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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

"Esprit" et "Péché contre l'Esprit" dans le discours d'Arnaud Mussy - Xeon

Le péché contre l'Esprit

 

"Le blasphème n’est pas une insulte, mais une déclaration volontairement fausse contre Dieu. Les pharisiens outragent le Saint-Esprit en déclarant que Jésus agissait pour le compte de Satan, plutôt que par la puissance de Dieu. En attribuant à l’ennemi l’œuvre de délivrance accomplie par le Seigneur, les Pharisiens s’excluent eux-mêmes de cette libération. C’est la culpabilité historique des autorités religieuses juives du temps de Jésus. Cette faute si grave est un refus obstiné et persistant de la personne du Christ à la lumière de son enseignement et de ses miracles. Le blasphème est le rejet conscient de l’action de Dieu et de Dieu lui-même."

 

 

Quand on a voté pour "l'amour" devant une assemblée, on s'engage à la mesure du nombre de personnes présentes en cette assemblée. 
Le "partage" qui fait "progresser vite".

Et déjà, entendre un programme possible sans se prononcer contre le sens des mots qui permettrons ce programme, tient de cet engagement.
D'engagement en engagement, à la fin, on vote. 
Alors on est responsable, sauf mauvaise foi, de cet acte.
Il faut alors accepter la loi, le tribunal, l'exclusion ou l'esclavage. 
"Même si ça fait mal". 



Liberté : sentiment qu'à un sujet d'être la cause première de ses actes et des opinions et donc d'en être, sauf mauvaise foi, entièrement responsable.

Responsabilité : Obligation faite à une personne de répondre devant les autres ou devant sa propre conscience, de ses actes du fait du rôle, des charges qu'elle doit assumer et qu'elle a acceptées, et d'en supporter toutes les conséquences.


Péché contre l'esprit : savoir que c'est Dieu qui agit, mais ne pas suivre.
c'est la mauvaise foi !

Bonne foi : Dans une défense, affirmer avec sincérité, qu’on ne savait pas, ce qui explique la faute ou l’erreur. La mauvaise foi étant : même affirmation, mais sa réalité est inverse

Le péché contre l'Esprit serait, dans certaines interprétations, celui qu'on commet avant la mort, car c'est l'ultime moment où ce qui est choisi ne peut plus être, évidemment, pardonné. Ce qui suppose de ne pas croire en l'évolution infinie.

 

Esprit = choix (dans Lucifer : Esprit du bien et esprit du mal, pour susciter des choix. "Tout est dans Lucifer".)

Péché contre l'Esprit = péché contre la liberté de choix, faire en sorte que les "croyants" ne se sentent pas libres de "décider", les pousser à trancher sans que leur réflexion propre ne soit sollicitée.

Se rappeler aussi ce que disait André, sur le danger de "prouver" Dieu, car alors on force le réfractaire, à "pécher contre l'esprit". Et ainsi à prêter le flan à l'accusation de "mauvaise foi".

C'est-à-dire : L'esprit c'est l'intention, et forcer à pécher contre l'Esprit c'est engendrer la faute d'intention.

"Forcer" est le mot. On prétend qu'il y a choix, mais en réalité on "force" à signer, à basculer, à voter, à s'inscrire, etc.

Comment force-t-on ? Par le langage de la force, forcément. Et ce sont les chiffres, qui servent de "preuve". Qui a un chiffre devant les yeux ne peut le nier. Si "Dieu" est chiffré alors on oblige à pécher contre l'Esprit.

Chiffrer Dieu c'est alors permettre le procès et la terreur.

La question de la bonne ou de la mauvaise foi, est discutée dans le cas où le fautif / pécheur prétend ne pas avoir connu la loi, avoir manqué de Lumière.

 

Or choisir c'est aussi rejeter. Et si "Dieu" est chiffré, c'est qu'on ne parle pas de Dieu mais d'autre chose, au nom de Dieu.

Qui force à pécher contre l'Esprit est donc serviteur d'autre chose que Dieu, au nom de Dieu.

Et le chiffre ne sert qu'à mesurer la matière.

 

Un procès d'intention c'est un procès où l'erreur, la faute, la maladresse, sont compris comme des "choix" propres à la personne mise alors en accusation. On la dit "responsable" de son erreur. Laquelle devient alors une faute.

