"Amis lecteurs, interrogeons-nous !
Ne reconnaît-on pas l'arbre à ses Fruits ?"
Opinions de lecteur, Arnaud Mussy, in L'ultime Grand Secret, d'André Bouguénec
Les fruits sont les propos nés des analogies, qui amènent à comprendre le squelette, formé grâce à la présence d'une dialectique cachée dans les mots, plaçant des contradictions internes dans des énoncés prétendument "innocents", qui vont faire naitre de nouvelles idées, induites dans les esprits.
Notamment à la suite de questions ("interrogations") judicieusement exprimées.
Le "fils" qui naitra de cette "maïeutique", sera une entité infinie, car ce "squelette" est seulement composé d'abstractions, devenant le masque de ce "nouveau né". Comme le mot "amour".
"La Phonétique : consiste, comme vous le savez, à jouer sur les sons de certains mots afin d'établir des analogies." Arnaud Mussy, Satornet
Ces "mots", ce sont ceux de notre enseignement, mis en scènes pour créer la "source" de ce qui va faire naitre la nouveauté.
Ces mots et ces "jeux sur les mots", ne sont que des "sons", pouvant prendre tous les sens possibles, parce que le véritable sens est caché, confus, tordu, réencodés pour créer des images stimulant notre cerveau, voyant de nouvelles "proportions" naitre par elles. Ces "proportions", ce sont des rapports de force, diminuant la "source", pour justifier la nouveauté induite, qui elle est "augmentée" en image.
L'imagerie est en somme créée par leurs rapports de "tailles".
Où ce que nous vivions comme infini va se retrouver fini, réduit, étriqué, mais présenté comme justifiant un infini nouveau, de parole, de capacité, de "plus", quantitatif.
Il suffit ensuite de poser des questions, pour que l'idée nouvelle naisse des réponses, comme "librement" exprimée. Cette réponse sera celle de la "majorité", du groupe, de la "fraternité". Ce sera toujours celle qui dira : les anciens auditeurs et lecteurs d'André Bouguénec doivent laisser place à celui qui "nait" maintenant, à sa place. Car il est plus "fort" en dimension de capacité de parole.
L'auditeur, soumis à une pression par des questions ("ami lecteur, interrogeons-nous"), n'a pas d'autre choix que d'en tirer des hypothèses de sens, qui deviendront invinciblement des sens fixés, univoques, établis comme des lois. Tout simplement parce que ces "analogies" sont aussi des proportions, et comme telles, des chiffres, et qu'elles passent par des mots qui sont ceux de notre propre philosophie, mais vidés de leur sens. Ce ne sont que des "sons".
Ne pas répondre aux questions, serait en ce sens nous trahir nous-même... et trahir en même temps le "son" nouveau. La capacité de parler les deux langages en même temps permettant d'avoir toujours raison, et de terroriser ceux qui ne peuvent dédire un tel discours.
Autre exemple :
"Ceux qui nous ont déjà lus sur le Web le savent... notre volonté première est d'éveiller l'intérêt de chacun et de susciter un large public. Cependant, lorsque nous avons créé le site SATORNET en octobre 1997, nous n'imaginions pas qu'il donnerait naissance à ce livre.
Cet ouvrage, signé sous le nom de "l'ATELIER 153", regroupe onze rédacteurs dont le parti pris commun fut de choisir un ou plusieurs thèmes sous l'angle qu'ils désiraient." Introduction de Satornet, Arnaud Mussy
La LECTure, c'est une sELECtion, de ce qu'on préfère. Ici les "lecteurs" "savent"... quelque chose : Arnaud Mussy est mû par "une volonté". C'est-à-dire une force. Celle qui le mène à parler à des assemblées (un "large public").
Pour donner naissance à quelque chose de nouveau ("susciter") : d'autres LECTeurs. Pour une sélection plus vaste encore, mais tout aussi induite ("sus-citée" = citée par en-dessous)... puisque la date a son importance ("octobre 1997"), alors même que le cube (une proportion associée au mot "or") de la couverture représente un objet soumis aux lois de l'horloge et des mécanismes de la matière.
Le cube étant à la fois le symbole même de la matière, devenant la part majeure de ce message (l'or c'est le métal, mais aussi la parole, alors inscrite dans la matière).
Plus bas on trouve le processus décrivant la découverte, issu de la question, de la recherche scientifique "pour trouver la solution".
"Est-ce à dire que, dans les grandes découvertes qui ont émaillé l'histoire, l'empreinte laissée par l'homme soit si négligeable ?
