"Ceux qui nous ont déjà lus sur le Web le savent...notre volonté première est d'éveiller l'intérêt de chacun et de susciter un large public. Cependant, lorsque nous avons créé le site SATORNET en octobre 1997, nous n'imaginions pas qu'il donnerait naissance à ce livre." Arnaud Mussy, Satornet
LECTure = LEÇon à COMPRENDRE dans le temps ("nous ont déjà"... pour une naissance : celle d'une autre lecture), ce dernier terme ayant une définition très précise dans le langage d'Arnaud Mussy, à savoir : Finir par se former une image, par la seule force de la répétition et de la mémorisation des mots. Définition se rapprochant alors de celle, empiriste, d'induire, excluant toute réflexion intelligente, pensée, approfondie par une lecture personnelle et un cheminement personnel de "l'élève", se faisant sa propre conception des choses.
Leçon : action de lire, de réciter.
Pour (se) faire naitre... par induction et questions répétées : car la maïeutique c'est se faire naitre, et ce par la répétition (ceux qui... déjà... le savent)... il s'agit d' "éveiller" par des questions... quantifiées (un "large public"), forcément admises par le plus grand nombre, force des mathématiques oblige, de sorte à exclure ceux qui ne "suivent pas" le "groupe". Ce qui donne naissance à un programme : un site, un livre, et ensuite ?
La peur de ceux qui n'en feront pas partie, des non "participants" au langage invincible des chiffres, masquant la naissance d'un être bien concret, qui va naitre des conclusions apportées par ces chiffres, comme seul conducteur possible en période de "crise".
Crise amenant à imposer un nouvel ordre, une urgence à se défaire de son "égo" POUR le "groupe", ceci amenant comme résultat, une nouvelle inégalité, générée par la disproportion désormais MA-THE-MA-TI-QUEMENT justifiée, entre les élèves et le maitre. Qui ainsi s'est fait naitre.
Les questions sont précisément une preuve de manque de compréhension, de la part de celui qui questionne. Mais le professeur questionne aussi ses élèves, faisant semblant, devant eux, de ne pas "comprendre", pour les amener à faire émerger SA vérité, préalablement infusée par tout un tas d'allusions, évocations, symboles, etc., de LEUR esprit.
Les enfants se croient alors libres et regroupés, sous l'égide du maitre, de "celui qui sait"... Alors qu'ils ne font que reprendre ce qu'on leur a préalablement mis dans le cerveau, une régularité, c'est-à-dire les prémices d'une loi induite ("déjà lu"), travail préalable des porteurs de message du pouvoir : les "instituteurs".
La "compréhension" et "l'intelligence", ne sont que la faculté mentale de répéter un slogan. C'est l'intelligence des forts en gueule, débitant des mots, sans en comprendre le sens, ce qui donne l'illusion de "participer" d'une force, d'un pouvoir., devenu un "non temps" : une fois ce type de "compréhension" admise, c'en est fini de la recherche, personnelle, profonde et libre.
Opinions de lecteurs.
Les lecteurs sont des images, qui IMitent le texte, ou des "acteurs" récitant le scénario, la leçon, et finissent, par induction et les questions subtilement répétées, par "dire" ce qu'on leur a mis dans la tête... "déjà".
André en parle pour le conditionnement universitaire. Les leçons qu'on répète, etc.
Un texte, c'est de la pensée matérialisée.
Satornet : "Si les 33 textes que nous proposons forment un tout, les trois premiers représentent la colonne vertébrale ; ils constituent le socle, l'assise, sur lesquels repose l'ensemble des idées et des démonstrations exposées dans ce livre. Il est donc important d'en comprendre l'étendue et d'en assimiler toute la substance par une lecture attentive, complétée naturellement par d'autres ouvrages."
Ces "autres ouvrages" ne prenant qu'un sens relatif, leur "proportion" reste sujette à caution, y compris leur valeur.
Dans un système fini, de "33" textes formant un "tout", lesquels sont structurés selon une force centrale, qui est donc, elle "partout", les proportions en termes de mesure, de valeur, ne peuvent plus varier. Ce qui implique un système de forces et de tailles, déduites par une répétition des "mots" de chacun.
A l'inverse, dans un espace infini il ne peut y avoir de centre, et par conséquent, de fin à l'évolution.
Il en sera de même dans le Courrier de 2006 à propos, cette fois, des mots prétendument "évoqués" par André Bouguénec, l'évocation signifiant : parole faible, sans force, un "certain nombre de fois". Ceci pour aboutir à une demande de compréhension, qui débouchera sur la "participation" à un "cube", fini, inerte. Autrement dit le calcul ("combien de fois"), sera la clé pour "comprendre", une certaine situation finale, déduite de "proportions" géométriques en terme de "taille de la parole" dans un ensemble clot, ou "M est A LA TETE DES APOTRES PAR ORA". Or "M" est, comme la "colonne vertébrale" décrite au-dessus, au "centre du cube".
C'est cela l'induction : la répétition d'une même chaine logique, quoi qu'avec des mots différents, pour ne pas paraitre pour ce qu'elle est : un lavage de cerveau.
Suite à ce passage tiré de Satornet, viennent les premières questions :
"Le titre de ce livre mentionne un dévoilement par le Verbe...
- Il est donc logique de commencer par comprendre ce que l'on entend sous ce fameux vocable...
- Quelles sont ses différentes facettes ?
- Pourquoi dit-on couramment que le Verbe est intemporel et qu'il est au centre de toute création ?
- Quelles sont les techniques qui permettent de dévoiler le sens caché des mots ?
- Quels sont les pièges à éviter ?
- Enfin, quelle est la portée véritable de cette "Science du Verbe" dans notre quotidien ?"
