Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

La cellule est liée au tout pour son accomplissement - Varia

George Canguilhem a montré que la cellule transforme la partie de l'organisme, d'instrumentale qu'elle était dans les modèles technologiques aristotélicien et cartésien, en individu. Du même coup, elle se trouve liée aux autres cellules par une relation d'intégration.

"La structure de l'organisme total est subordonnée aux fonctions de la partie". Fait de cellules, l'organisme est fait pour les cellules, pour des parties qui sont elles-mêmes des touts de moindre complication.

La relation des parties au tout est une relation d'intégration (concept connu en physiologie nerveuse) dont la fin est la partie, car la partie n'est plus une pièce ou un instrument, mais un individu.

En politique, on retrouve ce modèle : le PCF a repris le terme cellule pour qualifier l'élément central de façon organique, pour assurer une parfaite coordination des membres de ce tout.

En philosophie : La cellule s'appelait antérieurement monade. On peut dire de la cellule ce que Leibniz dit de la monade, elle est pars totalis. Elle n'est pas un instrument, un outil, elle est un individu, un sujet de fonctions.

Elle s'est séparée mais représentative de tout l'univers. A la fois isolée mais en relation avec tout l'univers. 

Pour Leibniz, l'universel c'est tous les cas. Général c'est pour tout un groupe. Si l'individu exprime l'universel pour Leibniz, il est normal qu'il cherche à s'exprimer dans un langage universel.

Pour la monade, il y a des passages successifs pour arriver à l'individu (individuation). C'est la suite de ces états qui forment l'individu. Ceci selon le principe du meilleur, qui rassemble les possibles pouvant coexister. L'individu est donc toujours dans l'état le meilleur, compte-tenu des possibles dont son destin était gros. Le destin des parties étant lié au tout, nous vivons dans le meilleur des mondes.