Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Le calcul infini des intérets débiteurs (par l'analyse mathématique) - Xeon

"chaque seconde" : satornet 

Je calcule tout le temps.

Même s'il n'y a pas de temps en astral, quelle est la limite du passage d'une ame en astral ?

 

L'analyse mathématique est utilisée pour calculer les intérets débiteurs : permet de savoir à combien se montera l'interet à un moment T.

 

Que signifie alors le fait de présenter une vitesse parfaite sur un "instant" ?

 

Mais les intérets des autres sont calculés sans arrêt (pression, urgence, harcèlement...)

 

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ChatGPT a dit :

Voici l’explication “sans formules” du passage à la limite pour comprendre les intérêts débiteurs calculés en continu, mais sans aucune équation.

Idée intuitive : que veut dire “faire une limite” ?

 

C’est simplement répondre à la question :
Que se passe-t-il si on refait le calcul de plus en plus souvent, jusqu’à le faire tellement souvent que ça devient “en continu” ?
 
 
- Application aux intérêts débiteurs (ex : découvert bancaire)
Imaginons que tu es à –500 € et que le taux débiteur est 12 % par an.

 

1) Si la banque calcule les intérêts une seule fois par an
Elle regarde ton découvert après un an et ajoute les intérêts d’un coup.
C’est un calcul simple.
2) Si elle calcule une fois par mois
Alors elle ajoute un petit intérêt à la fin de chaque mois.
Du coup, le découvert augmente un peu plus vite.
Chaque mois :
→ petit ajout d’intérêt
→ puis le mois suivant, on recalcule les intérêts sur un découvert légèrement plus grand.

 

3) Si elle calcule chaque jour
L’effet est encore plus visible :
le découvert grandit un tout petit peu chaque jour,
et le lendemain, les intérêts sont calculés sur un découvert un peu plus grand que la veille.

 

Ce qui change quand on augmente la fréquence
Quand on passe de :
1 fois par an
à 12 fois par an
à 365 fois par an
puis à 86 400 fois par jour (toutes les secondes)
chaque augmentation rend l’évolution du découvert plus fluide, plus continue, moins “par à-coups”.
Et à chaque fois, le montant final augmente légèrement.

 

Et si on faisait ça un nombre infini de fois ?
C’est là qu’intervient la notion de limite.
On se demande :
Si je fais le calcul toutes les micro-secondes… puis encore plus souvent…
Que devient le calcul quand la fréquence devient tellement grande qu’elle est “infinie” ?
On ne peut plus faire le calcul étape par étape (il y en aurait une infinité).
Donc les mathématiques répondent par : une limite.
Cette limite correspond exactement au modèle d’évolution en continu.

 

Ce que représente la limite ici
Elle représente le montant que tu devrais à la banque si :
- les intérêts étaient recalculés tout le temps, sans jamais attendre la fin du mois, du jour ou de l’heure, et que ta dette augmentait de façon parfaitement lisse et continue.
C’est un cas idéal, mais très utile pour comprendre le fonctionnement réel.

 


En résumé simple
Plus on calcule les intérêts souvent, plus le montant final augmente.
Quand on calcule “infinitément souvent”, on arrive à un modèle continu.
La limite est la réponse mathématique à :
“Que se passe-t-il quand la fréquence devient infinie ?”
Ce modèle fonctionne pour les intérêts positifs (gains) comme pour les intérêts débiteurs (dettes).