Le péché d'intention est le péché contre l'Esprit dégradé au niveau humain, mis en place par l'homme jugeant le coeur et l'âme de l'homme, de son prochain. Ou : quand l'homme est un loup pour l'homme.

 

 

Si le procès révolutionnaire crée la colère du peuple contre ses dirigeants, c'est parce qu'on présente la faute du Roi à déchoir, comme une erreur contre un "savoir". Le roi "sait" mais ne "fait" pas, dit-on au peuple enragé. Il sait puisque le réel est simple, mais qu'il a mis lui-même en place une structure d'illusion, complexe, dans le seul but de prendre et conserver le pouvoir. 

Pour le Révolutionnaire, l'intelligence et l'étude de la complexité du réel, sont un "péché contre l'Esprit", tel qu'il se le définit après la révolution copernicienne. Quand les "intellectuels", disent, à cette époque : le réel est simple et accessible par des lois claires, puis ajoutent : appliquons ces lois à la politique, ils préparent déjà le ferment de la révolte contre la complexité.

 

L'inquisition combat l'hérésie. Elle est comme le savant qui combat le complexe avec des lois simples et bêtes, des chiffres. 

Pour les athées, tout doit être clair.



La grammaire d'Arnaud Mussy lie des entités par des mécanismes, les réduiit à des formes, des chifres, etc. disant qu'il faut faire la preuve, cerner, faire le tour, basculer, déclencher, suivre, etc, etc.. Il dit par là qu'il faut que rien ne soit caché (société moderne également), que tout soit "clair" et chiffré. Pas de mystère, et "l'amour" lui-même est prouvé par une "participation", une "élection", un "choix" de "l'unanimité. C'est-à-dire une majorité mathématique. Ne pas vouloir le "voir" et l'admettre, c'est automatiquement "pécher contre l'Esprit"... fini et défini par lui, de son propre chef.

D'où le recours au "sas" comme fin de vie possible pour qui "choisit" de survivre en faisant le bon choix. Si ce temps est "ultime", "arrêté", alors forcément celui qui "sait" mais ne choisit pas, fait là son ultime choix. Ce qui constitue une des raisons pour lesquelles on a dit que le "péché contre l'Esprit" ne pouvait être pardonné. Il est en effet trop tard pour reculer une fois ce choix fait. 

Suit le "rejet" de la "bonne communauté" qui "sait", et qui a, elle, adhéré à ce mensonge chiffré.

Mais ceci étant fait au nom de Dieu, le réfractaire est soumis à la terreur.

 

A la fin de son Courrier de 2006, après nous avoir dit que nous "transgressions" "l'esprit", Arnaud Mussy conclue qu'il "sait" qu'il nous force à un choix.

 

 

 

"L'esprit" dans Satornet :

Sur 38 occurrences du mot "esprit" dans Satornet, nous en extrayons quelques unes, dont la traduction sera plus évidente.

 

Première citation :

Ici : l'esprit est celui du calcul, dit "rationnel".

"Convaincus de la cohérence des réponses que nous proposons, nous avons tout d'abord décidé de créer un site sur le réseau Internet, puis d'éditer ce livre, afin de mettre à la disposition des francophones, des sujets de réflexions dont les réponses et les recoupements satisferont à la fois les "quêteurs", les poètes et les esprits rationnels.

- L'esprit est du côté de la "rationalité", et non des "quêteurs", dont le terme, seul à se trouver entre guillemets permet de montrer le sentiment de mépris, en signifiant que le "quêteur" n'est en soi qu'un nom, sous-entendu : cesgens ne quêtent rien, parce qu'il n'y a rien à quêter. Au contraire des esprits "rationnels" et "poètes", qui eux, peuvent encore être matétérialistes. Ceux-là décrivent une classe non pas d'intellectuels mais au regard de leur langage. Le "poète", c'est celui qui parle la langue naturelle, la langue commune, du peuple.

Si tous les "lecteurs" sont satisfaits c'est que ce langage est double afin de pouvoir être suivi de tous : ceux qui croient en Dieu, et les autres.

 

 

Seconde citation :

"Pour une majorité d'entre nous, le Verbe, qui "exprime" à la fois les notions de Parole, d'Esprit et de Création, reste un modèle d'abstraction !"

