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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Traitement de la "nouveauté" dans Satornet "L'homme nouveau dévoilé par le verbe" - Xeon

Le futur normalement c'est l'irrationnel. c'est bien pourquoi il angoisse, il fait peur. Alors que le passé est rationnel, ce sont des faits qui peuvent servir à une démonstration.
Pour gérer la crise, il faut donc rationnaliser le futur, et pour cela rejeter le passé dans l'irrationnel, puisque le "passé" est alors compris comme "n'apportant de solution"
Il y a un "savoir" du passé. Le passé c'est la mémoire. Il n'y a pas plus rationnel que ce qui vient de la mémoire.
Sous l'ancien régime, pour établir des lois, on partait souvent de faits passés, d'antécédants.

La logique du progrès rationaliste ne peut donc fonctionner que par crises successives, amenant une nouveauté radicale, rationalisant de plus en plus l'homme.

L'homme est la seconde chose la plus irrationnelle, qu'il faut rationaliser. Pour cela il faut donc le classer comme "futur".
"Nouvel homme".

Le passé c'est la cause. Le rationalisme tordu, va alors dire : le passé n'a plus à être la "cause" du futur, mais seulement l'homme, qui choisit, décide du futur, depuis ses propres repères.

On va en ce sens détruire la logique naturelle de la causalité, on va l'oublier. Dire "les mêmes causes produisent les mêmes effets", devient une faute contre le rationalisme, qui ne cherche que la loi : les relations entre les événements.
On crée alors le monde par l'abstraction, et l'homme se trouve hors-sol.

 


Tout raisonnement cherche à trouver quelque chose de nouveau, conclure sur du nouveau.

Pascal parle de la théologie qui invente des choses, simplement parce qu'elle se sert du raisonnement. La théologie ne prenant pas appui sur des données physiques, mais abstraites, peut alors gravement dériver, "trouver" n'importe quoi.

Incidemment la raison dans sa fonction accomplie ne devrait se cantonner qu'à la recherche scientifique.

 

Peut-être cela nous a-t-il échappé dans la lecture de Pascal, mais il y a une autre incidence à cette rationalisation du théologique, c'est sa propension irrémédiable à faire descendre toutes ses notions dans la matière, à les appesantir du fait qu'elles tiennent dans des calculs. A terme on arrive à une religion matérialiste. Et c'est bien ce qu'on observe après Vatican II.

 

Et c'est aussi le projet d'Arnaud Mussy à partir, dans ce cas-ci, de l'enseignement d'André Bouguénec.

 

"Cher lecteur, nous l'affirmons à tous ceux qui ont assez d'entendement pour comprendre ; ces calculs, ces Clefs qui ouvrent les coulisses du ciel ne peuvent se déverser dans de vieilles outres, c'est la raison pour laquelle s'impose un Verbe Nouveau..." Arnaud Mussy, Satornet

La "raison" d'une nouveauté après passage d'un sas appelée "coulisses". Sas c'est-à-dire outil de tri, de filtre, pour un "ciel" à... "comprendre". Autrement ce "ciel" est codé et demande à être traduit. C'est exactement ce que nous faisons. 

A la fin "s'impose" donc par la force, cette "raison". Car elle a été acceptée par des "calculs", et le rejet des "vieilles outres" (devenant minoritaires), choisies par un "lecteur" électeur (mots ayant le même sens de cueillir, choisir), c'est-à-dire un vote, autrement dit le choix de la majorité.

Après, le masque de l'amitié pourra tomber, et le pouvoir de "Dieu" se faire jour. 

 

 

***

 

"Satornet, ou l'homme nouveau dévoilé par le Verbe"

Si "l'homme" est dévoilé par le Verbe, c'est que le Verbe nouveau, redéfinit "l'homme".

Ce qui est nouveau, c'est le sens des mots. Ce "nouveau" sens reprenant "l'ancien" "son", pour lui donner une nouvelle signification, assurer une "passation de pouvoir" progressive, basée sur un processus d'inversion de symétrie, permettant ces redéfinitions intégrales de notre vocabulaire. 

A la fin du processus, le sens matérialiste, a remplacé le sens spiritualiste, et Arnaud Mussy... André Bouguénec. C'est--à-dire que cette nouveauté est une révolution au sens géométrique.

 

 

Exemple : 

 

Cette "conclusion" tirée de l'introduction de l'article "Le carré sator", une fois décodée, en est un exemple.

 

"Vous avez le choix...

