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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Pourquoi André Bouguénec a-t-il laissé faire ? - Xeon

"Dieu laisse l'homme se piéger." 

 

Propos complet :

 

"L'éternel a fait toutes choses de telle sorte qu'elles se répondent l'une à l'autre.' Prov. 14:4.

Quand elles se recoupent, se complètent dans le Bien, le Beau et l'Amour, voilà où se trouve l'unité de la vérité. Tout le reste est inventé par l'homme, des ambitieux mystiques, mégalomanes ou détraqués, par des falsificateurs. Tout cela n'est nullement inutile. Dieu laisse l'homme se piéger.

L'humanité est devenue la Bête de l'Apocalypse : indressable, sauvage, meurtrière, ambitieuse ou veule.

Regarde où en sont rendus les hommes, au nom de la fraternité des peuples, au nom des dieux particularistes, les crimes contre les infidèles, au nom du progrès, l'écrasement des faibles, ou leur abandon à la famine."

 

Ailleurs : "Dieu laisse faire pour que l'homme puisse se juger" (cassette G61 A), André Bouguénec

 

André a en permanence lancé des signes, des propos décrivant la situation et réfutant la mise en place d'une destruction du Phare-ouest par le recours à un jugement passant par une géométrie arbitraire, basée sur une falsification de son langage, mais n'a jamais laissé de message parfaitement clair à propos du personnage Arnaud Mussy.

Pourquoi ?

Pour la même raison que Dieu laissa faire l'Eglise

"La Marie des Evangiles n'a pas reconnu Jésus, et elle n'était pas vierge. Ce n'est donc pas elle qui apparaît depuis 2000 ans ; mais Dieu, en bon pédagogue, part des croyances des hommes, pour les amener à comprendre. Et quel destin auraient eu une ou des apparitions remettant en cause de façon abrupte l'Eglise romaine ? Mais finalement, c'est de cela qu'il s'agit."

Tout ceci a encore à voir avec le Mystère d'iniquité, faisant référence au fait que Dieu envoie lui-même une puissance de mensonge, à ceux qui se détournent du Bien.

 

Allons encore plus loin : nous pensons que non seulement André Bouguénec a laissé faire, mais qu'il a donné des billes sciemment à Arnaud Mussy, tout en y insérant des éléments de compréhension pour la réfutation de sa "science" matérialiste. 

Ces billes, à commencer par les titres qu'il lui donne, étant contrebalancés par des contradictions internes, placées discrètement, mais permettant de tirer la réfutation même du propos. 

 

 

Donnons un exemple que nous analysons ici, et

 

"Celui que j'ai appelé très tôt « Mon Fils »"

Dans ce second exemple, le texte étant inclus dans un autre, nous le reproduisons ici :

C'est justement ici qu'Arnaud Mussy ajoute cet insert en son "ultime main tendue au Phare-ouest", qu'il voudrait faire passer pour une étiquette avantageuse.

"Mon fils", c'est une analogie du Père; Le fils étant analogue au Père.

Mais ici le Fils est arrêté dans le passé ("que j'ai"), fixé dans une étiquette. Tandis qu'un autre est présenté comme réel, et proportionné comme tel à l'égard du temps. Le "fils" étiqueté entre guillemets étant opposé au Fils, "qui a en lui", puisque réel, lui.

Une reconnaissance extraite d'un état, abstraite (étiquetée comme un "prix"), ne saurait être une reconnaissance qu'on a "en soi", charnelle, concrète ou encore vécue.

Ici, c'est André Bouguénec qui place une contradiction dans son propre énoncé, opposant sa dialectique à celle d'Arnaud Mussy, qui n'a bizarrement pas compris qu'en plaçant ce texte, il se tirait une balle (rhétrorique) dans le pied.

Les guillemets signalant un simple mot, devant signaler une demande d'attention quant au sens du terme employé,au regard de sa contradictoire : la réalité signifiée, qui elle est placée juste après : "celui qui a en lui", qui possède, et n'est pas seulement "appelé". 

Amenant le doute sur le sens d'un "appel" anticipé ("très vite"), donc "en vue d'un certain résultat", selon la définition même du mot "appeler". Cet appel, ponctuel, étant, comme déjà dit, une action passée, tandis que "joie" et "reconnaissance" sont des fruits, des effets durables, portant à un futur plus ou moins déterminé, tandis que l'action passée (l'appel) est terminée, précise. C'est une information.

De plus, celui qui "en lui" ces fruits, ne peut, en toute logique, être "appelé" (comme on appelerait une grâce !), puisqu'il vient de lui-même, justement du fait même de sa définition fluide, impliquant qu'il doive SE trouver de lui-même, et non à la suite d'une information donnée par un tiers, qui devient alors un "père", certes, mais un père de "Fils à papa"...

"Celui qui" ayant alors sa force en lui-même. Il fait le chemin. Il y aurait donc contradiction dans la même formule si ce qui est, était aussi "appelé". Il n'y a plus de contradiction, si ces deux entités sont différentes, ne sont pas confonduies.

Cette dernière analyse amenant encore à montrer qu'on à affaire ici à une méthode exactement inverse de celle d'Arnaud Mussy, en posant deux termes contradictoires dans la même formule, mais pas pour faire émerger la rapidité, le fini, en dépit de l'infini. C'est tout le contraire, puisque ce sont l'étude et la réflexion, l'inverse de la censure, qui en donnent la compréhension.

