Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Analyse de L'amour et l'indépendance de 68 - André Bouguénec


68 c'est Amour. Et je vous ai dit que à partir de 80 qui est : l'amour, y'a une séparation. C'est-à-dire y'a une progression d'êtres qui prennent conscience, qui sont plus ou moins humanistes. Et puis de l'autre côté ça se dégrade. Voilà.

Et 68 ça a été la Révolution provoquée par un phénomène Amour. Mais amour de la liberté, amour de la critique, amour de l'indépendance, amour d'être "Moi". Les parents, les maitres, la politique, on les foutait en l'air. Voyez-vous cette forme d'amour.

Attention, ne confondez pas amour, gnin gnin gnin mignon mignon. Y'a l'amour de tout ça, bon. Alors 68 c'était ça.

Mais c'est la provocation de l'amour qui a dissipé les jeunes justement, à prendre une indépendance et à refaire leur génération. Malheureusement ils ont tout loupé. Ils ont voulu jouer au chef, ils ont fait les cons. Y'a qu'à voir.

Attention, l'amour c'est pas gnin, gnin, gnin. Il y a l'amour et il y a la guerre, etc.

Quand on va à l'Université, on est conditionné à vie. A moins d'avoir l'esprit critique. Pareil en religion. Et l'Eglise se charge bien de prendre en charge les étapes de la vie.

Mais depuis des décennies on constate des révoltes. Et c'est bon. Ce sont des esprits qui ont fait leur cheminement par rapport à des problèmes qui les entourent. Seulement il faudrait que cette liberté joue sur la raison d'être de l'homme.

Malheureusement le progrès ne joue pas sur la finalité du bonheur humain. Ça joue sur la puissance, le pouvoir.


Moi j'ai vu les Universités de Nantes. Mais c'étaient des étables, dégueulasses ; des caricatures, des conneries sur les murs, des trucs cassés. Et voilà l'indépendance qu'ils ont trouvé en 68 ? Alors quand on gueule et qu'on critique les anciens, alors à ce moment-là il faut donner un exemple plutôt évolué.

Riton témoigne : "Les étudiants, ils ont voulu rentrer dans nos usines, mais nous on gardait les usines, on graissait les machines et tout. Et le premier qui rentrait pour casser, il prenait une barre de fer dans la gueule".

André : Oui, il y a eu une poussée démoniaque. D'un autre côté c'était pour libérer les jeunes d'un esclavagisme, qui aurait pu leur permettre de changer les choses dans un bon sens pour la jeunesse.

[...]

C'est en même temps un monde en élaboration lente et en même temps en dégradation.