Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Le figuier dans les mythes de l'antiquité gréco-latine - Encyclopédie théologique de l'Abbé Migne

1. Chez les anciens païens, cet arbre était consacré à Mercure. Pausanias dit que Cérès l'avait donné à l'Athénien Phytalus, en reconnaissance de l'hospitalité qu'elle avait reçue de lui. Les Lacédémoniens en faisaient honneur à Bacchus, et pendant ses fêtes on portait des figues dans des corbeilles.

- Aux mystères d'Isis et d'Osiris, c'étaient des personnes couronnées de feuilles de figuier qui portaient les corbeilles.



2. Les Romains avaient plusieurs figuiers sacrés. Tacite raconte que celui sous lequel Romulus et Rémus avaient été allaités par une louve, subsista 830 ans, et que s'étant desséché après ce long espace de temps, il reverdit de nouveau. La vérité est que les prêtres avaient soin d'en substituer un nouveau dès que le figuier vénéré venait à se dessécher. On l'appelait Ruminalis, de ruma, mamelle.

- Il y avait à Rome un autre figuier que Tarquin l'Ancien avait fait planter dans les Comices, à l'endroit où l'augure Navius avait coupé en deux avec un rasoir une pierre à aiguiser. Un préjugé populaire attachait « la durée de cet arbre les destinées de Rome ».