc. et comme "témoin" "exalté", c'est-à-dire passionné, et comme tel : rejetant toute prudence... 

S'opposant comme tel, à la lenteur des autres, doutant : les réfractaires.

 

Mais elle est aussi l'image de la pécheresse à mi-chemin, en cours de repentir. De lapidée, elle va basculer. 

 

 

Le moteur à induction d'idées

Comment tout ce délire peut-il fonctionner ? Le délire c'est l'imagination. Or tout ce texte n'est qu'une succession d'images, de descriptions ne faisant appel à aucun sens, sinon ceux de l'audition. Dès lors, les représentations n'ont plus d'existence que dans la tête. 

Une idée, c'est une image synthétique, produite par la répétition d'images similaires, se fondant entre elles pour créer l'idée finale, qui ressortira à force de répétition.

Hypnose + pédagogie = hypnopédie. 

 

Et c'est la répétition des mêmes images, qui va amener les phare-ouestiens, à se former des idées de progrès, de force, de besoin de "changement".

Une idée n'est-elle pas destinée à se "concrétiser" ? C'est "le rêve du Père-Mère". Notez qu'un rêve, c'est une suite d'images. Du "Père-Mère" = Le pro-moteur (un nouveau couple émergeant de la mise à mort de l'ancien couple, naturel), pro-moteur dis-je, de la nouvelle "génération" d'esprits "savants".

 

La loi fondamentale des moteurs de révolution, c'est l'attraction universelle.

"Si l’on ouvre le Cube, ou plutôt ces 2 COEURS, on aperçoit le 125ème Dé. Il Est le Point de Singularité, l’Œuf du Monde, la QuintEssence insécable de cet Amour Éternel qui ‘‘Aimante’’ Tout l’Univers.

C'est une machine servant à entrainer des pièces ("125"), par étapes successives, des "temps" verrouillés, dont le mouvement est inéluctable, menant le procès de l'ancien monde pour mettre en place autre chose, mais en en conservant le vocabulaire. 

"Non seulement les MOTS que nous utilisons quotidiennement sont le miroir de notre âme, mais ils sont également le MOTeur de nos agissements."

[...]

"Puisqu' « on ne voit bien qu'avec le coeur... », suivons cette voie recommandée par Saint-Exupéry. La véritable question est de savoir si les MOTS ont été MOTEURS pour toi ; est-ce que ce Verbe Nouveau a pu toucher véritablement ton Ame et ton cœur ?
Or je ne peux douter qu'il en fût ainsi. Pourquoi ? Tout simplement parce que tu possèdes EN TOI cette IMPRESSION imprimée au tréfonds de tes cellules, obligatoirement, comme nous tous !" Arnaud Mussy, Satornet

Platon n'aurait pas dit mieux en parlant de l'esclave apprenti géomètre du Théétète, développant son "savoir" par la maïeutique, et la vertu in-ductrice de la "question" faisant émerger la "vérité" de slogans exprimés avec nos propres mots, mais menant à tout autre chose que ce qu'on nous enseignait, puisque ces mots, répétés par les "125" ("apôtres"), sont soumis à la destruction de toute formation personnelle, de toute qualité produite par soi, par son propre travail.

Si c'est le "groupe" qui "décide", avec les mots qu'on lui "soufffle", c'est que mathématiquement, son "opinion" est formée pour lui faire "choisir", "concrétiser" la "finalité" la plus "simple" à comprendre, la plus primitive. Et le primitif, c'est la guerre.

Notez que la formule de St Exupéry est précédée d'une mention omise ici : "voici mon secret"...

C'est nous qui soulignons le mot "pour" dans cette question : les mots ont-ils été "moteurs" POUR TOI ("ton âme et ton coeur").

Arnaud Mussy, Satornet

 

Pourquoi le langage mathématique (dérivé des images géométriques) fonctionne-t-il comme un moteur ? Parce que chacun de ses termes se situe dans une logique d'enchainement inéluctable, et donc irréversible.

