"Il a passé de l'eau sous les ponts des Pontifes, mais depuis un temps, le "Pont d'Avignon" est rompu et la "Cité des Papes", avec ou sans ponts ou Pontifes, est désormais isolée de DIEUX, à plus forte raison du PERE. Ces cités ne sont plus que "des scènes de théâtre" leurrant malheureusement les âmes de bonne volonté. "SOUVERAIN-PONTIFE" ! souverain en quoi ? ... Pontifiant, est devenu péjoratif, vous avez laissez couler l'Eau des inspirés, vous l'avez même polluée pour la rendre méconnaissable, et comme votre Haute Autorité majestueusement affublée est impressionnante, comme le "charme" de l'onction réjouit les âmes simples, vous dominez encore pour un petit Temps sur ces fidèles de Dieu qui n'ont aucune Science du divin."
"Rejeter les parasites et destructeurs, parce qu'on se fait des idées sur l'amour du prochain et on se fait grignoter sur l'amour du prochain. Parce qu'on ne comprend pas qu'on nous veut du mal. Nombreux exemples dans les Evangiles. Marchands du Temple."
"A partir du moment qu'on donne le nom à quelqu'un qui nait, eh bien cette personne prend sa personnalité". Le 10 juin 1995
André Bouguénec
Analyse d'une lettre d'Arnaud Mussy, envoyée le 03 janvier 1995 (cassette réunion 93A), où il annonce, trois semaines après son entrée au Phare-ouest, entre autre, sa "filiation éternelle", avec André : "Reçois pour 1995 tous mes voeux et l'infinie tendresse d'un Fils ému".
A quoi suit la réponse apportée par André Bouguénec.
La réponse d'André est la suivante :
"Cher ARRRRnaud,
Ta lettre du 03 Janvier m'est un précieux témoignage d' "affection" et de "reconnaissance".
André apporte une incise : il met ces termes : Entre guillemets quoi, parce qu'il y a les deux termes.
"Tu es rentré, mon fiston, dans le domaine des dieux, et dans mon ab-domaine, afin de t'enfanter. Mais attends-toi à des irrationalismes dépassant vos logiques humaines.
Tes phara-ouestiens ont finis par piger et sont en admiration devant la divine comédie qui dut concevoir pour un but immaculé des scènes de thé-âtre (foyer divin) pour agencer une pureté finale de dieux fils à l'image de leurs deux concepteurs : la mère et le rejeton.
Bref : tous sont en admiration, déjà : devant ton assimilation avancée de mon enseignement, et tu n'as pas fini cher Gargantua, de dévorer ma chair.
Ta lettre est remarquable et elle te situe en valeurs et qualités quoi que tu dises avec humilité sur ta personne.
Tu es un "ange" tombé du ciel avec ton Annie qui n'avait offensé Dieu parmi les révoltés, donc venue de cette engeance avec un gentil karma. Voilà votre mérite, évidemment invisible au commun des mortels. Mais tout de même, si je ne voyait pas vos chances, je serais un piètre Papy.
Merci d'avoir si bien "piaffer" la môme pour honorer celui qui met des ailes d'aigle aux plumes des moineaux, pour danser une immense ronde de fête. "Au clair de la Lune, Mon ami Pierrot, Prête moi ta plume, Pour écrire un mot"... Et ce mot est, mon Arnaud bien aimé, est "amour".
[Notre analyse]