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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Retour d'Arnaud Mussy pour notre procès en trahison, le 16 décembre 2006 - Xeon

Date : 2006-12-16

 A Jérémy Trossais, un ami.

 

"Maintenant, apprenez définitivement le terrible secret de votre Créateur qui voulait faire de vous des combattants contre l'Esprit Duel qui habite votre "dualité" et les subtiles "tentations" de toutes sortes qui, en ces jours de ténèbres, mènent le monde. Dans Matthieu XXIV-22 : "...Et si ces jours-là n'étaient pas abrégés, aucune créature ne serait sauvée ; mais ces jours-là seront abrégés à cause des élus ". Matt.XXIV-24 : " Il y aura de faux christs, et de faux prophètes s'élèveront et feront de grands signes et des prodiges, jusqu'à séduire s'il était possible, les élus eux-mêmes. Vous voilà prévenus ". Oui, c'est de Matthieu.", André Bouguénec, L'ultime grand secret, Article Qui créa Lucifer, p. 145

 

"Je le répète pour la énième fois, Dieu, s'il vous crée, il lui est impossible de vous "engendrer" ; le ferait-il, ce serait une création accomplie de vertus et qualités qui viendraient de lui, mais non de vous ! Et c'est ainsi que fut créée l'engeance angélique, parfaite. Or c'est la raison de votre humanisation afin que, de vous-mêmes, vous fassiez naître votre âme et la nourrissiez pendant toute votre existence terrestre : c'est votre raison d'être ici-bas, de vous recréer "à l'image de Dieu" selon ses lois. Il faut naître de vous-même en "co-naissant" Dieu en vous, jusqu'à le faire votre Père.
Comme le mot "en-GEN-drer" le stipule, Dieu ne peut mettre en vous que des "Gènes" qu'il a conçus et créés, mais c'est à vous de les cultiver, de les développer pour.. vous engendrer de vos gènes. Eh oui, le Monde est fait de tous les GENS qui sont des gènes en poussée ou bien qui végètent. Vous êtes tous, toujours en "Genèse", en commencement et en recommencement : en réGENE-ration. Le prénom Eugène est bieakashin significatif de "bien engendré", littéralement : un bon gène. Et Dieu, et Lucifer, n'en finissent pas de pousser vos gènes à "pousser", à fleurir, par votre seule volonté de choix. Si ce n'était que la volonté seule de Dieu, vous ne seriez, et cela arrive parce qu'il en faut, qu'une marionnette..."in-stru-mentale" ; un instrument utile aux autres, mais pas forcément à lui s'il ne s'accomplit pas avec ce qu'il doit donner ou montrer. La racine "instru" signifie "arrangement", "enstructuré", évidemment par Dieu dans le mental de cet humain."
Ibid, p. 150

"Peu à peu, saisissez-vous que vous n'êtes Rien, si...si vous n'entrez pas dans votre Raison d'être, et si vous ne suivez pas Ma Voie. C'est votre dernier recours avant qu'ON ne vous enlève votre liberté, bientôt !"
Ibid, p. 202

 


"Même s'il n'en reste qu'un parmi vous, j'aurais réussi ma mission." André Bouguénec

 

"Il n'y a aucun doute, le Christ est : La lumière du monde, et sous l'égide de Notre-Dame Suprême il est en sa naissance le Christ Solaire, détenant la clef de sa montée progressive de sa lumière aux hommes.

Je répète, la clef de la montée progressive de la lumière aux hommes.

Jadis notre Jésus devait programmer et annoncer l'avenir d'aujourd'hui. Il enseigna d'un coup tout l'essentiel de l'amour et des rapports avec son Père sans préparer les intelligences à comprendre les clés du Royaume de Dieu. D'où la raison d'une promesse d'envoyer pour aujourd'hui, l'esprit de vérité, dévoilant les mystères. Pour sensibiliser un peuple, surtout celui d'aujourd'hui, il ne s'agit pas de proclamer "Je suis Jésus, voici mon dernier Testament".

Il faut prudemment et progressivement préparer les esprits et susciter une nouvelle intelligence. C'est une clef du fameux Arepo du Carré Sator, pour cette délicate OPERAtion qui subrepticement va intéresser de façon inattendue les esprits."

 

"C'est pourquoi la mission du Fils de l'homme est très difficile. Il n'est pas question de bouleverser la France ou la planète. Il est question de laisser un testament. Cela veut dire que ça reste, et tu pars. Et vous vous démerdez avec le testament.

Tout ce que j'ai écrit (lettres, documents…), tout ça c'est le testament, parce que tout s'enchaîne."

 

 

 

 

 

"J'suis le bouc émissaire. Tout ce qui ne lui plait pas, elle me le met sur le dos". André Bouguénec, commentant un courrier de démission capitale, daté du 12 nov. 1994

"Dans le fonctionnement de Néo-Phare il fallait un bouc-émissaire, une tête de Turc." Procureur lors du procès d'Arnaud Mussy en Octobre 2004

"Nous ne pouvions valider ce groupe qui se bâtit sur le rejet, l'exclusion". Courrier personnel d'un ancien adepte de Néo-Phare

 

 


Source

 

 

La citation en exergue

« Mais, saisissez bien ceci : l'Heure du Salut par la décision de la Mère, ne peut se réaliser qu'à la condition de posséder en Elle les "nouveaux-nés de Ses Entrailles", les premiers Enfants qui L'ont reconnue, comme "Mère de tous les peuples", qui L'Aiment et qui participent au Rayonnement de la Lumière de Son Fils. Sa stricte décision est basée sur ce "levain de l'Avenir" dont l'avertissement fut donné jadis » - Extrait de la page 54 de l’ultime grand secret.

Cette citation en exergue permet à Arnaud Mussy de tirer parti de nos peurs, sur le fondement de quelques lignes tirées d'un texte reconnu par notre "communauté", permettant d'influer sur chaque cerveau pris un à un. 

Il permet aussi surtout de réduire le réel à cette demande de "futur", pour l'y ramener à un texte, lui-même ensuite réduit à une citation, amenant alors le lancement d'un nouveau temps, qui séduira les adeptes d'un progrès facile, acceptant le changement sans plus réfléchir, à condition de détruire tout le passé... et toute prudence.

Pour cela il faut d'abord parler un langage impossible à comprendre, ou plutôt compris différemment par tous, tout en lançant des slogans pour un changement. Va alors se créer un débat, ou les adeptes du "progrès" prendront de plus en plus de force, à mesure qu'ils "trouveront" d'eux-mêmes (...) et librement (...), ce qu'Arnaud Mussy avait préparé dans son discours, pour le faire aboutir à ses objectifs à lui.

L'amour par exemple est un socle commun qui peut susciter à peu près tous les points de vue.

D'où : nous ne pouvons qu'accepter ce discours incompréhensible, "Aujourd'hui, André est accompli", mais permettant toutes les interprétations possibles. Celui qui osera lancer : Alors il faut un changement, sera confirmé par Arnaud Mussy (lanceur de slogans), et la chose sera lancée, car appuyée par une date, elle deviendra le point 0 de la "nouveauté", un chiffre incontournable.

Cette puissance permettant de dominer l'opinion, de faire taire tous ses opposants, suscitera alors de plus en plus de... vocations.

A la suite de quoi vient la terreur : "à partir de maintenant..." "le bras de Anna"... Permettant d'évincer les récalcitrants.

 

Ce nouveau "point" fixe, clair et tranché, sur un "16 décembre", sera l'axiome incompris (ne dit rien sur la compréhension de ce que doit être un "accomplissement" dans un cadre infini, mais le ferme sur une nouvelle "conception" comprise sur le seul plan d'une comptabilité en extension, "comprise", si l'on veut, par les plus bêtes) et le premier point d'un cycle et d'un procès, celui de son "parcours, systématiquement ponctué" sur cette date et ce vide.

Et "à partir de maintenant", qui ne rentrera pas dans la classe validée par ce chiffre, sera... jugé en trahison.

La "personne" d'André Bouguénec ne dure pas, contrairement à l'abstraction des "retours" permanents du "16 décembre", scellant l'accomplissement systématique d'Arnaud Mussy, dans un système qui ne peut plus toucher le monde réel.

Car si tout est fait pour que nos yeux ne voient rien de ce qui est réellement dit entre les lignes, notre cerveau va lui, entendre ceci :

Les "ruses, facéties et tricheries du ciel", ce sont les ruses du "ciel" métaphysique, manipulateur, de celui qui nous dresse à "imiter Dieu", comme des marionettes esclaves, et être des "joker de Dieu".

C'est pour cela qu'Arnaud Mussy doit, pour nous le faire comprendre, s'exprimer en décrivant  les conditions de notre salut, comptabilisé par un certain nombre d'évocations des "contorsions du temps". Calcul permettant de "comprendre" les clés du salut de l'homme, puisque c'est PAR ce nombre, qu'André Bouguénec nous aurait donné les clés de "l'auto-génération de l'homme". L'homme sauvé par le chiffre, donc, et plus par le Verbe.

Comprendre cela, c'est "participer" de la concrétisation de la "Jérusalem céleste", qui fait le procès du Christ, "venant du non temps", c'est-à-dire d'une croyance comme source de ses écrits. D'où le sens de cette "construction" : "Jérusalem, Jérusalem qui tues et lapides les prophètes..."

Mais Arnaud Mussy, lui, a su en "revenir", comme on revient d'une maladie, pour notre libération claire et nette : sans les "prophètes", faisant perdre du temps. 

Puisqu'en effet le véritable "non temps" est un lieu, dont on peut "revenir", il ne peut qu'être une entité locale, descriptible géographiquement, signifiant : aucun temps, ou encore : vitesse absolue de "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA" : une présence totale, ou encore une "vue totale".

Mais ce que la figure géométrique dit aussi, ce que la "torsion" démontre géométriquement, est tout le contraire : le contraire de "dresser", c'est en effet : "tordre". Cette image s'imprimant en notre cerveau, elle y sera verrouillée comme image, pour amener à déduire au bout d'un moment, que ce qu'André "évoquait", suscitait notre perte. 

Alors que le langage d'Arnaud Mussy, de "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA", "sincère", tranchera sur les "évocations" d'André : sa parole faible.

