Académie métaphysique

 

Paroles

 

Accueil > Classement thématique > Société, social > Gouvernement(s) / Encadrements politiques > Politique (systèmes et structures) > Gauche / Socialisme / Communisme / Marxisme(s)

Tous les thèmes

 

 

« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Logique et salaire de Serge July le maoïste - Varia

Serge July le maoïste, était payé 33 000 euros / mois lorsqu'il était à la tête du journal Libération, soit 33 fois le SMIC.

Tout ça pour pondre des analyses telles que : "coupable parce que bourgeois".

Rappel historique :

"Une anecdote que rapporte l'historien nous éclaire sur l'atmosphère qui règne dans ces franges militantes : Serge July, jugé trop mondain par ses camarades, est envoyé à Douai en janvier 71 pour « s'imprégner de la base ». Là, il prend parti avec son groupe dans l'affaire de Bruay-en-Artois : « c'est une affaire finalement assez sordide, une fillette qui est violée et assassinée dans le coron et évidemment les gens de ce groupe maoïste pensent que le coupable est tout désigné, il s'agit d'un notaire ! » Serge July écrit alors dans La Cause du peuple, que le notaire, Mr. Leroy, est forcément coupable puisque le soir du meurtre, il mangeait huit cent grammes de viande ! Dans un réflexe essentialiste et par une argumentation tautologique aussi simpliste que ceux qui poussaient les intellectuels antisémites à désigner Dreyfus coupable parce que juif, Leroy est coupable parce que bourgeois, et l'instinct épurateur qui en découle est également assez effrayant. Ainsi, se référant à un article du Nouvel Observateur de mars 1981, Jean-Noël Jeanneney, l'animateur de « Concordances de temps », rapporte comment July aurait répliqué à une militante émettant des doutes quant au fait de désigner le notaire à la vindicte populaire : « c'est parce que tu as peur, toi, fille de bourgeois, de voir la tête de ton père au bout d'une pique. »."

http://www.ojim.fr/40-ans-de-liberation-des-maos-aux-bobos/