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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Le dilemme dans les livres d'André Bouguénec - André Bouguénec

Autre Mystère de Marie

DILEMME !

Pour vous ! Car vous fûtes si peu préparés à la Lumière Divine, qui, adressée aux Humains ne peut être d’abord que sommaire, progressive, symbolique entre des vérités à appliquer ! Oui, d’abord, appliquez en vos êtres et en actions les leçons de Cœur du Fils de Dieu. Pourtant, des codes, des clefs, des clins d’œil sont parsemés dans les textes. Même, hélas, en ceux qui sont inspirés et qui ne les comprennent. Ainsi, la Lumière reste sous le boisseau, fortement maintenue par ceux qui n’ont nul désir de s’épanouir eux-mêmes, férus définitivement de dogmes et de vérités arrangées et imposées pour garder leurs éminentes prérogatives sur des fidèles naïfs et de bonne foi.

Tout de même, si vous considérez les innombrables éloges, honneurs et titres donnés à la petite Marie, maman de Jésus, alors que les textes évangéliques, et quantité de théologiens, démontrent l’insignifiance de sa description, il y a un paradoxe évident entre cette humble maman et cette Gloire inventée de toutes pièces, dixit les exégètes !

J’écris ces lignes à la Fête des Mères le 29 Mai 1994. Or, vient de paraître un numéro de la revue "Le Point" du 21 Mai n° 1131 qui, en gros titre en pleine couverture avec une reproduction de la Vierge, annonce : “  Les Mystères de la Vierge Marie   ”. Je vous conseille de commander ce numéro spécial, car l’étude qui y est faite sur Marie par Monsieur Christian Makarian, résume le dilemme de sa double personnalité incompatible. Je vous fais remarquer que cette parution est faite au mois de Marie et de la fête des mères. Et elle conforte mes propos comme bien des opinions honnêtes et éclairées sur les Ecritures.
 
Mais attention, je m’adresse aux fervents de Marie, surtout gardez votre foi et votre amour pour Elle, car, comme je l’ai dit, Elle est l’émanation, par son Fils, de la Matrice-Mère-Suprême.

Voulez-vous un exemple flagrant, inaperçu, de ce que Jésus SAVAIT de sa maman et de cette Mère dont je vous ai dévoilé la Présence mystérieuse.

Lisez en l’Evangile de Saint Thomas, malheureusement écarté par l’Eglise et qui révèle entre autres la destination androgynique de l’Homme, aux Logions 101, verset 7 : “ Car ma mère m’a engendré, mais ma véritable Mère m’a donné la vie ”. Veuillez observer que le premier mot “ mère ” a un m minuscule alors que le second est en majuscule. Et ceci en toutes les éditions de cet évangile.

Si vous savez lire, et je n’en doute pas après cette remarque et ces paroles de Jésus, il dit bel et bien qu’il a DEUX mères, sa génitrice, épouse de Joseph et l’AUTRE, Celle qui EST LA VIE et qui la transmet à tous les Dieux et à tous les êtres.

Un dilemme, comme le décrit un Larousse : “ C’est un raisonnement comprenant deux prémisses contradictoires, mais menant à une même conclusion, laquelle par conséquent, s’impose ”. La conclusion en ce qui nous concerne, c’est qu’il n’y a pas de contradiction, mais une “ con-Fusion ”, une Fusion de l’une, Marie, avec l’Autre, Sa Mère Suprême ; avec, bien entendu, une valeur relative à leurs dimensions proportionnelles, comparable à celle qu’il y a entre la partie d’un TOUT, comme entre Marie, maman, et devenue “ Médiatrice ” de Sa Mère Suprême ET du Fils. Celui-ci, consubstantiel à sa Source de Vie et d’Amour, transmit à Marie cette consubstantialité ; ce qui fut exprimé par “ la féconda du Saint Esprit ”.

Ainsi, Marie devint l’Alter-Ego du Fils, ce qu’exprime de différentes façons La Dame de tous les Peuples.

Oui, c’est un dilemme pour vous, croyants de tradition chrétienne mariologique ! C’est simple, ou vous rejetez tout ce que j’ai dévoilé en cet ouvrage, et vous continuerez à égrainer vos “ Ave Maria ”, en perdant les privilèges d’une double “ Comme-Union ” de votre Marie ET de la Source immense que je vous ai décrite. Ou alors, communiquant enfin avec cette Divinité Maternelle Eternelle, dans le proche contact de votre vie dans la Sienne qui enveloppe tout ce qui est, vous ressentirez, comme mes nombreux auditeurs, l’épanouissement nouveau d’une Présence Affectueuse et vous découvrirez le dialogue sentimental qui manque tant au sens unique des prières.
 