 

Selon les empiristes, toute idée est générée par un phénomène mental d'induction, issu d'une répétition de formes, finissant par produire une idée, un concept plus ou moins stable. Si ce concept est chiffré, issu d'un calcul mathématique lui assurant une stabilité définitive, alors cette forme est irréversiblement implantée, conditionnante, et matérialiste.

 

D'où la présence répétée de moteurs en ce courrier, et globalement, dans toute la prose d'Arnaud Mussy, qu'ils soient seulement nommés, représentés, figurés, en partie ou en totalité (en géométrie, une partie, un "point" même, peut se développer à l'infini, en tout ce qu'on voudra)... : points, balanciers, axes, bras, croix (rotor et stator)... Leur nombre est impressionnant : l'heure, le 8, l'accomplissement, le "bras de Anna" se déclenchant, les mouvements allant du passé vers le futur ou inversement, se regroupant finalement dans un "présent" "générateur", le coeur- "cube" et son "attraction universelle", etc.

En ce courrier, c'est le "point" qui mène à cet objet "d'aimantation universelle". Aimantation vers sa fin, forcé

Tous forment un système d'engrenages visuels, imageant la nécessité d'en... finir avec la répétition charnelle, caricaturée (en "procès", via ce qu'on peut appeler ici une "machine judiciaire").

 

Le premier moteur de ce Courrier est linguistique, mais son image n'en est pas moins formée dans notre cerveau. Il est cyclé sur 10 ans ! et reprend "systématiquement" son procès ("marche") de questionnement tous "les 16 décembre", jour de la mise à mort du roi périmé, par la lie de la société.

La première de ces occurrences désignant l'acte de décès chiffré d'André Bouguénec concret : son "accomplissemen" définitif, décidé par "l'oeil"'.

Puis, présentant une chronologie de l'immédiateté, du "non temps" contrôleur : "Je découvre que"... menaant à la décision de voir autre chose : "je quitte les faux apôtres" (de la répétition aléatoire, pour rassembler les "125" nouveaux apôtres, "TESTÉS" !), avant de "terminer son parcours de résurrection", entendre : procès pour une régénération : la sienne.

Et de conclure par une question :

"5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer le récit de Marie-Madeleine, au sujet de la Résurrection du Christ, comme le témoignage d’une femme exaltée ? "

Je sais que là, je vous pose un sacré dilemme..."

Ces 5 ans permettant de créer une symétrie entre les cycles de noms, une "ultime main tendue", pour ceux qui sont à mi-chemin de basculer vers le "salut" et ne pas être lapidés par la "Jérusalem" concrétisée. 

 

Voici un autre moteur audible : "Savez-vous pourquoi le Ciel organisa ce Futur en 2001 ? Le CHRIST TRISCHa avec le Temps parce qu’Il ne connaissait que trop bien votre manque de Foi de la Fin, pour décider de vous faire vivre cet Evénement dès le début. Cétipafuté… ?! "

 

 

On trouve encore en ce Courrier, toute une série (répétion) d'images :

Décrivons les un peu :

 

Moteur des deux christ : Les cercles entourant les TETES des deux Christ, reprennent les couleurs trouvées dans le courrier. La couleur grise désignant l'éloignement, la mise en abstraction après le temps "bleu" (ce mot signifiant de Dieu). Car il faut que le sang réel s'estompe au profit définitif du gris.

 

Moteur extrait d'un tableau de Salvador Dali : il représente une image de l'abstraction "portant", par le recours à la force d'Archimède (levier du mythe du progrès rappelant le "levain" de la "Mère") : des objets encerclés dans des ensembles visuels, tous concrets : l'Evangile, le pain et l'Ophnar, représentant notre Tradition commune, le travail charnel et l'infini en l'homme, mais traités comme des sous-ensembles par le centre moteur calculateur (supprimant ce qui se répète), qui va "naitre" de ce système épurateur par sa TETE, séparée. 

 

Le troisième moteur est celui qui est accusé, tordu, Sator confus, contorsionné, non ordonné par "l'oeil", qui va le mettre en comparaison avec celui du bas : ayant retrouvé son "ordre".