Soit, considérer l'ensemble de ces explications comme un ramassis de balivernes...

 

Soit, comprendre que 2000 ans après, à partir de la simple écriture latine du mot :

"H-EBREV"

apparaît, en-FIN sous nos yeux - symbolisé par une lecture de droite à gauche - le RE-TOUR du :

"VERBE-H"

(Le "H" représente ici le chiffre 8, le retour du Verbe à l'heure H... Le rond supérieur du 8 est la lumière d'en haut se reflétant ici-bas ; ce symbole du Christ permet également de remonter au ciel par l'écHelle, dont le "H" représente le 8ème barreau).

Pour conclure cette longue introduction, je vous invite à réfléchir sur l'observation suivante : si jadis l'hébreu et ses multiples combinaisons devaient révéler, quelque part en Galilée, un événement d'une portée considérable, d'après vous, que peut signifier aujourd'hui l'émergence d'un Verbe nouveau... ?"

 

Traduisons ce dilemme, appelé "choix", que nous retrouvons en chacun ou presque de ses longs propos. 

Le "choix", c'est le vote, l'élection impliquant un rejet (le ciel réel, rejeté pour la mise au pouvoir d'un "ciel" de nom, qui permettra ce qu'on voudra). Dilemme, puisque la première option du vote, est de passer pour un fou, et "ne pas comprendre" : "Considérer l'ensemble de ces explications comme un ramassis de balivernes..." ou "comprendre". 

Mais "comprendre" ne veut rien dire, car tout le monde peut "comprendre" une partie du code, et se faire accepter dans le nouveau pouvoir qui protège les "élus" (ceux qui "votent" bien), comme majorité (ceux qui ne sont pas rejetés). Les "majoritaires" étant ceux qui "comprennent", tous ceux qui ne comprennent qu'une chose : appartenir au camp de ceux qui "votent", c'est-à-dire "choisissent de rejeter" quelque chose, participeront de ce nouveau pouvoir, parce qu"ils ont un "futur". La "portée considérable" de cet "événement", mettant les autres en état de rejet au regard du "temps", seront donc classés au passé, et le passé, c'est la mort.

Voilà comment notre propre "verbe" se RE-TOURne contre nous pour opérer à cette révolution. Il est redéfinit de sorte que nous touchant il devient un problème, le critère de notre rejet.

Le "sas", pour conserver l'imagerie (image de la terreur) phare-ouestienne, est conservé par l'image de l'échelle : un système coulisse, qui tel un sas, permet de trier, de séparer deux espaces. Le mot "coulisse" est au"ssi le même que "couloir", une image du sas. 

La symétrie entre le ciel et la terre est aussi décrite par l'image du "H" ou du "8", d'où découle "le fin d'une longue introduction", où le temps (heure H) est désormais pressé, pressant, et permettra après le "vote", un retour permanent du même argument purement formel, sans aucun lien avec le réel. Tel "débat" sera présenté comme une "crise" à résoudre, pour une "nouveauté", et ce perpétuellement.

La "conclusion" de cette "longue introduction" (qui elle ne peut être l'heure H, pressante, et qui donc représente : André Bouguénec), faisant "perdre du temps" quand la mort n'est plus que l'aboutissement de la vie, donc la seule loi de la matière, elle-même désormais contrôlée par la loi des nombres, donc de la vérité par la loi de la majorité, de ceux qui "comprennent" en partie ce code et cette symétrie, cette "conclusion" dis-je, sera donc l'éviction d'André Bouguénec.

La précision du "verbe nouveau" est celle des chiffres, s'opposant au "quelque part" (vague et mystèrieux, voire introuvable géométriquement), permettant de "situer", et donc de ne pas situer Jésus, l'hébreu, ses "multiples combinaisons", etc. 

 

C'est le chiffre qui sauve, contre le vague et le mystère de la langue ancienne. Tel est le seul "choix" proposé ici.

 

* Sur le sujet du sas / couloir, le mot "coulisse", est encore utilisé pour une même fonction dans ce passage. Où on retrouve "comprendre", "calcul", "raison"... s'opposant au passé, après passage de ce "sas". Par une "affirmation" à "tous", ce qui indique assez la place d'Arnaud Mussy dans ce "retournement" de symétrie.

"Cher lecteur, nous l'affirmons à tous ceux qui ont assez d'entendement pour comprendre ; ces calculs, ces Clefs qui ouvrent les coulisses du ciel ne peuvent se déverser dans de vieilles outres, c'est la raison pour laquelle s'impose un Verbe Nouveau..."

