Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Insertion des archétypes dans les inspirations - André Bouguénec

Jadis il n'y avait pas la télévision, ni la radio, comme ouvrage il n'y avait que la Bible, dans les villages, et il y avait toujours un malin dans le patelin qui était sollicité pour raconter des histoires. Alors Dieu sait si ça brodait. Il fallait séduire, et cette "radio-télévision" près du foyer, près d'un coup de gnole ou de café évidemment, c'était quelque chose évidemment. Il fallait donc charmer, et on inventait les choses les plus belles, les plus gracieuses quand on avait l'esprit fécond. Comme par exemple ce conteur auvergnat qu'on voit de temps en temps à la télévision ou la radio, Jean-Pierre Chabrol. C'est un des derniers conteurs. Il n'y en a plus.

Quand on raconte des histoires, l'inspiration vient. Mais l'inspiration, dès l'instant où vous êtes avides, vous avez toujours un archétype qui s'inscrit, et qui à votre insu se greffe sur les légendes cosmiques, les légendes traditionnelles, automatiquement.

C'est ce qu'on appelle le structuralisme. Rien ne se fait sans que cela soit structuré même à l'insu de l'homme. Les noms choisis pour les découvertes scientifiques par exemple, ont une portée toute autre que celle qui correspond abrupto à la découverte.

Il n'y a pas de hasard. Cela veut dire qu'on nous fait des farces instructives. C'est un puzzle, et quand une fois trouvés on raccorde les éléments, on se dit "c'est marrant", et c'est vraiment marrant. C'est ça la joie.

C'est dire: "encore une farce !" C'est plein d'esprit, c'est ironique, c'est amusant et en même temps c'est instructif.