 

Le quatrième moteur crée une matière vivante à partir d'éléments morts : c'est le re-groupement des "125", quand Arnaud Mussy (le "8"), reste encore invisible. Le premier stade est d'autant plus mort, qu'il est sans couleur, pour représenter l'éloignement, le rejet de l'ancien. Au stade 4, c'est la religion matérialisée, la "Jérusalem Céleste". Alors le "chef" va commencer à se montrer, imagé par l'oeuf, le point 8.
Il est intéressant de voir que ce moteur pourrait tourner dans le deux sens, puisque l'oeuf est aussi premier, pour faire revenir les hommes à leur état primitif, en fin de parcours. Ceci signifiant que tout est programmé et que la dissémination de ses éléments n'est pas un problème puisque son système, tel un puzzle géométrique (comme son "coeu, s'assemble par la mise en forme de ses éléments inéluctablement imprimés dans notre cerveau, à chaque répétition entendue. 

"Puisqu' « on ne voit bien qu'avec le coeur... », suivons cette voie recommandée par Saint-Exupéry. La véritable question est de savoir si les MOTS ont été MOTEURS pour toi ; est-ce que ce Verbe Nouveau a pu toucher véritablement ton Ame et ton cœur ?
Or je ne peux douter qu'il en fût ainsi. Pourquoi ? Tout simplement parce que tu possèdes EN TOI cette IMPRESSION imprimée au tréfonds de tes cellules, obligatoirement, comme nous tous !" Arnaud Mussy, Satornet

"Obligatoirement". Lig signifant "loi".

 

Terminons par celui qui présente l'élimination de la famille réelle, (hérédité) naturelle, allant dans son désert (éloignement, pâleur visuelle), à travers le procès. 

Le mot "couleur" vient de "couler", et a donné "couloir", ou sas permettant de classer, de trier, immédiatement, puisque la "vue" rassemble les "objets" de même couleur.

Le tout étant cyclé en trois temps : a, b et c : le procès. Un vrai projet pour le Phare-ouest !

Le détail du procès est ensuite donné avec l'agrandissement du tableau "c", présentant un moteur dans le moteur (une satellisation) où le "juge" depuis le "ciel", juge les deux classes : les passéistes et les progressistes : "vierges folles" et "vierges sages", chacune d'entre elles étant mesurée, selon sa position au regard du centre. Cette parabole touchant au jugement puis au rejet de celles qui n'ont pas "attendu" le retour du maitre, revenant "comme un voleur" (de mots) par surprise (TNT). 

Les "fous" étant alors ceux qui jugent "l'amour" de Tartuffe. "il faudrait être fou pour ne pas suivre l'amour".

 

 

 

Quelques recoupements :

Vous trouverez bien d'autres moteurs dans les textes d'Arnaud Mussy, écrits dans Satornet, dont la couverture est déjà tout un programme de motorisation, dans un style très "new-age", où le Sator (ORA), arrive par surprise, comme germe de la génération spontanée de "l'homme nouveau", par un "verbe nouveau". L'image fondamentale des lois du système solaire étant conservée, pour faire naitre son "meilleur des mondes".

Cet ouvrage fut écrit par "L'atelier 153", ces bons élèves de "L'atelier de paroles", où nous apprenions à parler comme des machines.

 

Ensuite vient le texte. Dès l'introduction, les "ouvrages d'André Bouguénec", sont présentés comme tournant autour d'un "axe" : "Les idées et les recoupements présentés s'inspirent essentiellement de l'oeuvre d'André Bouguénec, fondateur de l'Association "Le Phare-Ouest", et auteur de 7 ouvrages axés sur : "La Révélation des Mystères de l'Homme et de la Création"."

L'inspiration c'est leur traitement immédiat par "l'oeil".

