Contexte : Etude de l'article Un système général de la connaissance. Conversation sur les symétries.
Facilité = négatitf. pour amener la prise de conscience que le facile c'est le négatif.
Pascal M. reprend la question pour parler des "anomalies" comme "négativité", puis du "aimer sans aimer".
André dit alors : "au début on aime par foi, par volonté, par règle".
Denis G. résume l'article, comme présentant les deux voies offertes à l'homme, pour se détruire ou pour se construire.
André : Oui, il y a un empirisme qui doit jouer dans un tempérament suffisemment honnête ou observateur, et dans cet empirisme de la vie, il apperçoit des choses qui sont positives, qui conviennent. Même contre ses intimes déviations, si je puis dire. Il y a quand même une certaine morale, même ceux qui ne sont pas croyants. Il y a une certaine honnêteté, jusqu'à un certain point. Alors il y a quand même un choix.
Alors ce choix, pour les enfants, il faut le leur donner justement. Il faut donner cette éducation. Si tu prends ça, tu vas voir ce que ça va te rapporter. Si tu prends ça, c'est peut-être plus difficile, mais tu seras fier de toi. Parce que tu es un champion si tu gagnes sur tes tentations, et que tu fais cela justement pour respecter une morale ou simplement une conscience, bon et bien tu as gagné.
André lit :
"Nous savons de qui sont ces forces dissymétriques, exploitées et symbolisées par le bien et le mal, le Dieu bon et Satan, la Lumière et les ténèbres. C'est la loi divine de formations des consciences pour l'humain s'exerçant à ses libres choix....
Mais ce que l'on ne sait pas, c'est justement la dualité de son influence, qui englobe, imprègne tout de dualités (au pluriel) complémentaires ou antagonistes, ou inversées.
Il suscite également l'ambigüité afin de mobiliser la pensée des hommes à découvrir le véritable équilibre de la vie. La clef est celle-ci : Le Saint Esprit et l'Esprit saint
...
Denis G. interrompt : C'est complété par ce que tu disais récemment : si on fait bien on mène Dieu vers le Bien, et si on choisit mal, on conduit Dieu vers le Mal.
André : Absolument. Tu le conduis vers le Bien ou vers le mauvais. Dieu est malfaisant si toi tu es malfaisant, il devient malfaisant. Si tu es bienfaisant, alors c'est le Dieu bon.
D'un robot, d'une viande tu en fait un dieu, enfin il peut devenir un dieu. Comme une graine, un gland va devenir un chêne énorme, mais il faut que le gland ait sa substance, c'est-à-dire la terre, l'eau, le soleil, et l'air.
Etant donné que tu rentres dans la vie avec des influences qui sont négatives. Je vous ai dit que négatif = génatif. C'est le négatif qui va provoquer justement les problèmes de réflexion.
Tu te brûles, Aïe, tu vas faire attention la prochaine fois. Tu manges trop, tu es malade, tu vas réduire.
Donc tu commences déjà par les tentations, c'est-à-dire par le négatif.
Dès le départ c'est comme ça. L'enfant il faut qu'il tâtonne, et comme dit St Paul, "il faut trouver Dieu en tâtonnant", c'est comme ça. C'est-à-dire [comme il le connait ?], les problèmes de Dieu, la connaissance, la présence à travers l'admiration des structure. Il faut trouver où il y a de la beauté, de la bonté. A ce moment-là tu as des exemples, tu as des jalons, et tu choisis ceux-là plutôt que le reste qui apparemment est la facilité, et puis en réalité tu finis par payer des factures très cher.
Comme Il dit : "je suis celui qui fait la les ténèbres" et qui en même temps est guérisseur.
Dieu offre à l'humain continuellement de choisir, et donc de fauter ou de s'édifier, vers et dans le Bien.
"En l'homme ce jeu et ce Je sont en perpétuels croisement suscitant en l'esprit de l'homme par l'esprit divin, non seulement l'expérience du Bien et du mal, mais sa volonté à bien choisir. C'est par ce truchement, et il n'y en a pas d'autre, que l'humain forme sa conscience."
L évolutionnisme aurait pu voir des analogies dans les dissymetries des organes digestifs.
G60 B et G61 A