Académie métaphysique

 

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« Le "Jugement Dernier", ne peut, ne pourra se faire, QUE sur les paroles dites en tous les temps par les hommes et les responsables des diffusions qui ont conditionné le monde, au TEST du Testament du Christ qui l'a ré-digé au commencement pour qu'en Fin il s'ouvrit et con-Fonde toute la Dispersion, cette "Diaspora" "tra-issante" ou trahissante à travers l'Ordre Divin de Rassemblement. Qui, quelle religion, quelle académie, quelle initiation, s'est voulue assez large de coeur et d'esprit pour rassembler toutes les brebis égarées de la Maison d'Israël, c'est-à-dire, non pas le pays des juifs, mais la Maison de Dieu qu'est le Verbe par TOUT : IS-RA-EL : "l'Intelligence-Royale-de Dieu", contre laquelle l'homme doit "lutter", "l'emporter" (de la racine hébraïque sârôh), ce qu'est en vérité l'antique Iswara-El, cette "Agartha" invisible, enfouie dans les profondeurs de la "Terre", c'est-à-dire de l'Homme, dans ses ténèbres. »

André Bouguénec, Entretien avec l'homme, article Qui est Judas ?

 

 

 

Pourquoi en démocratie, le peuple doit aimer sa propre gêole - Arnaud-Aaron Upinsky

Le Meilleur des mondes de Huxley : Un futur immobile qui sera enfin atteint lorsque le pouvoir aura définitivement donné aux hommes 'l'amour de leur servitude'.

Nous l'avons atteint.

Comment ? Le pouvoir doit inverser l'ordre naturel de la terreur. Ce n'est pas le plus nombreux qui inspire crainte au moins nombreux ; c'est la masse elle-même qui doit trembler sous le joug de la terreur morale qu'inspire un pouvoir impitoyable ou une menace invisible.

Puisqu'en démocratie l'axiome est : Pouvoir = Peuple = Masse (peuple) = Minorité (souverain), le peuple, la masse ne peut qu'aimer sa geôle.

On lui inculque que c'est elle-même qui s'impose à elle-même sa propre terreur, et elle 'doit' en être heureuse.