    Certes, la vie est une immense Religion mais dans le but naturel de vivre l’existence AVEC la VIE qui vous a été insufflée divinement par le Souffle et la Source qui ont donné à la Matière, aux êtres et à la Nature, ce que vous voyez sans vouloir comprendre, ce que vous ressentez sans discriminer ce qui vient de vos tripes, de ce qui est issu de l’Ineffable. “ Reliez ”-vous à cette “ Suprématie ”-Douce qui va sauver le Monde bientôt.

Eh oui, c’est Cette MATER-TRAME et élaboratrice de tout ce qui existe qui s’appelle DIEUX avec un IKS, car “ Il-Elle ” est la Multiplication de la Vie par Tout ! Dieu, les dieux sont issus de cette MERE. Séparez ces deux syllabes et méditez sur “ ME ” et “ RE ”, cela dé-signe l’inlassable RE-nouvellement des vies qui Lui appartiennent : ME. Ce ME est son Pro-Nom Personnel, “ première Personne du “ singulier ”, sachez lire, et qui est désigné comme signifiant aussi en grammaire et dictionnaire : “ Moi, et : à Moi ” ! Rappelez-vous ce que j’ai dit sur le mot mère MOTHER en anglais, qui détient le Verbe désigné par MOT et HER pour l’Humain, dans la “ THERMO ” dynamique de la Vie. Enfin MERE, n’est-ce pas l’anagramme de EMER, aimer, que vous retrouvez dans Marie ! Car tout EMER-ge d’Elle... et de l’Amour.

Toute existence humaine, nationale, planétaire, est un dilemme permanent forçant les esprits à CHOISIR. C’est le privilège de la liberté, mais c’est aussi celui du salut mérité. Seulement que d’entêtements à mal choisir pour d’égoïstes raisons et par l’oubli absolu d’une destinée post-mortem de l’homme qui, par son décès, est en examen de passage. Ah oui, pardon, croyants, vous pensez que votre Jésus vous a rachetés, ressuscitant votre dépouille par sa propre mort humaine ! On vous a trompés ! Tout l’enseignement du Christ vous suscite à Ressusciter AVANT ce passage ; et si les papautés avaient choisi les Ecritures, reliquats des Paroles du Christ, au lieu de leurs ambitions souveraines, se seraient alors fondées des Académies d’Etudes libres de ces Paroles. Chacune, chacun se sentant alors responsable de sa propre évolution avec le pré-cieux critère de l’Amour enseigné et appliqué, une société libérée de tout dogme, mais consciente et adulte, aurait pu s’épanouir et découvrir en toutes sciences, forcément divines, les “ présents ” passionnants du Créateur.

Saint-Paul a bien dit que la religion était une folie et qu’il fallait plutôt considérer les œuvres de Dieu pour renforcer sa foi et sa reconnaissance. Mais à défaut, la notion du Divin subsistait !

Lorsqu’un Dictateur, un Potentat, un Pontife fait SON choix sans tenir compte des leçons des prophètes, des inspirés et des messies, soyez sûrs, et vous le constatez, leurs “ fidèles ” vont à leur perdition.
 
    Aujourd’hui, à quelques années du Grand Bouleversement que vont provoquer les Forces Célestes sur ce Monde dévoyé, il est tragiquement urgent de prendre conscience et de choisir d’Etre, et non d’exister d’instincts qui conduisent aux déroutes de toutes sortes. Les messages, les miracles de “ Marie ” furent vains, sinon provoquant une précipitation dans la piété, le grand leurre de ceux qui se croient chrétiens ou fidèles d’une religion. La piété ?! Sachez enfin ce que le Verbe Esprit vous enseigne par les mots. Ce terme est issu de pitié, de “ sentiment du devoir ”, de purifier, d’apitoiement, et il est question en ces termes de votre responsabilité envers les autres. Pitié pour vous, ressassant vos pieuseries quémandeuses ! Vos évangiles vous révèlent : “ Ne leur ressemblez pas ; car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant même que vous lui demandiez ”. C’est dans Matthieu VI-8.

