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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Interactions des différents corps subtils - André Bouguénec

A partir du bébé, du fœtus, il y a un double physique, dans le sens d'énergie-matière vibratoire, que certains appellent le 'double éthérique'. Il grandit à mesure de la nourriture d'un enfant. C'est énergétique.

Il y a également le corps animique : corps psychique formé de pensées, sentiments, caractères de l'individu. C'est son âme en quelque sorte.

Et ce n'est pas l'âme qui est le moteur du corps physique. Ils sont l'un et l'autre en interaction.

Le corps physique va avoir une action sur le corps éthérique ; le corps éthérique, imprégné d'un état d'esprit, caractériel, sentimental, des épreuves, etc., peut jouer sur le corps physique.

Réciproquement, le corps physique, avec la nourriture, les conditions de vie, peut jouer sur le corps éthérique. C'est réciproque. L'un ne mène pas l'autre.

Exemple : on peut être un érudit et avoir l'âme d'un enfant de six ans : con solennel. Ce n'est pas l'érudition qui fait un homme, avec ses qualités réelles, celles qui sont valables dans d'autres dimensions.

Une âme a un taux vibratoire qualitatif correspondant au capital d'un individu.

Il est évident qu'un être qui a un taux vibratoire élevé, ne peut pas rester avec des êtres qui ont un taux vibratoire vraiment trop différent de lui.

Il n'y a pas de grandeur d'âme, mais une qualité d'âme. Il y a des âmes complètement insensibles. Certains, qui arrivent à la fin de leur vie, quand il n'y a plus le masque du métier (pour des gens bien en vue), devenant moribonds, deviennent séniles, et perdent les pédales. Il ne reste plus qu'un pauvre type insensible, qui n'a pas développé en lui ce que les traditions et l'alchimie traditionnelle nous demandent de réaliser, pour qu'au moment du passage de l'autre côté, nous soyons des adultes et non pas des fœtus qu'il faut remettre en couveuse, plusieurs fois successives.

Tant que le cerveau reçoit du sang, donc de l'oxygène, la pensée subsiste. Mais aussitôt l'arrêt cardiaque, le cerveau, au bout de trois minutes maximum, cesse de fonctionner.

Alors il s'évade, voit son cadavre, le milieu où il est, etc. Donc il y a continuité. Le matérialiste ne se rend pas compte qu'il est mort. Il y a une déroute, parce que son être est troublé. Il y a l'apesanteur et il se voit. Il se voit double. Il voit son cadavre, il voit son corps et en même temps il se sent vivre. Alors il y a un désarroi considérable.

C'est pourquoi beaucoup d'âmes de l'astral viennent recevoir des moribonds, parce que c'est traumatisant pour l'âme qui passe de l'autre côté, s'il n'y a pas de préparation.

Ce n'est pas par hasard s'il y a des messes des morts, que les hindous et les égyptiens faisaient des tas de choses pour le passage de l'autre côté, pour préparer l'être à ne pas être surpris de cette séparation. Et ces préparations étaient déjà depuis longtemps concrétisées, dans l'intelligence, dans le psychisme, dans la conscience de l'individu.

A ce moment, la mort est un épanouissement, telle une nouvelle naissance.