Apparitions du mot "matière" dans Satornet. Liste exhaustive
"Contrairement aux thèses "classiques", nous proposons comme postulats :
1. « Au commencement était le Verbe. » Saint Jean I-1.
2. « Tout n'est que Verbe. » LE. Charon - Physicien (qui parle aussi de "psychomatière").
3. « Le hasard n'existe pas. » André Bouguénec (et il le prouve !)."
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« A la matière même un verbe est attaché. »
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« Peu à peu saisissez-vous pourquoi le Nombre, le NOM et le Mot, sont étroitement reliés ? Pourquoi les clefs révélées, sont là pour démontrer que l'Esprit domine et imprègne toute "MESURE" ?! Il faut, à chaque instant, en "TENIR COMPTE" afin de diviniser nos pensées et nos actions. Par cette mesure, comprenons que "tout est compté, mesuré, pesé", que l'humain baigne dans l'Esprit, plus même que dans la Matière et qu'il doit sans cesse en prendre Science et Con-Science pour, d'une mesure d'Ange, devenir librement une Mesure d'Homme :"vrai Homme et vrai Dieu". » (d'après A. Bouguénec - page 99 de l'Inconnu se révèle).
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"LE VERBE EN FRANCE" = 135 symbolise l'unité du 1 (Matière) et UN (Esprit) = 35 car il "SIGNE l'UNITE" = 135.
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Il en est de même pour l'Ame qui ne peut évoluer qu'en s'incarnant dans un corps-matière.
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Ne vérifiez-vous pas quotidiennement dans vos échanges, cette fabuleuse énergie que représentent nos é-MOT-IONS, transmutées dans la matrice/matière des MOTs et véritable MOT-ivation de la pensée invisible ?
Arnaud Mussy, Satornet
La "matière" des mots, c'est son "bois" (en grec : hulé, matière), sa langue lourde, parce que reflétant des projets matérialistes.
D'où : le "verbe" dans son sens matérialiste, ce sont les mathématiques, qui visent à s'incarner comme matière.
Les mots eux-mêmes se faisant, comme la "pensée" qui les exprime, une matière. D'où "l'esprit" c'est uniquement le cerveau.
Ce qui nous échappe, c'est que ce soit lui qui écrive ses mots. C'est le but de l'impersonnalité : présenter un système tellement abstrait qu'on en oublie sa seule et unique fonction : créer un matérialisme.
C'est l'esprit qui est l'invisible, qui domine la matière, mais qui en vient d'abord. Et si Arnaud Mussy écrit : " l'humain baigne dans l'Esprit, plus même que dans la Matière et qu'il doit sans cesse en prendre Science", ce n'est pas que l'Esprit soit supérieur ontologiquement et chronologiquement à la matière, mais seulement qu'il la domine ensuite par la science mathématique (+ que "la matière", par la "science"). Dit autrement, l'esprit n'émerge de la matière que pour se former mathématiquement, et ensuite pouvoir remodeler la matière selon ses propres désirs.
Ce qui permet alors de parfaitement comprendre et aussi de recouper le sens matérialiste de la chaine logique suivante : "Il en est de même pour l'Ame qui ne peut évoluer qu'en s'incarnant dans un corps-matière."
D'où il écrit encore dans Satornet : "Car, Tout, de la reproduction des cellules aux battements du coeur, oui Tout, dans la création, témoigne d'un inaltérable mouvement et donc, d'un incessant recommencement ! A commencer par le Verbe dont les circonvolutions reflètent la véritable Nature de Dieu."
Ce "recommencement", c'est la répétition des formes perçues par les sens, permettant de TOUT saisir. Oui, vous avez bien lu : TOUT. Ces sens devenant les outils d'un "témoignage", prennent alors le sens de perception amenant la "preuve" par impression cérébrale. Celle-ci étant répétée pour former une mémoire ("inaltérable recommencement de ce mouvement")
Finissant par former des "concepts" géométriques dans l'esprit humain, posant des "axiomes", des "commencements" : de nouvelles causes.
Ces axiomes sont appelés le "Verbe", ce qui recoupe notre proposition de départ : Le "verbe," c'est le chiffre, nouvelle cause d'un homme qui se croit livre, dans le "non temps"... mensonge d'une pseudo-acausalité (non temps) justement, pour faire croire aux esclaves qu'ils sont libres, puisque ce non temps a un point de départ chiffré ! Comment sa "fin" serait-elle dénuée de chiffre ?
Ces concepts servant alors au pouvoir (créer des causes arbitraires, c'est produire des effets, être une force), pour la re-création de la matière par l'homme se faisant démiurge (pythagoricien !) sur la base de cette seule "image", allant des "cellules" (principes chiffrés) à la "vie" humaine (mathématique), en commençant, évidemment par se défaire d'une autorité usurpée, celle de "Dieu", qui lui n'est pas le chiffre, mais le Verbe.
Sa "cause" finale étant la lumière divine tirée d'un être complet, et non pas d'un être de chiffres, créé par l'homme, lui-même créateur de causes, d'autres hommes conditionnés.
Cette matière n'étant effectivement en rien informée au préalable par Dieu, la conclusion de cette suite logique est simple. Les "circonvolutions", comme "reflets" (car présents dans la seule pensée) de la "nature de Dieu" ne sont que les erreurs de notre mental, croyant en Dieu et donc : perdant son temps, car ne réduisant pas la "connaissance" à sa seule fonction : être matériellement utile à l'homme : pour créer la vitesse : vite jouir (= consommer) avant de crever.
D'où la suite immédiate coulant de source pour préparer un révolution dans le "temps" :
"Aussi vrai que le jeune enfant se transforme, pour devenir peu à peu adolescent puis adulte... les psychologies, les repères, les symboles et les esprits évoluent inéluctablement au fil du temps."
Et le temps, c'est le rapport cause à effet.
C'est pourquoi les mots de notre âme sont mathématisés. Ils ne sont que des chiffres, pour créer des forces, et grâce à elles, classer les hommes selon une nouvelle (un "commencement") hiérarchie.
A l'instar de Machiavel, l'homme de pouvoir sait utiliser les croyances des hommes pour les mener par le bout du nez.
L'homme concret ne se posera même pas pas la question de la possibilité de l'existence d'une personne concrète, cachée derrière ce texte..
Pourtant ce texte c'est lui et ce n'est que lui. "Ta lettre te situes... quoi que tu dises"... lui dira André Bouguénec.
Donc sa lettre c'est un chiffre dans l'espace-temps, pour LE créer (le causer) dans ce temps et cet espace hiérachique.
Comme il sait, lui, ce dont il parle, c'est qu'il est au centre de ce pouvoir.