Imiter Dieu (être le "joker de Dieu") est ainsi présenté comme une manipulation faisant perdre du temps, une "répétition" amenant l'ennui (contre le plaisir et la passion du progrès !), prouvé par un calcul : "combien de fois André évoqua...". C'est donc seulement une vision horizontale, calculée, qui valide l'assertion d'Arnaud Mussy, pour ceux qui savent compter avec leurs doigts, mais non pas réfléchir à la raison d'être du temps, pour l'accomplissement de l'homme.

Et tout ce courrier et tous les discours d'Arnaud Mussy reposent sur ce mode de "penser".

Heureusement, notre "tackyon" va nous proposer un "progrès" : pour cela il "revient du non temps". Qu'est-ce à dire ? D'abord une impossibilité rationnelle. En effet le "non temps" est pour nous, "tous les temps". En "revenir" serait donc en sortir pour rentrer dans un autre temps... Ce qui serait absurde. Cette absurdité n'est pas une erreur de sa part. Elle permet de nous faire exploser le cerveau, tout en nous défendant de lui répondre. Trop compliqué.

Cependant cette absurdité va tirer son sens, dès qu'on comprendra que ce "non temps" est un lieu matériel. C'est le lieu de celui qui revient, comme on revient d'une maladie, du "non temps métaphysique, pour rentrer dans un autre "non temps", désignant cette fois un lieu matériel, une "présence" localisée, mais totale. C'est-à-dire la possibilité de "voir" tout ce qui se passe. C'est du moins ce que les esprits matérialistes voudront en tirer.

Et si "André Bouguénec" en "vient", c'est bien qu'il en est issu sur le plan métaphysique. Mais pour notre salut, Arnaud Mussy en "revient". Ceci pour peu à peu en faire glisser le sens vers sa propre présence, sans André Bouguénec, d'où l'opération logique finale : nous sommes 2 dans le non temps, puis 1.

 

Cette présence amenèra notre peur,, car réduite au seul son, puisqu'on ne peut voir ce dont il parle. On peut parler d'une présence invisible qui plane au-dessus de nous. 

Et nous dresse par les mots, par exemple le mot "non temps", qui deviendra l'argument de la vitesse ("non" = 0), puisque la "présence" signifie qu'il n'y a plus de distances pour lui, qu'il contrôle tout en sa "Jérusalem"... temporairement "céleste".

D'où "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA", est aussi  un "TNT".

Evidemment ce dressage par la peur des mots - et non plus par la peur naturelle de fautes réelles - repose sur la rapidité - la vitesse de propagation du son. D'où le "tackyon" remonte le temps. 

 

Il faut partir du ciel, qui signifie : lieu où siège le juge, celui qui tranche entre deux discours contradictoires. 

Ce ciel n'est qu'un moteur invincible, fondé sur une démarche de mécanisation de nos mots, dont les étapes sont imagées sur le tempo d'une horloge, de sorte à ce que cet "accomplissement" soit placé sur une date, pour pouvoir dire : "plus vous tarderez, plus votre salut, votre "futur" sera compromis.

D'où toutes les images de moteurs placées en ce Courrier.

"Alors basculez vite" sous les ordres du pouvoir restant, prouvé par une "vérité" vue en extension et non en compréhension, pour que tous puissent la "comprendre" (2 - 1 = 1).

L'appel à la vitesse, critère de la "participation" à ce jugement par le "temps", précisant le critère : la peur de la mort. Aller "vite" avant que l'incommensurable ("Ophnar" et "homme" infini) ne soient réduits à poussière, "pour" avoir rejeté le "message d'André en parcours", c'est-à-dire un infini forcément illusoire, car uniquement présent en notre cerveau (la tête étant à l'image de l'Ophnar, à la fois dans sa forme et comme potentiel de développement de la pensée vers l'infini). "Mettre l'ophnar à terrre", c'est faire mourir l'infini en nous, de force, en le chiffrant en tous points.

 

 

Ce qui amène la création d'un moteur de temps, d'une procédure en "temps limités", où la vitesse d'exécution à toute son importance, car elle permet de porter le problème à une entité spatiale fermée. Un nouveau cirque en lequel les "dressés" pourront s'exécuter au moindre "message" proféré par "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA". 

Ce "M" n'aura d'ailleurs pas besoin de parler, car sa seule "présence" (revenue du "non temps"), le rendra présent partout ici maintenant. Ce qui amènera ses ouailles à s'auto-surveiller elles-mêmes, ne sachant jamais où se trouve le "juge"... Pour obéir à ses signaux-verbaux (les "messages" de "M..."), et ainsi parler pour lui. 

C'est-à-dire lui permettre de gouverner sans se faire voir, via ses singes savants (répétant des mots - slogans) bien dressés.

 

D'où les contorsions du temps (manque de dressage), doivent conduire au non temps : dressage parfait au nom de l'amour, qu'il faut "'suivre" comme le ferait un animal bien dressé, ne résistant plus  - ce qui est toujours le cas dans la période des "contorsions du temps" exprimant le mouvement chaotique d'un couple de forces opposées, du fait des oppositions à Arnaud Mussy.

Le dressage par le non temps, c'est-à-dire par les mots abstraits, c'est sa présence à tous les temps, enfin "claire", c'est le dressage par la peur de la dictature de l'heure, donc par le procès, inéluctable, qui fera payer si on ne "suit" pas le procès général de "André en parcours". L'heure étant l'inéluctable et irréversible signe de cette facture : alors "basculez vite..."

 

La "Mère" est déjà en procès comme conceptrice infinie, celle qui doit "décider" mais qui "attend", puisque le "levain de l'avenir" n'est pas le "levain du présent". Ce "levain" visiblement n'est pas efficace, ne dresse pas les singes savants suffisamment rapidement.

D'où : "le bras" de "Anna" - un autre nom, lui... Ce dernier nom ne représentant plus la Mère tirée de ce texte, mais sa version seulement judiciaire. 

Le réel est en effet d'abord dévoré en nous demandant de détruire notre perception du temps linéaire (la logique naturelle, la vue et le bon sens), pour tout réduire au texte (ici : L'Ultime Grand Secret). C'est alors le texte lui-même qui sera dévoré une première fois pour le réduire à un point (un "commencement" avec une date, amenant l'inutile fonction de la lecture, de la référence au passé, au reste du texte), et enfin une seconde fois pour en tirer un seul sens : celui du pouvoir, de la force par le procès et la peur de ne pas "participer", qui fait "lever" les êtres par le calcul sur leur position, elle-même déduite de leur "vitesse" à "basculer", mais dans le progrès, cette fois, efficace.

Tout le monde se tait devant celui qui maîtrise le texte, qui a "accompli André", puis "accompli les Ecritures", avant de les réduire pour en tirer ce qui l'intéresse : le seul langage du procès.

Il ne reste plus à Arnaud Mussy qu'à "accomplir sa mission finale" : réécrire un nouveau texte, appelé "Evangile", qui sera un pur texte de loi, dont le "huitième point" est, comme par évidence, un procès et un jugement, créé de toute pièce sur une "structure", celle d'un procès (les principales étapes) et un scénario : un texte, réduit lui aussi, à sa pure expression formelle, de tribunal.

Pour "concrétiser", à partir de cette peur, la Jérusalem céleste". Concrète donc bien terrestre.

Le mélange de deux discours dans un même énoncé (celui du procès et celui d'André Bouguénec), sert précisément à nous faire nous engager sur le principe, même si nous n'y comprenons rien. C'est ce mélange temporaire qui amène les "contorsions du temps", le fait de parler le discours de l'amour, tout en amenant à la fin celui de la terreur, le "TNT".

Une fois cet engagement initié, nous sommes pris dans l'engrenage de la logique de la "participation" ou du rejet selon les mots-mêmes que nous utilisons naturellement, et nous accepterons tous les procès bien réels, tels ceux qui se tinrent au Phare-ouest durant la "présence" d'Arnaud Mussy, au nom de ceci, ou cela, toujours présentés comme "preuve" d'une "non participation" à "André Bouguénec", cannibalisé.

Qui ne suit pas les beaux principes serra déclassé par cet ordre froid qui se prouvera par la vitesse à exécuter cette méthode, et à y participer de peur d'être lui-même exclu de "l'amour". 

Le "lent" sera exclu au nom de l'amour ("TNT" dans sa tête, pour permettre son propre silence, son auto-censure devant son exclusion, voire).

D'où 2 - 1 = 1 (opération répétée à trois reprises dans le courrier : au niveau des 2 visages, par le mouvement à l'égard du "non temps", et enfin dans la structure de son "Evangile" reposant sur le "tombeau de François II" : la mort)

"Nous sommes 2, puis 1" dans le non temps, car l'un des deux est le plus fort. Celui qui "revient" du "non temps", pour permettre le progrès.

Le "chef" revient du non temps, pour pouvoir trancher tout le temps, conserver son pouvoir, toujours renouvelé. C'est pourquoi André Bouguénec ne fait qu'en "venir", pour aller en s'éloignant, s'écarter et se perdre, bien que conservé comme "nom". 

Le mot "ultime" qualifiant cette "main tendue" de "l'avocat", définit le contexte : ce qui ne permet pas de cas, de recours ultérieur, "ultime" venant de ultra : Ce qui va le plus loin.

Sa "sincérité", étant celle de celui qui prend la main durant le procès, première des qualités de l'avocat, qui va vite prendre le rôle de juge, mettant "l'homme et l'ophnar à Terre", depuis le "ciel".

 

 

Chacun de ces nouveaux "progressistes", reprendra les éléments de langage du plus fort de tous, pour parler une même langue incompréhensible, mais portant toujours sa force par les signes qu'elle fait "entendre", de sorte à faire passer les "dressés" pour des "savants", qui répéteront les slogans du dresseur ("M A LA TETE... PAR ORA), sans les comprendre, en jouant les entendus, les initiés, et faisant taire tout le monde, les douteurs et les tièdes, impressionnés et apeurés de contredire de tels singes savants.

 

Ceci pourrait aller aussi loin que d'attacher une femme nue à un radiateur, pendant plusieurs heures, au nom du "progrès" de son "âme".

