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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Science du divin - Extraits - Xeon

[Alex Andre] est signé du signe de la croix. LA CROIX = 82 qui est le symbole de la science divine, et qui signe toujours le Christ zodiacal : LE CHEF D'ANGLE = 82 (des Poissons, du Verseau...) apportant le pierre de L'ANGLE.

Le pur sang de la kabbale se révolte

 

 

 

SCIENCE DU DIVIN


Penser que la science est faite par l’homme et pour l’homme

Penser que la science du divin est forcément autre que « les sciences de l’homme ».

Science = ensemble de techniques aboutissant à former un système intellectuel cohérent de démonstration et de connaissances.

C’est l’intellect qui construit son objet sous forme de science.

Le divin c’est le parfait qui nous fait nous dépasser vers la valeur, le plus, le mieux, la perfection.

La science est un langage fort, de lumière et d’éclairage, fondé.

Le divin apparait quand on sort des masses, de l’opinion et de celles des religions

La pensée mesure, et la science est mesure et la pensée est le plus divin en l’homme

Théo-logie = Science du divin



On ne peut pas avancer, ni gagner à ce jeu-là dans le désordre ; il y a "un ordre" à suivre et ce sens est celui de processus, de progression par certaines étapes parfaitement établies divinement à l'avance. Tout est scientifiquement tramé, hiérarchisé afin que "Matière-Esprit" apparaisse comme Unité fondamentale aux yeux des observateurs qui ont compris que le "Ré-Bis" alchimique est par-Tout, cette chose double qui mène à la Véritable Science Totale et à la Con-SCIENCE du Divin. L'homme ne se construit qu'en sachant la relier, car "Ce qui est en-bas est comme ce qui est en haut et réciproquement pour faire le miracle d'Une seule chose" dit l'Hermès Trismégiste.



Le martinisme naissant est contemporain de la période romantique, qui donne au coeur, aux passions de l'âme, une primauté. Le martinisme, identiquement, admet que le sentiment est la résultante, le but de la quête. Mais le martinisme est une pensée, qui fait intervenir la science comme moyen de raffermir ce sentiment, de lui donner un cadre divin, qualifié.



Alors il faut s'habituer, même dans le travail, à observer, à examiner, à extrapoler tout ce qu'on voit, tout ce qu'on ressent, tout ce qu'on observe. Et ça c'est une nourriture. A plus forte raison, lorsque vous lisez, mieux comprendre l'auteur ou ce qu'il n'a pas compris, toujours il faut bien le comprendre, se le farcir convenablement, et éventuellement, voir plus loin et poser des questions tant que ce n'est pas compris selon la lettre qui est donnée, et [tant] que vous n'imaginez pas qu'il y a une autre signification, encore plus et encore plus. Derrière une apparence il y en a encore une autre et encore une autre. Un train cache souvent un train ; c'est le phénomène des poupées gigognes, l'esprit étant infini dans la découverte. C'est une science.


L'intelligence juive leur vient de ce qu'ils ont pour culture de l'exercer sur le sujet divin. De ce fait elle se libère totalement, et progresse.
Le Talmud aboutit au Zohar, chef d'œuvre philosophique, grâce à la kabbale.
Si l'Eglise avait libéré les clefs de la science, l'Occident, le christianisme auraient supplantés cette intelligence.
La kabbale chrétienne vient de France. Or la langue française est la plus précise, la plus scientifique, la plus littéraire, et les idées chrétiennes sont universelles, sans considération nombriliste d'arrogement.
D'où les premiers deviennent les derniers, car aujourd'hui, l'intelligence juive ne sert plus qu'à la politique et aux pouvoirs, hors les valeurs du coeur.