- Ici c'est assez simple. La "majorité" c'est l'unanimité qui met la pression pour que le choix soit acté par une soumission à l'abstraction, c'est-à-dire la langue des chiffres, de la force. C'est un modèle, donc une simple forme abstraite, pouvant être soumise à une opération de calcul géométrique.

 

 


Troisième citation :

 "Si un grand nombre de concepts ou d'images nous paraissent effectivement hermétiques, c'est par coquetterie de l'Esprit ; cet Esprit, à travers le Verbe et ses arcanes, attend que nous le dévoilions."

- L'Esprit est double. Sa "coquetterie" est une critique ironique (un exemple du langage double). C'est là une description de sa stérilité. C'est un "esprit" qui n'est pas dans l'action. C'est bien son problème. Cela le met dans l'attente. Pour lui le temps est arrêté et il ne bascule pas dans le "bon choix". D'où les "quêteurs" sont à nouveau évoqués comme étant ceux qui perdent leur temps, par une sémantique de l'hermétisme... Cette attente finira par un "dévoilement" : celui qui assurera le "bon choix", non libre puisque cet "esprit" est justement dans une "attente" de ce qui vient, de par une loi : la simplicité, retranchant le "grand nombre de concepts ou d'images" (pas réel) tirés de cet "hermétisme"

 

 


Quatrième citation : 

"Par ailleurs, si nous considérons que tout acte de création naît de l'Esprit - donc du Verbe -, et que toute création, à l'image du Cosmos - qui signifie en grec : ordre, arrangement - est physiquement ou biologiquement parfaitement ordonnée, il est possible d'avancer le paradigme suivant : précédant toute Création et toute science, le Verbe est nécessairement organisé."

Ce "verbe" est organisé, ce qui est logique puisque "cohérent" et "mathématique" de par son rapport à la matière comme "acte" issu de "lois". La "Création" c'est de faire naitre le choix, de force.

 

 

Cinquième citation :

"Aussi incroyable que cela puisse paraître pour nos esprits linéaires, tout, absolument tout fut pensé par l'Esprit-Verbe... LOGique, puisqu'Il transcende les Temps."

- L'esprit linéaire c'est celui qui parie sur le temps long, qui n'est pas contraint à devoir "choisir" avant la mort, l'ultime moment le "forçant".

L'Esprit-Verbe logique est alors celui du calcul binaire, non contradictoire, qui impose un seul et unique choix. 

C'est là qu'il "transcende les Temps" au sens où il les voit par-dessus, par son rapport à la loi. Dit autrement, il transcende les tempss intérieurs de l'homme, multiple, pour imposer un seul et unique temps arrêté, court, requérant de faire un choix.

 

 

Sixième citation :

"C'est grâce à l'alchimie de l'esprit et du langage que des "chercheurs" comme Newton ou Archimède ont dé-COUVERT - enlevé donc ce qui était COUVERT - des concepts ou des lois restées longtemps immaculées... et qu'ils ont fini par féconder de leurs mots, en attribuant une dé-FINITION."

- De même que plus haut la "coquetterie de l'esprit était à prendre en mauvaise part, de même ici, les "concepts (également déjà évoqués), sont associés au temps long, de ceux qui ne "choisissent pas".

Pour "choisir" il faut, là encore, faire l'alchimie, autrement dit transformer le volatile en fixe : matérialiser dans les lois de la science (allusion à "Newton" et "Archimède"), les mots de l'esprit, de Dieu ou de l'amour, pour pouvoir dire : si vous ne faites pas ce choix "imposé par l'unanimité, "Dieu", etc.) avant votre mort (au bout du sas), alors vous serez exclus.

D'où ces "alchimistes" inversés doivent aussi redéfinir leurs mots à l'inverse de ceux que nous entendons. 

Ceci est très important, car si les définitions des mots sont seulement mathématiques, il en ressort qu'ils prennent maintenant une autre définition, non dite et contrôlée par ceux qui "fécondent" les cerveaux, du nouveau sens de ces mots.

Forcément puisqu'étant "amicaux", ils ne seront pas soumis à un rejet, à une critique,

Cet accaparement du langage par le mathématicien, ce projet de contrôle du langage, permet le contrôle du cerveau, de la pensée et des actes.

 

 

Nous laissons les autres citations ci-dessous à votre analyse, déjà facilitée par ce que nous venons d'écrire.

