Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

L'initiation ne peut être un chiffre - Xeon

L'initiation ne peut être qu'un acte individuel, mené par une quête en profondeur de toutes ses ombres, sans impasse sur ce qu'on est.

Une science mathématique est tout le contraire. Elle n'a rien de personnel puisque sa "vérité" ne peut se comprendre qu'unanimement.

Dans 2 + 2 = 4, il n'y a rien de personnel. Tout au contraire, c'est le modèle de l'égalité nivelante, la valeur de tout ce qui est grégaire et compris par toutes les masses d'un même coup.

 

Lorsqu'on résoud un problème mathématique, on éprouve comme l'effet d'une illumination.

On accède à une compréhensionn, synonyme d'unité.

L'idée est cette unité qui regroupe les faits dans un ensemble.

Pour Platon l'Un est l'Idée suprême.

Et l'Idée est une lumière.

Pour Platon il y a une hiérarchie des idées, jusqu'à l'Un.

L'opinion est partiale.

Une fois découvert, le système compris, il n'évolue plus. Cette "lumière" se fige en mémoire et rappel. Elle pose des points puis ignore la question comme problème. La quête est finie. On peut donc parler de fausse lumière.

C'est la "lumière" luciférienne, qui mathématise, matérialise le divin, le fige dans des chiffres, puis les transpose en images dans la géométrie. A commencer par "l'unité" du système qu'il va instaurer. Les idéologies modernes prônent une unité politique, basée sur l'égalité, c'est-à-dire le nivellement mathématique. Et ceci passe par des images, ells-mêmes véhiculées par les loges "initiatiques".

René Guénon appelle cela l'initiation à rebours.

Pour l'esprit de finesse, on peut revenir sur une question, et affiner en permanence sa réponse, car on peut aller en profondeur dans l'irrationnel, dans l'infini. On progresse alors en intelligence. C'est sans fin.

Dieu étant infini, il peut prendre plusieurs reflets de lumière, des "facettes". C'est pour cela que la vraie lumière permet une évolution sans fin, comme la vie.

Cela se vérifie dans le système d'Arnaud Mussy. Quand on a trouvé une solution, une définition, on la retrouve partout, identique.