 


Autre exemple :

"La Langue dévoilée

Aucun iota de l'univers n'est voué à l'inertie, alors, plus que jamais, la roue tourne, la TORA devient ROTA et le recto devient "VERSEAU". Tant pis pour ceux qui veulent rester définitivement enchaînés à leurs vieux symboles et à leurs vieilles clefs périmées.
Le vin d'hier "a fait son office", il est aujourd'hui servi dans de nouvelles outres, ou plutôt de nouvelles COUPES. "ENTENDEZ" par-là, de nouvelles COUP-ures, de nouvelles césures, de nouvelles PER-MUTATIONS à partir des mots nouveaux ; donc, de nouvelles sonorités qui "éclatent" pour un nouvel entendement, façonné "depuis toujours" pour les esprits d'aujourd'hui.

Cette nouveauté qui s'impose avec tant de force, apparaît notamment dans certains mots intimement liés : DIEU, l'ESPRIT, l'EN-TETE, LE VERBE, LA CLEF... qui numèrent respectivement 39, 99, 69, 69 et 39 ; ces cinq nombres, tous signés - comme par hasard - d'un "9" final, ne symbolisent-ils pas justement "une nouvelle mise" à NEUF ?

Certes, nous avançons l'idée que le Français succède aujourd'hui à l'Hébreu, car il est la langue dé-SIGNÉE comme initiatrice de cette nouvelle Science du Verbe. Cette "PEREMUTATION", nous vous proposons de la vérifier notamment à travers les trois clefs suivantes :

La première concerne évidemment LA CABBALE. Numériquement ce mot totalise 39 et permet à l'homme, en cette période de révélation, d'ouvrir les serrures conçues par DIEU = 39. Bien plus encore, l'anagramme de CABBALE dévoile la signature "CLE ABBA" ; autrement dit "la clé du Père" (ABBA signifie "Père" en araméen).

La deuxième clef repose sur les 22 lettres qui composent l'alphabet hébreu. En calculant la somme des lettres du nombre VINGT DEUX nous trouvons 126. Le chiffre 1 symbolise l'unité du Tout, reliée aujourd'hui aux 26 lettres de l'alphabet français.

Enfin, la troisième clef montre le clin d'oeil orthographique du mot "Kabbale/Cabale" :
•    "LA KABBALE FRANCAISE" = 123
•    "LA CABALE HEBRAIQUE" = 123

Cette passation de pouvoir "judéo-française" actuelle signifie que la nouvelle Cabale est "à cheval" sur l'Ere hébraïque des Poissons et celle du Verseau."

 

 

***

 

 

Jérusalem : vlle de la paix

Il commence en envoyant un courrier au Phare-ouest, en lequel il se sert d'une publicité promeuvant l'urbanisation de Nantes, et en parle comme d'une ville d'anges. Et finit par dire qu'il veut concrétiser une "Jérusalem céleste".


La jérusalem céleste ou la "nouvelle" jérusalem...

représente l'aboutissement de l'Histoire et le retour à la perfection initiale.

La Jérusalem céleste est l'image du lieu où les fils et filles de Dieu vivront leur éternité. Elle serait la ville sainte, la demeure de Dieu, un lieu spirituel.

Le texte affirme que, pour rester dans ce lieu, il faut être pur et sans fautes.

« L'un des sept anges qui tenaient les sept coupes pleines des sept derniers fléaux vint me dire : "Viens et je te montrerai la mariée, l'épouse de l'Agneau." »

Sur les portes étaient inscrits les noms des douze tribus du peuple d'Israël.

Selon la Bible de Jérusalem, aux douze tribus d'Israël répondent les douze apôtres ; l'idée serait que la perfection dans la totalité du peuple nouveau (le monde) succède à celle de l'ancien (l'Israël de l'Ancien testament) ; tous les nombres multiples de 12, dans cette description, exprimeraient la même idée de perfection.
Lors de la mesure, le nombre 12, qui est celui de l'Israël nouveau, est multiplié par le nombre 1 000 attaché à la « multitude », d'où la longueur de 12 000 stades donnée au côté du carré. De même, la mesure de la muraille, 144 coudées, est la résultante de 12 fois 12. Là encore, le caractère sacré est retrouvé dans l’architecture, qui atteint une forme de perfection.
Les pierres et les différentes couleurs figurent à la fois la solidité et la splendeur, ce qu'elles reflètent est la gloire divine4.