Et il y a bien d’autres exemples. Rien ne vous sera donné selon vos quémandes si, abstraction faite de vos envies ou besoins, votre vie n’est pas habitée de l’esprit d’aide, de consolation, de pitié, de charité, d’enseignement aux égarés. Voilà désormais votre dilemme pour les jours qui vous restent. Le Créateur favorise ses aides, mais gardez-vous bien d’être “ intéressé ” en jouant les charitables ! Cela aussi vous est enseigné : “ Qui voudra sauver son âme la perdra !”. Jean XII-25.

Ne rechignez pas, vos prêtres, évêques et papes sont carnavalesques et vous influencent de leur majesté. Ils ont, depuis des siècles, évincé les paroles nettes et claires du Christ. De plus en plus des chrétiens isolés ou en associations se révoltent lorsqu’ils se décident à comparer les attitudes ecclésiastiques avec tout ce qui est transmis par les évangiles.

Pour ma part, je vous offre ce sixième ouvrage initiatique des Mystères célestes, un septième sera édité après mon départ. C'est à dire 2000 pages, plus 400 réservées qui détiennent des révélations étonnantes, mais édifiantes, et qui ont déjà enthousiasmé bien des lecteurs. Si je vous parle des problèmes de l’Eglise et de la Connaissance qui sont à votre portée, combien plus je vous dévoile toutes les réponses aux questions qui taraudèrent les vrais inquiets et quêteurs de Vérité.

L’ampleur des révélations et dévoilements, dont la Somme est en vérité pour l’Ere du Verseau, peut vous stupéfier. Alors lisez cette stupéfaction dans la promesse de Jésus dans l’Evangile de Thomas. C’est pourquoi il fut dit jadis : “ Si vous ne croyez pas quand je vous parle des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes ! Personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’Homme, qui est dans le ciel ”. Jean III-13.

Et là, lecteurs de tous bords, je vous pose un sacré dilemme

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Pourquoi en tout être pensant existe cette notion de la mort apeurante ? Et l'ignorance totale d'une destinée post-morten lorsqu'il la subodore ? Pourquoi tous les croyants en Dieu et de toute religion ou philosophie ne peuvent être fidèles qu'avec une foi obscure qui cumule hélas les pires divagations et des leurres si éloignés de l'intelligence ? Etc.

    Dilemme encore, pourquoi, même l'insecte ou le virus est infaillible en son rôle attribué, alors que le vaniteux Bipède pensant, doué d'intelligence raisonnable, ne découvre pas en lui-même l'instinct de la perfection ?

 

 

Vie des symboles

L'esprit de compagnon se voit assez vite désabusé par la sécheresse des coeurs, par les dégradations de conscience, par les artifices, les hypocrisies d'une civilisation frelatée. Là, il apprend l'esprit de tolérance et de patience dans la sélection des valeurs et des conditionnements. Il s'aperçoit que rien n'est simple, que les "droits et les devoirs" ont des modulations terribles et il peut se souvenir da la parabole du talent qui laisse perplexe si l'on ne saisit l'exigence des lois de la Vie, de la Nature, de l'Evolution de l'être et de Dieu. Méditez sur les deux paraboles subtiles en Matthieu 25:14 à fin et 20:8 à 16.

    Les orientaux ont parlé de Karma... Jésus était à la fois la douceur ou la sévérité, la pitié ou la malédiction, le pardon ou la mise à l'épreuve.
 
    Alors là, notre Compagnon pèse ses dilemmes sur chaque cas particulier. Pour être "un Juste" et un Sage, ce n'est pas facile, il a besoin de ses Compagnons et Maîtres avant toute l'expérience de ses "Voyages" dans le phénomène humain. En principe, ses Maîtres ont maîtrisé leur psychologie, celle du Monde avec celle du Grand Architecte en vue de cette Génétique évolutive des âmes libres et si diversifiées.

L'Initiation en effet est vaine si elle ne fait pas de nous des Justes et des Sages. Car en ce Monde évolutif ou rétrograde, tout est problème. Et chaque être est un sacré problème ! Comment devenir pour lui un Compagnon ?!

 

 

Entretien avec l'homme

 

Les opinions ! L’opinion des gens, c’est très important. C’est elle qui fait les élections. Ce n’est pas toujours un succès. Quant à ses commentaires sur la Connaissance, la Science, la Vérité, les énigmes, que peuvent-ils valoir ?
Nous répondrons = Rien.

La preuve en est que chacun, face à un dilemme, se passe de son opinion pour payer celle d’un avoué, d’un ingénieur, d’un médecin, d’un spécialiste. Parfois même on consulte plusieurs compétences sur le même cas.


