Académie métaphysique

 

Paroles

 

Accueil > Classement thématique > Psychologie > Métamorphose

Tous les thèmes

 

 

« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Métamorphoses, Ovide - Xeon

Présentation mythologique et historique de la création du monde par les dieux, jusqu'à l'avènement et l'apothéose de César (on est donc dans un registre involutif sur le plan de l'esprit). En même temps la société et la civilisation s'organisent, s'enrichissent. Entre ces deux périodes, on suit le déroulement de l'histoire des relations entre les dieux, entre les dieux et les mortels, héros, sur-hommes, au sein du monde.

On y parle des Mystères d'Orphée ("Mystères de Dionysios"), et de Pythagore.

Les "métamorphoses" en question sont toujours provoquées par un dieu qui change des humains pour les punir de leur audace à les contredire ou les contrer.

L'arbitraire est maitre. C'est la loi du plus fort. L'humain perd sa valeur, transformé en animal, plante ou minéral.

On peut y voir une métaphore du changement de peau, de la mutation qui suit le contact avec les dieux, qui en l'occurrence peuvent aussi représenter une idée (déi ↔ idée).