Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Mythe de Dionysos - Varia

Dionysos est le dieu "deux fois né". Parmi ses attributs on trouve la figue et la grenade. Deux images de la fécondité. Non seulement la forme externe, mais la coupe de la figue est très ressemblante au testicule humain. Dionysos était aussi "phallonos" : garant de la fécondité, protecteur des figuiers, esprit de l'écorce, et protecteur des arbres.

Son culte est en rapport étroit avec celui d'Orphée. L'orphisme avait un côté marginaliste, en lien avec les mystères de Dionysos.

Le mythe central de l'orphisme est celui de la mise à mort de Dionysos par les Titans. Ceux-là sont alors punis de cet acte, et pour cela foudroyés. De la suie de leur corps carbonisé, sont nés les hommes.

Les cosmogonies orphiques postulent une unité originelle qui sera brisée puis restaurée sous le règne de Dionysos. C'est un thème constant de l'orphisme.

Mythe détaillé :

Après la création, Eros offre l'empire du monde à Zagreus, première incarnation de Dionysos. Les Titans, jaloux, s'emparent de lui, en le charmant avec des miroirs, le démembrent, le font bouillir et le dévorent. C'est alors que Zeus décide de les châtier en les foudroyant.

Une partie des cendres des Titans a donné aux hommes une propension au mal, mais la seconde moitié, émanant de l'énergie divine de Dionysos, leur conféra l'étincelle d'amour du Bien.

L'orphisme professe une démarche de purification de l'homme, dont la partie divine est combinée au mal (reste des titans).

La mère de Zagreus, Perséphone, est folle de rage et interdit que l'homme, marque vivante de la faute des titans, gagne le monde divin. Elle le condamne à mener une vie charnelle par le biais de l'oubli de sa partie divine.

La divinité centrale de l'orphisme est Dionysos, alors que dans le pythagorisme, c'est Apollon.

 

Il est maitre des Mystères d'Orphée, dieu de l'illusion théâtrale et des apparences, en un mot, dieu de la transe et de l'en-thousiasme, enfin ce dieu ressuscitant, de l'instable, de l'insaisissable, des sophistes et du théâtre, dieu du chaos et des attraits instinctifs, l'autre figure d'Eros.