 

 

Non temps : sas de transition pour que naisse quelque chose de nouveau (réduction du temps permettant de redéfinir les termes abstraits, en les réduisant à des définitions court-termistes, de façon à produire une admiration menant à une nécessaire "action" immédiate et matérielle, tout en rallongeant les termes concrets, pour les rendre stériles, les faire passer pour des répétiions erronnées, des insistances inutiles, etc.

 

"Néo-Phare".

 

***

 

Utilisation du mot "nouveau" dans Satornet

Ce "verbe nouveau" qui fait "l'homme nouveau", c'est une nomenclature de définitions exclusivement quantifiées.

 

"La véritable question est de savoir si les MOTS ont été MOTEURS pour toi ; est-ce que ce Verbe Nouveau a pu toucher véritablement ton Ame et ton cœur ?"

Le savoir devenu "vérité" amène que toute "démonstration" est une mécanique (un "moteur") de mots, nouvellement définis par la quantité, permettant de tout démontrer géométriquement, y compris l'homme, devenant lui-même un chiffre dans cet espace.

"La véritable question est de savoir si les MOTS ont été MOTEURS pour toi ; est-ce que ce Verbe Nouveau a pu toucher véritablement ton Ame et ton cœur ?"

 

E-mondé = coupé de ses principes et de sa source, car le Verbe ici n'est jamais autre que "nouveau".

"VERSEAU". Tant pis pour ceux qui veulent rester définitivement enchaînés à leurs vieux symboles et à leurs vieilles clefs périmées.
Le vin d'hier "a fait son office", il est aujourd'hui servi dans de nouvelles outres, ou plutôt de nouvelles COUPES. "ENTENDEZ" par-là, de nouvelles COUP-ures, de nouvelles césures, de nouvelles PER-MUTATIONS à partir des mots nouveaux ; donc, de nouvelles sonorités qui "éclatent" pour un nouvel entendement, façonné "depuis toujours" pour les esprits d'aujourd'hui.
 
Cette nouveauté qui s'impose avec tant de force, apparaît notamment dans certains mots intimement liés : DIEU, l'ESPRIT, l'EN-TETE, LE VERBE, LA CLEF... qui numèrent respectivement 39, 99, 69, 69 et 39 ; ces cinq nombres, tous signés - comme par hasard - d'un "9" final, ne symbolisent-ils pas justement "une nouvelle mise" à NEUF ?
 
Certes, nous avançons l'idée que le Français succède aujourd'hui à l'Hébreu, car il est la langue dé-SIGNÉE comme initiatrice de cette nouvelle Science du Verbe. Cette "PEREMUTATION", nous vous proposons de la vérifier notamment à travers les trois clefs suivantes :

 

Curieusement, André Bouguénec n'a, dans ses textes, parlé de "verbe nouveau", qu'un seule fois, comme d'un verbe contrant la "Bête de l'Apocalypse", quantitative.

Orwell n'aurait pas mieux fait que de le reprendre à son compte, pour permettre de s'assurer la désinformation voulue.

"Pourtant, la Bêbête de l'Apocalypse qui monte, qui monte, elle est là, elle est en ce Monde, et elle grimpe de plus en plus partout, dévorant les consciences, les âmes et les corps...

Lui mettre un Nom dessus ? Mais c'est un Nom d'HOMME, d'Homme collectif ! Comptez les Michaëls qui en sont conscients et qui veulent détruire "La Bête" ? Quel Alchimiste (MICHAELI = ALCHIMIE) pourrait transmuter ce "Malfaisant" en"Bienfaisant" ou l'empêcher de nuire ? Sinon un "Paraclet" annoncé en même temps que la Bête ! Sinon un Verbe nouveau versant aux esprits purs les Eaux de la Connaissance en ce Verseau !" Couple et alchimie, tome 2, p. 122, André Bouguénec

 

 

***

 

Quelques occurrences supplémentaires, montrant l'omniprésence de cette nouveauté, mise en contradiction avec le passé.

 

 

Sator-Net l'homme nouveau dévoilé par le verbe.

[Voir ce qui y est dit de la "nouveauté"]

 

- En comparant tout d'abord les philosophies judaïque et chrétienne, dans ce que l'on peut appeler : "la relation avec Dieu".
- Puis, nous vérifierons si le dévoilement de cette Science du Verbe reste l'exclusif privilège de l'hébreu.
- Enfin, nous tenterons d'expliquer dans quelle mesure il est possible d'affirmer que le français est le Verbe Nouveau.

