Académie métaphysique

 

Paroles

 

Accueil > Classement thématique > Histoire / Civilisations et sociétés > Grèce antique

Tous les thèmes

 

 

« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

La métempsychose chez les grecs et les celtes - Jean Prieur

Pythagore enseignait la métempsychose de l'homme à l'animal. Platon adopta le système de Pythagore mais le modifia dans un autre sens sur cette question. Il enseigna que l'âme d'un homme passait toujours dans un autre homme et jamais dans le corps d'un animal. C'était aussi le sentiment de Celse, de Porphyre, de Plotin et de plusieurs autres. Origène, de son côté, enseignait la transmigration par les mondes, et prétendait que Dieu n'avait créé le monde actuel que pour punir les âmes qui avaient failli, soit dans le ciel, soit dans un monde précédent.

Les druides gaulois enseignaient la même chose, sinon que l'âme changeait de corps avant le décès physique. D'où le courage invincible des gaulois et leur mépris de la mort. Ils croyaient que l'âme circulait éternellement de ce monde-ci dans l'autre, et de l'autre dans ce monde-ci. C'est-à-dire que ce qu'on appelle la mort était l'entrée dans un autre monde, et ce qu'on appelle la vie était la sortie de ce monde vers le nôtre.

La qualité des incarnations se réglaient sur le bien et le mal qu'on avait fait dans l'autre vie.