 

Les moteurs - invincibes, ne permettant pas de contradiction, de débat (c'est l'accomplissement de la vitesse du pouvoir) sont d'ailleurs les seules images présentes en ce Courrier, prétendant que tout se fonde sur "'l'attraction universelle". 

Car le temps c'est le procès : chaque entité nom doit s'y trouver enfermée sans possibilité de sortie. D'où il faut la dégrader dans un système fini et tenu par un centre dont la force est omniprésente, pour tenir vers lui, tous les noms tournant autour de lui. L'espace c'est le pouvoir : la présence partout, tenue par le centre du calcul.

Qui se rapprochera de ce centre et de cet "oeil" omniprésent sera sauvé, qui s'en écartera, perdant vitesse et visibilité sera exclu, réputé "fou", ne comprenant pas l'enjeu du procès : Changer de conception pour pouvoir parler, se comprendre = "participer".

Et tirer de cette pure théorie de dressage mental et politico-social : "le rêve du Père-Mère", dans une cité dite "céleste" : contrôlant ses "participants" depuis ce centre (le "bourg" où se tiennent les "notables" - ceux qui comptent et décident, le pouvoir) comme le ferait le centre d'attraction d'un système solaire, une mécanique. Ce modèle lui-même fut repris par les révolutionnaires français, comme image d'une société "idéale".

 

Car nous entrons bien dans un "moment" (issu du couple de forces : fini contre infini) entièrement modelé sur la mécanique des forces célestes : "Si l’on ouvre le Cube, ou plutôt ces 2 COEURS, on aperçoit le 125ème Dé. Il Est le Point de Singularité, l’Œuf du Monde, la QuintEssence insécable de cet Amour Éternel qui ‘‘Aimante’’ Tout l’Univers." C'est tout simplement la description d'un moteur, dont le centre omniprésent dirige les "125 dés" qui sont sa reproduction sociale, tournant autour du centre du calcul (le bourg dans un système social gouverné par ses "notables", ses "élites" calculantes).

Plus bas, Arnaud Mussy nous dit qu'il a atteint la "8ème gradation du cube". 1/125 = 0.08. Toutes ces "portions" ("participantes") sont bien des copies fractionnées, de sa propre "présence" à tous les temps de ce système.

Il en parle les deux langages : celui du monde fini et celui de la spiritualité infinie, de sorte à pouvir nous terroriser avec nos propres valeurs. SI nous le rejetons lui, ce sera comme "rejeter André Bouguénec", aux yeux des "participants" qui en tireront prétexte pour se jeter sur les isolés, les "fous" minoritaires. 

Des "contorsions" au "non temps", revient donc à imposer à notre oreille, une mécanique simpliste, mais cachée sous les mots tirés du langage d'André Bouguénec, pour noyer le poisson, se rendre incompréhensible, et par ce moyen, assurer à son discours une aura que nous n'oserons réfuter, lui permettant de séduire les plus stupides d'entre-nous, ceux qui vont croire en cette mythologie ("salut" = "comprendre" = "destruction de notre perception" : de la vision du monde réel) du progrès de ce langage, vers la "simplicité" et la facilité.

Ce faisant, "La Mère" (qui n'est pas "Anna"), se situe dans le camp des inefficaces, de ceux qui éloignés de centre solaire, tourneront plus... lentement.

Leur détachement total les renverra dans les limbes du cosmos vide, l'inertie complète, c'est-à-dire la mort, sans mouvement.

Arnaud Mussy remonte le temps, forcément : il est le "tackyon", etc.

 

Le "texte" réduit en bouillie logique, aura servi à censurer toute réponse, toute "parole" libre et contradictoire, personnelle, parlant naturellement, pour nous conduire dans un contexte chiffré, où le temps de nos propres mouvements ("momentum" = moment et mouvement), sera désormais lié à un chiffre imaginaire, mais géométriquement irréfutable

 

L'attraction universelle aura alors fait faire le tour complet à son projet de "révolution", pour éliminer André Bouguénec et la parole libre, au nom même d'André Bouguénec, pour laisser la place à Arnaud Mussy, jugeant désormais sans se montrer, au nom de principes habilement présentés, donc sans limite

 

André Bouguénec disait : la base de la société c'est la famille. C'est-à-dire l'hérédité mais aussi l'individualité - dans une famille, l'enfant est élevé pour qu'il puisse un jour se libérer. Famille déchirée par Arnaud Mussy (voir imagerie présentée plus bas),. Dans la famille, chacun à son propre temps, chacun pouvant SE juger en fonction de SES progrès, engagements, libres. 

 

 

Le Testament et l'héritage

Qui dit famille, dit Testament après un décès.

Le contraire de l'incarnation, c'est l'abstraction, qui va utiliser les mots de l'incarnation, pour les fixer dans des chiffres, afin d'en ôter le rattachement au "visible", au concret, au vérifiable, objet de notre bon sens : notre "perception du temps linéaire", c'est-à-dire de la succession naturelle des choses : la famille justement. Ce qu'on peut encore appeler une logique naturelle et charnelle.

Dès lors que nous nous sommes engagés dans ce système, la définition, la limite du mot est détenue par celui qui en connait le sens exact, fini, humain, matériel, se cachant derrière l'invisibilité (illusoire) du mot-source, y trouvant prétexte à son pouvoir.

Et ce n'est pas par hasard, s'il place sa signature ("M"), au centre du cube Sator. C'est qu'il représente le "Testament" d'André, sa succession, son temps.

André venu "déposer" : Le mot dépôt signifie "mettre à terre". C'est le dépôt d'un testament de l'infini : le Carré sator, qu'Arnaud Mussy accompli en "Nouveau Testament". 

La main tendue ayant aussi le sens de "main posée", expression signifiant "héritier" en sanscrit, et qui interrompt le cours d'une succession naturelle, en la stoppant sur un point ("mon parcours systématiquement ponctué sur un 16 décembre").

"André Est l’Abyssin du Futur, « le Maître de Justice » venu déposer la Conception du Grand Œuvre (avec ses 7 livres). Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en ‘‘p’tit Jésus’’ pour L’accomplir. Je Suis « le Paraclet », « l’Esprit de Vérité » annoncé après Son départ. Tel un tachyon, André a pris soin d’arriver (à travers moi) avant de partir. Alors oui, comme une particule qui remonte le temps, je suis bien André revenu « comme un voleur » parmi vous pour sculpter et sceller la 1ère Pierre de la Jérusalem Céleste (la lettre M). C’était aussi cela le sens caché de « l’Ultime Grand Secret »."

 

Confirmation qu'on parle bien d'un "procès" : ce mot signifie "marche", et "l'accomplissement final" d'André concerne "son parcours"... et le nôtre : "en ce qui vous concerne, il n'était pas difficile de suivre André à la fin de sa vie". 

"Il n'était pas difficile de suivre André" =  Il était facile de lui faire un procès.

 

Le mot "Testament" signifiant à l'origine "ce qui est mis dans un coffre" (teckhe), et plus avant : "poser", on comprend alors la formule :

- "André Est l’Abyssin du Futur, « le Maître de Justice » venu déposer la Conception du Grand Œuvre (avec ses 7 livres). Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en ‘‘p’tit Jésus’’ pour L’accomplir. Je Suis « le Paraclet », « l’Esprit de Vérité » annoncé après Son départ. Tel un tachyon, André a pris soin d’arriver (à travers moi) avant de partir. Alors oui, comme une particule qui remonte le temps, je suis bien André revenu « comme un voleur » parmi vous pour sculpter et sceller la 1ère Pierre de la Jérusalem Céleste (la lettre M). C’était aussi cela le sens caché de « l’Ultime Grand Secret »."

"Comme un voleur"... ou "ARNaqueur.

Nous y reviendrons tout de suite. 

 

Puis :

- "Saisissez-vous pourquoi le Fils devait poser la lettre M pour rénover le Cube ? C’était pour permettre à Dieu de concrétiser Son Rêve le plus absolu : devenir enfin MERE et PERE dans le cœur des hommes."

"Le fils", c'est-à-dire l'héritier, ayant lui-même posé son nom, pour en tirer un progrès. 

"Poser" signifiant : mettre à terre.

A noter que "Moïse" représente le parti de la "contorsion", des "juifs s'arqueboutant sur cet héritage" issu d'une succession antérieure...

D'où la "mission" d'Arnaud Mussy : réécrire cet Evangile, sans André, "accompli", pour "retrancher" dans la "famille" (le temps linéaire par excellence, héréditaire et le monde réel). Retranchement précisé par la couleur d'un éloignement (géométrie), d'un oubli du réel, représenté par la couleur grise. 

  

Pourquoi un 16 décembre ?

Caricaturer signifie : charger. Le "16 décembre" désignant la fête des caricatures du pouvoir légitime et héréditaire, brûlé sur la place publique : les Saturnales, qui évolueront dans l'histoire européenne en Carnaval, Fête des fous, jusqu'à devenir un véritable modèle pour les participants de la Révolution française.

Ces "points" revenant régulièrement ("systématiquement"), tous les 10 ans. Ce cycle est le modèle du mouvement planétaire, image de tous les mouvements de tous les corps de l'univers.

Le rire (qu'on retrouve dans l'imagerie de la "fête") est le fruit de la "charge", de la caricature (durant la fête révolutionnaire), mise en axiome.

 

Le "joker de Dieu" est une caricature déguisée, tirée des "contorsions" du temps : une charge "prouvant" le "vice de forme" du mauvais juge, n'appliquant pas le texte de la "justice", car "tricheur", se trouvant des "excuses" : l'imitation de Dieu.
 
Mais devant alors laisser place à l'autre déguisé, des oripeaux du discours fort, de la "science" permettant au "point fort" de laisser passer "tous les mots" (cf. sa "traduction" du livre de Marie de Hennezel).
 
Voilà pourquoi Arnaud Mussy accuse le "joker de Dieu", mais demandait à ses répétiteurs, de "tous être des joker". Sans Dieu. C'est-à-dire des imitateurs bien dressés, et sans valeurs.
 
Les "élus", "participants" pour ne pas être eux-mêmes jugés, "riront plus tard". Autrement dit ils apprendront comment procéder pour devenir "acteurs" de ce tribunal où sont mises en scène des marionnettes.

