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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Les croyants ignorent que la 'Bible' est une compilation humaine - André Bouguénec

La majorité des croyants s'imagine candidement que la Bible existait, dès le début, telle qu'elle est, sous sa forme actuelle. Ils s'imaginent qu'elle a toujours compris les textes qui la composent. Ils ignorent beaucoup d'ailleurs ne veulent même pas le savoir, que, pendant deux siècles, les premiers chrétiens n'ont possédés aucun écrit, à l'exception de l'Ancien Testament, et que, même à cette époque, la version canonique de l'Ancien Testament n'était ni choisie ni arrêtée définitivement.

Ils ne savent pas que pendant longtemps, personne ne songea à considérer les écrits du Nouveau Testament comme des textes sacrés ; le temps aidant, l'habitude de lire ces textes devant les fidèles s'imposa, mais nul n'attribuait encore la même importance aux textes de l'Ancien et du Nouveau Testament.

Ils ne savent pas que c'est seulement après que les différentes tendances de la chrétienté se furent affrontées à propos des dogmes et de la doctrine que le besoin s'imposa d'un dénominateur commun ; c'est ainsi que, 200 ans après la mort du Christ, on prit peu à peu l'habitude de considérer les textes comme inspirés. C'est ainsi que l'on fit disparaître des centaines de textes riches en données diverses. Heureusement l'Esprit veille.