 

Encore, tiré du même ouvrage, voici un diagramme accompagné du texte suivant :

"A présent" [temps de la décision immédiate, par l'oeil qui "observe"], si nous observons attentivement la figure [une image, encore "présentée" : ] présentée page suivante [dans le texte, dans un ensemble de signes se répétant], nous distinguons [ce n'est qu'un signe, porteur d'idée, germant à partir d'un détail qui se développera] dans un cercle, la ronde, la "ROTAS-ion" des Temps [révolution et progrès pour un changement, la suppression de la chair] représentés [encore le présent] par les Alpha / Oméga. [lles deux classes d'individus, remplaçant les alpha, bêta... du Meilleur des mondes]"

A quoi suit : 

"Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il est immuable ! Il ne parcourt plus les Temps, il les regarde... Il Est en tout Temps et en tout Espace (voir le T et le E de TENET) ; il est l'Eternel présent, qui, justement, se présente aux hommes sous le dénominatif: « Je Suis Celui qui Suis ». Si Dieu Est l'Eternel Présent, Il Est alors le Centre de Tout, Il Est l'Unité vers laquelle tout converge... (comme par hasard, LE CENTRE DE TOUT = 167 correspond à la grande signature numérique de l'unité en français : CENT TRENTE CINQ = 167).
Plus concrètement, cette lettre N est "l'Inconnu(e)", Le "Principe caché" que l'on ne peut imaginer car, par essence, Infini(e). Il-Elle correspond au fameux "En-Soph" évoqué(e) par les Juifs. (Phonétiquement "N Soph" !)." 

Sans commentaire. 

 

Enfin sortons du livre, pour faire allusion à l'événement de la Crypte de Vézelay, signifiant aussi : Code de Vézelay : Arnaud Mussy au centre, axe d'un moteur. 

 

Pour finir, nous plaçons un lien vers une analyse d'une photographie prise pour le Télégramme, présentant Arnaud Mussy et quelques uns de ses "125".

 

 

Conclusion : Le "sacré" dilemme

Nous arrivons enfin à ce "sacré dilemme" ("sacré" : qui distingue, sépare le pur et l'impur), déjà évoqué, mais décrit clairement pour cette conclusion.

C'est maintenant, après ce fatras permettant de nous défaire de toute vue réaliste, qu'Arnaud Mussy ("JE") parle et conclue par son ultime "question", "là" (l'espace en conclusion, mais aussi pour évoquer le temps de l'exception, de la crise, issue de l'introduction : "maintenant"), JE SAIS QUE... JE vous pose un sacré dilemme".

C'est le temps où l'oeil agit dans toute son immédiateté, le temps du contrôle "savant".

La minorité ("je") s'impose alors à la majorité ("vous"), car elle "sait", elle.

CE QUI AMENE LE SILENCE DE CEUX QUI NOSENT REFUTER, DE PEUR DE PASSER POUR DES IMBECILES FACE AU "GROUPE", DONT CHAQUE MEMBRE EST LUI--MEMESTERRORISE A L'IDEE  D'ETRE LE PROCHAIN BOUC EMISSAIRE.

D'OU LE DILEMME : CHACUN Y PERD.

 

Cette dernière question nous mettant alors face à deux voies : 
- Soit vous acceptez le "ciel" fini - donc la mort à la fin - et "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA" et vous survivez, tout en débitant mes slogans pour me faire grossir à l'infini.
- Soit vous conservez votre concept d'un ciel Métaphysique infini, et vous opposez à ma révolution (= vous restez fidèles au langage héréditaire). Alors vous périssez, traités comme des fous.

 

Ou dit autrement :

- Avoir la parole coupée : Accepter d'être égalisé par le pouvoir en restreignant sa liberté de parole au profit de la dictature et du dressage par le mot "amour", donc de "M" maitre du "groupe", pour apprendre à répéter sa langue de l'équivoque et ainsi être "protégé" socialement (enseignement promis par le sophiste), pour vous aussi dominer les hommes en société, en manipulant leurs mots, croyances et valeurs les plus élevées : "on", le "coeur", la "fraternité", etc. Quoi qu'un seul conserve le "savoir" ultime, la compréhension ultime de ce que les autres répètent uniquement par intérêt.

- Avoir la tête coupée (comme ces "apôtres") = langage coupé : Refuser cet esclavage et avoir la tête coupée : être rejeté du groupe, du "salut", pour faute de mauvaise foi, de position minoritaire, faisant perdre du temps au "groupe" des élus, du "centre" social de ce nouveau pouvoir, et de ses singes savants : ne plus avoir droit à la parole; devenir le paria du "ciel", subir la mort sociale.