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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Entre science et foi : l'Univers sentimental - André Bouguénec

Face à la science qui veut tout expliquer, on a la foi aveugle. Entre les deux, tout est sentimental. Tout ce qui est senti devient mental, et tout l'Univers est senti-mental. L'artiste imagine dans son mental en fonction d'un senti. Ensuite il concrétise.

L'homme est-il de la bidoche ? Quand il n'a plus de bras il les sent encore. C'est bien senti-mental, non ?

Les scientifiques veulent tout mathématiser, mais on ne peut pas mathématiser le sentiment. L'AMOUR = 80, mais au-delà de ça on peut pas aller plus loin. L'amour c'est l'amour.

Dans les 10 catégories d'Aristote, 9 sont virtuelles, une est concrète, la matière. Or la matière c'est de l'énergie. Conclusion : les 10 catégories sont virtuelles. Elles sont sentimentales.

Pourquoi ? Parce que Dieu est un sentimental, Dieu est amour. Tout ce qu'il a créé est sentimental et c'est amour.

Alors il y a des images. Nous sommes dans l'imagination de Dieu. Nous sommes la pensée de Dieu. Et chaque être humain est un neurone. Or il faut que les neurones aient des relations entre eux. Ainsi un homme tout seul ne peut rien faire. La pensée des uns devient la pensée des autres.

Odyssée de l'Espace, 2001 : lorsque le dernier cosmonaute est projeté dans l'Univers à une vitesse effroyable ; tout à coup on le voit, dans un appartement moderne. Il a des meubles, on lui a fait tout ça. Or tout ça c'est l'imagination d'un neurone divin. La preuve c'est qu'à un moment donné on voit une espèce de magma, nébuleux. Ce sont des névroglies, des neurones... une sorte de cerveau fluidique qui a imaginé un appartement pour cet astronaute qui va finir sa vie là jusqu'au moment où il meure et il devient un bébé, un foetus qui va être le premier homme de l'univers.

Imaginez que vous créiez un enfant imaginairement. Vous avez la possibilité de l'extraire de vous et de lui infuser votre substance pour lui donner la vie. C'est la création, c'est Dieu.

La science va créer des hologrammes, des formes. Mais c'est du bidon. La réalité c'est pas la matière. La réalité c'est l'imagination et le sentiment. Ce qui fait la valeur et la vertu d'un être humain, c'est qu'il sent tout ce qui est subtil, tout ce qui fait son être. Et son être, c'est pas son morpion, c'est pas son talon, c'est pas son genou, c'est ce qui est senti sur le plus subtil en lui de douceur, de violence, de tendresse, de tout ce que vous voulez. Tout est senti-mental. L'esprit c'est du sentiment, du contentement. Quand vous trouvez quelque chose, vous êtes content.