Est-ce à dire que tout spécialiste est un critère d’infaillibilité, que toute science va répondre par un absolu ? Non, et vous le savez fort bien, car vous avez votre “opinion”, vous aussi !

 

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Oh, l’admiration ne leur fait pas défaut devant ce fantastique univers et les innombrables et merveilleuses structures. Seulement, plus ils avancent, séduits par les charmes de cette coquette Matière, ils s’aperçoivent qu’elle les berne tout en leur faisant des...avances...!
En effet, la Science, la Vraie, est entrée dans la “Danse-hésitation”. Un pas en avant, deux pas en arrière, trois pas en avant, et boum : sur le derrière !!
Dilemme ! Car enfin, que de résultats obtenus, d’observations, de contrôles !! Il y a des certitudes et pourtant, comme l’on dit innocemment aujourd’hui à tout bout de champ : “c’est pas évident !”
Il semblerait que Dame Matière veut donner ses leçons à ses apprentis-sorciers trop vaniteux, tout simplement parce qu’elle est autre chose qu’une marchandise et qu’Elle en a marre de porter et de supporter des bipèdes qui n’obéissent pas à ses Lois et qui ne savent ou ne veulent pas lire d’abord le fantastique Message qu’Elle porte pour que ses terriens deviennent des dieux, oui mais des dieux respectueux des règles universelles les introduisant dans un autre Espace “qui n’est pas de ce monde” sans l’aide de kérosène, ni d’énergie atomique.
Jonathan Livingston, le Goéland de Richard Bach, lui, en avait trouvé le chemin ! Il est vrai que cet “Oiseau” avait des ailes au coeur. (Aux éditions Flammarion).

 

 

Couple et alchimie, Tome 1

Cette nécessaire bipolarité entre la Matière et l'Esprit, même si cet esprit ne concerne que la prise de conscience qu'a de l'univers une bactérie, ou un virus, me paraît essentielle à "l'intelligibilité" de notre image de l'Univers.)) C'est Jean E. Charon, physicien, qui parle dans "L'Homme et l'Univers" Albin Michel 1974, 313 pages.

Jean E. Charon est, lui aussi, un Gnostique relié à l'esprit de l'Université de Princeton, comme beaucoup d'autres scientifiques. Ceux-ci se rencontrent devant le dilemme du Vivant et de la Matière inerte. Ils ne peuvent plus admettre une matière organisée qui ne soit pas issue d'un Principe Vivant, permanent et créateur. D'autres pourtant nient toute genèse conscience créatrice et prétendent que le Vivant est DANS la matière et qu'ils finiront par le démontrer !

 

 

Courrier à Charroux

Vous butez, comme nous tous, sur LES  cosmogénèses. La multitude des religions prouve qu'elles sont fausses. Une seule est vraie, flagrante et efficace, et toutes les autres disparaissent. Même folie des centaines de médicaments. Si UN guérissait telle maladie, tous les autres disparaitraient. La cosmogenèse qui sera Vraie, expliquera toutes les autres interprétations. C'est sans doute l'heure d'être attentif. Mais en attendant, ami, il est UNE chose qui relie toutes les cosmogenèses et qui, forcément, est vraie car son postulat explique tout, c'est celui de Dieu bien sûr, mais surtout celui d'une finalité supra-terrestre de l'homme SI la loi d'amour est observée dans la dualité sélective du Bien et du Mal. Autrement dit, une chose s'identifie dans les Cosmogonies, "être ou ne pas être" selon un mérite. Donc il est bien toujours question de valeurs intrinsèques de l'homme dans une pérennité qui dépassera son temps terrestre. « Tous sont appelés, peu d'élus... »

Il est évident, partout, que cette éclosion doit être désirée, volontaire, préparée. Or la notion de liberté s'inclut nécessairement pour produire des volontés libres. Il faut que les hommes soient des "têtes chercheuses". Toute leur valeur future est issue du dilemme obligatoire.

Tous les mythes ne font qu'imaginer de plusieurs façons superposées souvent, et toutes les initiations à épreuves, même symboliques, l'évolution de l'homme en valeur, en perfection, en lumière divine. Combien de systèmes et surtout religieux préconisent le rejet de la matière, ils oublient qu'elle est nécessaire, mais laisse entendre qu'elle est provisoire, dangereuse, etc...

