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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Comment les labos rattrapent leurs pertes et incitent à prescrire - André Bouguénec

« Comment les labos creusent le trou » de la Sécurité sociale ?

Que Choisir numéro 452.

Le mensuel remarque que « pour contrer la concurrence que leur font les génériques, les labos sortent de nouveaux médicaments pas forcément plus efficaces mais plus chers ».

« Quand les médecins les sur-prescrivent et que la Sécu les rembourse, on demande au patient de combler le déficit », poursuit le magazine.

Que Choisir estime que « faire du patient l'éternel coupable [du trou de la Sécu] en multipliant les franchises médicales, les déremboursements et autres pénalités ne réglera pas le déficit. Sans nier que l'usager puisse avoir une part de responsabilité, l'UFC-Que Choisir entend contribuer au débat en se penchant sur la politique du médicament telle que la France la pratique ».

Le magazine se penche ainsi sur « une aberration économique préjudiciable à l'équilibre des comptes doublée d'une mise en danger de la santé des patients ».

La revue livre son étude, qui « porte sur l'évolution, de 2002 à 2006, des dépenses consacrées à 4 classes thérapeutiques représentant plus de 2 milliards de prescriptions de ville » : les IPP (inhibiteurs de la pompe à protons), les traitements contre l'hypertension artérielle agissant sur le système rénine-angiotensive, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, et les médicaments contre l'hypertension en seconde intention.

Que Choisir parle de « médecins influençables », de « visiteurs médicaux [qui] se sont montrés efficaces » et de « médecins [qui] ont fait preuve de complaisance ».

Le magazine indique qu' « à partir de l'analyse des prescriptions dans seulement 4 classes thérapeutiques qui pèsent pour 13 % des médicaments prescrits en ville, c'est au bas mot un surcoût de 650 millions d'euros qu'a supporté la collectivité entre 2002 et 2006 du fait d'une politique du médicament incohérente ».

« Faut-il s'étonner que les prescriptions de nouveaux produits, toujours plus chers sans être forcément plus efficaces, explosent dès lors que la formation des médecins est assurée à 90 % par l'industrie pharmaceutique ? », s'interroge Que Choisir.

Le mensuel ajoute qu' « avant de demander aux assurés de nouveaux efforts financiers, peut-on espérer que les pouvoirs publics prennent enfin les mesures opportunes pour que l'usager ne soit pas le seul pénalisé ».

Libération se penche également sur cette étude de l'association de consommateurs, qui « dénonce des prescriptions irrationnelles et l'attitude des labos ».

Le journal relève que « devant ces attaques frontales, le syndicat Les Entreprises du médicament a réagi aussitôt, rappelant « que c'est une commission d'experts indépendants, la Commission de la transparence, qui apprécie l'amélioration du service médical rendu » ».

« Certes, mais la commission n'a pas les moyens de faire des contre-expertises. Et en face, le bulldozer marketing est impressionnant », poursuit Libération.

Les Echos abordent aussi ce « gâchis de 650 millions d'euros en 5 ans pour la Sécurité sociale ».

Le Monde note que « pour tenter de 'rééquilibrer les sources d'information' des médecins, l'UFC propose de créer un corps de 1 700 visiteurs médicaux 'indépendants', sous la responsabilité de la Haute autorité de santé ».

Et Le Figaro économie remarque que « l'association de consommateurs a « oublié» de relever le rôle clé des patients dans ces dérives ».

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