 

(...)

 

(les kabbalistes) affirment très clairement :
« l'hébreu EST la seule langue divine de référence... »
Cependant, nous vivons aujourd'hui une époque charnière qui voit le renversement et le renouvellement d'un grand nombre de concepts et de règles. A l'image du changement des saisons, tout recto laisse place, par la force des choses, à son propre "verso". Cette nouvelle logique nous incite donc à tout RE-voir, à tout reconsidérer avec un oeil neuf. Alors commençons si vous le voulez bien...

...

Le verbe est la science des sciences

 

(...)

 

Tout d'abord, parce que l'homme et plus particulièrement les scientifiques seraient dans l'incapacité de référencer et de tenter d'expliquer l'Univers sans les mots. C'est la raison pour laquelle lorsque nous découvrons une nouvelle plante, une nouvelle étoile, un nouveau cyclone, ou qu'un bébé vient au monde, nous commençons par lui donner un nom ou un PRE-nom.

 

(...)

 

Lorsque Moïse a posé les premières pierres du monothéisme, il a naturellement commencé par bâtir les fondations de la nouvelle relation voulue par Dieu avec les hommes. Ce nouvel échange commença logiquement par la transmission d'une éthique et de Lois présentées dans la Torah.
(...)
Soit, mais quel rapport existe-t-il avec la Science du Verbe ? Eh bien justement, cet insatiable besoin de rapports EVOLUTIFS entre un Créateur et ses créatures. Avec "l'âge" et "la maturité" de l'homme acquis au fil du temps, ce besoin d'échanges, de reconnaissance et d'Amour se concrétise à travers des "JEUX" de plus en plus subtiles... et systématiquement par l'utilisation de nouvelles règles. Nous y reviendrons dans "Le Français élaboré divinement".

 

(...)

 

Cher lecteur, nous l'affirmons à tous ceux qui ont assez d'entendement pour comprendre ; ces calculs, ces Clefs qui ouvrent les coulisses du ciel ne peuvent se déverser dans de vieilles outres, c'est la raison pour laquelle s'impose un Verbe Nouveau...

 

(...)

 

Aussi, Jésus n'hésitait pas à donner à partir des symboles laissés par Moïse, de nouvelles aperceptions et des vérités nouvelles dont les racines étaient vraies, mais dont la sève, ou plutôt "LES SENS" sont devenus encore plus vrais. Ainsi les clefs de Moïse sont complétées par celles de Jésus et forment une unité progressive dans le temps - unité que l'on retrouve dans cette signature numérique : MOISE + 7ESUS = 135 (nombre qui symbolise l'unité en français et que nous développons dans les recoupements proposés à la fin de ce sujet).
Comprenez-vous pourquoi la Cabale présentée dans ce livre est nécessairement nouvelle ? Elle fut spécialement pré-PARÉE pour les esprits de notre époque et dévoile une facette qui n'est plus seulement MENTALE, mais SENTI-MENTALE.

 

(...)

 

Tant pis pour ceux qui veulent rester définitivement enchaînés à leurs vieux symboles et à leurs vieilles clefs périmées.
Le vin d'hier "a fait son office", il est aujourd'hui servi dans de nouvelles outres, ou plutôt de nouvelles COUPES. "ENTENDEZ" par-là, de nouvelles COUP-ures, de nouvelles césures, de nouvelles PER-MUTATIONS à partir des mots nouveaux ; donc, de nouvelles sonorités qui "éclatent" pour un nouvel entendement, façonné "depuis toujours" pour les esprits d'aujourd'hui.
 
Cette nouveauté qui s'impose avec tant de force, apparaît notamment dans certains mots intimement liés : DIEU, l'ESPRIT, l'EN-TETE, LE VERBE, LA CLEF... qui numèrent respectivement 39, 99, 69, 69 et 39 ; ces cinq nombres, tous signés - comme par hasard - d'un "9" final, ne symbolisent-ils pas justement "une nouvelle mise" à NEUF ?
 
Certes, nous avançons l'idée que le Français succède aujourd'hui à l'Hébreu, car il est la langue dé-SIGNÉE comme initiatrice de cette nouvelle Science du Verbe. Cette "PEREMUTATION", nous vous proposons de la vérifier notamment à travers les trois clefs suivantes :

 

(...)

