Mais qu'est-ce qu'une mémoire ? Ce qui est inscrit.

(...)

"La mémoire primordiale n'a pas de temps, ce n'est plus le défilement des choses, mais ce qui EST".

"(La mémoire) est une omniprésence hors du temps qui est à la fois notre passé, notre présent et notre futur. (....) c'est "le verbe" grammatical qui nous inclut malgré nous à ce NON-TEMPS qui est l'éternel ETRE".

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L'infini a un sens de "tout le temps". C'est la répétition au présent, tout le temps.

C'est un présent vivant. L'infini est alors dans le fini.

Depuis la Genèse, l'homme est présent "de tous temps", seule une mémoire oblitérée pour raison de libre évolution dans le fini, lui donne la notion de passé, présent et futur.

Le but : cumuler des expériences de planètes en planètes en repartant toujours d'une nouvelle logique. A la fin, au réveil, c'est l'Ego originel et fondamental qui prend connaissance de soi. La mémoire totale est retrouvée. C'est la grande prise de conscience.

C'est LA conscience de l'Ego originel qui vous souffle sans cesse de vous reconstituer, de vous "souvenir", de cette pureté d'origine, de cette science céleste que votre créateur y avait incluse.

La mémoire du futur, souvenir du futur explique les révélations inédites. Il faut que cela vienne d'ailleurs dans le temps.

L'humain doit voir (voy-age dans le temps) dans les images du temps passé et imaginer celles des temps à venir.

En psychologie on connait les nombreux "moi" de l'être et la guerre des tendances. Le Moi général est une mémoire toujours active : Re moi me, mais pas souvent maitrisés.

Or la mémoire est de caractère quintuple : la sensitive (les 5 sens), l'intellectuelle, la sentimentale, la spirituelle et la mémoire morale. Mais chacune d'elles est évidemment conditionnée par les aléas d'expériences ou d'éducations. "Etre" c'est être maitre de cette mémoire plurielle.

Mémoire et Etre font d'une personne qu'elle impose une "présence", la présence potentielle de la personnalité complète, rayonnante et prête à transmettre la Vie et la Lumière par les 5 caractères décrits. C'est cela la Mani-festation de l'Etre.

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L'inspiration c'est de l'alter-natif.

Futur-passé et Passé-futur, en permanence con-centré sur un point mobile qui est le Présent à sens futuriste.

Pour mieux comprendre, considérez le mot AVENIR, il a plusieurs sens.

D'abord, ce qui est à venir vers notre présent. Mais du point de vue logique c'est une erreur. La logique devrait dire que c'est un présent actualisé qui s'avance vers un futur. Paradoxe, donc, d'un devenir devenu qui VIENT vers nous, vers notre présent en échos qui suscitent choix et inspirations s'actualisant. Ce que nous allons faire détient déjà son karma qui nous tombe dessus

(...)

Le de-venir vient de ce qui est conçu, choisi, selon les lois divines et de la nature. L'humain provoque son karma futur qui va en écho, immédiatement se mêler à son concept selon l'esprit avec lequel il l'élabore. Autrement dit les résultats lui arrivent avant de partir. De plus il reçoit présentement les effets du karma dont il est responsable, de son passé. C'est un croisement ! Où il est bénéfique si l'homme ne conçoit qu'en responsabilité intertemporelle en respectant les règles du grand jeu de la vie, où il est maléfique s'il ne tient pas compte des factures temporelles qui l'endettent sans cesse jusqu'à la faillite.

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Quand il s'est mis au pas, il a le temps. Il le possède par esprit holistique. Il vit toujours au présent. Il a re-fléchi le temps passé sur le temps futur.

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L'homme reçoit les reflets de tous les temps.

Et si son temps d'instruction est apparemment linéaire, sa mémoire est habilitée pour concentrer tous les temps en lui.

Par l'intelligence, elle lui permet de faire du rangement et de l'arrangement pour mieux capter l'avenir.

C'est pourquoi le Verbe est intemporel. Tout est verbe, et pourtant il chemine de l'alpha à l'oméga du temps. Ceci pour faire comprendre cette infinité présente. L'homme est une particule du "Je suis" divin, par la notion d'éternité en lui, par la mobilisation de facultés "spirituelles". C'est-à-dire que l'intelligence humaine doit s'extrapoler spirituellement.

Sa responsabilité de choix est donc concentrée dans un TOU-JOURS par l'ici-maintenant en considération des critères des lois et de la connaissance divine. 

L'homme au départ est à 0, même pas 1. L'homme qui avance est au moins "1" entre l'oeuf et ce qu'il va mesurer en sa démarche. Quantité de nombres l'encadrent, il sait à peu près ce qu'il a passé et il a l'infinitude devant lui. Il est "le nombreux" parmi des quantités de "nombres".

