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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Le nom de Allah émane de culte polythéistes - Encyclopédie théologique de l'Abbé Migne

Venant de [lettrage arabe], elahon, et vulgairement Elah ou Ilah. On l'emploie plus communément avec l'article en éludant la première radicale, [idem], Allaho, vulgairement Allah. Ce mot vient de la même racine que l'hébreux Eloah, et a été imposé par les musulmans à tous les peuples soumis au joug de l'islamisme ; il a même fait oublier à la plupart d'entre eux l'ancienne appellation du temps où ils étaient idolâtres. Le mot Allah cependant est bien antérieur chez les Arabes à la prédication de Mahomet ; car les tribus qui habitaient cette vaste péninsule s'étaient toujours servies de cette expression pour désigner le souverain Seigneur, du temps où ils étaient sabéens.

Encyclopédie théologique de l'Abbé Migne, Tome 24 : Dictionnaire des religions, premier volume, article : Dieu, Chap. sur Allah, Editions Migne, 1848