Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Iao, chaleur divine en grec, origine possible de Jéhovah - Encyclopédie théologique de l'abbé Migne

IAO, nom de Dieu chez les Syriens; il n'est autre que le tétragrarnrne biblique léhova, qu'on peut très bien prononcer lahoh, d'autant plus qu'on le trouve souvent écrit Ieho, Iahou, Iaho. On le retrouve envore dans le Iivre des Etrusques, le Iovi et le Iu-piter des Latins. Ce nom a pu être connu dans les temps les plus reculés de la Grèce. Macrobe cite un oracle d'Apollon Clarius, dont le vers suivant fait partie [texte grec que nous ne reproduisons pas] : "Songe que laho est le dieu suprême de toutes choses." Cet oracle était fort ancien, car Conon et Strabon disent qu'il fut rendu quand vivait le fameux devin Mopsus, contemporain du siège de Troie [date généralement retenue : 12 siècles avant J.C.]. L'abbé Barthélemy n'a vu dans ce vocable qu'une désignation de la puissance du soleil ou de la chaleur. L'I chez les Grecs était la lettre symbolique de l'astre du jour ; l'alpha et l'oméga qui venaient ensuite, dont l'un commence l'alphabet grec et l'autre le termine, indiquaient que IAO, ou la chaleur, était le principe et la fin de toutes choses.
IAO était aussi le nom que les habitants de Claros donnaient à Pluton.