Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

L'erreur et la tolérance, conditions du progrès scientifique - Oppenheimer

Les sociétés savantes du XIXè siècle étaient tolérantes car elles savaient que l'erreur est une phase inévitable de l'acquisition de connaissances nouvelles.

Pour ce savant renommé, la tolérance ne consiste pas en "acceptation passive et veule". Elle est patience accompagnée d'une mise en oeuvre pour remédier aux freins, à ce qui bloque. La tolérance de la science n'est pas la "tolérance" de la politique. La tolérance optimiste de la science est la tolérance même de Dieu vis-à-vis de l'engeance humaine, puisque non seulement il possède cette patience, mais il fait de l'erreur une condition de notre progrès.