 

A propos de Jérémy Trossais, appelé "bouffon de l'univers" : qui fait rire l'assemblée

Nous n'apprendrons à personne à quel événement correspond la date du 14 juillet (similaire au 16 décembre), à laquelle Jérémy Trossais à mis fin à ses jours, pour "ouvrir les portes du ciel". Arnaud Mussy déclara lors de son procès de 2002, que celui-ci avait une "fêlure", ajoutant à cette image de rejet en folie, et de rejet du dressage : la dysharmonie en résultant.

La "fêlure", c'est de se trouver dans l'entre-deux des discours d'André Bouguénec et d'Arnaud Mussy, autrement dit ne pas passer le cap du "non temps", de ne pas "basculer".

Bouffon de l'univers : qui va à l'extérieur, vers l'infini, l'universel illusoire (les "portes du ciel" n'ouvrant sur rien) isolement, et solitude par "non participation" au "cercle" de "l'amour" révolutionnaire : l'inertie.
 
Le "14 juillet" c'est la terreur révolutionnaire, le TNT.

 

Un "bouffon de l'univers", comme on l'avait appelé en Néo-phare, c'est aussi quelqu'un qui fait rire. Le bouffon est historiquement une figure de Carnaval.

Cette fête en rapport avec le "rire plus tard", signifie le renouvellement permanent et infini du pouvoir, de sa jouissance (fête), rendue possible par l'usage de mots évoquant l'infini, impossibles à circonscrire à du concret.

 

Et quand Arnaud Mussy évoquant son sentiment vis-à-vis de son suicide, répond : "c'est seulement un drame", il présente l'isolement ("seulement") de celui qui a reçu un choc ("trauma" = drame) : TNT.

 

 

Le tribunal

Ce "parcours de résurrection", étant "ponctué" des phases du procès, commençant par la découverte de signes, d'indices, suite forcément à une en-quête : 

André est d'abord touché, par l'ironique annonce de la découverte d'une tromperie :"le soir même je découvre chez Élodie et Olivier qu’André est Jésus"

(Les questions, ce sont des en-quêtes judiciaires. Dans ce courrier où il annonce sa venue, il précise en post-scriptum qu'il "pose des questions" mais nous "attend au tournant avec nos réponses"... Il va, comme en toute enquête judiciaire (questions posées à des personnes naïves, "gentilles" : recouper les réponses, cherche les "contradictions", les subterfuges, les tentatives de "détournement" ("nous attend au tournant avec nos réponses"), c'est-à-dire les alibis et excuses du "temps". 

Lui n'est pas "ailleurs" (alibi) : il arrive et sera présent, tous les 16 décembre par exemple, comme un "point" ("systématiquement ponctué") qui dévore tout notre langage. Mais cette annonce est faite en post-scriptum : après signature. C'est là qu'il se cache. Sous son paraphe ("M").

Pour terminer par le jugement...

N'est-ce pas en "rentrant dans les détails" (de nos contradictions, de notre procès), qu'il nous "brûlerait les ailes" ?

 

La preuve géométrique de cette pure image étant irréfutable.

A la fin des "torsions" du 16 décembre, on obtient un tour complet et une révolution.

 

Et encercler c'est cerner, c'est contraindre la vie, par ce pouvoir obtenu par les mots : Dans cette "OMNI (cf. : tout) po-TEMPS-ce" il faut deviner, par simple dé "FINITION" (cf. : qui vient du FINI), la puissance de Celui qui "MAÎTRise" tous les Temps (cf. : « Je Suis Celui qui Suis »).

 

Mais "revenir" c'est aussi être témoin, être informé pour dire : je suis le mieux placé pour "parler", annoncer la nouvelle succession, et son nom : "M", un paraphe sur un testament (le SATOR), signifiant à son tour : tourner la page.

"Cétypafuté" ?

"M" représentant le paraphe pour "tourner la page."

 

Mais en tuant l'héritier ("attribut même de la Jérusalem... céleste, donc jugée) par le langage même de l'héritage, amenant une réduction des victimes, quand les autres se grossissent, d'où l'image de la double chair : deux chairs, allant en sens contraire d'évolution ("ADN")... par une ARNaque : celle "d'ARNaud". Le mot "arnaquer" ayant pour sens primitif : « amuser afin d'escroquer », autrement dit se déguiser, tirer parti du Sator pour dresser et se faire naitre.

 

C'est là la clé de son apparente génération spontanée, issue de rien, d'un signe.

Rappelée dans cette autre citation montrant la contradiction entre un "Fils" de nom, et un Fils de chair. Avoir en soi, c'est avoir créé, et non reproduit.

"Alors pour accélérer le processus vers le Bien, il n'y a qu'une seule façon, pour respecter la liberté justement du choix humain, c'est d'accélérer le mal en précisant l'inspiration dans le mal. Comme je dis souvent : "Pour que ça aille mieux, faut que ça aille plus mal, plus vite". Propos complet

"J'ai maintes fois expliqué les raisons de cet antagonisme, de cette influence contraire aux leçons des Inspirés, des Prophètes et des Messies. Le but de la création de l'humain est qu'il devienne un dieu, un fils du Père Divin. Un dieu sans énergie condensée, sans volonté, sans créativité exclusivement dans le Bien, est absolument inutile à l'intention de la Mère de la Vie. Jésus répond dans l'Evangile que Dieu, s'Il le veut, peut susciter des fils d'Abraham à partir des pierres du chemin ! Autrement dit, Il peut transformer toute matière en un fils louable, spontanément !
Cela n'a aucune valeur sans un long procédé d'existence auto-élaborée par un être qui doit chercher, choisir, devenir par sa propre volonté, un être de qualité. Les refus de toutes tentations mauvaises cumulent en lui, une énergie indispensable à sa future divinité. N'oubliez pas : Dieu vomit les tièdes ! Cela veut dire qu'Il les rejette de ses bienfaits et les envoie post-mortem dans les planètes purgatives d'involution". Introduction à Qui a créé Lucifer, André Bouguénec.

Vous avez bien lui : "peut susciter des fils" "à partir de pierres". Ce dernier terme désignant évidemment la matière.
 

Etude plus approfondie sur les guillemets, utilisés par André Bouguénec, dans le contexte de propos sur Arnaud Mussy.

 

 

Recoupement :

"A moins d'être un despote, nous savons tous que les relations entre un Père et sa progéniture ne peuvent indéfiniment s'inscrire dans la stricte observance des lois. Alors, Dieu, par l'intermédiaire de Jésus, fit naturellement évoluer cet échange par des principes qui privilégiaient non plus le simple respect, mais l'Amour de l'autre... Le précepte « Tu ne tueras point » s'est transformé en « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Le processus est exactement le même au sein d'une famille : dans UN PREMIER TEMPS on incite un jeune enfant à partager... puis, dans UN SECOND TEMPS on l'enjoint d'aimer ses frères."

Que voilà de "l'amour" qui fonctionne comme une horloge, avec la "fraternité" comme prétexte du sacrifice de soi.

Ce à travers un procès (processus = temps) DE LA PREMIERE FORME D'AMOUR, tirée de l'hérédité ("Jésus"), commué en "précepte"... pour changer progressivement : dans un premier temps... dans un second temps... "injonction" quand le mot "amour" se retourne contre nous-même... où l'avocat ("intermédiaire" pour nous sauver du tyran ancien et de ses "lois strictes")), devient celui qui tranche à la fin du "procès" (premier temps, second temps...), pour "enjoindre" (force) à l'amour (mot que personne n'osera lui opposer sous peine de PASSER POUR UN FOU).

 

 

Recoupement : Révolution et retournement des définitions du Ciel

Lorsque le ciel se retourne contre nous-mêmes... Tous ces extraits sont tirés de Satornet.

"LE RETOUR DU CHRIST = 216, c'est-à-dire du Verbe."

...

"Pour son retour, à travers l'ALPHABET (= 77) français".

...

"Le plus important est-il de vénérer l'Homme Jésus - y compris pour son retour - ou d'assimiler quotidiennement la substance de son message ?"

...

"il est logique que le retour du Verbe soit symbolisé par le "Z - A"

Satornet, Arnaud Mussy

 

Dans ces quatre exemples, le "retour", est explicitement associé au langage. Le retour, c'est le retournement d'un homme, par le retournement de son langage, c'est la création d'une nouvelle définition des mots de notre enseignement et de notre langage naturel.

Pour un "règne" :

"Voilà, Il tient ses promesses et comme le dit si bien la prière : "son règne arrive". C'est discrètement que se réalise le retour du Verbe, afin de révéler ce qui demeure pour l'homme, un mystère : son origine angélique, son "PRESENT" (qui est aussi un cadeau) si important dans la perspective d'un futur état... androgyne et divin."

 

Se faire Dieu à la place de Dieu est le "REVE" même de Lucifer, inversant pour cela les mots, celui de "Dieu" désignant forcément alors : le Diable. Alors le système d'inversion est complet.

Incidemment, voilà la raison pour laquelle il fallait tellement ridiculiser et réduire André Bouguénec à "celui qui se prend pour Dieu", afin de mieux le remplacer tout en feignant la fidélité, pour en conserver le rapport au nom... Ce pour mieux l'évincer en devenant peu à peu le "recours" (l'avocat) des pauvres victimes phare-ouestiennes, du "despote" et "tricheur" André Bouguénec.

Le cerveau étant incapable de comprendre en temps réel, un discours qui dit une chose et son contraire en même temps : qui "aime" André Bouguénec, et qui l'évince à la fois. 

C'est par la destruction de la logique naturelle, humaine, la logique temporelle classique, que Lucifer peut ainsi prendre le pouvoir... sans se faire voir, en restant à jamais invisible, parce que sa langue emploie des termes sortis de tout contexte concret, et par-là même impossible à définir, à comprendre.

Etant le plus "fidèle" de tous (ex : "je me réclame à 100% d'André Bouguénec" - soit des mots ("réclamer"), confirmés par un chiffre), on ne peut le mettre en doute sans se mettre en doute soi-même, sans se tirer une balle dans le pied aux yeux des autres membres de la communauté, de l'opinion plus exactement.

