Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Notes de lecture de 'Présence de la Très sainte Vierge à San Damiano' - Jean Gabriel

L'Eglise nous en a prévenus par la bouche de ses Pontifes.

Dès son avènement, Pie X dans sa première Encyclique dit devant l'apostasie des nations : « Qui pèse ces choses a droit de craindre qu'une telle perversion des esprits ne soit le commencement des maux annoncés pour la fin des temps, et comme leur prise de contact avec la terre, et que véritablement le fils de perdition dont parle l'Apôtre (II Thessaloniciens, 2, 3) n'ait fait déjà son avènement parmi nous...

Dans son Encyclique du 1er novembre 1914, Benoît XV annonce que la guerre de 1914 commence le début des derniers temps : « le début des douleurs de l'agonie du monde ».

Dans son encyclique Caritate Dei, Pie XI écrira : « Difficilement depuis le Déluge rencontrons-nous une crise spirituelle et matérielle aussi profonde que celle que nous traversons maintenant. » Dans l'encyclique Miserentissimus Redemptor, exposant l'état actuel du monde : « On ne peut certes s'empêcher de penser que voilà bien les signes des derniers signes, tels qu'ils étaient annoncés par Notre-Seigneur. » Peu avant sa mort (1939), il déclare au cardinal Verdier : « Nous assistons comme témoins, comme victimes et comme acteurs, à un duel gigantesque, inconnu jusqu'ici, entre Dieu et le Démon. »

En 1946, Pie XII : « [...] Les Saintes Ecritures nous le disent assez : le Temps de l'Apostasie, ce sera le temps de la Grande Tribulation, le jour de la Colère et du Châtiment de Dieu (Isaïe, 26 ; Apocalypse, 19), qui précédera le renouveau de Dieu. Colère d'Amour, qui vient purifier et guérir. A cet égard, l'ouverture du sceau de l'Apocalypse n'est pas sans faire penser à l'avertissement annoncé à Garabandal, aux signes terribles dont parle la Madone à San Damiano. »

[...]

Message : La maman céleste : Veillez et priez, car le démon est sur le point d'engager l'ultime combat.

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Message :  Et [la jeunesse] tombe si bas ! dans la boue ! dans la fange !
La Maman en pleure d'autant plus que ces âmes sont promises, selon l'appel de Dieu, à un si grand amour ! Et ce péché d'impureté est la destruction de l'amour, dans sa racine qui est le coeur ! Et d'un coeur détruit il ne sort plus que le désespoir, et encore davantage de péché !

La Mère de tous et la Reine de tous ne jette pas la pierre !... Elle aime, Elle veut sauver ! Elle sait tout ! Elle l'a dit : Que de jeunes qui tombent dans le péché parce qu'ils sont abandonnés !

Abandonnés par leur famille parfois, ou par l'absence de famille ! Abandonnés par la société qui laisse proliférer tant de poison moral ! Abandonnés par ceux qui devraient venir à eux pour les sauver ! Abandonnés par ceux-là si nombreux, qui ont reçu l'héritage de la foi, et n'en laissent qu'un détritus, qui devraient, en ce temps si troublé, donner avec une grande force le témoignage de la vérité, et sont, dans leur vie quotidienne, désabusés, infidèles, et asservis à la facilité...

[Ceci est une parabole : les jeunes représentent les athées]

[...]

Le rosaire, qui veut dire “couronne de roses“.