LUMIERE = 83. Tu multiplie 8 x 3, tu as 24 : X. Signe de la lumière.
LA LUMIERE = 96. 6 x 9 = 54  = HOMME. Donc la lumière, c'est quelque chose qui s'attribue exclusivement à l'homme. Cette lumière est pour la formation de l'homme qui est couple ! Ce couple idéal, masculin-féminin est dessiné une fois pour toutes. C'est une merveille immaculée du Créateur.
Ce proto-type est protéiforme (veut dire "qui change de forme"), mais seulement selon les seules lois divines préétablies dé-finitivement, pour les transformations et métamorphoses de l'homme et de la femme.
L'humain prétendant modifier cette science, divine, est en péché contre l'Esprit et empêché dans ses actes pseudo-scientifiques par des calamités épouvantables. Tu as deviné que je parle de la possibilité de rendre un mâle enceinte. Entre autre chirurgiens génétiques, les anges ont fait des monstres.

Le mot "conscience", en lui-même veut dire "global, holistique". L'homme qui a une conscience il est avec, non pas avec la science des hommes, c'est pas suffisant. La conscience de l'homme est d'être conscient non seulement de la science des hommes, qui n'est pas suffisante, mais de la science divine. C'est-à-dire qu'il doit extrapoler les lois qu'il découvre dans la science sur ce qui le concerne en tant qu'élément créatif et créé par le divin.

Tout ce qui existe dans la science du divin, dans la conscience cosmique, c'est élaborant. Ça ne peut être que cela parce que c'est en même temps la vie. Il n'y a pas de conscience sans vie, il n'y a pas de vie sans conscience. L'animal a une parcelle de conscience, c'est-à-dire un programme de conscience qui fait : sa vie. Et il vit avec ce programme de conscience, il manifeste ce programme. Tout est vie, tout est esprit, tout est déjà conscience, tout est harmonie. C'est ça qu'on appelle le cosmos.


André : la table représente un support, mais ça ne va pas plus loin. Mais tu n'utilises dans le verbe que les mots qui ont des significations qui vont extrapoler la matière. Parce que dans toute matière tu extrapoles la matière où tu es pour une autre. Or le Verbe originel a ses qualités justement d'échos scientifiques divins ; ce sont des clés scientifiques, qui s'allient non seulement à l'homme et à Dieu, mais aux structures de l'univers.


Toute religion doit se métamorphoser en Science du Divin, car celle-ci ressuscite des symboles les clefs dissimulées des Mystères de l'homme et de Dieu.


Tant qu'il y aura des croyances, il y aura des divisions. Seule une Science de Dieu, pour connaître Dieu, pourra créer une fraternité entre les peuples.
Car une Science trouvera les 'correspondances' de leurs croyances, de croyances, avec le Réel.


La science de Dieu, c'est la science du Verbe, puisqu'au commencement était le Verbe et le Verbe était Dieu.
Il est réensemencé en [couveuse ?], bébé, tant qu'il ne sera pas devenu un adulte au point de vue de la conscience : AVEC la science : la science divine, la science cosmique, de la matière, de la physique et de la métaphysique du monde, de la vie, etc.


Processus du phénomène scientifique : une chose est découverte pour voir autre chose. Quand elle est bien vue, bien observée, elle fait voir autre chose et autrement les choses.

Et à chaque fois c'est un nouveau pouvoir. Le mot "pouvoir" est une vision. Car toute vision va susciter un pouvoir de faire, différemment, autrement.

Les pouvoirs sont éphémères la plupart du temps, s'ils ne sont pas valorisés par une densité de connaissance du divin. Tout ce qui n'est pas bâti sur le divin s'effrite très vite.


La loi sociale qui veut que les êtres inutiles soient rejetés, va s'appliquer inéluctablement aux religions, dépassées par la science. La science en effet peut démontrer Dieu aux athées. Pas les religions. Les prêtres ne peuvent jamais qu'être écoutés de leur public fidèle, déjà conquis. 'Tout ce qui ne porte pas fruit est retranché'.


La religion vraie c'est la science du rassemblement, de l'unification du dispersé, de l'éparpillement afin d'ad-mirer la belle unité réalisée, qui apparaît.


Il ne faut jamais négliger, lorsqu'on admire la nature, de l'analyser, essayer de comprendre ; n'importe quoi, parce que ça enrichit et en même temps cela fait découvrir des recoupements dans les petites choses. Il s'agit d'apprendre à voir ; ce sont des exercices qui vous permettent d'apprendre à regarder en étalement, en profondeur, en perspective. A ce moment là, vous vous passionnez, vous voyez les choses différemment et toujours vers un enrichissement de la découverte du divin.

