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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Sacrifice de l'agneau Pascal et rituels aberrants - André Bouguénec

André parle de l'agneau sacrifié.

Les juifs depuis Abraham et jusqu'à l'arrivée de Moïse, avaient l'habitude de sacrifier même des humains. Cela a été remplacé par un agneau. Et encore, on sacrifie l'agneau. On l'égorge et puis on fait couler le sang.

Et cet empirisme est rentré dans le rite catholique, en appelant le Christ, l'agneau divin. En tant que sacrifice sanglant.

Supposez qu'il n'y ait pas de Verseau, et puis que dans 100 ans, 200 ans, une civilisation moderne trouve les rites catholiques, et on voit l'agneau divin sacrifié, etc. On dirait : "A cette époque-là, ils adoraient un agneau et le sacrifiaient. Ils adoraient l'agneau".

Voilà l'interprétation qu'on donne à Dieu, au Christ.

Les juifs continuent à sacrifier justement ce genre-là.

Qu'est-ce que ça apporte ? Rien du tout. Ce n'est qu'un symbole.

Le sacrifice, il est fait par le Fils de Dieu lui-même quand il vient en Fils de l'homme.

Je ne sais pas si vous vous rendez-compte.

Comment vous expliquer cela ?

Un dieu qui devient un homme, un dieu qui a des pouvoirs extraordinaires, qui se fait homme. Dans l'Eglise, il y a certains théologiens qui ont su expliquer quand même cette déchéance d'un dieu qui devient un humain. C'est le pire des sacrifices, c'est pas la croix. La croix c'est quelques heures de souffrance.

Mais quand on pense... actuellement on parle encore des martyrs avec le procès de Touvier, de ceux qui ont été martyrisés pendant des mois, etc. ou de ceux qui sont passés dans les fours crématoires ou autres. Eh bien non, on continue adorer ce sacrifice, qui n'a rien à voir avec le sacrifice de la descente aux enfers de la Terre. Je voudrais vous faire ressentir ce que je ressens à longueur de journée, en regardant le monde, en croisant des gens, en regardant la télévision. Je ne suis pas de ce monde, mais j'en subis toutes les conséquences.

J'ai de nouveaux maux qui m'arrivent maintenant, j'ai une arthrose de la hanche qui me fait souffrir terriblement dès le matin. Il y a une accalmie vers midi, ça recommence après dans l'après-midi. Je sais pas jusqu'où ça va aller. Sans compter tout le reste. C'est ça le sacrifice. C'est un sacrifice d'amour. Il me faut de la volonté et de la violence et ceux qui sont pas contents comme Mr Robert C., tant pis pour lui. Je veux une sélection de gens forts [accentué] ! Et qui acceptent mon sacrifice. Et qui en fassent un petit peu eux aussi, pour changer d'état et devenir au moins des commencements de dieu, pour devenir des exemples à l'ère du Verseau, après le passage du sas.

Alors évidemment, à mon image, il y a des petits sacrifices à faire, pour changer, d'humeur, pour changer d'attitude vis-à-vis de vos parents, de vos amis, dans votre métier, de savoir la boucler, n'est-ce pas, quand on se moque de vous, ou quand il y a des réactions qui vous plaisent pas, eh bien ce sont des sacrifices.

Moi j'en fait continuellement, de diverses façons.

Alors la Pâque, elle est fêtée d'une façon idiote, comme les païens le faisaient depuis des siècles et des siècles. Et ça continue.

Et voilà pourquoi il y a deux mille, le responsable du sacrifice du Christ, on a foutu ça sur Judas, qui n'avait rien à voir avec ça.

Et donc le peuple juif avec ses rites, n'est-ce pas, continuait sur une lancée complètement païenne, malgré les Tables de la Loi de Moïse, qui n'a jamais écrit sur une table, hein, ni gravé sur une pierre, mais dont le Décalogue était l'essentiel pour les juifs, pour devenir quelque chose de moral, de sain et d'équilibré.

Alors, ils ont transformé les obligations des lois mosaïques, mais pour faire des rites, à longueur de journée, à longueur d'année, de mois, etc. Si vous connaissez les règles juives, c'est incroyable. Ah ça fait très chic à table etc. Bon on y pense toujours. Mais ça ne rime à rien, et tout l'enseignement il y a 2000 ans était contre ces rites, contre les sacrifices et les holocaustes. Eh bien n'empêche qu'on continue justement à faire le sacrifice de l'agneau tous les matins. Alors voilà la Pâque. Mais qui veut dire autre chose.

Espérons que ça passera justement dans l'esprit des chrétiens, de cette crucifixion qui n'en finit pas, à une délivrance, justement, du Verbe.

G63 A