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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Remarques sur le "témoignage" d'Arnaud Mussy à André Bouguénec - Xeon

Code EAN 8/13 ou code UPC : 1995-01-03

Vous trouverez ici nos remarques sur le "Témoignage" de l'usurpateur et l'imposteur Arnaud Mussy, préparant sa révolution contre André Bouguénec

 

Le 24 janvier 1995, Arnaud Mussy écrira un témoignage envers André Bouguénec (soit trois semaines après son arrivée au Phare-ouest...). Nous décryptons ici son habituel discours équivoque, servant à préparer son projet de révolution.

Lien vers le témoignage (écrit et sonore).


Outre nos remarques, présentées en ce billet, André Bouguénec y ajoutat ses propres remarques, et répondit encore plus tard également à ce témoignage, par un autre écrit.

 

 

 

Remarque 1

Voici le "témoignage" d'Arnaud Mussy, datant du 03 Janvier 1995, un mois et demi après sa première présence en réunion du Phare-ouest.

André prévient : "A la lecture vous verrez les jeux de mots. Il EN invente, hein !". Ce qui veut dire qu'il faut "lire" dans le réel, pour comprendre que ce qu'on voit et ce qu'on entend sont antithétiques. Ce qu'on "entend", ce sont des mots distillés dans un langage équivoque, impliquant le silence des auditeurs, sur les inventions qu'ils entendent, d'où la conclusion : "que dire, il en manque, il en manque".

Il manque en fait notre réponse.

La sienne étant une autorité qui commence par trancher sur une probabilité, dont le résultat est un "sourire", c'est-à-dire une marque de mépris vis-à-vis de l'autorité légitime : le "livre" d'André Bouguénec.

L'intéressant est de mettre ce "sourire" en perspective de l'équivoque placée plus bas, préparent une révolte contre d'autres autorités, cette fois religieuses, prises en défaut par leur parole d'autorité : elles "proclament", mais sont fausses. Curieusement, elles aussi prêtent à sourire :

"Comment ne pas sourire en ces temps messianiques, lorsqu'accompagnés de leurs "t'es moins", des gourous forts en gueules, se proclament : "hors du comme-UN" !!! Ces pauvres,"Mais si" de pacotilles, s'ils savaient lire, verraient que leur vanité les "con-sacre" "Cocus du Verbe espiègle" ; lequel, comme Excalibur, ne reconnaît qu'un seul Maitre: André Bouguenec (= 135), l'A-ZED (=1-35) alias "le Verbe Humain" (=135), plus connu sous le nom d'Alpha B. Si vous ne me croyez pas, regardez donc ses initiales !"

L'iniriale d'André est présentée comme secondaire : a-Zed, alors même que le "temps" est présenté comme valeur fondamentale. Donc le "Zed", c'est la fin d'André Bouguénec.

"Dead can dance", en conclusion, décrit tout le contexte de ce courrier... où André est traité comme "Joker de carnaval", préparant déjà, eh oui, le "Joker de Dieu" final, qui sera annoncé en 2006. Celui qui représente la mauvaise chance, la chance "linéaire", non motorisée.

 

Recoupement : André Bouguénec est ici associé et identifié au catholicisme, dans le codage d'Arnaud Mussy :

"Comprenez qu'il "faille" quitter au plus vite vos images d'un Christ vaticanesque, car André n'a rien d'un chevelu ou d'un géant. Ce petit "bon-homme" fougueux qui connaît si bien "nos leurres" s'est paré, tel un caméléon, du physique le plus discret, afin de nous surprendre comme un "voleur". Reli(e) ta Bible et tu verras !"

Et toujours comme un manipulateur, celui qui "connait si bien nos leurres", "Joker de carnaval", et "verbe espiègle".

 

Bilan pour remplacer cette fausse autorité qui est "temporellement" destinée à disparaitre par la création d'une révolution programmée par ce système d'équivoque, répété maintes et maintes fois sans opposition de notre part, qui tôt ou tard germera dans les cerveaux des phare-ouestiens, comme une "vérité" nouvelle, élevant des contestations contre "l'autorité" manipulatrice prétendue d'André Bouguénec, pour placer Arnaud Mussy comme maitre de cette vérité.

"Cela présage-t'-il de la réaction des catholiques, le jour où ils apprendront avec rage, la trahison d'un Vatican dont il ne restera plus
guère, que l'injonction "

 

Bilan dis-je : Arnaud Mussy anticipe déjà une démarche "collégiale" relativement au Phare-ouest ! Et une collégiale, c'est une autre "autorité", comme le prouve sa "charte". 