Non, dans la mesure ou celui qui cherche fait preuve de volonté et de ténacité pour trouver la solution. C'est la condition sine qua non pour que vienne "l'in-SPIR-ation", l'ID-ée lumineuse, la trouvaille qui permet de clamer « eureka » (exclamation qui rend hommage au Concepteur car EUREKA = 61 = LE PERE) !
C'est grâce à l'alchimie de l'esprit et du langage que des "chercheurs" comme Newton ou Archimède ont dé-COUVERT - enlevé donc ce qui était COUVERT - des concepts ou des lois restées longtemps immaculées... et qu'ils ont fini par féconder de leurs mots, en attribuant une dé-FINITION.
Cette clef phonétique est importante, car elle signifie bien que l'homme n'est capable de com-PRENDRE conceptuellement une chose et de la nommer, que par ce qu'elle est déjà FINIe dans l'Esprit du Créateur. C'est là qu'il faut saisir la relativité du temps, puisque c'est toujours le BUT - le futur - qui féconde le dé-BUT - le présent -."
Ce n'est pas par hasard si on y retrouve Newton et Archimède comme modèles de "découvreurs", puisque le premier, Newton, a découvert les lois de la mécanique qui allait permettre de créer des horloges analogues à des êtres humains, des automates, et le second, Archimède, a formuler une loi pouvant décrire le pouvoir de l'abstraction, pour gouverner la matière, à partir d'un point "hors-du-monde", à savoir le levier. Le levier ici, c'est "l'amour".
Cette analogie mène à découvrir un discours clair, scientifique, "ôtant ce qui était couvert".
Or ceci est une "clef phonétique" (encore l'allusion aux sons), amenant à trouver l'analogie entre "l'homme" et "Dieu", qui devient alors "fini", arrêtée, telle une "empreinte laissée"... par l'homme, s'il se défait de l'infini.
Or Arnaud Mussy, sait l'art de parler la langue de l'infini et la langue du monde fini, alternativement ou tour à tour, de sorte à être tout à fait capable, selon les besoins, d'invoquer les valeurs les plus élevées, et les besoins matériels les plus urgents. Totut en prenant bien soin de les "proportionner", toujours de façon discrète et par des mesures visuellement identifiables dans notre imagination, pour que le moment venu, le versant majoritaire, qui sera celui du monde fini, de l'urgence, de la crise, etc. prenne le dessus et envoie aux limbes les tenants des valeurs infinies.
Jusqu'à invoquer le besoin de "sacrifier" les tenants de la lenteur du temps de la recherche, de l'intelligence, de l'épanouissement personnel, vus comme des "poètes" inconscients, des "bouffons de l'univers".
Une proportion c'est une raison, et la proportion la plus forte, c'est la raison du plus fort. Celle du loup qui dévore l'agneau, au nom de la "fraternité" quand il le faut, et au nom du strict besoin de se nourrir, quand il le faut, mais les deux "arguments" sont passés dans une même formule indécidable, traitre et imparable ! Comprise différemment par les croyants en la fraternité réelle, et les matérialistes ne pensant qu'à leur ventre, qui eux par contre ont compris que ce code "spiritualiste" n'était qu'un masque rhétorique, cachant le "nouveau né", mettant les "forts" et les brutes de son côté.
Prière du chrétien, voulant se protéger du malin : "Ne nous induit pas en tentation".
Conseil recoupé par cet extrait de courrier écrit en avril 1995, parlant de "l'escalier du phare". Une échelle est une hiérarchie induite, d'échelon en échelon, pour aller au but, au sommet, par un processus "mémorisé", "provoquant des idées", "saines"... ou pas, etc..
La colère et la révolution par exemple, sont des inductions, provoquées par des "tournures" à... double sens, comme l'ADN.
"La Tour, j'en ai parlé à propos de "La force" du Tombeau de François II. C'est la Tournure positive ou négative des choix. Et les mauvais sont représentés par le dragon que la Dame-Force extirpe de ce donjon. L'Axe-spirale, eh, la chaîne de l'ADN, les tournures aussi des choix qui peuvent mémoriser des idées saines, les communiquer, hélas aussi les mauvaises quand l'Escalier de l'Esprit humain n'a pas de direction céleste ! Et puis pourquoi pas l'escalier du Phare... !"
Cherchez qui est le dragon dans l'histoire, provoquant l'escalier du Phare, vers une direction matérielle, en descente. Donc en "révolution" négative, etc.