 

Cette passation de pouvoir "judéo-française" actuelle signifie que la nouvelle Cabale est "à cheval" sur l'Ere hébraïque des Poissons et celle du Verseau.

 

(...)

 

Nous savons tous que l'angle d'un Carré fait 90° ; les 4 angles totalisent donc 360 (90 x 4). Sachant qu'il y a 6 Carrés dans une croix latine, nous trouvons la valeur d'une ère zodiacale : 360 x 6 = 2160 ans. Ce chiffre marque le changement de langue qui "s'oPERE" entre les ères Bélier / Poissons - par l'Hébreu - et cette nouvelle transition Poissons / Verseau - par le français.
En général, quel animal annonce l'arrivée de la lumière ? N'est-ce pas LE COQ, symbole de la France ?! La numération (12 - 5- 3 - 15 -17) puis la réduction de ce mot : 3 x 5 x 3 x 6 x 8 totalise 2160 et rappelle étrangement la durée de cette nouvelle ère du Verseau.

 

(...)

 

- Apocalypse (cf. : révélation). II-17
« Que celui qui a des oreilles entende (car il faut de l'entendement) ce que l'Esprit dit aux Eglises : A celui qui vaincra Je donnerai (au futur) de la manne cachée, et je lui donnerai UN CAILLOU BLANC (parce que Divin) ; et sur ce caillou (le Carré Sator) est écrit un nom nouveau -(celui du Paraclet), que personne ne connaît, si ce n'est celui qui le reçoit. » (donc le seul à pouvoir l'ouvrir et le déchiffrer).

 

(...)

 

Cette nouvelle SCIENCE DU VERBE = 135

 

(...)

 

Pour conclure cette longue introduction, je vous invite à réfléchir sur l'observation suivante : si jadis l'hébreu et ses multiples combinaisons devaient révéler, quelque part en Galilée, un événement d'une portée considérable, d'après vous, que peut signifier aujourd'hui l'émergence d'un Verbe nouveau... ?

 

(...)

 

Logique donc que cette Apocalypse révélatrice soit symbolisée par "l'ERE DU VERSEAU" = 156 ; après UNE CONFUSION = 156, elle permettra de répandre sur la Terre entière la BONNE NOUVELLE = 156, celle d'un enseignement, d'un dépôt sacré transmis par la PRESENCE DU FILS = 156, venu discrètement au cours de ce XXème siècle (cf. : le Sator venu en Arepo).
• Aujourd'hui l'homme "DÉMON" sera prochainement "É-MONDÉ" - c'est-à-dire purifié, sorti de ce monde actuel - pour participer à la reconstruction terrestre "d'un nouveau Monde".

[L'homme n'apparait donc que maintenant, alors que "l'homme nouveau" était le sujet du livre. Qu'est-ce que "l'homme" ? Un "démon", jugé. S'il sort indemne de ce jugement, il ne sera que "participant" au monde.]

 

(...)

 

Les yeux dans les yeux

Et maintenant ?
Ami lecteur, accepte que je te dise TU, puisque nous sommes semblables et que nous arrivons à l'ultime étape de cet ouvrage. Je me veux encore plus proche de toi. Pour être franc, j'attendais cet instant, ce face à face fraternel, et je te remercie d'être arrivé à ce terme.
Alors, après toute cette lecture, après avoir pris connaissance de toutes ces incroyables démonstrations, de ces preuves multiples, de ce Verbe Nouveau, où en es-tu ?
Tu n'as sûrement pas manqué d'être, pour le moins, étonné, surpris, abasourdi peut-être, et pourquoi pas fort dérangé dans tes repères, dans tes convictions, voire dans tes certitudes... Le problème à présent n'est plus d'en rajouter, nous avons semé POUR TOI suffisamment de graines à faire germer. Ce qui signifie qu'en cet instant, toute démarche démonstrative est superflue.
Je ne veux plus te convaincre, je veux toucher ce qui est le plus noble en toi : ton coeur.
De cœur à cœur
Puisqu' « on ne voit bien qu'avec le coeur... », suivons cette voie recommandée par Saint-Exupéry. La véritable question est de savoir si les MOTS ont été MOTEURS pour toi ; est-ce que ce Verbe Nouveau a pu toucher véritablement ton Ame et ton cœur ?
Or je ne peux douter qu'il en fût ainsi. Pourquoi ? Tout simplement parce que tu possèdes EN TOI cette IMPRESSION imprimée au tréfonds de tes cellules, obligatoirement, comme nous tous !