Mieux : lors de son procès pénal, Arnaud Mussy dira : '"j'ai fait une collégiale". Autrement il en est l'auteur. L'auteur de l'autorité, c'est l'autorité suprême.

Plus tard cette démarche deviendra une course, par son par-cours très rapide.

 

C'est pourquoi il conclura en se disant "Fils et témoin à jamais". Le "Fils" n'est-il pas aussi : l'héritier ?

Le " à jamais" implique par ailleurs que cette formule le concerne : "Cet esprit holistique n'est limité ni par le temps, qu'il conjugue au futur antérieur, au plus que parfait, ni par l'espace, car il est celui qui est, le Fils de Dieu, l'homme [?]".

 

Voilà comment la révolte est poussée pour amener à un changement de pouvoir, c'est-à-dire une révolution, dûment préparée dès l'arrivée d'Arnaud Mussy au Phare-ouest, dans ce but même...

 

 

 

 

Par ailleurs, qu'est-ce qui manque ? Ce qui est le fait d'un calcul. Et de quoi s'agit-il ? De "jeux de mots" qui ne peuvent se repérer à l'audition, mais être perçus à la lecture.

André se demande d'ailleurs, ce que lui, "dira de plus".

"Quand on a chiffré quelque chose, il n'y a plus rien à dire", avait-il dit ailleurs.

 

Puis André ajoute : "il faut des années d'étude de mon enseignement avant de le diffuser. Sinon on fait des confusions parce qu'on est inspiré de partout mais qu'on ne sait pas trier.
Quand on n'a pas édifié de personnalité, on prend une identité sur ce qui se répète en face de vous, sans critique ni réaction."

Ceci étant une adresse au Phare-ouest, visiblement.

 

 

Remarque 2

Préambule : L'annonce d'un scénario

Arnaud Mussy, tel un acteur de théâtre, affiche émotions, sentiments et bouleversement de sa vie, dont le hasard : un jour, va devenir géométrie : "boule-verser", sur la base d'un dit, à propos de quelque chose de faible ("simple") : "Quelle aurait été ma réaction si on m'avait dit un jour, qu'un simple livre bouleverserait ma vie ?"

Ce n'est que la main d'Arnaud Mussy, inspirée, qui trouvât un livre, qui débouchera sur une gouvernance : Via la "collégiale" : Répétons-le : "A jamais".

 

Or voici l'objectif déclaré de cette Collégiale :

Objectif général :

- Rôle d'Arbitrage d'aide et de conseil.

Face à une problématique, qu'elle soit de source conflictuelle, comportementale ou sur l'Enseignement propre, la Collégiale doit être à même de conseiller ou de statuer par la réflexion concertée de ses membres sur une résolution constructive. Les décisions de la Collégiale en cas de divergences profondes sont souveraines afin de maintenir une Autorité en tant que gardien d'une Ethique et de la Morale. Quiconque demande une aide doit pouvoir trouver un interlocuteur au sein de la Collégiale, à défaut ou en plus du Phare-Ouest. La Collégiale est au service du Phare-Ouest. Source

 

Que signifie ceci ? D'abord que toute question (problématique), dont l'issue est incertaine, douteuse ou hasardeuse, doit être soumise à la compétence (au savoir), d'une "collégiale" (loi commune et autoritaire). Ceci parce qu'elle détient une science (pour "statuer", c'est-à-dire fixer), sur toute crise... qu'il suffira de provoquer pour en augmenter le pouvoir.

Comme les choses de cette mainmise autoritaire sur nos esprits est bien dite ! N'est-elle pas "au service du Phare-ouest" ? Qui n'oserait "suivre" ce plan ?

La collégiale sera "souveraine" pour poser des questions afin de faire ressortir le "problème" (qui n'existait pas).

  

Tout ceci n'étant que le débouché d'une "aventure littéraire". Aventure : Ce qui advient dans le temps. Ce mot dérivant de "avenir". Après le A-Zed représenté par André Bouguénec.

D'ailleurs cette "collégiale" n'a-t-elle pas un "rôle", comme au théâtre, forme littéraire dont le plan est absolument impératif, mais où les acteurs sont conduits telles des marionettes, par le scénariste, puis mis en scène ?

 

 

Remarque 3

La virevolte des changements de sujets

Etonnamment, le mot "inspiré" reviendra plusieurs fois dans ce discours travaillant à désinformer les esprits du Phare-Ouest, leur faire voir ce qui n'existe pas.

