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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Prudence (vertu) - Wikipedia

La prudence (en grec phronêsis, puis en latin prudentia) est un concept de la philosophie grecque qui a trouvé sa définition théorique la plus aboutie dans la philosophie d'Aristote. La phronêsis est ensuite devenue un concept central de la philosophie morale et politique, et la première des quatre vertus cardinales chez les Chrétiens.

La prudence dans la philosophie grecque

La phronêsis

Étymologiquement, la phronêsis (φρόνησις) désigne l'acte de penser. Selon le philologue allemand Werner Jaeger (Paideia, 1933), c'est Héraclite d'Éphèse qui le premier a utilisé le concept de prudence en philosophie, la mettant au même rang que la sagesse (sophia, σοφία.)

Chez Platon
Selon Les Lois : « Dans l'ordre des biens divins, le premier est la prudence ; après vient la tempérance ; et du mélange de ces deux vertus et de la force naît la justice, qui occupe la troisième place ; la force est à la quatrième. Ces derniers biens méritent par leur nature la préférence sur les premiers ; et il est du devoir du législateur de la leur conserver. »

Chez Aristote
Article détaillé : Phronesis#Le concept chez Aristote.

La prudence est une vertu intellectuelle : c'est la disposition qui permet de délibérer sur ce qu'il convient de faire, en fonction de ce qui est jugé bon ou mauvais.

Chez Épicure
C'est de la prudence que proviennent toutes les autres vertus.

Chez les stoïciens
Diogène Laërce mentionne que selon les stoïciens, « de la prudence viennent la maturité et le bon sens. » Ils y voyaient une science, celle des choses à faire et à ne pas faire.

La prudence chez les chrétiens
Allégorie du temps gouverné par la prudence (Le Titien, 1565). Cette allégorie indique que, informé du passé (vieil homme), le présent agit avec prudence (homme mûr) et se prépare au futur (jeune homme).

Cicéron transmettra la notion de prudence dans la pensée chrétienne, spécialement chez saint Ambroise, saint Augustin, saint Thomas d'Aquin.

Selon Thomas d'Aquin, la prudence est celle des vertus cardinales qui doit diriger les trois autres.

Selon saint Augustin, « la prudence est l'amour qui sépare avec sagacité ce qui lui est utile de ce qui est nuisible. »