141 points d'interrogations dans les textes totalement équivoques, d'Arnaud Mussy.
Equivoque dont le seul sens, émergeant finalement par induction, sera le sens mathématique et matérialiste, le seul qui soit sûr et certain.
Mais ces mathématiques sont l'image de la grandeur, de la taille, de la majorité, se formant par construction en notre esprit de l'image inverse : de l'isolement, du rejet des réfractaires au "changement", à la "décision", à la "participation", autant de termes invitant à l'obéissance, quand des "mesures" (un chiffre et l'obligation d'aller au bout), sont à prendre dans des "temps d'exceptions".
Plus bas on trouve le processus décrivant la découverte, issu de question "pour trouver la solution".
"Est-ce à dire que, dans les grandes découvertes qui ont émaillé l'histoire, l'empreinte laissée par l'homme soit si négligeable ?
Non, dans la mesure ou celui qui cherche fait preuve de volonté et de ténacité pour trouver la solution. C'est la condition sine qua non pour que vienne "l'in-SPIR-ation", l'ID-ée lumineuse, la trouvaille qui permet de clamer « eureka » (exclamation qui rend hommage au Concepteur car EUREKA = 61 = LE PERE) !
C'est grâce à l'alchimie de l'esprit et du langage que des "chercheurs" comme Newton ou Archimède ont dé-COUVERT - enlevé donc ce qui était COUVERT - des concepts ou des lois restées longtemps immaculées... et qu'ils ont fini par féconder de leurs mots, en attribuant une dé-FINITION.
Cette clef phonétique est importante, car elle signifie bien que l'homme n'est capable de com-PRENDRE conceptuellement une chose et de la nommer, que par ce qu'elle est déjà FINIe dans l'Esprit du Créateur. C'est là qu'il faut saisir la relativité du temps, puisque c'est toujours le BUT - le futur - qui féconde le dé-BUT - le présent -.
"En un mot", toute la grandeur de l'homme en tant que créateur, car conçu à l'image de Dieu, consiste à répertorier chaque "ENTITÉ' - innomée, donc abstraite et confuse pour son cerveau - en lui attribuant une ID-Entité - devenue "réalité" car enfin nommée -. Le préfixe ID qui se greffe au mot ENTITE symbolise le Principe qui nomme, autrement "DI", le Verbe de DI-eu.
Depuis toujours cette action s'impose à tout homme, quelque soit sa culture, car une chose sans nom est une chose sans existence ! Gérard De Nerval et René Guénon firent la même observation lorsqu'ils affirmèrent respectivement :
« A la matière même un verbe est attaché. »
« Le Verbe est Pensée à l'intérieur et Parole à l'extérieur. »"
Bizarrement la surprise, comme émotion, éteint nos facultés intellectuelles. Comme cet Euréka surprise... qui éteint l'intellect... au nom de l'intellect. "Le principe qui nomme", c'est le prince qui dicte.
L'induction vient toujours par surprise, elle est un choc, qui semble apparaitre comme par magie en notre esprit, et fait pression pour que nous acceptions la "solution" inéluctable et invincible issue d'un progrès géométrique : FINI, imposée par la force du langage des chiffres.
Prière du chrétien, voulant se protéger du malin : "Ne nous induit pas en tentation".
André Bouguénec nous prévenait, dans son ultime ouvrage du piège de la double pensée et de l'équivoque, comme outil de Lucifer :
"'Maintenant, apprenez définitivement le terrible secret de votre Créateur qui voulait faire de vous des combattants contre l'Esprit Duel qui habite votre "dualité" et les subtiles "tentations" de toutes sortes qui, en ces jours de ténèbres, mènent le monde. Dans Matthieu XXIV-22 : "...Et si ces jours-là n'étaient pas abrégés, aucune créature ne serait sauvée ; mais ces jours-là seront abrégés à cause des élus ". Matt.XXIV-24 : " Il y aura de faux christs, et de faux prophètes s'élèveront et feront de grands signes et des prodiges, jusqu'à séduire s'il était possible, les élus eux-mêmes. Vous voilà prévenus ". Oui, c'est de Matthieu."'
Conseil recoupé par cet extrait de courrier écrit en avril 1995, parlant de "l'escalier du phare". Une échelle est une hiérarchie induite, d'échelon en échelon, pour aller au but, au sommet, par un processus "mémorisé", "provoquant des idées", "saine"... ou pas, etc..
La colère et la révolution par exemple, sont des inductions, provoquées par des "tournures" à... double sens, comme l'ADN.
"La Tour, j'en ai parlé à propos de "La force" du Tombeau de François II. C'est la Tournure positive ou négative des choix. Et les mauvais sont représentés par le dragon que la Dame-Force extirpe de ce donjon. L'Axe-spirale, eh, la chaîne de l'ADN, les tournures aussi des choix qui peuvent mémoriser des idées saines, les communiquer, hélas aussi les mauvaises quand l'Escalier de l'Esprit humain n'a pas de direction céleste ! Et puis pourquoi pas l'escalier du Phare... !
Dans son Courrier de 2006, Arnaud Mussy fait naitre le "non temps" d'une induction. Celle des "contorsions du temps", signifiant en termes toujours équivoques, évidemment, le double langage temporaire, permettant l'arrivée prochaine du moteur appelé "non temps". Ce moteur ayant accompli sa révolution (son "tour") complet quand la "révolution" est accomplie, ou encore quand tous les termes de son double discours auront été reconnus et identifiés (EUREKA ! dit-il plus haut), comme des termes matérialistes et mathématiques. Alors tout sera devenu quantité, pour créer des hiérarchies classées par des chiffres, dé-finitives.