Nous commenterons toutefois la dernière citation, capitale pour comprendre comment "Esprit" et "savoir" se retrouvent en... conclusion. C'est-à-dire le moment du choix.

 

 

- Cette clef phonétique est importante, car elle signifie bien que l'homme n'est capable de com-PRENDRE conceptuellement une chose et de la nommer, que par ce qu'elle est déjà FINIe dans l'Esprit du Créateur. C'est là qu'il faut saisir la relativité du temps, puisque c'est toujours le BUT - le futur - qui féconde le dé-BUT - le présent -.


La première tentation, lorsque l'on manie ces outils cabalistiques, est de vouloir tout expliquer avec rigidité et de façon absolue. Si le Créateur avait voulu prouver sa création de manière irréfutable par le Verbe, rien ne lui aurait été plus facile. Mais alors, où serait notre mérite ?

Pour chaque Clef existante, il a donc "pré-VUE" au moins une "Clef opposée" a-FIN de susciter et d'aiguiser nos choix. C'est la raison pour laquelle, tout symbole ou signature possède son contraire, son double (cf. : Re-Bis). Cette notion est expliquée dans la Bible. Lisons à ce sujet le passage de l'Ecclésiastique de Jésus, Fils de Sirach XXXIII-15 dans la Bible : « Considérez toutes les œuvres du Très-Haut, vous les trouverez toujours deux à deux et opposées l'une à l'autre. » (Traduction de Lemaître de Sacy)

Il est donc avant tout demandé à l'homme d'exercer son libre arbitre et son intelligence en mettant de l'esprit dans la lettre - et dans L'ETRE -, au risque de voir cette dernière se transformer en épée à double tranchant. Les intégrismes le montrent quotidiennement !

 

 

- « Peu à peu saisissez-vous pourquoi le Nombre, le NOM et le Mot, sont étroitement reliés ? Pourquoi les clefs révélées, sont là pour démontrer que l'Esprit domine et imprègne toute "MESURE" ?! Il faut, à chaque instant, en "TENIR COMPTE" afin de diviniser nos pensées et nos actions. Par cette mesure, comprenons que "tout est compté, mesuré, pesé", que l'humain baigne dans l'Esprit, plus même que dans la Matière et qu'il doit sans cesse en prendre Science et Con-Science pour, d'une mesure d'Ange, devenir librement une Mesure d'Homme :"vrai Homme et vrai Dieu". » (d'après A. Bouguénec - page 99 de L'Inconnu se révèle).

 

 

- Les critères de dévoilements imposés aujourd'hui par l'Esprit sont d'une telle cohérence, qu'ils mettent au grand jour la carence des signes revendiqués ou pratiqués par une majorité de sectes et de religions.

 

 

- "Car, Tout, de la reproduction des cellules aux battements du coeur, oui Tout, dans la création, témoigne d'un inaltérable mouvement et donc, d'un incessant recommencement ! A commencer par le Verbe dont les circonvolutions reflètent la véritable Nature de Dieu.
Aussi vrai que le jeune enfant se transforme, pour devenir peu à peu adolescent puis adulte... les psychologies, les repères, les symboles et les esprits évoluent inéluctablement au fil du temps."

 

 

- "Comprenez-vous pourquoi la Cabale présentée dans ce livre est nécessairement nouvelle ? Elle fut spécialement pré-PARÉE pour les esprits de notre époque et dévoile une facette qui n'est plus seulement MENTALE, mais SENTI-MENTALE."

 

 

- "Le vin d'hier "a fait son office", il est aujourd'hui servi dans de nouvelles outres, ou plutôt de nouvelles COUPES. "ENTENDEZ" par-là, de nouvelles COUP-ures, de nouvelles césures, de nouvelles PER-MUTATIONS à partir des mots nouveaux ; donc, de nouvelles sonorités qui "éclatent" pour un nouvel entendement, façonné "depuis toujours" pour les esprits d'aujourd'hui."

 

 

- Cette nouveauté qui s'impose avec tant de force, apparaît notamment dans certains mots intimement liés : DIEU, L'ESPRIT, L'EN-TETE, LE VERBE, LA CLEF..."


 

 

- "La Kabbale hébraïque requiert une grande agilité d'esprit et reste malheureusement l'apanage d'un nombre limité d'adeptes.