 

 

La langue de l'analogie Dieu | Simplicité matérielle

Tous les éléments de ce texte sont inscrits dans un système temporel mécanique, s'exprimant dans la grammaire du langage-machine, dont la valeur dépend de... notre bonne mise à jour : déclenchement (d'une machine, d'une décision sur critère d'un calcul), basculement (selon un poids), suivre (passer d'un point à un autre), tout ce qui relève des lois de la matière, transcrites dans du chiffre.

Autant de termes simplistes (pour les amateurs de progrès, ne voulant plus "perdre leur temps" à chercher, se créer, mais préférant imiter et obéir) emprisonnant l'homme dans des mécanismes simplistes, des images s'engrenant de proche en proche, par le recours à notre propre imagination, pour établir une chaine (d'images) parfaitement fermée, mais bien rationalisée par des dates, "heures", mois et années, qui imposeront une pression pour aller vite à "basculer" dans la langue de la "science", de "l'irréfutable", permettant de verrouiller dans notre psyché avide de "progrès", chaque nouveau "point" acquis.

Ces recours au calcul commençant par des "combien de fois" (création d'un raisonnement probabiliste, amenant à induire ce qu'on voudra, mais déclenchant quoi qu'il en soit, une réflexion). On a encore : "venir", "revenir", "non temps", arriver, "huitième gradation" (ou "grade"), "appuyer, "mener à terme", "basculer", "fonds", "suivre", "cube", "échantillon", 1/125, etc. etc. etc.

Tous ces termes seront repris par des "singes savants", répétant des slogans chiffrés sans les comprendre, mais permettant de montrer à quel point ils sont "unis", eux !

C'est d'ailleurs la conclusion de ce texte : Arnaud Mussy déclarant "je sais que". Car c'est la fin : devenir un "savant" impressionnant, mais pour créer la pression, poser un "dilemme" : ne pas le suivre et être perdu, ou le suivre et être sauvé, mais y perdre son individualité.

Descartes, ou Kant disaient : Nous possédons en nous les lois simples de la compréhension des lois simples de toute matière. Comme... tourner, suivre, atteindre...

Puisque tout se suit, tourne... c'est que tous les objets nommés sont analogues à des mécanismes, mus par des lois matérielles : attraction et levier de notre psyché.

Ce n'est d'ailleurs pas pour rien si les deux seuls scientifiques nommés dans ses textes placés dans Satornet, sont Newton et Archimède.

Pour réaliser une âme totalement mécanisée, de plus en plus conditionnée à force d'engagements successifs dans ce qui est forcément admis par tous les "participants", nivelés au possible.

Son "coeur" mécanique, n'est-t-il pas, par analogie avec celui de la Révolution copernicienne, une reproduction de la loi de "l'attraction universelle" : "la QuintEssence insécable de cet Amour Éternel qui ‘‘Aimante’’ Tout l’Univers" ? 

Ceci dit à travers un discours mêlant une mythologie d'images irréfutables, rendant parfaitement aveugles de ce qui se produira au nom de ces slogans.

 

   

 

La symétrie 

La symétrie fini / infini, c'est du bancale. Seule la symétrie matérielle, parfaite, sera stable : le cube = la paix, obtenue en détruisant la "Jérusalem céleste" : phase concrète du pouvoir, du "TNT".

"Revenir du non temps" c'est créer un axe de symétrie entre la Terre et le ciel, entre le passé et le futur, entre l'infini et le fini, entre toutes les catégories de notre enseignement, pour pouvoir créer un système complet de doubles définitions permettant de séparer le fini et l'infini, en accusant l'infini, de mensonge, de facteur de "contorsions".

Ex : la symétrie de la TETE du "christ", dont une seule va regarder vers le passé, et s'éloigner visuellement, se "griser" (comme "forme"), à quoi se rajoute l'opération 2 - 1 (bis = 2 - 1). Le visage, c'est la TETE, le "chef", etc. Mais celle d'André Bouguénec est celle de la vieillesse.

 

Le centre du cube, est aussi un carré démultiplié, où "M" a atteint la "huitième gradation du cube" (un "grade"...), le chiffre "huit" symbolisant l'infini, dans le fini, et... une symétrie dans sa forme.

 

Quelques images de symétries :

On trouve d'autres symétries similaires et parfaitement subliminales (tous les coups sont permis) en ce courrier, comme celle qui passe par ses couleurs si attrayantes, si ludiques, peignant les "mots" de ce pur schéma, incluant Arnaud Mussy en plein centre, et dont voici la liste dans l'ordre d'apparition : André ; Lui ; Sommes ; André ; Lui ; Tachyon ; André ; 62 ; Père ; Rejeton ; Enfants ; Père ; André ; face accomplie ; Moïse ; Jésus ; André ; Arno ; Vieillard ; André ; André ; Jésus ; Bang ; opéra ; André ; ADN ; Couple ; André ; André ; Christique ; couple ; Christ ; Christ ; Vierges sages 153 ; André ; Christ.

Il y a en tout 36 sujets nommés. S'étonnera-t-on de ce que le mot "Arno" soit placé exactement à la 18ème place (comme la lettre "R" de retour = révolution), mais aussi comme "coupe" de cette symétrie. Il est : celui qui tranche.

La répétition régulière du mot "André", à intervalles régulier, allant du centre vers l'extérieur, était évidemment attendue.

 

La pagination est très étudiée elle aussi. En effet toutes les grandes étapes et personnages présentés en cet ensemble, le sont en "tête" de page. Quelle spontanéité, quelle vie dans l'écriture ! Tout est cadré, millimétré. Pas un mot ne doit déborder.

On a ainsi :

Tête de la page 1 : Aujourd'hui, André est accompli ("accomplissement comme accusation et épuration)

Tête de la page 2 : André est l'abyssin

Tête de la page3 : Notre mission finale... (au centre de ce nouveau système)

Tête de la page 4 : Aujourd'hui j'ai accompli

Tête de la page 5 : (Mon) parcours (daté) du 16 ( = 24). (un point 0 en conclusion, pour indiquer son éternel renforcement)

 

"M" est un paraphe. Paraphe vient de "paragraphe", du latin paragraphus. C'est un titre  

 

 

La porte de la Basilique de Vézelay : un autre sas

Le procès faussement religieux sera imagé plus bas par le sas représenté par la porte, ou le Narthex (jugement et porte permettant le passage du profane au sacré, mais aussi forcément : l'inverse) de l'abbaye de Vézelay, montrant les "apôtres" en jugement, à la TETE de qui, "M" se trouve, rappelons-le. 

Le mot Narthex signifie "férule" : Direction rigoureuse, autorité sévère, domination, despotisme de quelqu'un ou de quelque chose.

Ce jugement les sauvera ou leur fera "perdre la tête", nous dit l'adepte des couperets révolutionnaires, datés comme tels.

Dès lors, il faut choisir : trancher, pour passer la "porte". Et quand on ne comprend rien, on fait appel aux plus in-formés.

D'où : le Phare-ouest, mis sur la sellette, ici, du tr, qui "tranche" la tête des faux apôtres, après passage par l'abstraction :

1 - Famille naturelle
2 - Famille dégradée, ternie (comme Couple et alchimie, lointain, trouvé par le "bras" d'Arnaud Mussy à... "Ternes") et mise en croix, pour effectuer un tri, une s'élection, la couper, en lui faisant perdre la couleur de la chair, ternie car mise en perspective, évoquant à un mouvement de disparition, dans le lointain, vers la petitesse, l'entropie.
3 - "Apôtres ayant perdus la tête", accusés par la matière, le chiffre qui conclue.

Le tout présenté sous la forme schématique d'une pâle de moteur, dont le mouvement... incitatif, est figuré par les flèches.

 

   

 

L'accusation du parti caricaturé du "passé", lourd et dégoutant

La prudence, c'est de "voir". Ne plus voir, c'est ne plus regarder en arrière, aduler le "progrès".

Alors il s'invente une majorité par le mot "amour", et une minorité par le mot "fou".

Le faible, le minoritaire réel, va faire en sorte que sa cause devienne la plus forte dans le langage. Pour qu'elle progresse invinciblement.

L'idée à rejeter recevra des termes impliquant le dégout, le rejet, la faiblesse et la mort, etc. et l'autre amènera l'assurance, la force, la survie, la "présence".
 

Qui est accompli à date T, s'éloignera. Qui est accompli sur la "huitième gradation du cube", grossira "systématiquement" "tous les 16 décembre".

Comment amener à décrire le passé comme "minoritaire" ?  

Le contraire du mot "avenir", n'est pas "passé", mais : aller, disparaitre, envoyer, quitter, s'en aller, s'enfoncer, autrement dit aussi, pour faire allusion aux prévisions de René Guénon, se dissoudre.

D'où, qui va vers le passé, est affublé de la lourdeur, il prend du poids, s'écrase et rapetisse, perd en vitesse, pour disparaitre, comme le bouc émissaire dans le désert, éloigné du "centre d'attraction".

Cette "lourdeur" suggérée, ayant pour conséquence notre rapetissement, et notre rejet consécutif du "futur". Ce rejet (dans le désert) représente l'angoisse primitive de l'homme, sa plus grande peur : la mort.

Voilà aussi pourquoi sa "Mère Suprême" est décrite ici comme "lourde", là comme "indigeste".

Passage tiré de Satornet, traitant de l'Apocalypse (un "jugement") après évocation des "fondamentaux" (ce qui s'efFONDre) d'André.

"Les hommes qui détenaient tout en "poten-CIEL" pour faire de cette Terre un paradis, par l'Amour, par la connaissance de leur Créateur et de leurs frères, refusèrent les prophètes venus les aider dans cette lourde tâche. l'un des derniers en date fut Jésus. Lassé des errements humains, le Ciel prévoit donc un grand "BOULEVERSEMENT" pour cette fin de siècle."

"Lourde tâche"... Pour le "dernier en date", "Jésus"... mais il n'est pas seul, car seulement "un des derniers", "en date" (= calendrier terrestre), pour le ciel, maintenant défini comme cicularité (boule-versement) révolutionnaire.