Des structures infinies qui s'impliquent les unes dans les autres. Vous croyez qu'une chose est simple, eh bien non elle est compliquée ; dans le sens qu'elle détient plusieurs autres éléments comme les poupées gigognes soviétiques. Vous en sortez une d'une poupée, vous en avez deux. Eh bien non, vous en avez une autre dans la deuxième, une autre dans la troisième, etc. et puis le plus petit en réalité détient la plus grande dimension.

C'est pour ça qu'à chaque fois qu'on avance on se rassure de retrouver quelque chose, une assurance nouvelle. C'est une sûreté perpétuelle de ne pas s'égarer. Dès l'instant où l'on est dans la lumière on ne peut pas s'égarer, la vision s'élargit, tout est éclairé et on s'éclaire soi-même des visions qu'on a accumulées en soi.

Le Christ apporte les Clefs de la science divine, du Royaume de la connaissance de Dieu.


Le message essentiel de Jésus il y a deux mille ans, c'était la morale, la vie en société. La connaissance était alors secondaire, mais il fallait que le germe en fut laissé à travers les apôtres. St Paul a bien dit que parmi les talents divers il fallait des docteurs, des apôtres.
La science du divin devait donc se déployer avec le temps. C'était dans le programme de Jésus, qui prédisait le dévoilement ultime pour le futur.



Catholiques et maçons ont les mêmes clefs, mais les premiers perdirent l'efficacité de la qualité pour le recrutement numérique.
Jésus n'a nullement apporté une religion mais un humanisme initiatique avec « les clefs de la science » divine, déjà existantes.


L'initiation est un tré-pas. C'est à l'évidence une métamorphose des choses et une mutation de Vision. Mais l'Homme également, doit : tré-passer de sa vision classique pour renaître d'Esprit. Ce tré-pas est un passage obligatoire, de la Matière, à l'Esprit pour une Science divine, ce n'est qu'alors que le 'Passant' découvre la quatrième dimension qu'il doit créer de lui-même : l'Amour. Ces 4 initiales donnent le mot SEMA ou AMES, c'est-à-dire une Intelligence plurielle par les Signes vécus.


Le paradis, le parc-à-racines, c'est la langue divine originelle, perdue. Ses mots-racines soutenaient la connaissance.

Véritable science divine / Croyances des religions


Tout dans l'Univers est niveau de conscience, car tout se fait « avec savoir » (figé ou alors évolutif). C'est-à-dire une intelligence « avec science » (science + intelligence + intérêt sont des complices de croissance réciproque). L'intelligence est suscitée par la Matière et l'Esprit. Ce processus doit mener à l'amour librement : apprendre pour les autres.
Le processus de la prise de conscience est possible grâce à l'oubli. Il s'agit alors d'organiser les choses : recréer Dieu.
Cette remémorisation est due à la pensée. Elle est ce qu'il y a de plus divin en l'homme car elle seule franchit toutes les frontières : du temps et de l'espace. Elle voit les innombrables possibilités de chemin. Alors elle peut choisir.

La science du divin est une science du dépassement (puisque c’est sortir des masses par la pensée), de la synthèse et de la remontée au divin.

"Avoir la connaissance de la Science de Dieu."

Combien d'auteurs, en quête d'une vérité divine dépouillée de fantasmes religieux, ont voulu chercher à rééquilibrer la 'dévoyance' d'une Eglise dont la responsabilité mondiale exigeait qu'elle fut une véritable 'Académie scientifique de la Métaphysique et du divin'.

A l'origine était la clef de la science : La parole, le Verbe : Cette langue détenait par ses mots-relais et racines la Science de Dieu en rapport aux mystères de l'homme.

Démontrer que Jésus s'inscrit dans une lignée qui ne s'est pas arrêtée à lui, c'est démontrer l'absurdité d'une théologie qui s'arroge le droit de dire la vérité puis de la figer, de déclarer, surtout, être la garante de la compréhension d'un message désormais clos.