 

Continuons alors en apposant ici ce propos d'André Bouguénec, décrivant l'obligation de devoir précipiter le mal, pour que le Bien se révèle "plus vite". Comment ? Précisément en accélérant la vitesse ("très tôt") du mal, donc en le suscitant, en le motivant, pour susciter des révoltes contre ce mal.

"L'inspiration dans le bien n'est pas très précise. Elle est déformée, retraduite par celui ou ceux qui la reçoivent.

Dans le mal, l'inspiration est beaucoup plus précise. Elle est luciférienne dans le sens qu'elle est magique. Là ça manque pas d'imagination, ça manque pas d'images précises, justement pour provoquer l'homme.

Et c'est d'autant plus précis que l'ensemble perd les pédales par rapport au Bien, ou se désintéresse du bien.

Alors pour accélérer le processus vers le Bien, il n'y a qu'une seule façon, pour respecter la liberté justement du choix humain, c'est d'accélérer le mal en précisant l'inspiration dans le mal. Comme je dis souvent : "Pour que ça aille mieux, faut que ça aille plus mal, plus vite".

Parce que les bons vont avoir à ce moment-là une révolte, une prise de conscience. Et il va y avoir des conversions même par ceux qui sont dans le mal. En général c'est rare, mais en tout cas ça va devenir un tel phénomène aberrant, que ça va sélectionner tout de suite ceux qui sont de bonne volonté.

Pourquoi Jésus dit : "Je suis venu jeter un feu", "séparer les familles", etc.

Il est évident que, dès l'instant où il a donné une conviction dans la famille, à l'un des membres de la famille, cette conviction est telle, parce que celui-là était en état d'être illuminé, parce qu'il avait une soif de pureté, d'honnêteté, etc. et de révolte par rapport à tout ce qui le choquait, il est évident que les autres membres de la famille vont devenir presque des ennemis, il va être haï.

C'est fatal, c'est un drame qui arrive fréquemment. Moi c'est arrivé souvent depuis ma jeunesse. Je suis toujours l'inconscient de ceux qui m'entourent, et c'est une conscience qui gêne."

Précisons que cette méthode a un but : "pour respecter la liberté justement du choix humain". Pourquoi utiliser l'adverbe "justement", signifiant : Conformément à la réalité ? Sinon que pour s'opposer à une fausse liberté, séduction magnifiée par des images de force, "précises" et... "inspirantes", c'est-à-dire induites, par cette magie luciférienne, laissant croire que "l'inspiration" qu'ils provoquent par le truchement de simples signes, puisse être le critère d'une "liberté" ?

Au fait, comment seraient-elles à la fois "précises" et "inspirantes", si ces précisions, ces détails, n'étaient cachés dans le discours, la "lumi-re" "luciférienne", c'est-à-dire faussement divine ?

Cette description d'une dialectique est exactement et géométriquement l'inverse de celle d'Arnaud Mussy, puisque le Bien doit alors procéder ainsi : susciter le mal, tout en plaçant dans le "texte", le germe d'une compréhension finale, induite, du Bien, pour que le Bien soit compris librement. Tandis que dans la dialectique inverse, le mal est semé dans les mots du Bien, pour le faire germer, non pas librement, mais à notre insu, car porté ("porte-lumière !) par des chiffres, des verrouillages cachés, tout en nous laissant croire en la liberté de son "apparition" dans notre tête, comme "révélation".

Alors qu'il ne s'agissait que d'un processus d'induction mentale, d'automatisation mécanique, faisant émerger des formes à partir d'analogies géométriques, répétées, faisant croire à des découvertes qu'on dira alors "intuitives," "inspirées" etc. 

Le propos d'André Bouguénec se concluant par l'exemple d'une prise de conscience et d'une révolte, dans une famille (résultat d'une dialectique). Or, père et Fils n'en sont-ils pas un des repères, comme porteurs de germes, de la cause à la fin ?

Ici, le bouc émissaire de la famille se révolte bien à cause de la vitesse. Donc le mal familial rapide doit produire une révolte.

 

Le Fils véritable, qui buche et en base pour SE créer, n'aurait-il pas des raisons de se révolter en voyant Arnaud Mussy se faire appeler "Mon Fils" ? Et si "appeler" c'est inciter à accélérer, appeler "très tôt", c'est doublement accélérer cette révolte.

On peut alors dire que ce dernier est lui aussi manipulé, mais pour le Bien.

 

"J'ai maintes fois expliqué les raisons de cet antagonisme, de cette influence contraire aux leçons des Inspirés, des Prophètes et des Messies. Le but de la création de l'humain est qu'il devienne un dieu, un fils du Père Divin. Un dieu sans énergie condensée, sans volonté, sans créativité exclusivement dans le Bien, est absolument inutile à l'intention de la Mère de la Vie. Jésus répond dans l'Evangile que Dieu, s'Il le veut, peut susciter des fils d'Abraham à partir des pierres du chemin ! Autrement dit, Il peut transformer toute matière en un fils louable, spontanément !

Cela n'a aucune valeur sans un long procédé d'existence auto-élaborée par un être qui doit chercher, choisir, devenir par sa propre volonté, un être de qualité. Les refus de toutes tentations mauvaises cumulent en lui, une énergie indispensable à sa future divinité. N'oubliez pas : Dieu vomit les tièdes ! Cela veut dire qu'Il les rejette de ses bienfaits et les envoie post-mortem dans les planètes purgatives d'involution". Introduction à Qui a créé Lucifer, André Bouguénec.

Vous avez bien lui : "peut susciter des fils" "à partir de pierres". Ce dernier terme désignant évidemment la matière.