25 février 1946 : la Sainte Vierge a l'air très affligée. Dans son extase, la visionnaire répète en effet des propos alarmants :
- Calamités sur calamités, des catastrophes naturelles. Puis je vois les mots "faim" et "chaos politique". " Ceci n'est pas seulement valable pour votre pays ", dit la Vierge, " mais aussi pour le monde entier ". Je ressens une grande douleur et je dis : " C'est une autre période d'oppression et de douleur qui s'abat sur le monde ". Je vois alors les mots : " Sans espoir ".
...
Le 31 mai 1967, la Vierge annonçait : " Je peux encore sauver le monde ".
C'était, semble-t-il, le dernier avertissement. Mais le 5 mars et le 31 mai 1970, l'ordre fut donné de "divulguer ce message dans le monde entier ".
Chapitre "LES MESSAGES D'AMSTERDAM", section "INFORMATION", Ultime grand secret, André Bouguénec
L'apparition de Kerizinen, nous dit André Bouguénec est à associer à celles de Amsterdam et Fatima.
Pourquoi porter attention à cette date du 25 février ?
Parce que il y a une coïncidence dans le fait que trois apparitions se sont déroulées à cette date, et qu'elles furent importantes, pour porter un message, ou pour choquer les esprits.
Un 25 février = 125
Le vingt cinq fevrier = 215
Le vingt cinq deux zero = 250 (2 100 50)
L'alliance claire, émanant de ces calculs, et mariant sémantiquement les termes et leur numération, invite sans doute à se pencher particulièrement sur cette date.
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KERIZINEN
25 FEVRIER 1961 : un programme clé pour un véritable christianisme
La Sainte Vierge : Je suis la voie qui conduit au Seigneur. Je vous invite à aimer, à marcher, à rencontrer, à vous dépasser. Empruntez avec moi cette route, et vous ne marcherez pas dans les ténèbres, mais vous posséderez la Lumière de Vie : cette Lumière du Christ qui s'est levée sur le monde. Elle pénétrera toute votre vie : Elle triomphera en vous des ténèbres du mal. Elle vous inondera de la force, de la paix, de la joie de Dieu.
Aimer d'abord. Aimer Jésus de préférence. Il ne cesse de réclamer votre coeur, de vous redire qu'il veut être aimer, que l'amour est le plus grand et le premier de ses commandements. Il veut avoir la première place dans votre coeur. Mais il vous laisse la liberté de la lui donner vous-mêmes. C'est ce devoir accompli qu'il récompense et qui le prédispose à vous combler toujours de nouvelles grâces. Oh, comme les joies et les affections de votre monde auraient des charmes inconnus, si vous les subordonniez au devoir primordial : aimer d'abord Jésus, tout aimer en Lui et pour Lui.
Marcher, rencontrer. Au milieu des ténèbres de votre pauvre monde, le saint Vicaire de mon Fils a compris que l'heure était venue pour lui de se rendre a Bethléem. Il a fait descendre, sur l'autel de l'Etable, l'Enfant glorifié qu'adoraient les Rois Mages. Et, plus loin, lorsqu'il a rencontré, lorsqu'il a embrassé cet autre Pasteur chrétien, c'est l'amour humble et doux de mon divin Fils qui est redescendu sur terre, aux yeux de toutes les nations. Que ceci vous fasse espérer que VOUS ALLEZ VERS UNE GRANDE CONSOLATION DE L'EGLISE, VERS UNE ACCLAMATION MONDIALE DU CHRIST.
A l'exemple du Saint-père, à la suite de vos prêtres, allez, vous aussi, en chrétiens apôtres, a la rencontre de ces âmes qui, dans la nuit de leur vie, attendent quelqu'un qui leur redonnera l'espérance, qui leur redira l'amour de ce Dieu qu'elles ont oublié, ou qu'elles n'ont jamais connu. Apportez-leur quelque chose de cette plénitude de grâces, de cette plénitude de Dieu.
Soyez des chrétiens vrais, des chrétiens qui existent, qui n'ont pas peur de marcher, de rencontrer, de se dépasser pour les autres. Soyez la vérité révélée de ceux qui la cherchent, car VOTRE SIECLE EXIGE LE VRAI. Et, au soir de votre vie, combien douce sera votre rencontre avec le Christ Seigneur, pour avoir été, sur terre, ses TEMOINS pour l'annonce de son Royaume et l'édification de son Eglise.
Unissez vos prières et sacrifices aux efforts de vos évêques, qui réfléchissent et travaillent ensemble, préparant les formules d'unité et de paix qui réaliseront l'harmonie du monde.
Aimez, aidez, priez. Priez de plus en plus pour que, bientôt, dans tous les peuples, la majorité des esprits, libérés des fausses doctrines par un catholicisme authentiquement mystique, scientifique et social, viennent humblement s'agenouiller, à la suite du Saint-père, aux pieds de votre Jésus, Roi de miséricorde et d'Amour.