 

 

- "C'est parce que le Verbe est intemporel qu'il peut faire de l'Esprit et jongler avec les mots..."

 

 

- "« Il est écrit dans la loi (c'est la Torah qui est appelée la Loi) : c'est par des hommes d'une autre langue (le français), et par des lèvres la Parole "d'auprès de Dieu", de "l'Esprit de Vérité" dissimulé derrière le masque de la langue française. Celui-là, prêtre, pape ou initié est en "malédiction" par "MAL-DICTION" des vérités évidentes ou allusives des mots. »"

 

 

- "Si la langue française et l'esprit qu'elle façonne, sont spécialement inspirés et préparés pour ce Verseau, il n'en est pas de même du peuple français. Chaque "personne", à l'image de ses frères, demeure un simple "T'ES RIEN" s'il n'applique pas le principe premier donné par Saint Paul dans "1 Corinthiens xIII-2" :
« Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas la charité, je ne suis rien ! »"

 

 - "D'ailleurs L'ESPRIT (= 99) matérialisé par LE VERBE = 69 n'est-il pas le fameux "EN-TETE" = 69 de toute création ?
(L'EN-TETE, L'ESPRIT, LE VERBE sont 3 principes indissociables dont la signature numérique varie en fonction de la ROTAS-ion du 6 - ce chiffre symbolise nécessairement la MOT-bilité, puisque SIX = 52 = VERBE)."

 

 

- "Esprit qui se dévoile en-FIN sous nos yeux avec les "caractères" d'une autre langue :

•   dévoilant avec FRANChise LE SECRET DE DIEU = 135.
•   A travers LES CHIFFRES ET = 135 = LES LETTRES,
•  L'ALPHABET DIVIN = 135,
•  L'ALPHABET DIVIN = 135,
•   C'EST LE FRANÇAIS= 135,
•   LA LANGUE CALCULEE = 135
•   qui PROUVE PAR A+ B= 135.
•   Cette nouvelle SCIENCE DU VERBE = 135""

 

 

- "Reste la présence du "1" ; cette lettre symbolise l'Esprit inséminateur, qui, de son point, féconde l'alphabet. Elle ordonne pour toute Ame qui veut s'épanouir de se féconder dans l'Amour !"

 

 

- "Ces quelques recoupements feront probablement sourire les "esprits" forts, mais montreront à ceux qui ont des yeux pour voir que le verbe s'impose où il veut et quand il veut ! En attendant, amis(es) lecteurs, faisons preuve d'entendement et continuons à veiller..."

 

- "La réponse est toute simple : c'est notre EGO qui fait obstacle à cette clairvoyance ; c'est-à-dire notre orgueil, notre savoir, nos repères, nos habitudes... bref tout ce qui conforte notre opinion. Et tout ce qui va venir "déranger" cela, fût-ce LA VERITE, ou surtout cette dernière, trouvera systématiquement un "argument" contradictoire, comme pour NOUS rassurer.

Que craignons-nous donc ? De quoi avons-nous peur ? Ne serait-ce pas avant tout de NOUS-MEMES ?"

 

Le lecteur est alors invité à assumer un "rôle", devenir "acteur", "rationnel", puisqu'il "sait", étant "informé" par l'esprit du chef, au nom de l'amour, pour qu'il s'intègre au "groupe", commandé par l'EN-TETE. Ce qui fait de lui un robot définitif, gouverné par la peur d'en être REJETE (par le procès d'intention pour "égoïsme" ou le rejet pur et simple).

Et Arnaud Mussy de conclure :

"Alors, quels que soient nos rôles respectifs, jouons ce Final en une Merveilleuse Harmonie pour Notre Plus Grand Bonheur et pour Celui de l'Auteur. Tout fut amoureusement PRÉ-PARÉ par le Grand Maître d'oeuvre, puisque selon l'affirmation de "l'Alchimiste" :
« Quoi qu'elle fasse, toute personne sur terre joue toujours le rôle principal de l'Histoire du monde. Et normalement elle n'en sait rien ».
A PRESENT TU SAIS... et je t'en remercie."

 

S'il remercie, c'est qu'Arnaud Mussy y a trouvé son compte.

cadeau vient du latin de capum, tête, chef. 
Cadeau : "lettre capitale", "enjolivement calligraphique ou rhéthorique", "divertissement offert à une dame".