(...)

Je voudrais également que chacun prenne conscience de sa responsabilité sur l'humanité passée autant que sur celle à venir. Tous choix, toutes actions ont des répercussions dans le temps des autres. Une cellule cancéreuse dans un corps, et peu à peu tout le corps va être envahi insidieusement...

Nous sommes le temps, nous sommes le "toujours" et le "tous les jours" de nos comportements influe "tout le temps" des hommes.

  

Dieu s'impose, Par la preuve, André Bouguénec (notes prises au fil du texte)

 

Le plan, tous peu à peu, nous y venons. Qui cherche voit une structure, une homogénéité, une intelligence. Il semble bien que nous travaillons sur plan. Sans le savoir. Jusqu'à... ? Qui dit plan, dit main, qui l'a dessiné, mani-festé.

Un plan est inscrit et ce plan est une mémoire écrite dans le non-temps, dès l'origine. Le temps est une sorte de déploiement manifesté de ce non-temps.

Alors, n'est-ce pas visible PAR-TOUT, qu'il y un PLAN et pas seulement dans les cellules, dans le Macrocosme, mais dans ce qui est soufflé même aux hommes pour s'échanger leurs... chromosomes (leurs "mémoires de diverses couleurs") par le VERBE.

Il y a un phénomène de TEMPS-MEMOIRE qui comme la lumière blanche n'est pas une mais 7 couleurs. 

D'où nous sommes "impressionnés" à rechercher si le temps n'est pas une dé-composition de lumière.

Y compris par l'empirisme apparent, le "hasard" qui n'en est pas. Ce qu'on constate en science, par l'observation du contexte, qui mène à des découvertes.

La mémoire est partout (MICrocosme et MACrocosme). Le "chaos" est une chose "ordonnée" qui fut désordonnée pour que les hommes trouvent à le co-ordonner. Toujours un plan apparait, émerge, d'une apparente confusion mais qui masque grossièrement une autre dimension, elle, très élaborée.

A la genèse, un plan est mis en route (Gènes, ADN).

Qu'il fut dans l'intellect, la conscience ou la mémoire des extra-terrestres préparateurs élohim, que ce fut leur intérêt, qui peut dire, étant donné l'ampleur de cette perspective, qu'ils ne furent pas programmés, agis à leur insu ?

Nous sommes les pions de l'échiquier du temps. Nous ne sommes joueurs que si nous nous intéressons à la partie. Est-ce le hasard qui fait les lois ?

Tout est dis-cours de la vie : Bio-logie, donc "science de la vie" ! Elle ne peut s'inventorier sans le mot, sans le logos, sans le verbe incarné en l'homme.

La mémoire doit être cherchée pour trouver. 

Exceptions : voyance, inspirations, rêve...

Notre intelligence (réflexion, spéculations, travail, expérience) ne sert qu'à socialement évoluer, régresser, muter selon les directives du Plan, lui-même régi par les lois impérieuses universelles qu'il est permis d'appeler Dieu, Esprit ou Loi. Pour AVOIR tout est soufflé, pour ETRE, c'est de nous-même qu'il serait attendu le seul geste créateur que tout le plan suscite mais n'oblige pas. Tout l'AVOIR permettrait de deviner qu'il faut ETRE.

L'homme peut modifier les choses par son imagination, concevoir d'autres possibilités et accroitre (ou pas) le chaos.

"Avec ses mémoires, il crée de nouvelles conceptions. Alors ses possibilités de choix augmentent (géométriquement), il enrichit ses cellules, mais peut aussi les détraquer. Leur programmation originelle de base, ne pouvant s'accorder avec les fantaisies à courtes vues humaines. 

Si réincarnation des cellules : Elles se modifient dans le corps et deviennent anarchiques, cancéreuse, révolutionnaires. C'est le choc en retour de ces stimulis détraqués.

Si l'homme se crée une mauvaise mémoire, celle-ci le détruit.

Est-ce que tout cela : Mémoire-Groupe, ne formerait pas la conscience ?

Bonne conscience élève, mauvaise conscience détruit.

La mémoire de base est indestructible (Immaculée conception) ; même salie, souillée par l'homme, elle reste "toujours vierge", jusqu'à ce que l'homme la prenne telle qu'elle est, pure et sauve d'extravagance. Alors la Terre sera à un nouveau commencement.

L'initiation est de retrouver les initiales du passé à travers nos actes actuels.

L'initié est celui qui retrouve l'EVE PAROLE, les initiales des choses, avec leurs correspondances présentes.

 

Le plan, André Bouguénec

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