Paul déclare que les prophéties ne sont pas closes, qu'il faut tout éprouver, que tout écrit inspiré est bon, et que c'est de la matière que doit démarrer la science du ciel, de l'Esprit et de Dieu.

L'Eglise a caché le Royaume des Cieux. Mais qu'est-ce que le Royaume des Cieux ? C'est l'Univers. L'Eglise a empêché la science qui eut ouvert des voies à l'intelligence. C'est la liberté.

L'Eglise a écrasé toute liberté en son sein. Elle a imposé dictatorialement sa vision des choses (la Lumière). L'Eglise a empêché la réflexion, les ésotérismes, l'étude fructueuse de l'histoire, de la science, du monde.

Elle a été tout, sauf 'universelle'. Elle a bouché l'entrée du Royaume du Père, en imposant des dogmes qui ne sont que des fables, elle a imposé un catalogue de ce qui est bien et de ce qui est mal. Ainsi, elle a empêché les consciences de croître, de se développer grâce au phénomène obligatoire de la liberté. Or cette conscience, c'est le Royaume des cieux.

C'est enfin la connaissance de Dieu, du Monde ('La lumière était dans le Monde, et le Monde ne l'a pas connue'), qui pouvait rendre Dieu tangible.

Vous connaissez bien une personne quand vous pouvez 'voir' ou 'visualiser' intérieurement le lieu où elle vit. Sinon elle reste abstraite.

Dieu se visualise seulement par la mobilisation de son intelligence, qui permet de l'Y lire en Son Royaume ('en nous et en dehors de nous'), d'Y trouver l'Esprit ! Amen.

Comme Dieu ne se démontre pas logiquement par la logique classique, l'homme en conclue que Dieu n'existe pas.


Jésus avait apporté une Science de la Vie en rapport avec Dieu, vous en avez fait une religion d'apparats et de dogmes inventés, de rituels et de supplications.
C'est pourquoi Jésus et Paul insistaient sur l'intelligence, mais aussi sur la passion à chercher le Royaume des cieux : pour les violents.


Ce que l'Eglise a caché aux hommes, et qu'ils auraient pu découvrir en lisant le Nouveau Testament :
Science, connaissance de Dieu, Résurrection de son vivant,

Matière et Esprit mariés, donnent la science du divin.

On a réduit l'enseignement du Christ à une morale, alors qu'en fait il présente une science des conditions de salut, de divinisation de l'homme.

Dieu ne peut naître que dans l'âme, c'est pourquoi la théosophie est une psychologie. On a parlé pour Jung, de psychologie ésotérique.

Une théologie véritable devrait fournir les principes de toutes les sciences.

La Religion répond aux besoins du coeur, de là sa magie éternelle ; La Science à ceux de l'esprit, de là sa force invincible.

Pour Eliphas Lévi, Science et Religion doivent désormais établir un mariage.

La science, depuis le dix-neuvième siècle, se pare de foi de plus en plus lucide, volontaire. Renan parlait de 'religion de la science'. Elle cherche en effet un sens dont l'aboutissement est la synthèse, la démonstration de l'Unité de l'Univers.
Or ceci est impossible sans une métaphysique se surajoutant à cette science.

Tout ce que nous pouvons découvrir, sont des bribes d'une intelligence supérieure qui veut nous séduire. Mais tout est codé.

Il faut faire que notre esprit se passionne de toutes ces facettes du Grand Architecte, à découvrir à travers son œuvre.

C'est cette volonté de percevoir Dieu à travers toute chose, qui apporte la lumière.


Il n'est plus question de confondre le savoir (en Dieu), la Science réelle, avec le faux-savoir : l'érudition, la légende, la tradition, les spéculations logiques. Tout ce qui n'est pas exact, palpable et porte-fruits n'est pas Science.

Jésus annonce l'accomplissement de toutes les notions ; tout deviendra clair.

Le Zohar et la gnose partagent l'idée que l'étude et la pratique de la Loi : science de Dieu et justice sociale dans l'incarnation, va permettre à ces ex-anges ramenés à l'état d'hommes, de se relever, et réintégrer leurs qualités perdues