Le ciel prend alors le sens de nouveau juge, temporairement présent au "ciel", lassé... des répétitions, forcément, amenant "errements" (dans l'espace des inertes, des rejetés).

Vous avez à présent les moyens de comprendre son intérêt pour "l'effondrement des deux tours", en rapport avec des dates anniversaires, devant amener des "fins du monde", celles d'André Bouguénec, et la nôtre. Avec un jour en moins en ce qui nous concerne, mais nous, n'étions pas encore totalement morts... il nous restait une chance, donc, de comprendre le "code" et d'y "participer".
  

Les effets de tremblements, sont également présents ailleurs dans ses écrits, attribués au théologien Arnaud Dumouch. En cybernétique, ils précèdent les effondrements, sauf si on inverse le sens des réponses. Par des moteurs.

 

C'est pourquoi on trouvera partout en ce texte d'Arnaud Mussy et en d'autres, des "tailles", déployées dans des "repères", amenant des idées de "poids", de "dimensions", "d'écartements", de "rapprochements", de "vitesse" et de "lenteur", etc..

André est cet "abyssin du futur, qui arrive... avant de partir".

C'est encore le "petit" Jésus (taille, grandeur) Arnaud Mussy, qui donc : deviendra grand : "Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu en "p’tit Jésus" pour L’accomplir".  

C'est pourquoi encore, pour séparer, éloigner, tout ce qui relèvera du Phare-ouest sera traité comme "passé" et rapporté à des images de dégout, suscitant le rejet.

Qu'on en juge par les mots qui nous concernent :

Devons déchirer le voile de notre perception ;
tester le fond de votre âme
tomber
arque bouté
folle
cramponner
prendre une ultime main tendue
corrompre
ceux qui perdent la tête
basculez vite avant que l’Univers TEMET de la Mère ne mette l’OPHNAR et l’homme à terre...
ceux avec qui il faut "trancher"
ceux qui se brulent les ailes
ceux qui sont mis à terre
etc.

André Bouguénec, lui, est fixé dans une figure de la mort, mais participant à la fois du présent et du passé :

"Aujourd’hui, 16 décembre 2006, André est accompli."

Ensuite viennent :

fin de sa vie
vieillard
dernière apparence physique
Esprit d'André (désignant son "intelligence de la matière")
Date d'accomplissement

    

Arnaud Mussy : Parlant toujours au présent (accélération permettant d'englober tous les temps contorsionnés), "MAIN TENANT"..., se "situe" comme "actuel" et "toujours", ou au futur :

Quant à moi, Je Suis Lui-Même revenu...
Je Suis « le Paraclet » ;
Je suis bien André ;
Laissez-moi vous donner ;
"Je sais que" , je vous pose un (sacré) dilemme".

Progrès vers le contrat ("huitième gradation du cube", expression paraissant délirante, mais en fait parfaitement étudiée)

remonte le temps
sculpter
poser
apparence différente plus jeune.

Cette dernière formule permet de parler du "double visage de la prudence", comprendre comme une symétrie opposant les deux "sages" en termes de vitesse de pensée, le "vieillard" regardant vers le passé, s'éloignera - accompli ! - de la "prudence" comme sagesse, opposée de la "folie". La sagesse amenant le salut de la "jeunesse" regardant elle, vers le "futur".

 

 

Recoupement dans Satornet

"Aucun iota de l'univers n'est voué à l'inertie, alors, plus que jamais, la roue tourne, la TORA devient ROTA et le recto devient "VERSEAU". Tant pis pour ceux qui veulent rester définitivement enchaînés à leurs vieux symboles et à leurs vieilles clefs périmées.

Le vin d'hier "a fait son office", il est aujourd'hui servi dans de nouvelles outres, ou plutôt de nouvelles COUPES. "ENTENDEZ" par-là, de nouvelles COUP-ures, de nouvelles césures, de nouvelles PER-MUTATIONS à partir des mots nouveaux ; donc, de nouvelles sonorités qui "éclatent" pour un nouvel entendement, façonné "depuis toujours" pour les esprits d'aujourd'hui."

Couper, c'est alléger, épurer, trancher. L'oeuvre du juge, pour du "nouveau", un nouveau ciel = un nouveau juge. Celui du "ciel" comme nom, jugé.

Et comme un "iota" est un symbole", même s'il n'y est pas voué, l'inertie le guette si...

 

 

Recoupement en réunion :

Sur la cassette G41 face A, André Bouguénec parle du levain de l'avenir, que sont les phare-ouestiens. A ce moment, Arnaud Mussy rentre dans la conversation en présentant ce passage présent en tête de son courrier, tiré de L'Ultime Grand Secret portant sur "l'heure de la Mère", afin d'en tirer l'argument de notre "double responsabilité" au regard de l'avenir.

Etre doublement responsable, c'est porter une double charge, terme judiciaire pour désigner ce qui "pèse" sur l'accusé.

 

 

 

Les paraboles (géométriques) des Evangiles

On ne s'étonnera plus du choix de ces paraboles, traitant toutes deux de "retour" ( = révolution) précédant une nouveauté.

"Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant".

N'invitaient-elles pas chacun à veiller, à [= pour le slogan : ] se préparer aux Noces de Marie et Jésus, plutôt que de se cramponner à la dernière apparence physique du Rejeton ?"

Ces deux paraboles traitent géométriquement ("aller comme un gant") de la rencontre surprise, laissant sans voix, censurant les personnes jugées. Avant les conséquences : une séparation.

Les époux des "vierges" doivent en effet, re-venir : à l'improviste, pour ensuite "fermer la porte" (du tribunal : on ne peut en sortir), mais aussi pour rejeter les vierges ne s'étant pas préparées à ce retour.

L'époux, venu par surprise, va trancher. Lui , sait "l'heure". Il est "informé". 

Quant à la parabole des disciples d'Emmaüs, elle décrit des "compagnons", "surpris", après un "choc", de ne pas avoir reconnu Jésus, re-"venant" au moment : opportun.

 

 

Un "Nouvel Evangile" de la régénération par les chiffres

Un Evangile, c'est un "Testament", écrit devant témoins, en principe. "Evangile" reposant sur quoi ? Un tombeau : représentant un couple endormi dans la pierre, passé, mort. Ce couple, ce sont deux classes sociales, encore endormies, et représentant la famille morte, la succession, accusée et lourde, comme il se doit.

Rien de plus simple, nous dit Arnaud Mussy, que son nouvel "Evangile" remplaçant l'Evangile "accompli" "d'André".

D'une "simplicité" "qu'on n'imagine pas", simplement parce qu'elle ne touche qu'au savoir clair et net, destiné à des enfants, bloqués dans leur "commencement". 

Par ailleurs, l'article "de", trouvé dans les titres de ses sujets, prouve que le sujet réel de chaque section, est une extraction, une abstraction, laquelle consiste systématiquement en un calcul de... ceci ou cela, hérité "de", ceci ou cela. De : De marque la condition préalable d'un procès ou du résultat d'un procès matériel ou moral. D'où évidemment la vitesse de compréhension de cet "ouvrage".

 

"Simplicité" de son évangile, mais bizarrement, traitant de "lois de Planck", "Big Bang", et autres thèmes scientifiques demandant des années d'études pour être seulement compris comme problèmes... et pas compris pour autant par les scientifiques eux-mêmes.

Ceci pour permettre aux plus simples d'esprits, de se sentir savants, tout en suivant des règlements débiles, et faire taire les autres, qui n'oseront réfuter de si grands esprits !

La liste de son contenu commence par l'énoncé d'une "maitrise" par Arnaud Mussy, allant vers une "simplification" des calculs avant contrôle par le temps, des heures, du "tour" des choses : le procès par la pression du temps qui passe avant jugement : "TNT" : si vous ne basculez pas, vous serez des traitres, etc.. Rien de plus simple que ces "signes" permettant de faire peur : l'heure.

En cet "Evangile", la seule logique finie, est celle de la pensée d'Arnaud Mussy, qui établit des "plans", des "scénarios", décrit des "gradations", etc., autant d'images primaires, maquillées de science, pour détruire notre capacité à la réfuter par une vraie logique, visuelle, elle.

Le dernier point fait même "disparaitre le principe d'incertitude", base de la critique logique, saine... D'où découlera la "paix" de sa Jérusalem, c'est-à-dire la mort de l'héritier légitime, par la famille.

Cette liste précédant un "jugement" : le huitième "point". Ce qui renvoie au chiffre 8, déjà évoqué plus haut, dont l'image est celle d'un moteur.

Ce huitième point est le "jugement" des "anges" (une classe également endormie, et en attente de jugement, comme son couple de pierre). Les anges furent parfois comparés par analogie, à des machines cybernétiques... Contrôlées du même coup par l'horloge.

Cet Evangile (Qu'on n'a jamais vu), dont (logique !) on "n'imagine pas" la richesse, la densité et la simplicité (...), qui, sur 900 pages (surprise : sa croissance magique de 100 pages depuis la précédente information à son sujet - pas une de plus ni de moins !), s’appuie systématiquement sur la structure du Cube SATOR (matière) et du Tombeau de François II, qui ne font qu'1..."

(II =) 2 - 1, encore... Ce 2 - 1 déjà mentionné plus haut, pour amener l'image d'un couple (famille, héritage naturel) qui disparait, quand un nouvel héritier apparait dans le Sator (Testament)

D'où la mort, présentée par le "tombeau de François II", indiquant la nature de ce Testament ayant fonction de "tri" par le calcul.

Rappel : ce couple est présenté au centre du cube, décrit plus haut.

Quant à ce "concentré de mémoire", amené dans sa conclusion ("Testament oméga de Dieu"), il se rapporte à nouveau à la "présence" ou du "non temps" jugeant les deux contradictoires (les "contorsions"), et obligeant chacun à se surveiller lui-même dans sa "vitesse" à "obéir" à la loi du groupe,.

En Néo-Phare les couples furent reformés, à coup sûr en fonction de la position de leurs éléments, vis-à-vis du maitre.

