Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Une mère originelle et 'savante' sans conscience, créa des monstres - Varia

OMOROCA ou OMORCA :

Déesse qui, suivant Bérose existait au commencement du monde et renfermait en elle-même tous les êtres ; ces êtres formés des ténèbres et de l'eau, avaient des formes monstrueuses. C'étaient des hommes qui avaient deux ou quatre ailes et autant de visages ; d'autres, sur un seul corps, avaient deux têtes, l'une d'homme, l'autre de femme, réunissant ainsi les deux sexes ; d'autres avaient un corps de cheval, ou de taureau, ou bien des pieds et des cornes de chèvre. Il y avait des chiens avec quatre corps et des queues de poisson ; ou des quadrupèdes moitié chevaux et moitié chiens. Des poissons, des serpents, des reptiles réunissaient en eux des parties d'animaux d'autres espèces. Ces êtres monstrueux étaient représentés sur les murs du temple de Bel. Tel était l'état du monde lorsque Bel partagea Omoroca par le milieu, et forma de ses deux parties les cieux et la terre. Aussitôt les animaux monstrueux que renfermait Omoroca périrent. Une autre tradition porte que les animaux étant nés de l'humidité primordiale, le dieu Bel coupa la tête d'Omoroca, et que les autres dieux, en mêlant son corps avec de la terre, formèrent les hommes, qui, en conséquence ont l'intelligence en partage, et sont doués d'une portion de la sagesse divine. Le mot Omorca est oriental (hébreu) et signifie la mère du vide ou du néant.

Tiré de l'Encyclopie théologique de l'Abbé Migne



[OMO, c'et HOMO : l'homme.
Une piste de réflexion sur la science et la cyclologie des fins du monde.

Par ailleurs un rapprochement phonétique peut être fait avec le mot AMOROGA, qui d'après les révélations de Sourbieu, signifiait Adam-Eve.]