Voici un passage où il parle de lui, sans le dire mais il prévient que sous les mots se cache un double sens. C'est tout l'art de l'équivoque et du mentir-vrai :

"Au moment où l'humanité expire par ses doutes, ses illusions et son mal de vivre, un homme volontairement resté dans l'ombre, Inspire. Cependant, si je confesse que "ce dernier" est quelqu'un de "commun"... allez vous sourire, soupirer ou tourner la page ? Il est vrai que nos oreilles humaines si friandes d' "appats-rances", sont d'une surdité consternante, lorsqu'il s'agit de débusquer sous les mots un double sens. Voyez "ce quelqu'Un" dont je vous parle, ne retrouve t-il pas sous la plume une soudaine "Un-portance" ?

Voilà , le "comme-1" (= Un = 35) qu'il fallait capter !

Il Est Un-ique car il "signe l'unité" (=135) !!

 

Qu'est qu'inspirer, sinon que répéter toujours la même chose, pour induire une idée, toujours la même, qui finira par germer dans la tête des phare-ouestiens.

 

Rappelons à nouveau la réponse d'André, qui voulait à la fois nous mettre la puce à l'oreille, mais en nous laissant libre d'entendre ou pas ses préventions ("ils ont des oreilles et n'entendent point", faiblesse que Jésus utilisait lui-même, pour que ses propos soient compris "plus tard"), donc répétons cette prévention :

"il faut des années d'étude de mon enseignement avant de le diffuser. Sinon on fait des confusions parce qu'on est inspiré de partout mais qu'on ne sait pas trier.
Quand on n'a pas édifié de personnalité, on prend une identité sur ce qui se répète en face de vous, sans critique ni réaction."

 

Il leur propose alors un dilemme : participer à son "sourire" (troisième répétition...), qui fait face à "l'autorité". Ceux qui ne sourient pas "soupirent" : ils sont déprimés, ne "tournent pas la page" , pour trouver "l'Un-portance", axiome même du pouvoir total, mathématique et sans limite, puisque suggérer au nom même d'André Bouguénec.

Ainsi cet "homme" - un génie de l'équivoque, de même que sa main l'était, "inspire" (apportant ainsi un "verbe nouveau"), à une "humanité" "expirante" (pour rejet, forcément de l'in-spiration). Autrement dit la mort et donc la peur sont la clé permettant de comprendre comment se vendra ce nouveau pouvoir : par la loi : "si vous ne me suivez pas, vous mourrez".

Toujours en son propos, nous sommes informés ("Au moment où"...) que l'homme est un faible, un mourant, ne pouvant plus parler, s'exprimer. Sa parole est coupée par la peur de la mort, son temps arrêté pour opérer une "révolution".

 

Il continue donc, parlant toujours de lui (en termes toujours équivoques - imposant notre silence et par-là sa progression dans nos têtes, puisqu'on pourrait penser qu'il parle d'André Bouguénec, amenant l'impossibilité de douter, de le réfuter publiquement) :

 - Mais quel est donc cet Auguste personnage ?

Il est le signeur du palindrome, de l'anagramme et du Verbe ; il incarne "les lettres"(=135) "et Ies chiffres" (=135) dans leur complémentarité ; à ce jour, cet homme est le seul à ne pas tourner en rond face à "l'énigme du carré" (= 135) ; et grâce à son esprit vo-Lumineux, prouve par A+B (=135), le mariage du cube et de la sphère (cf.- la quadrature du cercle).

Cet esprit holistique (= 135) n'est limité ni par le temps qu'il conjugue au futur antérieur et au "plus que par-faits", ni par l'espace, car il est celui qui Est :

"Le Fils de Dieux" (=135=) "L'Homme à venir"

 
D'où la suite, logique, où cette fois il va revenir à André Bouguénec, qui est : loin... dans le passé :

"Déjà, je pressens votre question :

- Cet homme ou crèche t-il, Est-il loin ?

Décidemment la bouche à des inspirations que les oreilles n'ont point. Effectivement, il "Est" (= 44) (cf: Nantes) "l'Oint" :

A. Bouguenec (= 94 =) le Christ, fils de Dieu (= 94),"

Autrement dit, A. Bouguénec, comme Christ, l'aurtorité incarnée à renverser pour mettre Arnaud Mussy "l'Auguste personnage", sur le trône du Phare-Ouest.