 

Voici donc la liste de ses "sujets", testant notre "simplicité" : 

1 - L’Ame du Plan de Dieu et le dévoilement du « Je Suis Celui Qui Suis ».
2 - Le scénario du BIG BANG et de son AVANT.
3 - Une description transcendantale de l’OPHNAR et de l’Univers TEMET avec ses Gradations principales.
4 - Les 4 Visages de Dieu ( Astrid L. + Arnaud + André + Anna ) présents dans l’Univers AREPO et OPERA avant qu’ils ne Fusionnent dans "l’Univers nouveau" TEMET (expliquant les 4 Forces de l’Univers, les 4 Nucléotides de l’ADN, etc...) .
5 - Une simplification de la théorie des cordes par rapport à la Matière imparticulée,
6 - Les mystères et les méandres du Temps, de l’Espace et de l'Amour qui tissent la Matrice (ou la disparition du principe d’incertitude au-delà du mur de Planck).
7 - La structure de l’ADN et l’ARN angélique, humain et divin.
8 - Les principales étapes du scénario angélique jusqu’au péché originel et la révolte
9 - La pluralité des visages du Couple Rejeton en parcours, et des gradations des 144 000, durant l’Ere Adamique.
10 - La nature divine du Couple et le rôle dévolu à chacun dans la Résurrection.
11  - Les Erreurs des 3 religions Abrahamiques, synthèses de toutes les autres.
12 - Les 17 Couples qui formeront la Synthèse de la Jérusalem Céleste.
13 - Le dévoilement de la structure divine de mon parcours et du Jour J.
etc... etc..

Dès qu'on les voit, les termes "de", "du", etc. permettent de comprendre les sujets réels de son Evangile : des abstractions, dont voici les étapes pour plus de simplicité.

De : "Hériter de, descendre de, tenir de, être issu de"

Liste non exhaustive de sa géométrisation : "plan"... "parcours", "nature", "étapes", "pluralité", "structure", "scénario",  "gradation", chiffres 4 (22), 4 (22), 4 (22) (les puissances de 2 mesurant les aires)... "univers" nouveau, "forces", "rapport", "méandres", "structure", "scénario" (encore), "pluralité", "parcours", "gradation" (encore), "structure" (encore), "parcours" (encore), et enfin d' "au-delà" (valeur horizontale, autant que verticale).

Pas un terme spiritualiste n'échappe au scalpel faussement scientifique et mathématique d'Arnaud Mussy, pour une conclusion telle que 2-1 = 0...

Qui osera s'opposer à un tel "sachant", sans risquer de se compromettre aux yeux de tous ?

Sur ce point, une petite parenthèse s'impose pour rappeler une des formules favorites des titres d'Arnaud Mussy. Qu'on peut d'ailleurs retrouver dans ses textes de Satornet : "De... à...", avec son commencement extrait (de...), et sa fin, sa conclusion (à...) : un procès.

  

 

 

Les questions du pédagogue, ou "grand inquisiteur"

"Amis lecteurs, interrogeons-nous", Arnaud Mussy, Un lecteur, in L'Ultime Grand Secret

Voici comment André Bouguénec me présenta un jour Arnaud Mussy : "Lui, je l'appelle mon Grand Inquisiteur, parce qu'il pose des questions" Et des questions, "pour savoir et pas pour être", dira-t-il ailleurs. Ajoutant : "Et là c'est foutu".

Une question pour savoir et pas pour être, c'est une question pour se faire passer comme savant, alors qu'on est vide.

Il est vrai que 2-1 = 0 n'est pas le calcul le plus futé qu'on connaisse. Mais tout passe dans des formules alambiquées au possible pour le faire croire. "Cétypafuté ?".

Arnaud Mussy dira ce jour-là : "Oui, le mal, y'a la partie mauvaise qui s'en va."

Quant au grand inquisiteur, inutile d'en faire l'analyse. Toutefois nous diront que dans le Droit français, un procès inquisitorial est un procès strictement fondé sur des documents, parce que sans témoin, où le juge procède, forcément, à la fois au traitement à charge et au traitement à décharge. Autrement dit il parle les deux langages de l'accusation et de la défense. Toutefois c'est bien lui qui tranche à la fin.

 

Les questions sont en effet un élément capital de la rhétorique d'Arnaud Mussy, puisqu'il en sort une toutes les dix lignes.

Dans Satornet, l'ensemble de ses textes contient exactement 141 points d'interrogation, pour 18 000 mots (arrondis à 100 près), soit une question tous les 120 mots. Si on compte 8 à 10 mots, pour une longueur de ligne moyenne dans un livre lambda, on arrive à une question toutes les 10 lignes environ. 

Notre courrier, qui en contient 11, n'échappe pas à la règle. Toutes ses questions ou presque, contiennent aussi l'adverbe "pour". 

"Pour" permettre de débiter des slogans creux mais impressionnants son monde, comme le font tous les "singes-savants", imitateurs de savants, mais sans le temps du travail.

Le premier sens de "pour" est "au nom de"... notions systématiquement décrites à l'infinitif présent, dans chacune de ses questions.

Ces "infinitifs" activant alors des "slogans" (et leurs inspirations), tels que : "susciter l'auto-engendrement", "accomplir les écritures", "rénover le cube"... "accomplir le futur", etc.

Et ce qui sera modifié par ce "pour", ce sera notre passé : au nom d'un présent permanent, après procès d'intention. 

 

Liste complète des 11 questions de ce courrier, traités pour la plupart, dans d'autres sections de notre travail.

1 - "Combien de fois André évoqua les ruses, les facéties et les tricheries déployées par le Ciel pour SUSCITER l'homme à s'auto engendrer ?"

2 - Vous pensiez qu'André Etait le Fils de l'Homme revenu [pour] ACCOMPLIR les Ecritures ?

3 - Saisissez-vous pourquoi le Fils devait poser la lettre M pour RENOVER le Cube ?

4 - C'est pourquoi, en partant, [André] voulut tester le fond de votre âme pour SAVOIR qui aurait suffisamment de Foi parmi vous pour le suivre dans son Accomplissement final ?

5 - Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant. N'invitaient-elles pas chacun à veiller, à [= pour] SE PREPARER aux Noces de Marie et Jésus, plutôt que de SE CRAMPONNER à la dernière apparence physique du Rejeton ?

6 - Maintenant, c'est à vous de voir si vous aurez assez de coeur, de courage et d'humilité pour COMPRENDRE, ACCEPTER vos trahisons (par actions ou par omissions), et RIRE plus tard de tout cela ?

7 - En un mot, allez-vous prendre cette ultime main tendue du Ciel et [= pour] CONSIDERER ces quelques pages comme un échantillon de la Pierre d'Angle, ou comme une Pierre de scandale ?

8 - Une Pierre d'Angle ou une Pierre de scandale ?

9 - Savez-vous pourquoi le Ciel organisa ce Futur en 2001 ?

10 - Le CHRIST TRISCHa avec le Temps parce qu'Il ne connaissait que trop bien votre manque de Foi de la Fin, pour DECIDER de vous FAIRE VIVRE cet Evénement dès le début. Cétipafuté ! ?!

11 - 5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer le récit de Marie-Madeleine, au sujet de la Résurrection du Christ, comme le témoignage d'une femme exaltée ? 

 

L'une de ces questions nous demandant "d'avouer", tout en nous rendant acteurs de notre propre jugement ("maintenant c'est à vous de voir"), puisque partout nos propres mots se retournent contre nous-mêmes.

 

Voici comment le cerveau et seul le cerveau est encore sollicité dans ces questions mettant le coupable dans une machine à laver, pour lui faire "savoir", après une procédure très proche de l'hypnose, sa culpabilité s'il ne va pas assez vite.

Mais, saisissez bien ceci - Extrait de la page 54 de l'Ultime grand secret
Combien de fois André évoqua
Comprenez qu'
Vous pensiez que 
il fallait opérer une petite greffe au coeur
Vous savez tous
Saisissez-vous
Vous concernant, il n'était pas difficile
C'est pourquoi, en partant, il voulut tester le fond de votre âme pour savoir qui aurait suffisamment de Foi
Avouez que les paraboles des « vierges folles » ou des « disciples d'Emmaüs » vous vont comme un gant. N'invitaient-elles pas chacun à
Maintenant, c'est à vous de voir
vous avez transgressé le Message
Vous n'imaginez pas
Entrer plus avant dans les détails risquerait, pour le moment, de vous brûler les "ailes''. (allusion aux deux lobes du cerveau)
Savez-vous pourquoi le
5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer
Je sais que là, je vous pose un sacré dilemme ! "

 

 

Note sur les points de suspension :

Les points de suspension sont, avec les points d'interrogation, grammaticalement classés comme des "signes forts".

Note aux phare-ouestiens : pour repérer un adepte du système ou un des élèves d'Arnaud Mussy, il suffit d'analyser ses propos, truffés de ces signes, et c'est très facile. Dès qu'on les a vus, on ne voit plus que ça, tellement ils sont utilisés avec une grossièreté confondante. 

Ces "points", sont eux aussi omniprésents dans les textes d'Arnaud Mussy (149 occurrences dans Satornet), désignant la multiplicité des sens possibles à l'issue de chaque formule qui les précède, tranchés à la fin, par celui qui les place, forcément.

 

En Satornet, le paragraphe posant les "principes" de cette "science", appelée "science du verbe" débute par le mot "pour" et se conclue par trois points de suspension suivis d'un point d'interrogation. La totale.

A savoir un "pour" posant une majorité : "Pour une majorité d'entre nous", etc. puis "le Verbe ... est une abstraction".

La conclusion du chapitre étant : "Pour conclure cette longue introduction, je vous invite à réfléchir sur l'observation suivante : si jadis l'hébreu et ses multiples combinaisons devaient révéler, quelque part en Galilée, un événement d'une portée considérable, d'après vous, que peut signifier aujourd'hui l'émergence d'un Verbe nouveau... ?"

Les multiples combinaisons désignant les lenteurs d'une langue passée ("hébreu"), image servant à une "réflexion" sur le passé associé à la perte de temps ("multiples combinaisons"), s'opposant à une force future, POUR "révéler" (un infinitif) une émergence (en notre cerveau) par induction.

 

 

Le moteur à induction d'idées

La loi des moteurs et de leur révolution, c'est l'attraction universelle, modèle de toutes les forces.