 

 

(par ailleurs 104 = VICE-VERSA) et voilà le secret du Caducée, le serpent double, l'antagonisme qui fait le Mouvement et la Vie (les Roues) (forme la Ville de Nantes, plusieurs fois...). Cette clef fait 155, vous la retrouvez page 69 dans les 2 diagonales 1551.

Le Verbe suscitant la Vie, par sa dualité antongiste qui joue en plus dans la Nature avec les apparences et la réalité, met toujours dans le PENSER de l'Homme le dilemme intriguant. A lui avec "ses pensées" d'en sortir. Le SERPENT de la Genèse n'était, (et continue à être) autre que le PENSER de l'Homme tenté par le Verbe. Regardez ce mot qui est l'arbre T de la Science, la pensée : PEN-SER à l'envers = SER-PEN autour de l'Arbre.

 

 

Le sujet peut être conscient ou non de cette "carte forcée" dans son imagination. Je vous l'ai déjà dit, l'inspiration a bon dos et combien ont cru à leur propre habileté dans la Science la plus technique comme dans les spéculations les plus abstraites. Certains écrivains, ou savants, ont avoué combien ils étaient conscients que leur oeuvre leur était comme "soufflée" (inspirée-expirée...), comme dictée. La Fontaine n'avoua-t-il pas avoir trouvé un matin une de ses plus gracieuses fables "Les deux colombes" toute écrite de sa main... en dormant !

Evidemment là encore vous apercevez le dilemme de la foi dans ces constatations, c'est-à-dire le ménagement, toujours, de notre liberté, quelle que soit l'évidence plus ou moins réfutable ou patente de ces révélations ou autres phénomènes. Comme dans le 7 de Carreau il reste toujours à l'homme la seule solution = de réfléchir.

 

 

Cours de vente

Le consommateur, lui, est un être comme vous, respectable, qu'il faut faire vivre, qu'il faut éduquer au lieu de tromper.

Le tromper, c'est supprimer toutes vos chances ultérieures. On ne "gagne" qu'un temps très court à ce jeu.
Or, tout système, toute méthode, a tendance à lier le libre-arbitre de l'éventuel client.

Mais alors, quel dilemme, nous direz-vous I

Oui et non encore. Et c'est là que vous devinez déjà que la personnalité va prendre le pas sur la méthode.

Ceci fera l'objet de leçons futures, mais VOUS sentez mieux que pour vendre, il ne s'agit plus de jouer un rôle qui ne sera cru par personne, mais de produire face au client un être qui est semblable à lui.

 

 

Voyez-vous, quels que soient les individus qui font l'ensemble de l'humanité, quels que soient les caractères les plus durs et ceux-là mêmes sont les plus susceptibles d'influence, il y a un fond commun à tous les hommes et c'est la sensibilité, hors les exceptions communes à toutes choses.

Encore une fois, nous n'avons nullement le droit de juger si un être mérite ou non la sincérité de notre sentiment, l'expression d'une part de notre sensibilité à son égard. L'abnégation de ce dilemme en nous suffit à atteindre ou à transformer des êtres réputés irréductibles.

 

 

Nous vous parlions au début du cours des clients complexés et traumatisés, n'oubliez jamais qu'ils le sont tout plus ou moins au moment d'une décision.
Ils craignent de faire l'affaire pour des tas de raisons. Votre argumentation les a aidés à prendre confiance, mais au moment de conclure il y a toujours un sursaut d'inquiétude ou d'hésitation.

- Aidez-les clients à sauter, évitez-leur ce dilemme et c'est pourquoi les formules de conclusion les font glisser sans douleur d'un intérêt spéculatif en possesseur d'un appareil, d'un article ou d'un contrat sans que leur conscience ait-eu à débattre une décision assez souvent sensible. Et puis il y a des personnes qui ne savent pas prendre de décision, pensez à cela ; mais elles sont très favorables à une impulsion de votre part.

 

 

Si vous désirez reprendre charge du mariage, cherchez un autre compagnon ou une autre compagne.

Seulement avec des enfants il ne s'agit plus de vous, mais d'eux. Soutenez-vous pour maintenir vos enfants. Si c'est vraiment intolérable, le monde jugera pour vous."



Dilemme, mon Didier, il parait que ta femme t'aime et tient à toi. Pas toi. Mais tu lui a fait des enfants, qui sont ta chair, ton hérédité. Que t'apporterait l'avenir, sachant que ces petits sont orphelins d'un papa ? Plus tard, ils jugeront.