Nul ne doit douter que l'union des coeurs est en train de se développer ; et que de l'union des coeurs, appliqués a des œuvres de charité, matérielles et intellectuelles, sortira peu a peu l'unité des esprits, signe merveilleux de cet amour qui soulève votre monde.
Apparitions de Kérizinen
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AMSTERDAM :
25 FEVRIER 1946 : Annonce du retour du christ, de la 'VERITE'
HUITIEME VISION
Ce fut, tout d'abord, une lumière éclatante. Puis je vis la Dame. De là-haut où elle était elle me fit signe de regarder en bas, sous moi. Et j'aperçus l'Europe.
La Dame hoche la tête. De petits anges se tiennent à ses pieds. Ils se voilent la face de leurs ailes. Là-haut, la Dame est debout dans l'éclat d'une vive clarté ; mais abaissant mon regard vers la terre je vois que tout est noir ; et plus je regarde et plus tout devient de plus en plus noir.
Je lève les yeux vers la Dame dans la Lumière mais Elle, le visage sévère, m'oblige à les tourner vers la terre. Un mot se forme, largement imprimé sur les ténèbres :
VERITE
Levant encore les yeux, je revois les anges aux pieds de la Dame. De nouveau ils se couvrent le visage de leurs ailes. La Dame dit : « Avertis ! La Vérité a disparu. »
Je réponds en moi-même : « Comment pourrais-je, moi, faire cela ? »
« Allez et propagez. »
Elle dit. Et ce disant, elle désigne du doigt le monde. Je discerne, mais vaguement, des ecclésiastiques et des églises, en grand nombre.
Cherche ; et vois si tu peux LE trouver.
Et son geste, une fois encore, me désigne le monde. Je cherche... Je cherche... Je dis : « Je suis si fatiguée ! Il me prend un mal terrible ! »
Alors je vis une grande croix descendre d'auprès de la Dame. Et l'on eut dit que cette croix était comme traînée. Mais je ne voyais pas qui la tirait ainsi. Je ne voyais que la croix. La croix fit le long chemin qui va du haut vers le bas, vers la terre. Et, tout d'un coup, la croix est redressée, plantée toute droite au point central du monde.
Je me tourne vers la Dame. Je vois un long cortège qui s'avance. Ce sont, je pense, des pèlerins. Elle dit :
« Regarde. »
Je regarde. La Dame dessine un arc au-dessus du monde. L'arc déployé, c'est comme si elle inscrivait quelque chose. Un mot paraît au sommet de l'arc. Je lis tout haut : « VERITE ». Puis elle écrit a gauche. Je lis : « FOI ». Puis elle écrit a droite. Je lis : « AMOUR ».
Me montrant le tout, elle dit
« Allez et propagez. »
La Dame fait un nouveau geste en direction de l'arc.
« Cela doit revenir ; apparemment cela y est ; en réalité, cela n'y est pas. »
Disant cela son visage exprime une tristesse infinie. Et me voici, moi, poussée a dire : « Calamités sur calamités et désastres naturels. »
Alors des mots parurent. C'étaient
« FAIM, CHAOS POLITIQUE »
Elle dit :
Non pas pour ton seul pays, mais pour le monde entier.
Un affreux mal me gagne. Je dis : « Voici des jours de douleur et d'oppression sur le monde. »
Des mots surgissent
« SANS ISSUE »
Mais, tout d'un coup, éclate la lumière. La Dame fait un mouvement comme pour descendre. Me désignant les trois mots « VERlTE, FOI et AMOUR », elle sourit et dit :
Mais il faudra qu'on APPRENNE beaucoup de choses ! »
D'un geste elle m'invite à regarder vers la droite. Et voici : Un homme est assis. Cet homme porte une barbe et il élève deux doigts serrés. Sous son coude, un gros livre. Devant lui, une clef. L'image s'efface. La Dame dit :
« Regarde. »
Et je vois une grande pierre. Sur la pierre, un Agneau couché. J'entends
« ECCE HOMO »
Et tout, tout d'un coup, disparaît, la Dame et la lumière."
Apparitions de Amsterdam
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LOURDES
Jeudi 25 FEVRIER 1858 : Découverte de la source, Signe que les clés sont cachées dans des actes fous aux yeux des hommes.
Neuvième apparition : la source [=81] :
Trois cents personnes sont présentes. Bernadette raconte : 'Elle me dit d'aller boire à la source ( ! ) je ne trouvai qu'un peu d'eau vaseuse. Au quatrième essai je pus boire. Elle me fit également manger une herbe qui se trouvait près de la fontaine puis la vision disparut et je m'en allait. Devant la foule qui lui demande: 'Sais-tu qu'on te croit folle de faire des choses pareilles ? ' Elle répond seulement: 'C'est pour les pécheurs.'