C'est une machine servant à entrainer des pièces, par étapes successives, des "temps" verrouillés, dont le mouvement est inéluctable. Ne parle-t-on pas, d'ailleurs, de "machine judiciaire" ?

 

"Non seulement les MOTS que nous utilisons quotidiennement sont le miroir de notre âme, mais ils sont également le MOTeur de nos agissements."

[...]

"Puisqu' « on ne voit bien qu'avec le coeur... », suivons cette voie recommandée par Saint-Exupéry. La véritable question est de savoir si les MOTS ont été MOTEURS pour toi ; est-ce que ce Verbe Nouveau a pu toucher véritablement ton Ame et ton cœur ?
Or je ne peux douter qu'il en fût ainsi. Pourquoi ? Tout simplement parce que tu possèdes EN TOI cette IMPRESSION imprimée au tréfonds de tes cellules, obligatoirement, comme nous tous !" Arnaud Mussy, Satornet

Platon n'aurait pas dit mieux en parlant de l'esclave apprenti géomètre du Théétète, développant son "savoir" par la maïeutique, et la vertu in-ductrice de la "question".

Notez que la formule de St Exupéry est précédée d'une mention omise ici : "voici mon secret"...

C'est nous qui soulignons le mot "pour" dans cette question : les mots ont-ils été "moteurs" POUR TOI ("ton âme et ton coeur").

Arnaud Mussy, Satornet

 

Pourquoi le langage mathématique fonctionne-t-il comme un moteur ? Parce que chacun de ses termes se situe dans une logique d'enchainement inéluctable, et donc irréversible.

 

Selon les empiristes, toute idée est générée par un phénomène mental d'induction, issu d'une répétition de formes, finissant par produire une idée, un concept plus ou moins stable. Si ce concept est chiffré, issu d'un calcul mathématique lui assurant une stabilité définitive, alors cette forme est irréversiblement implantée, conditionnante, et matérialiste.

 

D'où la présence répétée de moteurs en ce courrier, et globalement, dans toute la prose d'Arnaud Mussy, qu'ils soient seulement nommés, représentés, figurés... : points, balanciers, axes, bras, croix (rotor et stator). Leur nombre est impressionnant : l'heure, le 8, l'accomplissement, le "bras de Anna" se déclenchant, les mouvements allant du passé vers le futur ou inversement, se regroupant finalement dans un "présent" "générateur", le coeur- "cube" et son "attraction universelle", etc.

Tous forment un système d'engrenages visuels, imageant la nécessité d'en... finir avec un cycle de langage, et en tirer de nouvelles idées, pour un progrès.

Son premier moteur est linguistique, mais son image n'en est pas moins formée dans notre cerveau. Il est cyclé sur 10 ans ! et reprend "systém le procès tous les 16 décembre.

La première de ces occurrences (désignant les Saturnales), correspondant à l'acte de décès chiffré d'André Bouguénec. Puis, présentant une chronologie : "Je découvre que"... Ensuite "je quitte les faux apôtres", avant de "terminer son parcours de résurrection", entendre : procès pour une régénération.

Et de conclure par une question :

"5 ans plus tard, jour pour jour, aurez-vous encore la faiblesse de considérer le récit de Marie-Madeleine, au sujet de la Résurrection du Christ, comme le témoignage d’une femme exaltée ? "

Je sais que là, je vous pose un sacré dilemme..."

Ces 5 ans permettant de créer une symétrie entre les cycles de noms, une "ultime main tendue".

Cette "folie" d'une femme "faible" à laquelle nous sommes associés, répète ("encore") ses "exaltations", à "considérer" (un acte cérébral). Et comme il s'agit d'un "récit", c'est que son traitement est soumis à jugement (procès). C'est d'ailleurs un "témoignage". 

 

Voici un autre moteur audible : "Savez-vous pourquoi le Ciel organisa ce Futur en 2001 ? Le CHRIST TRISCHa avec le Temps parce qu’Il ne connaissait que trop bien votre manque de Foi de la Fin, pour décider de vous faire vivre cet Evénement dès le début. Cétipafuté… ?! "

 

Ici, ce sont des images :

Décrivons les un peu :

 

 

Moteur des deux christ : Les cercles entourant les TETES des deux Christ, reprennent les couleurs trouvées dans le courrier. La couleur grise désignant l'éloignement. Car il faut qu'une idée augmente, pour que l'autre, contradictoire, s'éloigne.

Moteur tiré d'un tableau de Salvador Dali : il représente une image de l'abstraction "portant", par le levier d'Archimède : le chiffre, la matière, qui alourdt, fait tomber sur Terre, l'Evangile et l'Ophnar (ce sera de force pour les "traitres").

Le troisième moteur est celui qui est accusé, tordu, Sator confus, contorsionné.

Le quatrième moteur, déjà évoqué, crée une matière vivante à partir d'éléments morts. Le premier stade est d'autant plus mort, qu'il est sans couleur, pour représenter l'éloignement, le rejet de l'ancien. Tout en conservant les "noms" de cette période.

 

 

Terminons par le premier, réprésentant les temps inversés de la famille (hérédité) naturelle, et exprimant l'accusation par excellence.

Le mot "couleur" vient de "couler", et a donné "couloir", ou sas permettant de classer, de trier. 

La "chair", le concret, c'est la famille au complet, avant épuration par le jugement de ceux qui ne "participent pas"., via la vision d'un éloignement. Le tout étant cyclé en trois temps : a, b et c : le procès. Un vrai projet pour le Phare-ouest !

Le détail du procès est donné avec l'agrandissement du tableau "c", renseignant sur le centre et l'axe, toujours le même : Arnaud Mussy, jugeant les deux classes : les passéistes et les progressistes : "vierges folles" et les "vierges sages", chacune d'entre elles étant mesurée, selon sa position au regard du centre : "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA". Rappelons qu'il s'agit de la parabole jugeant et rejetant celles qui n'ont pas "attendu" le retour du maitre, celui qui revient comme un voleur (de mots) par surprise (TNT).

 

 

 

Quelques recoupements :

Vous trouverez encore d'autres moteurs dans ses textes de Satornet, comme en son introduction où "M" parle des "ouvrages d'André Bouguénec", tournant autour d'un "axe" : "Les idées et les recoupements présentés s'inspirent essentiellement de l'oeuvre d'André Bouguénec, fondateur de l'Association "Le Phare-Ouest", et auteur de 7 ouvrages axés sur : "La Révélation des Mystères de l'Homme et de la Création"."

Ajoutons ce moteur, de style très "new-age", placé sur la couverture de l'ouvrage. Cette fois le Sator, arrivant comme par surprise, porte le germe de la génération spontanée d'Arnaud Mussy, à l'issue du procès. Sans succession, sans ordre d'hérédité.

 

 

Voici encore, tiré du même ouvrage, un diagramme accompagné du texte suivant :

"A présent" [temps de la décision], si nous observons attentivement la figure [une image, encore "présentée"] présentée page suivante [dans le texte, hors toute prudence], nous distinguons [ce n'est qu'un signe, porteur d'idée] dans un cercle, la ronde, la "ROTAS-ion" des Temps [révolution et progrès] représentés [encore le présent] par les Alpha / Oméga. [le langage]"

A quoi suit : 

"Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il est immuable ! Il ne parcourt plus les Temps, il les regarde... Il Est en tout Temps et en tout Espace (voir le T et le E de TENET) ; il est l'Eternel présent, qui, justement, se présente aux hommes sous le dénominatif: « Je Suis Celui qui Suis ». Si Dieu Est l'Eternel Présent, Il Est alors le Centre de Tout, Il Est l'Unité vers laquelle tout converge... (comme par hasard, LE CENTRE DE TOUT = 167 correspond à la grande signature numérique de l'unité en français : CENT TRENTE CINQ = 167).
Plus concrètement, cette lettre N est "l'Inconnu(e)", Le "Principe caché" que l'on ne peut imaginer car, par essence, Infini(e). Il-Elle correspond au fameux "En-Soph" évoqué(e) par les Juifs. (Phonétiquement "N Soph" !)." 

 

Enfin, terminons par l'événement de Vézelay : Crypte de Vézelay = code de Vézelay : Arnaud Mussy au centre, axe d'un moteur. 

 

 

Le "sacré" dilemme

Nous arrivons enfin à ce "sacré dilemme".

C'est maintenant, après ce fatras vide de toute réalité concrète, Arnaud Mussy ("JE") qui parle et conclue par son ultime "question", "là" (l'espace en conclusion, mais aussi pour évoquer le temps de l'exception, de la crise, issue de l'introduction : "maintenant" que "André est accompli", il faut un nouveau chef, qui "sache"), JE SAIS QUE... JE vous pose un sacré dilemme".

La minorité ("je") s'impose alors à la majorité ("vous"), qui "sait" elle aussi, forcément, puisque tout savoir est commun. Il a la pression des mots. 

Notez qu'on retrouve cette conclusion dans Satornet : "Maintenant tu sais et je te remercie". Reconnaissance du maitre à celui qui a bien été dressé. Merci mon chien.

 

Ce qui est une question, traduite ainsi :
- Soit vous acceptez "M A LA TETE DES APOTRES PAR ORA" et vous survivez mais vous vous taisez face à lui
- Soit vous vous opposez à sa révolution (donc restez fidèles au langage héréditaire) et vous périssez, traités comme des fous, mourant comme le "Christ", dans l'erreur d'une croyance en la survie, en un temps infini.

 

Ou dit autrement :

- Avoir la parole coupée : Accepter d'être égalisé par le pouvoir en restreignant sa liberté de parole au profit de la dictature de "l'amour", donc de "M", apprendre à parler sa langue de l'équivoque et ainsi être "protégé" socialement (enseignément promis par le sophiste à ses dressés devenant à leur tour des dresseurs) mais parfaitement dressé, pour dominer les hommes en société, en manipulant leurs croyances et valeurs les plus élevées : "on", le "coeur", la "fraternité", etc.

- Avoir la tête coupée : Refuser ce pouvoir et avoir la tête coupée : être rejeté du groupe, du "salut", pour faute de mauvaise foi, de position minoritaire, faisant perdre du temps au "groupe" des élus, du "centre" social de ce nouveau pouvoir.

 

Xeon - 24 Octobre 2025