Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Hémorragie de prêtres après Vatican II et le célibat imposé - Collectif 'Les millénaires'

La loi canonique sur le célibat des prêtres intéresse avant tout le clergé diocésain de l'Eglise d'Occident, c'est-à-dire de rite latin, à travers le monde.

Depuis la fin des temps apostoliques, les Eglises d'Orient, catholiques ou orthodoxes, ont laissé à leurs ministres la liberté de choisir pour un temps s'ils veulent accomplir leur mission de pasteur chargé d'âmes dans le mariage ou dans le célibat. La tradition est si bien installée que la hiérarchie et les fidèles ont tendance à avoir autant de considération et de respect pour le prêtre marié et le célibataire, tous attachant moins d'importance à l'état civil qu'à l'épanouissement personnel.

[...]

A la fin du concile Vatican II, où l'on avait parlé de tout sauf des droits collectifs et individuels des prêtres de l'Eglise latine, s'amorça une préoccupante crise d'identité sacerdotale, qui se solda par une hémorragie de prêtres. Les statistiques parlent de quinze à vingt mille prêtres défroqués et mariés. Effrayé, Paul VI chargea son secrétaire d'Etat, le cardinal Jean Billot, de procéder à une étude en profondeur afin de prendre les mesures d'urgence qui s'imposaient.

Les défroqués les plus combatifs et les plus critiques s'associèrent en vue d'organiser un rassemblement à Rome. Or les autorités de police n'acceptèrent de leur délivrer une autorisation que hors de Rome. Ils se réunirent donc en nombre conséquent loin de la capitale, mais pas des oreilles indiscrètes. Un franciscain qui travaillait alors à la Congrégation pour le clergé s'y rendit en civil pour prendre note des points les plus scabreux abordés au fil des interventions et des débats. Dans son rapport, on peut lire, entre autres choses :
Les premières communautés chrétiennes choisissaient les prêtres parmi les hommes mariés ; les apôtres eux-mêmes furent choisis par Jésus alors même qu'ils avaient famille, femme et enfants - Pour saint Paul, l'évêque ne devait être marié qu'une seule fois... En vérité, le Christ a prêché l'amour de Dieu et du prochain, le détachement des biens de ce monde et l'humilité, toutes choses en contradiction flagrante avec le fonctionnement de la hiérarchie vaticane, qui tourmente les prêtres en leur imposant le célibat comme s'il avait été voulu par le Seigneur...

Le vatican mis à nu